Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCHARRYS - The way you make me feel, You really turn me on (...) (HOT - LANGUE CRU) - Page 3
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CHARRYS - The way you make me feel, You really turn me on (...) (HOT - LANGUE CRU)

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Je me sens si bien que je ne voudrais plus arrête de profiter de lui, de sa chaleur, de son corps, de sa personne parce que oui, je le sais, j'en suis sur, je l'aime ! J'ai souvent ressenti une certaine fureur sexuelle dès que je pouvais sauter quelqu'un mais avec lui, y avait ce petit supplément d’âme, ce petit truc, cet immense, devrais-je truc. Oui, l'amour dit-on ! Je le tirais sur le lit alors qu'il semblait encore toute chose suite à ce qu'on venait d'accomplir une bonne partie de baise additionné à une grosse dose de sentiment qui donnait un départ pour le nirvana avec un retour chaotique et dans le coton. Je le sentais encore plein d'envie comme ayant l'envie de tout et de rien en meme temps, de choses simples comme de choses excitantes que je souhaitais bien sur lui donner. je l'embrassais sur ce lit, restant sur le coté de son corps alors qu'il se trouvait allongé et je caressais son corps doucement, laissant glisser main tandis que je l'embrassais toujours sur ses lèvres si belles. Je grimpais ensuite à califourchon sur lui en continuant toujours de maltraiter ses lèvres et je descendais dans son cou, profitant pour remonter et mordre le lobe de son oreille avant d'embrasser son torse et de le parsemer de baiser passionné ... Je suçais alors ses mamelons un court instant puis affamé de son désir, de ses cris, je continuais ma descente, trouvant chemin vers son bas ventre puis vers ses cuisses, ses jambes que je descendais avant de remonter en levant les yeux vers lui. Je souriais sournoisement. Je passais mes mains à présent le long de ses jambes en les embrassant puis quand j'arrivais à la hauteur de son doux objet, je soupirais de désir. Je le masturbais d'abord de ma main doucement en ne le quittant plus des yeux puis je le pris en bouche et accentua mes va-et-viens avec celle-ci. Ma langue tournoyait déjà autour de sa belle queue déjà bien relevé, encore une fois.
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Là, allongé sur le lit. Emrys par dessus toi, te caressant de ses lèvres, du bout de ses doigts. C'était juste l'extase, le summum de la perfection, la cerise sur le sundae.. Il t'embrassait avec envie, avec passion, avec amour. Avec force. Et toi tu lui donnais tout ce que tu pouvais, essayant de suivre la cadence de ses lèvres gourmandes. Ton souffle était court, accéléré. Tu avais de la difficulté à rester stable, tout ton corps était agité par des spasmes, tantôt plus faible, tantôt plus fort. Tu gémissais, tu criais ton envie, ton désirs. Et ce fut comme une bénédiction lorsque tu sentis ses lèvres lâcher les tiennes pour se poser au creux de ton cou, sur ton torse, sur tes mamelons, sur ton bas-ventre, le long de tes cuisses... C'était juste complètement enivrant, excitant. Tu posas tes deux mains sur le crâne de ton amoureux, lui flattant les cheveux, entremêlant tes doigts dedans cette tignasse châtaine claire. Un énorme frisson parcouru tout ton corps, partant de ta nuque jusqu'au bout de tes orteils lorsque ses lèvres pulpeuses et sa bouche si chaude, si humide se posa autour de ton membre. Tu ne pus t'empêcher de serrer les doigts autour, appuyant un peu plus fort pour lui donner le rythme à adopter.  Tes yeux étaient fermés et tu étais tout simplement incapable de les ouvrir. Ta respiration était haletante, tes jambes tremblaient presque, secoué de spasmes beaucoup plus forts que précédemment. C'était le nirvana. Tes mains descendirent dans le cou d'Emrys, et involontairement tu y planta tes ongles alors qu'un immense cris s'échappa de toi. Tu savais que ce n'était plus qu'une question de seconde... Sa langue jouait avec ton gland, ses lèvres frottaient ta verge avec ardeur. C'était si bon. Tellement bon. Et d'un coup, oui, d'un coup, tu poussas un très grand gémissement et tes jambes se relâchèrent aussitôt sans toutefois que tes mains serrant le haut du dos d'Emrys se relâchent. Ton corps s'agita un bref instant, alors que tu sentais ce liquide chaud sortir de toi. Tu haletais encore, et de longs frissons et de longs spasmes accompagnaient tes gémissements encore bien présent. Tes yeux s'ouvrirent finalement, tu fixas le plafond. Tu tentais de reprendre une respiration normale, mais c'était très difficile... Ça, c'était sans doute le meilleur orgasme qu'il t'était donné d'avoir. D'aussi loin que tu te souviennes, jamais tu n'avais été aussi expressif, aussi... secoué par un orgasme. Et heureusement, c'était fait avec amour et passion. Tu avais partagé ce moment nouveau avec le seul et l'unique; ton amoureux. Ton Emrys.
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Allongé sur ce lit, mon homme semblait vouloir profiter de chaque soin que je pouvais lui prodiguer. Je le regardais toujours du coin de l’œil alors que ma bouche prenait possession de son membre gorgé de sang grâce à l'excitation que je provoquais en lui. Je pompais alors sur son sexe, affamé de lui, affamé de l'amour dans ses yeux, affamé de lui. Je sentais mon coeur battre pour lui si fort que j’accélérais amoureusement mon va-et-viens sur sa queue dans le but de l'entendre crier et de comprendre que ma mission était réussie. Sa main trouva le chemin jusqu'à ma chevelure et s'en mêla pour pousser sur ma tête, donner ainsi le rythme ; quel cochon celui-là, quel cochon ! Mon homme en voulait, il voulait que je lui donne tout alors je ne me faisais pas prier et obéissais parce que pour lui, je pouvais me laisser guider, me laissais faire. Et soudain, il se cambra et je le sentais bouger étrangement. il venait, je faisais venir mon homme par le talent de mes lèvres sur son sexe. Tout à coup, sa semence se répandait dans ma bouche et je la laissais couler entre mes lèvres sans en laisser passer une seule goutte car après tout, cela venait de lui, mon bien aimé et rien n'était à jeter chez lui tant il savait faire du bien à mon cœur, à mon corps. Remède surement. Je revenais doucement en parsemant son corps de baiser, de nouveau essoufflé puis je me laissais tomber sur le coté, me remontant un peu pour attirer sa tête vers moi et qu'il puisse la poser sur mon torse. J'en profitais pour tirer la couette sur nous pour qu'il puisse lui uniquement s'occuper de reprendre son souffle. Je caressais alors ses cheveux avant de reprendre ; Tu sais ... Charlie ... Je t'aime .... J'avais dit ça avec sincérité, une grande sincérité.
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Inspire. Expire. Inspire. Expire... C'est si facile à dire et pourtant c'était devenu tellement difficile à faire. Tu avais vraiment de la difficulté à reprendre un rythme cardiaque normal, là. Ça te faisait presque peur, quand même. Tu approchais la trentaine, c'est évident, mais de là à avoir tant de mal à respirer ? C'est pas possible en fait. Et ton coeur qui battait à s'arrêter net tellement ça avait l'air surhumain comme rythme. Tu t'en moquais, toutefois. Tu étais avec l'homme que tu aimes. Celui que tu aimes le plus et ce depuis tellement longtemps. Alors tout le reste t'était égal, en ce moment. Tu ne pensais qu'à vous deux, qu'à vos corps et tout le plaisir, la passion et l'amour que vous vous étiez partagés ce soir pour la première fois depuis votre remise en couple. C'était juste parfait. Parfaitement parfait. Ton mec était parfait. Doux à souhait, aimant à souhait et... on devait bien l'admettre, très bon au lit. Ton précédent orgasme en témoignait. Emrys remonta alors lentement, déposant des baisés çà et là sur ton corps. Tu posas tout naturellement ta tête contre son torse et écouta attentivement, silencieusement, les battements de son coeur. Il battait régulièrement le sien. Étrange... Tu le sentis s'étirer et ce n'est que lorsque tu sentis la douceur de la couette vous enveloppé que tu compris qu'il était peut-être temps de dormir... « Tu sais ... Charlie ... Je t'aime .... » Il l'avait dit. Encore une fois. Et à chaque fois qu'il disait ces trois petits mots, ce petit " je t'aime ", ça te faisait toujours tellement plaisir. C'était.. comme une libération, un délivrance pour ton coeur de savoir que tu n'étais plus le seul à l'aimer. Tu te rendais compte que ton amour pour lui n'était pas à sens unique. Et ça, c'était la plus belle récompense. Tu déposas un baisé sur son torse avant de répondre dans une voix encore tremblante : « Je t'aime aussi, Emrys. » et du bout des doigts, tu allas chercher sa main pour venir la prendre dans la tienne.
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