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CHARRYS - The way you make me feel, You really turn me on (...) (HOT - LANGUE CRU)

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Et soudain, je sens dans son regard que tout change ; il veut prendre les choses en main. Audacieux, mon amour me prouve qu'il est dans l'move et je kiffe encore plus le voir ainsi, prouvant que je l'aime pour ces multiples facettes. Mes baises s’arrentent laissant place à un tendre baiser qu'il ne fait qu'approfondir pour joindre encore une fois nos langues pour un échange si beau, si tendre, si vrai ... Et je me sens rêvé dans ses bras, comme si il pouvait touché mon cœur comme ça, simplement. Et il prend les commandes, Charlie devient le capitaine de mon navire et je sens qu'il peut faire chavirer mon cœur toutes les deux secondes tant sa beauté, son ame si belle me fait couler d'amour. Je souris de plaisir, de désir, d'amour pour celui qui me fait face et laisse glisser ses mains sur mon corps frissonnant. Un dieu me touche, mon dieu à moi et embrasse mon corps traçant les contours de mes mamelons, il me tue à petit feu et des gémissements sortent de ma bouche comme pour exprimer toutes les sensations magnifiques qu'il peut me faire subir. Et je le sens descendre alors je sais qu'il veut m'achever, me faire chavirer de bord, me faire tomber quand il me pousse vers le mur et que je sens mon dos frapper celui-ci. Je n'ai pas mal car cette petite violence m’excite ; mon gouvernail ne se tend que plus comme les voiles de mon cœur qui pulse en moi. Et il descend encore et encore ; mille baisers sur mon corps, je sens que l'instant de mon désir plus grand encore arrive et lorsque ses mains touchent ma ceinture, je me sens déjà pret à gémir tellement fort que les marins des hauts lointaines m'entendraient. Et à présent mes seuls pensées restent celle d'un amour infini pour l'homme qui baisse à l'instant mon pantalon me faisant une fois de plus gémir au contact de ses mains avec la bosse de mon caleçon. Il joue avec, sa bouche entre en contact avec l'objet du désir et je ne me sens plus. J'en veux plus, j'en veux plus mais je n'ose le dire, me contentant de gémir sous ses légers baisers, j'attends ses assauts plus osés. Il tire de ses dents sur mon caleçon si moulant, le faisant tomber avant de me regarder avec tendresse et désir comme pour avoir ma permission et je ne peux que murmurer : S'il te plait ... Sa bouche entoure alors ma queue pour ma plus grande joie et déjà, ma respiration devient saccadée car il y va fort dès le début et je me souviens de sa si forte capacité à me rendre dingue en a rien de temps. Mon sexe ne fait que durcir de plus en plus et si je pouvais je crois que je ne ferais rien durer, le prenant sur le champs contre ce mur mais je veux tout de meme profiter et respecter cet instant surtout que je sens que cette fois mon cœur participe au chant d'amour pour mon cher Charlie, battant plus fort à chaque coup de langue, à chaque regard vers lui. J'attrape alors ses cheveux doucement, puis plus férocement pour accentuer les assauts de sa langue sur ma queue. C'est si bon ! Des gémissements sortent de ma bouche, des cris, des interjections diverses puis je me sens venir... je le sens mais je veux plus, toujours plus alors je tire sur ses cheveux pour qu'il comprenne qu'il ne doit plus s’arrêter, plus jamais ... Je ne serais jamais rassasié de lui. sa langue se fait plus violente, plus féroce sur mon sexe rougit par les traitements qu'il reçoit et je caresse à présent son cou alors que ma main a laché ses cheveux car je suis perdu, perdu dans un univers autre ... où m'a-t-il envoyé ? où ? Je ne sais pas et mes yeux sortent de leur orbites. Je cris si fort que mes cordes vocales pourraient se briser sur le champs et mon seul cri reste pour lui ; Haaan Charlie ... Mes mots se terminent dans un murmure transpirant ce désir qu'il m'inspire. Mais je sens qu'il ne veut plus s’arrêter de me faire plaisir, qu'il ne veut plus arreter de tout diriger car au final, il saut que le final sera mon œuvre, que je serais surement le chef d'orchestre, son chef à lui.
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Sa main s'empara de tes cheveux et ses gémissements te firent comprendre à quel point il aimait ce que tu étais en train de lui faire. À genoux devant lui, un main s'agrippant à ses fesses tandis que l'autre tenait son pénis, ta bouche faisait des va et viens assez rapide en harmonie avec tes mouvements de poignet. Tu te délectais littéralement du goût de sa peau. Ta langue titillait son membre délicatement, puis tout en continuant de le masturber avec ta main, tu suças vigoureusement son gland, comme s'il s'agissait d'une pastille pour la toux. Et tu le sentais se raidir de plaisir, gémir tellement c'était agréable. Et au fuir et à mesure où il t'encourageait par de petits bruits incompréhensibles, tu augmentais la cadence, alternant entre mouvement de va et vient avec le poignet, puis avec la bouche. Décidément, c'était la meilleure pipe à vie que tu donnais à quelqu'un et tu étais tellement comblé que ce soit Emrys, ton Emrys, qui la reçoive. « Haaan Charlie ... » ses cris te faisaient du bien, tu sentais ton propre organe se gonfler de plaisir. C'est alors que tu eus la brillante idée de quémander en retour. Tu retiras donc son membre de ta bouche, embrassant alors sensuellement chaque parcelle de peau le constituant et remonta jusqu'à la bouche d'Emrys. Ta main faisait toujours des mouvements de poignet assez habiles, mais ta langue, elle, alla directement retrouver celle de ton amoureux. Vos souffles s'entremêlaient, tu sentais la sueur perler sur ton front, signe que vous étiez vraiment en pleins ébats sexuels. Après quelques instants à savourer sa bouche, ses lèvres, sa langue, tu arrachas tes lèvres des siennes et lui chuchota à l'oreille, d'une voix saccadé par l'excitation et le désir. « J'ai envie d'toi. » Ce qu'il fallait prendre au mot. Tu avais envie d'Emrys. En toi. Littéralement. Et pas qu'un peu. Non, complètement.
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Cette pipe m'avait affamé de sexe. Je voulais tellement plus maintenant. Sa vouche qui faisait de longs va et vient sur ma queue put recevoir des ébauches du plaisir ressenti et je ne pus retenir des cris de plaisir tant ça me faisait du bien. Mon sexe restait pourtant dur comme fer pisque Charlie ne cessait aucune caresse ; d'abord, il l'embrassa tendrement de tout son long avant de le prendre en main en s'activant dessus tout en remontant habilement jusqu'à mes lèvres si gourmandes des siennes ou de son sexe. Ses lèvres touchèrent donc les miennes de nouveau, me faisant frissonner et ne faisant qu'augmenter les battements de mon cœur amoureux. Nos langues se croisèrent un instant passionnément avant qu'il brise nos baisers pour me crier son désir, son désir de m'avoir et j'eus un sourire carnassier, le provocant enfin, jouant à son petit jeu. Je laissais mes mains glisser entre nous pour défaire sa ceinture en douceur, le regardant puis me mordant les lèvres puis avec violence, j'ouvrais avec une grande technique son jean que je fis glisser en bas de ses chevilles. Je le tirais vers moi, me retrouvant totalement collé à lui à nouveau, ma queue se collant contre son boxer nous gênant encore et je levais un pied après l'autre pour fuir mon boxer qui se trouvait à mes chevilles avant de me décider à nous séparer de quelques centimètres dans l'unique but d'atteindre la sienne, sa si belle queue qui, je me souvenais, me vendait bien du rêve. Je glissais ma main autour de sa queue et m'activait d'abord doucement avant d'unir nos pupilles, nos regards l'un à l'autre et ne plus décrocher en activant de plus en plus le geste de va-et-viens. Je me mordais les lèvres en entendant ses soupirs, sa respiration saccadée et quand je sentais qu'il montait bien haut dans le plaisir, je reculais et l'attrapais avec force, échangeant nos places pour le coller face contre le mur ; dis-moi ce que tu veux ? D'une voix des plus sensuelles, des plus basses, des plus provocatrices tout en reprenant un tout petit geste, comme pour l"affamer, de va-et-viens sur sa queue bien tendue.
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C'était si bon. Si bon ! C'était comme lorsqu'on mange une part de gâteau au chocolat après s'être privé pendant plus de six mois. C'est comme quand on va se baigner nu dans la mer plutôt que d'aller dans une piscine publique. Vraiment, Emrys savait comment s'y prendre pour te faire rougir d'envie, de désir. Lorsque vous étiez ensemble, il y a déjà quelques moments de cela, tu avais été agréablement surpris de voir à quel point il était doué au lit. Vos corps s'étaient harmonisés si rapidement, si facilement. C'est presque rare qu'une chimie aussi électrice se produise aussi vite. Quelle n'était pas ta joie lorsque là, après des mois et des mois de désirs secrets, de fantasmes inavoués, tu pouvais enfin le toucher, le caresser, le dévorer du regard, lui faire des sous-entendus et même... Être complètement franc avec lui sur tes attentes et tes envies. Quand tu lui avais dit avoir envie de lui, le jeune homme n'avait pas prit une seconde pour s'exécuter. Il avait baissé ton pantalon, puis ton boxer. Ton membre étant alors devenu prisonnier de sa main, de ses doigts. Et c'était si bon. Si bon. Vos lèvres se touchèrent, vos langues dansaient ensembles et vos souffles jouaient la mélodie du bonheur. Tu n'avais qu'une seule envie et c'était d'aller au fond des choses, là tout de suite. Contre toute attente, et sans même comprendre comment cela avait été possible, tu te retrouvais face contre le mur. Tu sentis son visage s'approcher de ton oreille. « dis-moi ce que tu veux ? » finit-il par dire d'une voix complètement excitante et enivrante. Même si tu étais maintenant face au mur, ça ne l'empêcha pas de tenir fermement ton membre en faisant des mouvements de va et vient. Le souffle court, coupé, tu eus de la difficulté à articuler. « J'te veux en moi. » grognas-tu avant de saisir Emrys au cou, par derrière, le tenant comme si tu avais peur qu'il s'en aille, ne te laissant ainsi au bout de ton fantasme incomplété.
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Formidablement bien, indescriptible, cette sensation de désir enfin possible, enfin possible à satisfaire ; que du bohnuer ! Mon coeur s'emballe et je me sens mourir à petit feu, mourir d'amour et de plaisir. Charlie me fait tellement de bien comme un remède à mon mal etre et je ne peux que l'en remercier en me donnant à deux cents pour cents. Le sourire au visage, j'apprécie le retourner contre ce mur d'une façon violente et perverse. Ma main s'enroule autour de son sexe brulant de désir pour moi et fait de petits va-et-viens dessus ; je sens l'extase arriver à son premier stade et j'ai redemandé dans un mumure que Charlie reformule ces demandes indecentes car sa voix m'excite, ces mots me tuent, me rend fou. Je l'entend me répondre qu'il veut en moi et je me sens obligé de me retenir pour ne pas jouir tout de suite. Je garde ma main dans son dos pour garder mon actuel toute puissance sur l'homme que j'aime et je me baisse un instant pour attraper dans ma poche une capote. Je l'enfile doucement profitant pour me toucher un instant et ne pas oublier ce plaisir qu'il me procure par sa presence mais aussi par les gestes effectuaient sur ma queue. Je me colle de nouveau contre lui et me mouve contre sans corps sans pénétration aucune juste pour l'aguicher. Mon sexe frotte alors contre son cul dans une danse qui se veut lassive et presque trop perverse pour ne pas le faire complètement mourir de spasme de plaisir. Je passe mon doigts dans son cou puis il glisse dans son dos, traçant sa colonne vertébrale puis soudain, je me retrouve dans le bas de son dos ... Je colle alors ma bouche dans son cou, l'embrassant simplement tandis que mon doigts pénètrent son magnifique postérieur avec une certaine violence. Je pousse un petit cri de satisfaction bien plus discret que ceux qu'ils commencent à pousser. Je commece à bouger en lui doucement puis un peu plus vite avant de rajouter un second doigt. Haaan c'est si bon de se sentir en lui meme si ce n'est pas encore ce que je souhaiterais ; d'ailleurs, si j'étais un sauvage, je l'aurais pris violemment directement, lui enfonçant ma queue vulgairement mais mon amour m'empeche de faire cela. un troisième doigts rejoind alors ses comparses dans le cul de mon copain et ils se mouvent en lui parfaitement, lui tirant quelques cries. Je ne cesse mes va-et-viens en lui et mord le lobe de son oreille que j'arrive facilement à atteindre puisqu'il m'aide en plus en me gardant contre lui de son bras accroché à mon cou.
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Après avoir bégayé tes dernières volontés à Emrys, celui-ci ne mit pas une seule seconde avant de s'activer à la tâche. Toi, tu le tenais toujours par la cou, ne voulant pas qu'il te lâche. Tu avais besoin de le toucher, de le sentir si près de toi. Il t'embrassa doucement dans le coup au moment où ses doigts parcoururent ton dos, traçant d'une craie invisible la courbe de ta colonne vertébrale. Sans brusquer les choses, tu sentis un de ses doigts pénétrer en toi. C'était délicat, pas du tout violant. Tu appréciais. Énormément. Tu savais que beaucoup de gens avaient une image erronée des gais qui couchent ensemble. Beaucoup pense que ça se fait rapidement, brusquement, violemment. Seulement, ce n'était pas le cas d'Emrys et de toi. Malgré tout le désir, toute l'envie que tu avais pour lui, c'était si doux, si... passionné. Vous n'étiez pas en train de baiser, là. Vous faisiez l'amour comme ces couples amoureux. Ceux qui s'aiment pour de vrai. Et bordel que c'était le cas là. Tu l'aimes tellement ton homme. Dans toute sa beauté, dans toute sa splendeur. Mais aussi pour tous ses mauvais côtés. Alors qu'il entra un deuxième doigt dans ton orifice, tu ne pus t'empêcher de laisser un petit gémissement sortir. C'était si bon. Puis un troisième doigt fit son apparition et étrangement, tu ne pus retenir un cri. C'était vraiment bon. Ton souffle s’accéléra au rythme de ses mouvements de doigt et ton coeur battait à un rythme illégal. Et au moment où tu t'y en attendait le moins, malgré que tu le désirais plus que tout, Emrys retira ses doigts pour te pénétrer. Avec son membre. Alors de tout son être, il fit des mouvements de va et vient plutôt lent, sensuel. Se laissant désirer. Tu lui tenais encore fermement le cou avec une main tandis que l'autre agrippa une de ses hanches. Tu plantas tes ongles dans sa chair tout en ne te retenant plus pour crier ton plaisir. « C'est bon ! C'est bon, arrête pas. » Ton souffle était court, ta peau s'humidifiait à cause de la sueur. Et pourtant, tu t'en moquais. Tu te moquais de tout, là. Sauf de lui et de son corps. De vous. Du tout que vous formiez à l'instant.
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Et soudain, je le pénétrais avec une certaine lenteur, une passion folle, une passion de lui clairement. Son odeur, sa peau, les sons que sa bouche faisait, ses paroles, son caractère tout m'enivrais chez lui. Je ne pouvais m'en lasser. Je débutais alors quelques lents mouvements de va-et-viens, dégustant la sensation de son orifice si serré entourant ma queue. Que c'était bon mais ce qui était plus bon encore ; c'était de le faire avec lui, de pouvoir caresser en un temps similaire son corps, embrasser son cou, mordre son lobe, sentir son unique et magnifique prescence. J'embrassais donc son cou, le bouffant presque tant il me rendait fou rien que par le fait qu'il se trouvait là contre là et me tenait proche de lui par son bras autour de mon cou. Ma respiration devenait de plus en plus saccadée au fil de mes coup de butoirs contre ce qui le faisait crié, cette partie si sensible qu'il aimait que j'ateigne au fond de lui. Je poussais quelques cris par instant parce que c'était bien plaisant et il rajouta plus de bien faits en cirant qu'il ne fallait plus que je m'arrete. Ni une ni deux, je repassais ma main devant lui et pris sa queue en main commençant alors de nouveau va-et-viens sur son sexe tout en continuant de bouger en lui. Mon sexe ne se détendait plus trop occupé à subir ce plaisir si intense que d'etre en l'homme que j'aimais au plus profond de mon etre. De mon autre main, je caressais son cou puis faisait en sorte de le faire tourner un peu la tete pour lui voler un baiser. Oui, je prenais à nouveau ses lèvres avant de reposer cette main sur sa hanches et d'accentuer mes va-et-viens dans son cul, unissant les deux rythmes presque à une égalité parfaite. Je me sentais peu à peu venir mais je tentais de me retenir pour encore l'envoyer au cieux de longs intants.
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Plus rien n'avait d'importance. Plus rien. Sauf lui et sa présence à tes côtés. C'était si bon, si fou. Comment avais-tu fait pour vivre si longtemps sans ces caresses, sans cet amour omniprésent ? Là, tout de suite, tu n'imaginais plus ta vie sans lui, sans ce plaisir égoïste qu'il te procurait au rythme de son bassin, au rythme de sa main qui orchestrait un désir et une envie invraisemblablement parfaite. Comment avais-tu fait pour vivre si longtemps sans lui, sans cette personne à tes côtés ? Et bien que plus rien n'avait d'importance, en cet instant présent, tu ne pouvais plus t'empêcher de penser à quel point tu l'aimais et qu'il te faisait du bien. Tu y pensais si fort, mais tu n'arrivais pas à l'articuler, tu n'arrivais pas à lui dire tellement ton excitation et ton désir inassouvi pour lui battait des records. C,était juste le pied, quoi. Tu étais en extase. Sa main posée sur ta hanche pour l'aider à faire des mouvements de va et vient plus prononcé fut le coup de grâce. Tu te sentais faiblir, sombrer dans une passion tout autre. C'est comme si le désir animal avait prit le dessus. Ses lèvres trouvèrent les tiennes et tu l'embrassais du mieux que tu le pouvais, même si tu manquais presque d'air. Tes mains lâchèrent et sa fesse et son cou. Tu les plaqua au mur, penchant la tête vers le sol, fermant les yeux. Si au départ tu n'étais pas l'homme qui était du genre à gémir, à crier et à faire comme une vraie gonzesse à l'approche de l'orgasme, là c'était tout autre. Ton souffle était emprunt de petit gémissements, de petits cris, d’onomatopées incohérent. T'en mourrais d'envie. Là, tout de suite. Tu mourais d'envie de venir. Pour lui. Avec lui. En même temps.
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Son cul si serré me faisait tant de bien, que j'aimais etre en lui mais precisèment en cet homme là, cet homme qui me faisait frissonner en son contact, cet homme qui me faisait tourner la tete à chaque instant où il était présent à mes cotés, MON homme. Ma main s'activait toujours à l'ouvrage tandis que l'autre s'appuyait sur sa hanche dans le but d'accentuer mes coups de butoir qui devenait de plus en plus violent comme mon amour qui me brulait le coeur, me réjouissant. C'était tellement de sentir ce tout serré autour de ma queue, les sensations étaient folles, clairement et j'aimais tellement ça. Je bougeais encore et encore, je sentais charlie sur le point de venir. Ses mains ne me touchèrent plus d'un coup et il tombait presque sur le mur, regardant le sol maintenant tant l'excitation semblait le prendre d'assaut. Le réservé laissa pourtant place à un Charlie beaucoup plus libéré qui criait sous mes assauts frénétique et je tirais une sacré satisfaction de l'effet que je lui faisais parce que j'appréciais de faire tant de bien à l'homme qui rendait mon coeur fou, qui le faisait battre si fort. Je ne lui laissais à présent plus le temps de respirer et je sentais que la jouissance était à son comble, que j'allais venir en lui alors essouflé, d'une façon hachée, je criais à mon amour ; s'il te plait, jouis pour moi bébé ! Je donnais un énième coup de butoir, l'emmenant dans un autre monde, m'emmenant en meme temps et je sentis mon liquide coulait de mon sexe dans la capote, je venais et j'enlevais ma main de son sexe juste à temps pour ne pas la recevoir là comme ça. Je restais un instant sans bouger, restant à l'intérieur de lui comme ça, ma tete posé sur son épaule alors qu'il se tenait encore au mur décidèment bien essouflé. Je sortais ensuite de l'antre de mon cher amour puis le retournais pour le tirer vers moi, contre moi et l'embrasser à pleine bouche. Je scellais mes lèvres aux siennes pour la énième fois ; nos sexes se mouvait l'un contre l'autre. Je reculais vers son lit, le tenant alors par la taille et m'asseyait, le tirant vers moi.
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Plusieurs mecs disent que la sodomie, c'est sale et dégoûtant. À ces gens-là, tu avais envie de leur répondre que tant qu'ils n'avaient pas essayés alors ils n'ont jamais réellement jouis. Si le point G d'une femme est à l'intérieur de son vagin, celui d'un homme est facilement atteignable par la sodomie. C'est prouvé. Alors ceux qui trouvent les gais dégoûtant et repoussant sont sûrement des mals baisés parce qu'au moins, deux mecs ensembles se font bien plus plaisir qu'un mec seul. Tu avais toujours les mains plaquées contre le mur, la tête baissée. Ta bouche était entrouverte, laissant passer sans filtre tous les bruits qui pouvaient en sortir. À quoi bon se retenir ? Qui plus est, les cris peuvent être un très bon stimulant pour l'autre personne. Emrys allait à bon rythme, c'était insoutenable. D'une voix rauque, coupée, ton amour prit la parole. « s'il te plait, jouis pour moi bébé ! » Déjà tu étais au comble de l'excitation, mais l'entendre te dire ça, c'était juste... Le coup de grâce, quoi. Tu voulais tout lui donner. Pour lui faire plaisir. Mais aussi parce que tu en avais étrangement envie. Tu fermas les yeux à nouveau, te concentrant sur ses mouvements, sur sa main qui branlait ta queue, sur celle posée sur ta hanche... Tu sentais qu'il y mettait beaucoup plus de force, de rage qu'au départ. Était-il sur le point de venir en toi ? Ça en avait tout l'air. Tu serras les poings, mordant tes lèvres, te retenant de crier plus fort. Tu ne voulais pas réveiller toute la maisonnée. Mais c'était trop bon, c'était trop parfait. C'était parfait. C'était... Et tu le sentis s'arrêter, tu le sentis faiblir. Son souffle était court dans ton cou, saccadé. Il te retourna alors et vos lèvres se trouvèrent instantanément. C'était passionné, c'était agressif. C'était bon. Il te tira jusqu'au lit où tu n'eus d'autres choix que de le suivre. « Em. » prononças-tu avec une certaine difficulté. Tu le regarda droit dans les yeux, avant de poser tes mains autour de son cou, doucement. Avais-tu vraiment besoin de lui dire que tu voulais qu'il te fasse jouir ? Qu'il te prenne dans sa bouche, qu'il y mette toute sa passion, tout son amour ? Tu voulais qu'il te goûte, qu'il te mange.
(hs: c'est pas ma meilleure, pardonne-moi... XD)
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