Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility"On dit que les opposés s'attirent." [Anastasiya]
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"On dit que les opposés s'attirent." [Anastasiya]

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Marwen ft Anastasiya



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"- Les filles se mettent en rang de ce côté, les garçons de celui ci s'il vous plait ! Et sortez vos fiches d'inscription afin d'évitez toute attente trop longue, merci !"


C'était la quatrième fois que le surveillant criait cette même phrase aux files d'attentes qui s'étendaient à perte de vue. Chaque mois de nouveaux élèves arrivent à Harvard ; l'Université la plus réputée du Monde. Les inscriptions étaient clôturées depuis une semaine déjà mais aujourd'hui les étudiants pouvaient s'inscrire dans les clubs qu'ils voulaient. Pour ceux qui ne souhaitaient être inscrits nulle part , ils pouvaient donc passer leur journée à se dorer au soleil puisqu'il n'y aurait exceptionnellement pas cours de la journée.
J'étais en première année de médecine et j'étais à Harvard depuis déjà un mois. J'avais mis du temps à me décider mais entre rejoindre la ligue de football de l'Université ou la chorale j'avais préféré travailler mes vocalises qu'entretenir mes abdos. La musique était ma seule échappatoire. J'étais plus à l'aise à chanter en public qu'à parler devant une troupe de personne.

J'étais appuyé contre un arbre, les bras croisés et mon sac en bandoulière retombant sur mon flanc. Les lunettes de soleil sur mon nez je dévisageais les étudiants. Il y'avait d'un coté les Chearleaders dans leurs uniformes ; les jeunes filles venaient renouveler leur inscription. Elles regardaient les garçons de l'autre côté qui eux faisaient la queue pour rejoindre la ligue de football. A la manière dont elles les regardaient et dont ces derniers leur répondaient nous savions tous comment cela allait finir. J'esquissais un sourire en coin amusé de leur manière digne d'élève de secondes en secouant légèrement la tête.
J'avais enfilé un débardeur noir qui laissait apparaître mes tatouages ainsi qu'un slim noir déchiré et des botinnes montantes que je n'avais jamais pris la peine de lassées. C'est sur, je ne passais pas inaperçu. Le jeune homme Londonien que j'étais avec ses dreads locks et ses piercing étaiet loin de passé inaperçu parmi les étudiants américains. Mais ça ne me gênait pas. Je pinçais les lèvres en repensant à ma ville où ma famille était restée. Mes cadettes Joana et Claire ne rejoindraient pas Harvard, elles m'avaient laissé l’opportunité d'y aller et je leur en étais redevable. Je savais qu'elles ne rejoindraient pas cette Université. Depuis la mort de ma mère et le chômage qui s'en ai suivit de mon père j'avais bénéficier d'une bourse pour pouvoir suivre mes études.
Je sortais mon téléphone portable de ma poche et regardais mon fond d'écran. Bien sur que j'avais pensé à emmener des photos de nous mais elles étaient encore coincées dans l'un des cartons du studio. Je relevais la tête en rangeant mon téléphone.
Fourrant mes mains dans mes poches j'avançais en direction de la file d'attente consacré aux futurs musiciens et choristes de l'Université.
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‎ Anya avait eut besoin de faire exploser le trop plein de joie qu'elle ressentait. Le trop plein de victoire, de fierté qu'elle ressentait. Avoir cloué le bec en beauté de sa plus grande ennemie: Adrianna, la rendait joyeuse, enjouée, guilleret. Elle riait à gorge déployée au volant de sa voiture en se mordillant légèrement la lèvre infèrieure. Se mesurer à elle, était un risque mortel en tout genre aussi bien psychologiquement que physiquement. C'est pour cela qu'elle se différençiait assez des autres filles de l'université. Après tout, elle était Anastasya Vera Ivanova Kataieve, Fille d'Ivan Antonovitch Kataïev et d'Irina Borissavna Kataïev, ayant une mère qui l'a conditionné de façon "propice" dirons nous, elle ne laissait personne lui marcher sur les pieds.

Finalement au bout de quelques minutes, elle se gara sur le grand parking de l'université à sa place habituelle. Elle attirait tous les regards sur sa personne, d'une part pour sa voiture qui ne passait guère inaperçue: une chevrolet camaro, grise métalisée autant dire une petit un bijou offert par son papa. Et puis c'était Anya, quoi. Elle détacha doucement sa ceintre en jetant un dernier regard sur le rétroviseur pour se recoiffer légèrement et descendit de la voiture. Elle attrapa son sac qu'elle enfila doucement puis se hasarda en direction de l'université.

Elle avait passé une de ses robes de gitanes après les cours; son corsage blanc et pur se courbait dans le vent du parc, et sa jupe nuancée de noir foncé, noir charbon battait ses jambes. Lorsqu'elle dépassa le Grand Hall, sa démarche se fit plus chaloupée encore sachant que des élèves se trouveraient dans les parages. Elle leur jeta un long regard menaçant, mais toujours doucereuse, elle parvint enfin dans le parc. Elle jeta un coup d'oeil aux élèves qui se trouvaient là. Elle soupira discrètement en bougeant légèrement a tête quand son regard croisa celui de Marwen.
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Marwen ft Anastasiya

L'attente allait être longue. Je ne savais pas pourquoi je n'étais pas resté à l'ombre sous mon arbre. De toute manière il fallait bien y aller un moment ou un autre après cela je pourrais rentrer chez moi et vaguer à mes occupations. J'en profiterais sûrement pour défaire mes affaires ou bien je repousserais encore cette tâche douloureusement barbante au lendemain en allant me promener au volant de ma voiture. A ce moment précis où je pensais à mon programme de l'après-midi, je tâtais les poches arrières de mon jean; vérifier que les clés étaient toujours bien là. Il y'a toujours cette sorte de mini-infarctus quand vous pensez avoir égaré votre téléphone, vos clés, vos papiers. Ce genre de "crise cardiaque" m'étais arrivé tellement de fois que je penses toujours au jour d'aujourd'hui j'ai due frôler la mort une bonne centaine de fois.

Il faisait une chaleur écrasante. Le matin ce n'est pas dérangeant ; la douceur et la fraîcheur du matin trône encore dans l'atmosphère. C'est après midi que ça commence à cogner dur. Je passais mes mains derrière ma nuque en les joignant. Oui, l'attente allait être longue. J'avais une forte envie de m'en aller mais je savais que je regretterais de ne pas avoir mes heures de chant en dehors de celles des cours. Je soupirais en mordant ma lèvre inférieur. Rien ne vaut une clope dans ces moments là. Je ne savais pas si l'ont me dirait quelque chose puisque le parc appartenait à l'enceinte du lycée mais de toute évidence il y' avait bien trop d'étudiants qu'on ne le remarquerait même pas. Je m'accroupissais un genou à terre en cherchant mon paquet de cigarette dans mon sac. En même temps j'en profitais pour sortir mon vieille élastique usé qui servait à attacher mes dread locks. Je sortais une cigarette de mon paquet et la plaçait entre mes lèvres tout en joignant mes cheveux dans l'élastique. Je me relevais doucement et allumait ma cigarette avant de tiré plusieurs lattes d'un seul trait. Je recrachais doucement ma fumée dans l'air. Oui, il n'y a pas à dire ; bien que ce soit nocif pour la santé la cigarette calmera les nerfs de tout étudiant en train de mourir d'une attente trop longue.

Un peu plus loin, le surveillant qui avait demander de mettre un peu d'ordre dans les rangs élevait de nouveau sa voix pour dire que des bouteilles d'eau avaient été mises à disposition pour les élèves. Bien sur je ne partais jamais sans bouteille et en avait toujours une dans mon sac mais le pion me sauva la mise ; la plus part des étudiants étant assoiffés abandonnaient la file d'attente pour rejoindre le stand ; ce qui raccourcissait la queue et du coup l'attente. Je tirais une seconde fois sur ma cigarette en prenant la place du jeune homme face à moi, abandonnant lâchement son poste pour aller boire. C'est ce que j'appelle la "Loi de la nature.".
C'est alors qu'une jeune fille au cheveux long et à la démarche assurée passait entre les étudiants. Les gens se retournaient sur son passage afin de la regarder. Derrière mes lunettes de soleil je tournais la tête pour la regarder. Elle était de profil et lâchait un petit soupire en sourdine. Je mis ma cigarette à ma bouche pour tirer une nouvelle fois alors qu'elle détournait son regard vers moi. Je suis resté un instant à la regarder. Juste le temps que la fumée descende dans mes poumons et que je la recrache doucement par la bouche.
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Elle le détailla de bas en haut avec un dégout non dissimuler. Son regard s'attarda plus particulièrement sur sa cigarette et elle ne retint pas un léger ricanement sarcastique.Anya repoussa sa longue chevelure sur une seule épaule, cherchant à débarrasser son regard des mèches rebelles qui tombaient devant ses yeux de topaze. Elle eut une petite moue amusée en voyant l'air candide du jeune garçon.

« La prochaine fois va fumer ta saleté de cigarette ailleurs, s'il y a une prochaine fois, je pourrais bien m'énerver de voir que des gens avec une éducation aussi minable croisant mon chemin.»

Elle lui jeta un regard hautain, elle déposa sa main sur sa hanche et reprit lentement sa route après un dernier regard empli de mépris. Cependant un professeur l'interpela, son professeur de droits juridiques pour qui elle ne portait aucune affection. Elle se tourna en soupirant bruyament, prêt à l'écouter:

" Votre devoir de la semaine dernière était un sans faute Anastasya, je suis fière de vos résultats et de votre rigueur comme toujours, d'ailleurs. Je propose de l'exposer devant toute la classe pour non seulement montrer votre brillant travail aux yeux de tous mais aussi.. "

La jeune fille écoutait d'une oreille distraite son professeur bien trop occupé à foudroyer le fumeur du regard. A vrai dire, elle l'avait déjà vu dans les couloirs et trouvait étrange sa coiffure. Ce n'était pas des cheveux, si ? Ils semblaient tout aussi crades que ses doigts jaunâtres et crépus. Sa tenue vestimentaire démontrait forcément sa classe sociale, un pauvre encore. Elle ne comprenait pas comment des gens comme eux puissent se retrouver dans une école aussi prestigieuse. Il n'avait pas leur place ici. Et avec ses meilleurs amis, elle n'hésitait pas à leur faire passer le message.Pourtant il y'a avait quelque chose de spécial chez lui, mais ce n'était qu'un détail. Elle reposa son regard sur son professeur et aquiesca brièvement de la tête ses propos pompeux et tourna les talons pour se rendre dans la cafèteria où elle trouverait surement: Jules & Ken, ses deux fidèles meilleurs amis.
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Je n'avais pas l'habitude de voir une jeune fille aussi singulière. Elle avait un visage très jeune. Si je ne me trompe elle devait avoir entre seize et dix-huit ans. Elle aurait donc du sauter une classe pour arriver à Harvard aussi jeune. Elle avait une taille fine et élancée. A mon goût, elle était un peu trop maigre. Mais on ne pouvait le nier ; elle avait un très jolie visage. Je la regardais un instant avant de détourner mon regard d'elle.

« La prochaine fois va fumer ta saleté de cigarette ailleurs, s'il y a une prochaine fois, je pourrais bien m'énerver de voir que des gens avec une éducation aussi minable croisant mon chemin.»

Je mis du temps à réaliser que c'est à moi qu'elle parlait. Je fus surpris sur le coup. Je penchais légèrement la tête sur le côté et reposait mon regard sur elle. Je penchais la tête en arrière afin de rejeter la fumée blanche dans l'air. J'aimais cette sensation. La sensation que la fumée vous emporte. Elle vous aspire, brouille votre vision et vous avez l'impression d'être invisible.
La tête toujours penchée en arrière je pris la cigarette entre mes doigts et la plaçait devant mes yeux. Plus qu'une latte et je l'avais finie. Je souriais alors malicieusement et mordait ma lèvre inférieur. Je me tournais vers la jeune fille en question qui me foudroyais du regard. Nous étions environ à un mètre l'un de l'autre. J'esquissais un sourire en coin et tendait mon bras avec la cigarette coincée entre mon index et mon majeur.

"-Tu veux prendre la fin, peut-être ?"


Je secouais doucement la tête ne me défaisant pas de mon sourire , fumant la derrière latte. J'avalais la fumée puis en m'approchant doucement de la jeune blonde lui recrachais ma fumée vers son visage. Je jetais la cigarette sur le sol et l'écrasait de mon pieds.
La regardant à travers mes lunettes je dévisageais les traits de son visage ; encore une fille jolie mais dévergondée.

"- La prochaine fois, évite ce genre de remarque."

Je restais un instant puis rebroussais chemin avant qu'elle ne puisse placer quelque chose. De toute manière l'un de ses professeurs vint l'interpeller. Elle plaçait alors une main sur sa hanche, reculant légèrement son bassin. Je ne pus m'empêcher de détourner mon regard vers elle. A la voir on aurait dit une mannequin. Cette fille n'était pas n'importe qui.
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Elle n'avait rien dit. C'était une grande première. Une personne lui crachant sa fumée sur le visage, en outre avec une haleine de chacal.. Elle n'avait rien dit. Anastasya n'aimait pas se donner en spectacle devant les professeurs sauf en cas d'extrême urgence. Elle fulmina tout en pénétrant dans la cafèteria en cherchant du regard Andy ou bien Ken.

Anya se faufilait dans la cafèteria dans le silence feutré des louves. Ses ballerines tendues de brocarts effleuraient le sol avec douceur, et sa jupe lui frôlait ses genoux. Ses manches, longues étaient repliées sur ses avants bras, seulement ceintes d'argenté juste au dessus du coude pour redonner de la rondeur a la suite de l'étoffe banale. Elle bifurqua à toute vitesse pour rejoindre l'autre côté de la cafèteria, et dans son crâne dansait encore l'image de ce jeune homme qui l'avait humilié ouvertement.

La physionomie de son visage dégageait une haine improbable, si bien qu'elle fronça les sourcils en cherchant desespérement ses deux meilleurs amis. Malheureusement, aucun des deux n'étaient présents. Elle rebroussa son chemin en murmurant dans sa barbe des insultes en russe et regagna le couloir. Son regard se posa encore une fois, sur le fumeur. Un sourire narquois au coin des lèvres, elle s'approcha de lui.

« Tu n'aurais jamais du faire ça. »

A ces mots, elle le poussa violement contre le mur avec hardiesse. Certes, Anya était peut être maigre, fétiche mais il ne fallait en aucun cas la sous estimez, ni même sa force. Elle aimait avoir le dernier mot et ce poltron de fumeur avait osé recracher sa fumée sur son visage de poupée, ce n'était pas tolérable. Elle plongea son regard azur mélangé de haine au sien et ajouta d'une voix sévère où un léger accent russe prenait place.

« C'est bien la première et dernière fois que je te reprends. Je ne suis pas n'importe qui. Et comme je t'ai dis que la prochaine fois tu aurais à faire avec moi, je tiens toujours mes promesses. Imprime bien mon visage, car je ferais à partir de maintenant de ta vie un enfer ! Si bien que je ne te donne pas quelques mois avant de nous quitter.»

Elle resserra l'emprise de son bras autour de son cou pour accentuer ses paroles qui étaient dès plus sèrieuses. Elle le défia du regard sans gêne, non elle n'était pas n'importe qui et la comparer aux filles d'ici serait.. une grave erreur.
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"-S'il vous plait, puis-je avoir votre attention ? En raison du trop gros nombre d'étudiants les inscriptions se feront en deux jours. Pour ceux qui souhaiteraient rentrer chez eux et revenir demain, vous pouvez partir."


Il a toujours quelque chose à rajouter, celui là. Pensais-je. Le pauvre surveillant semblait totalement démuni. Ses collègues avaient certainement pris leur pause déjeuné depuis une petite heure et il devait donc se débrouiller tout seul. Afin de lui faciliter la tâche et la mienne aussi je décidais de me retirer de la file d'attente. Je reviendrais demain de bonne heure afin de ne pas a avoir supporter une telle chaleur. Je retirais alors mes lunettes et les rangeais dans leur boitier. En même temps, je prenais le soin de boire quelques gorgées d'eau.
Je me retournais et la jeune fille était déjà partie. Tant mieux. Je n'étais pas du genre à vouloir créer des histoires mais quand quelque chose ne me plaisait pas ; je le faisais savoir.
Je soupirais, quand même un peu embêter à l'idée de devoir revenir demain matin. J'aurais voulu en terminer mais cette fois-ci c'est la chaleur qui l'avait emporté.

Je marchais en direction du hall. Mes yeux gris/verts parcouraient le visage des gens que je croisais. Certains me souriaient, d'autres évitaient mon regard. Harvard n'allait pas être un jeu d'enfants. Mais je n'avais pas besoin de leur affection.
Une jeune fille un peu maladroite me percutais dans les couloirs. Elle balbutia des mots presque inaudibles ; j'en déduis qu'elle s'excusait alors. Je lui fis signe que ce n'étais rien et lui fis un sourire rassurant avant de rejoindre mon casier pour y déposer mes livres. C'est alors que j'entendis la voix plus posée de la jeune fille qui m'avait fais une remarque à peine quinze minutes plus tôt. Je fermais mon casier en soupirant et laissais ma main posée dessus un instant. Je me retournais vers elle en la regardant alors qu'elle s’approchait à petit pas de moi, les mains derrière le dos, comme une enfant prête à s'adonner à des jeux sournois. Elle resta un instant à quelques centimètres de moi avant de me pousser violemment contre mon casier. Je mordais ma lèvre en souriant amuser de son adresse. Je la laissais faire penchant légèrement ma tête en arrière puisque son bras était fortement resserré contre ma gorge. Cependant, je ne me défaisais pas de mon sourire en coin. Si elle me provoquait pourquoi ne le ferais-je pas moi aussi ? Les élèves qui étaient dans le couloir assistèrent à la scène sans bouger.

"- Je n'aurais peut-être pas du te sous-estimer, alors ?"


Mon ton était estompé sous l'emprise un peu rude de son bras qui bloquait ma respiration. J'arquais un sourcil, ce genre de vieux tic de la famille Fergisson quand ils posaient une question rhétorique donc ils connaissaient la réponse. Bien qu'elle avait une sacré force je n'en restais pas moins un garçon qui la dépassait d'une tête voir même deux. Je saisis son poignet et retira son bras de ma gorge. Je ne lâchais pas son poignet, resserrant mon emprise. Elle avait un accent hors du commun lorsqu'elle parlait et je n'aurais pu deviner d'où elle venait. J'avais l'accent britannique, quant à moi. Mais il s'entendait que très peu. Je la lâchais en la repoussant légèrement en arrière. Le gris de mes yeux testaient les siens, cependant, elle ne baissait pas le regard. Ni même esquivais. Elle avait une forte personnalité. Ses pommettes étaient devenue roses écarlate. Oui, elle était vraiment énervée. Et les élèves autour ; amusés de constater qu'une fille si fine puisse être aussi forte.
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Les colères de Anastasiya sont absolument effrayantes, quiconque se trouvant sur son passage se retrouve lapidé par des paroles aussi crues et tranchantes. Et en ce moment même, elle était prête à exploser comme une bombe. Anya retira violemment son poignet et puis dans un élan de furie, cracha toutes sortes d'insultes mais en russe.


« Misérable ! Moins que rien ! Tu vas me le payer très cher ! Ton insolance te perdras et je ne me gênerais pas à t'écraser comme de la vermine .»


Il ne devait absolument rien comprendre mais il suffisait de remarquer son regard noir, " Ses pommettes étaient devenues roses écarlates " mais surtout sa main venait de s'applatir comme une crêpe sur la joue du fumeur pour comprendre qu'elle était hors d'elle. Elle n'est pas aller de main forte. Les élèves autour d'eux rigolaient à gorge déployée ce qui l'insupportait vraiment.

« Dégagez ! Ou je ne me gènerais pas de vous faire la même chose mais cette fois ci c'est mon poing dans la figure.»

Aussitôt dit, les élèves murmurèrent quelques brides avant de disparaitre aussi vite que le vent. Elle se tourna finalement vers le jeune homme qui affichait une mine tout aussi surprise.

La respiration sacadée, elle tentait de reprendre son souffle ayant quelques problèmes de santé ces temps ci. Une vilaine grippe qu'elle commençait à gagner mais elle ne s'arrêterait pas de si tôt. Le sourire au coin de ses lèvres, l'insupportait et pourtant un charme s'en dégager singulièrement. Mais elle continua de le froudoyer du regard sans gêne. Il avait officiellement déclaré la guerre.
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Avant même que je ne puisse la repoussée, la jeune fille se dégagea vivement de mon emprise. Elle me regardait prête à s’énerver de nouveau. Je n'avais jamais vu une fille aussi folle de rage et je ne savais pas ce qu'elle me cherchait. Pourtant, il y avait quelque chose qui se dégageait d'elle. Ce "quelque chose" de singulier. Elle avait un tempérament froid et hautain et pourtant, bien que j'aurais pu en finir avec elle ; je ne le fis pas. Et la raison m'échappait encore.

A quelques centimètres de moi elle se mit à hurler sa colère dans ce que je pensais être des insultes. Maintenant, je savais. La jeune fille dont j'ignorais totalement le nom venait de Russie. Je ne comprenais pas le Russe mais ayant beaucoup voyagé je reconnaissais n'importe quelle langue. Et je ne me trompais pas ; son accent était Russien et ses insultes étaient en Russe. Elle avançait un peu plus vers moi au fur et à mesure qu'elle crachait son venin et sans que je ne m'y attende une seule seconde me mît une gifle d'une violence extrême.

J'avais tourné mon visage sur la gauche tant la violence fût grande. Je plaçais une main sur ma joue que je sentais déjà rougir par la gifle que je venais de recevoir. Je pinçais les lèvres pour contenir la colère que je sentais monté en moi. Mes parents m'avaient toujours appris à me contenir. Le silence était le meilleur moyen de faire taire la rage des autres. Je me retournais vers mon casier alors qu'elle hurlait sur les autres étudiants qui commençaient à se disperser. Je claquais mon casier violemment avant de prendre mon sac. Sans même la regarder je me dirigeais en direction des escaliers qui menaient au parking.
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" L'ignorance punit l'insolence."

Elle tourna à son tour les talons en croisant les bras contre son buste. Elle était très remonté contre lui et n'hésiterait pas à faire de sa vie un enfer. Il serait son nouveau jouet tant convoité. Un sourire malsain au coin de la lèvre, elle soupira légèrement en poussant les élèves sur son passage pour se rendre directement à son cours de droits juridiques. En entrant dans la classe, elle se dirigea habituellement à sa place, les sourcils froncés. Il le payerait cher, très cher.Et pourtant c'était bien la première fois qu'un jeune homme de sa classe, tente de lui résister mais surtout de lui répondre comme il l'avait fait. Anya se sentait humilié ouvertement et chercherait bien à le retrouver. Il n'était certainement pas difficile à reconnaitre: une nouvelle mission pour le TRIO.

Quelques minutes s'écoulèrent, elle recopiait attentivement et minitieusement son cours quand des bruits provenant de la fenêtre la fit sursauter. Par simple rélfexe, elle tourna son visage de poupée pour regarder à travers la vitre et son regard tomba (encore) sur celui du fumeur. Il la regardait étrangement. Elle ne pouvait lire les pensées du jeune homme, il semblait aussi marbre qu'un mur de béton. Finalement, elle ancra son regard topaze dans le sien quelques minutes et contre toute attente lui offrit le plus beau doigt d'honneur, digne de la princesse des glaçes. Mais elle s'énerva légèrement en le voyant sourire au coin des lèvres encore une fois.


Rira bien qui rira le dernier.
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