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CHARRYS - The way you make me feel, You really turn me on (...) (HOT - LANGUE CRU)

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Charlie & Emrys Հ The way you make me feel (...)
Mon regard se pose dans la glace, rivé sur mon visage bien moins cernés qu'il y a quelques jours. Je voulais revenir vers mon homme plus beau, plus fort, plus moi simplement alors j'avais juste annoncé à mon amour que je vivais encore, que j'étais sorti mais que je pensais qu'il était préférable de se remettre pour partir du bon pied et ne pas dès le départ vivre des drames à cause de la fatigue ou je ne sais quoi. Je me sentais tellement heureux depuis ce jour où nous nous étions réellement avoué notre amour comme si la libération avait eu lieu une nouvelle fois mais cette fois ici, aux états unis, à cambridge entre deux personnes privés d'un amour trop fort. Je me sentais beaucoup plus fort niveau santé mais au niveau du cœur aussi. Je passais de l'eau sur mon visage pour la énième fois depuis la sortie de la douche puis je me rasais ce que je n'avais pas fait depuis un moment. Je partais ensuite au cœur de ma chambre, ouvrant ma penderie pour en sortir une chemise blanche que je laissais entrouverte et rentré dans mon pantalon slim tout aussi noir que la veste cintrée que j'avais osé enfilé ; je me faisais beau et classe pour les retrouvailles avec mon copain. Quelques longues minutes plus tard, écharpe enfilé et veste de saison par dessus le tout, je sortais tranquillement de l'appartement sans oublier de rajouter les clés dans mes poches déjà remplis de mes affaires principales. Je descendais dans tout en bas de l'immeuble, au parking quand je me souvenais de mon impossibilité de monter sur ma moto pendant encore quelques jours alors je remontrais vite et débutais ma marche rapide parce que ouais, je pouvais plus attendre. Le coeur battant, je me retrouvais plus loin devant la dunster house et je pris une forte inspiration pour y pénétrer sans avoir peur de croiser une connaissance car j'assumais pleinement de me retrouver si vite en couple, avec un homme maintenant et avec lui, cet homme principalement. Je saluais mes connaissances qui ne furent apparemment pas étonné de me voir ici puis je grimpais les marches une à une vers la chambre de mon désormais petit-ami qui était aussi celle de mon frère et de mon meilleur ami. Je toquais, tambourinant presque tant j'étais excité de le retrouver et quand il ouvrit, je lui sautais dans les bras l'embrassant à pleine, la violant presque de mes lèvres affamées.

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Ce soir, c'est le grand soir. Le fameux soir où Emrys et toi alliez enfin vous voir sans jaquette d'hôpital, sans infirmière, sans vitrine, sans virus... Juste vous deux et votre amour commun. Tu étais tellement heureux que cette journée soit enfin arrivée ! Tu t'étais tellement inquiété pour Emrys en ne recevant aucun message texte de sa part. Ta vague avait pu sortir plus tôt que la sienne et ça, tu l'avais compris bien plus tard. Mais ce soir, tout ça était derrière vous. Vous alliez enfin pouvoir rattraper le temps perdu, vous serrez dans vos bras sans avoir peur que quelqu'un ne vous voit... Ou sans avoir peur de « faire du mal à une autre personne ». En attendant Emrys, tu avais fait le ménage de ta chambre de long en large. Il fallait bien que ce soit propre pour recevoir ton homme. Tu n'avais pas envie de passer pour un pouilleux. Après quoi tu pris une douche assez longue. Tu rasas ta barbe et ta moustache, te coiffa rapidement les cheveux et enfila un polo noir avec un col en v. Tu mis un jeans plutôt clair et pour couronner le tout, tu enfila une veste. Tu t'installas sur le canapé, regardant la télé du coin de l'oeil. À dire vrai, tu comptais intérieurement les minutes avant que ton amoureux n'arrive. Ça te faisait des petits pétillements dans le ventre tellement tu avais hâte de le voir. Et la chance : ce soir Jasper et Priape était à l'extérieur. Parlant de Priape... Il avait très bien pris la nouvelle, seulement tu n'étais pas encore prêt à ce qu'Emrys et toi vous trouviez dans la même pièce que Priape... Sans doute une petite gêne... Tu entendis finalement toquer à la porte et ton coeur fit un battement de trop. Enfin ! Tu te levas et marcha vers la porte. Une fois ouverte, tu n'eus le temps de rien faire. Ses lèvres se plaquèrent instantanément sur les tiennes. C'était si bon. Si vrai. Enfin. Tout en continuant de l'embrasser, tu allas poser ta main sur sa joue pour la caresser. Tu te reculas de quelques millimètres et planta ton regard dans ses yeux. « Tu m'as manqué. » dis-tu avant de déposer un baiser rapide sur ses lèvres en t'écartant de l'entrée pour qu'il puisse pénétrer dans la pièce.

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C'était si bon de sentir nos peaux l'une contre l'autre. C'était si bon de sentir ses lèvres contre les miennes, de pouvoir enfin l'embrasser, l'embrasser vraiment. Je laissais ma langue vagabonder dans sa bouche pour danser une valse formidable. J'aimais ce contact, je le vivais clairement et je me tuais à la tache, celle de ressentir tant de chose formidable qu'on en perdrait le souffle. Je sens alors sa main se poser sur mon visage et glisser doucement pour rester sur ma joue et il murmure que je lui ai manqué. Je sens mon coeur fondre dans ma poitrine et souris doucement avant de sentir de nouveau ses lèvres se poser doucement sur les miennes et j'attrape sa main en me séparant de lui pour simplement entrer plus dans la chambre que je connais si bien, fermer la porte et simplement bouger mes doigts entrelacés avec les siens profiter du toucher que je peux à présent effectuer, simplement quelques frissons me parcourant et je ne peux m’empêcher de passer mes bras autour de son cou en le regardant, plongeant dans son regard : Je t'aime tant chéri ... Je caresse à mon tour son visage, les yeux brillant toujours rivés dans les siens et gardant toujours un bras autour de son cou. Je dépose ensuite un baiser dans son cou et me sépare de lui en marchant doucement dans la chambre : sinon tu vas bien ? dis-je en rigolant doucement d'enchainer sur une chose si banale.
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Emrys entra dans la chambre et referma la porte derrière lui. Ça te faisait tellement plaisir de le voir près de toi et de ne plus t'empêcher de le toucher, de l'embrasser... Depuis le temps où tu rêvais de ces moments intimes, de ce petit bonheur que sa présence t'apportait. Là, c'était enfin vrai. C'était enfin officiel. Vous n'aviez plus besoin de vous cacher, de faire des sous-entendus... C'était clair, net et précis. Et bon Dieu que ça pouvait faire du bien. « Je t'aime tant chéri ... » finit-il par dire alors qu'il avait passé ses bras autour de ton cou et qu'il te regardait droit dans les yeux. Là, il n'y avait aucun doute à se faire. Il était sincère. Tu connaissais assez bien le jeune homme pour être capable de voir quand il ment et quand il est complètement franc. C'est d'ailleurs grâce à ça que tu avais su qu'il était encore amoureux de toi, lors du séjour à Valinouët. Il t'embrassa dans le cou avant de se défaire de toi pour marcher dans la petite pièce. « Sinon tu vas bien ? » demanda-t-il alors, tout banalement. C'est étrange, mais même cette question aussi banale pouvait te faire sourire autant. Tu étais juste heureux qu'il soit là, enfin. Près de toi. Et qu'il n'ait pas l'air d'être sur le point de partir. Vraiment, tu en étais tellement reconnaissant. Tu passas la main dans tes cheveux et sourit alors. Tu fis quelques pas pour aller rejoindre ton amoureux et passa tes mains par derrière, sur ses hanches. Tu les joignis sur son ventre et posa tes lèvres dans le creux de sa nuque pour y déposer un doux baiser. « Ça va nickel. Et toi ? » chuchotas-tu dans ses oreilles. Un brin séducteur ? Oui officiellement. Mais tu n'avais plus à t'en cacher puisque cette fois, tout t'étais permis.

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Je me retrouvais enfin avec lui, pouvant à présent le toucher, l'embrasser, me lier avec lui par de tendres baisers et lui prouver mon attirance mais surtout mon amour par des mots qui franchiraient toutes les barrières. Je me sentais heureux comme si mon cœur subissait une attaque de paillette ; comment dire a quel point le soleil avait rejoins mon cœur ? Je ne cessais plus de lui sourire quand je lui posais des questions si banales qu'on aurait jamais cru que c'était des retrouvailles mais c'était parce que j'étais muet de tout autre chose tant j'étais sous le coup de l'émotion. Il posa ses mains sur mes hanches avant qu'elles se retrouvent sur mon ventre et mon sourire illumina plus encore mon visage quand sa voix résonna dans mon oreille en un chuchotement excitant malgré des propos peu formidable ; « Ça va nickel. Et toi ? » Il déposa un baiser dans mon cou et je me sentis vibrer, pris de petit tremblement tant tout cela me faisait de l'effet et le sentant en grande envie de provocation, je lui chuchotais à mon tour ; et moi ... j'vais mieux encore depuis que je peux faire ça ... Je laissais mes mains glisser de sa joue à son torse, dessinant alors les formes de ses fins abdominaux que je connaissais bien par dessus son t-shirt puis je glissais jusqu'à pouvoir mettre ma main sous son t-shirt avant de l'embrasser de nouveau sur les lèvres. Nos langues se joignirent un court instant puis je le regardais les yeux brillants : J'ai tellement attendu ça Charlie ! Ce n'était pas une simple envie de le baiser, non, je voulais lui faire l'amour, lui montrer que je l'aimais, lui prouver tout. Je laissais mes lèvres courir sur sa joue, grignoter le lobe de son oreille avec sensualité en le fixant toujours puis glisser sur son cou si appétissant avant de faire doucement un pas en arrière pour enlever mon propre T-shirt avec lenteur pour qu'il puisse apprécier la redécouverte de mon corps qui je devais dire n'était pas si mal, enfin je crois ... Je murmurais ensuite à son oreille : Tu trouves pas qu'il fait ... chaud !? Avais-je dit avant de rire pour voir une fois de plus son sourire grandir sur ses lèvres. Un baiser au coin de ses lèvres.
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À ça, tu pourrais vraiment en prendre goût. L'avoir près de toi, pouvoir le toucher, le caresser, l'embrasser quand tu veux, où tu veux et pour la seule et unique raison que tu l'aimes plus que tout au monde. Vraiment, en ce jour, tu étais l'homme le plus choyé que la terre ait portée. Tu te demandais même parfois jusqu'à quand tu serais aussi heureux. On sait tous que le bonheur est éphémère et qu'il faut savoir saisir sa chance lorsqu'il passe. Cette fois, tu l'avais plus que saisi... Seulement, tu devais être réaliste et penser que du jour au lendemain, ce bonheur pouvait se dissoudre. C'est pour cette raison que tu t'étais juré d'en profiter pleinement, à chaque fois où tu reverrais ton homme. Profiter de votre amour, de ses câlins, des moments passés en sa compagnie. Tout ça comme s'il s'agissait des derniers instants. « Et moi ... j'vais mieux encore depuis que je peux faire ça ... » dit-il en se retournant face à toi, faisant glisser ses mains contre ton torse, ce qui t'arracha un sourire amusé. On pouvait bien en dire ce qu'on voudra, Emrys savait comment se faire désirer et comment donner envie. Et là, c'était vraiment le cas. Ça n'allait pourtant pas être votre première fois, mais ça faisait tellement longtemps que tu imaginais ça... Il déposa ensuite ses lèvres sur les tiennes, délicatement. Puis vos langues se retrouvèrent comme si elles étaient faites pour aller ensemble. « J'ai tellement attendu ça Charlie ! » dit-il avant de t'embrasser dans le cou, sur la joue, puis sur le lobe de l'oreille... Il se recula d'un pas et, te fixant droit dans les yeux, commença à enlever son t-shirt très lentement. Si lentement que ça te faisait beaucoup plus d'effet que s'il l'avait enlevé d'un coup. Il se rapprocha de nouveau, chuchotant à ton oreille. « Tu trouves pas qu'il fait ... chaud !? » Tu souris, laissant entrevoir tes dents blanches. Ça te faisait tellement du bien qu'il soit là. Et qu'il ne soit pas prêt de fuir comme jadis. Tes yeux se posèrent sur son torse, décidément encore plus beau que dans tes souvenirs... Tu ne pus t'empêcher de laisser tes doigts danser sur sa peau dénudée. Tu l'enlaça rapidement, le rapprochant de toi et l'embrassa doucement puis langoureusement. Comme si c'était la première fois. Tes mains s’agrippèrent un instant dans son dos et descendirent jusqu'à son jean. Tu passas tes mains en dessous, jusqu'à atteindre ses fesses.
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La proximité me tuait d'amour, de désir ; quel plaisir ! J'aime le toucher, j'aime l'avoir si proche de moi et mon sourire ne se fait plus grand tandis que nos corps se lient de plus en plus. Il ne parle plus, je le sens muet depuis mon mini striptease l'a surpris. Je le fixe du regard tandis que mes mains se baladent sur son corps et il prend ensuite à son tour les commandes. Plaisir des sens, plaisir de la proximité, plaisir de nos baisés si passionnément échangés ; mes pensées se troublent comme un détecteur de position débloquerait complètement au contact d'un téléphone portable, moi il est mon trouble fait. Je ne peux m’empêcher de garder ce sourire béat sur mes lèvres alors qu'il me touche et que je savoure tout ça. Et puis, soudain, il me rapproche de lui, de son corps qui me fait frémir pour en profiter pour m'embrasser avec une certaine fougue, celle des premiers jours, de nos premiers ébats et il me semble tout redécouvrir. Je gémis un instant de plaisir tandis qu'il fait glisser ses mains dans mon dos m'arrachant quelques frissons et je laisse un espace entre nos deux corps un instant avant de me sentir obliger de revenir me coller quand ses mains passent sous mon jean attrapant mes fesses. J'ai un petit rire puis un sourire qui s'imprime plus franchement sur mes lèvres mais je l'embrasse décidément fou de ce qu'il me fait, fou de l’effet qu'il peut produire sur moi. Je me recule avec force et enlève son t-shirt, si pressé de le sentir réellement contre moi, peau contre peau simplement. Je le veux nu, je le veux sans fioriture. Son t-shirt tombe sur le sol rejoignant le mien que j'ai déjà jeté avant et le retourne pour le retrouver dos à moi. Mon sexe déjà bien irrigué se manifeste derrière lui et je ne cherche qu'une chose lui prouver mon grand désir. Mes mains glissent alors devant lui sur son torse puis sur son bras ventre et j'ouvre avec douceur et sensualité sa braguette. Je souffle dans son cou, l'embrassant par instant. Je passe ensuite ma main dans son jean et laisse ma main caressait la bosse déjà présente par dessus son caleçon. J'ai tellement envie de toi ... Murmurais-je dans son oreille, déjà essoufflé de tant de désir.
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Même dans tes rêves les plus fous, jamais les sensations n'avaient été aussi... sincères, puissantes. Cette fois, c'était bien vrai. C'était tout sauf des fantasmes... Oui, Dieu seul sait combien de fois depuis votre précédente rupture tu avais pensé à Emrys et à tout ce que tu lui ferais si tu avais la chance de revivre ne serait-ce qu'une nuit torride à ses côtés. Et voilà que, au bout de ce qui t'avais paru un millions d'années, tu pouvais enfin exhausser tous tes rêves et toutes tes envies. Il était bien réel. Et bien à toi. Vos bouches ne se quittèrent que lorsqu'il senti tes mains s'emparer de ses fesses, les pétrissant avec appétit. Il se décolla légèrement, le visage rayonnant de bonheur. Oh oui. Ce bonheur-là, c'était le vôtre. Et rien ni personne ne pourrait vous l'enlever, ça c'était certain. Il prit alors les devant, empoignant ton chandail et te l'enleva en quelques secondes à peine. Vos deux corps se touchèrent un instant alors que vos lèvres se retrouvèrent et vos langues dansèrent ensembles. Puis une nouvelle fois, le contact fut rompu. Sans que tu ne saches ni comment, ni pourquoi, tu te retrouvas dos à lui. Il était collé contre toi et tu le sentais par son souffle dans ton cou ou alors par la bosse dans son pantalon qui se frottait à toi au rythme de ses mouvements. Ses lèvres se posèrent dans le creux de ton cou, ce qui t'arrachait de nombreux frissons. Ses mains dansèrent un instant sur mon torse puis il vint saisir doucement la fermeture-éclair de ton jean. En un rien de temps, sa main se retrouva entre ton jean et ton caleçon, à caresser doucement ton membre déjà bien excité. « J'ai tellement envie de toi ... » chuchota-t-il, le souffle court. Tu posas alors ta main sur la sienne, celle qui était dans ton jean. « Et moi donc. » répondis-tu aussi essoufflé que lui. Tu te contorsionna le cou jusqu'à être capable de poser tes lèvres au coin des siennes, doucement. Tu ne voulais pas sauter d'étape, mais mon dieu que tu avais envie de lui, là...
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Ma tête se pose sur son dos, ma main continue de caresser l'objet de mon désir qui forme une bosse sur son caleçon et je cris presque intérieurement du bienfait que cela m'apporte. L'amour fait battre mon cœur comme si il s’apprêtait à exploser en mille pétales de fleurs autour de nous tandis que mon désir sexuel est aussi au plus fort. Je me sens si fort à ses cotés que ça en devient trop troublant. Ouh je ne sais plus quoi faire, quoi penser, seule ma main semble encore savoir quoi faire et caresse doucement cette fameuse bosse. Je tente de me ressaisir et relève doucement la tete jusqu'à son cou pour lui déposer à nouveau un doux baiser si passionné prouvant presque tous l'amour que je lui porte. Je ne peux m’empêcher de tenter de le voir en face si bien qu'avec une violence déchirante, j'enlève ma main de son jean et attrape fortement son poignet pour lui faire faire volte-face. Je lui fais face et le regarde, droit dans les yeux, je détaille son corps et ne pense qu'une chose : J'ai tellement de chance de l'avoir et que je l'aime. Mon cœur bat plus encore de devoir affronter ses yeux si beaux, si profond et j'ouvre mieux son pantalon tout en me rapprochant bien voulant grignoter sa peau qui me fait tant envie. Je parsème alors la peau de son torse nu de baiser tendre et affectueux tout en gardant mes yeux ,ayant presque prit la forme de bille, fixé dans les siens. Je trace alors le contour de ses fins abdos de ma langues puis ses tétons doucement avec une grande délicatesse puis ma main poursuit son escapade sur ses bras que je trouve juste assez bien formés, juste assez fort. Charlie est mon petit homme puis je nous sépare pour me glisser jusqu'à sa bouche et lui donner un nouveau baiser comme officiellement fou de ses lèvres, fou de lui, fou de nos sentiments. Je baise sa joue, son oreille, ses lèvres et je lie nos langues un nouvelles fois tout en laissant ma main vagabonder jusqu'à cette objet du désir que je compte bien faire plus que durcir de désir pour moi avant de le prendre d'amour.

HRP: promis, je me rattraperais au prochain =D
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Ça faisait tellement longtemps... Tellement longtemps que tu t'imaginais ça, que tu pensais à ça, que tu rêvais d'une nuit d'amour avec le jeune homme et ce soir, c'était enfin ta chance. Si au départ tu t'étais montré un peu timide et passif quant à ces préliminaires, maintenant c'était une toute nouvelle envie qui t'habitait. Celle de lui faire voir à quel point tu l'aime d'amour et de désir. Il était là, si près de toi. Et pourtant, tu le voulais encore plus près... Sa bouche habile embrassait ton cou, ta joue, tes lèvres, le lobe de ton oreille et même tout ton torse... C'était si délicat et pourtant ça te faisait tellement de bien. Tu ressentais tout son amour, toute sa passion. Vos lèvres se retrouvèrent pour la énième fois depuis le début de la soirée. Ta langue goûtait à la sienne, doucement puis plus avidement. Oui, tu étais avide de lui, de tout son corps et de tout ce qu'il est. Et le meilleur dans tout ça c'était qu'il était tien. Purement, simplement. Pris d'un élan d'excitation, tu avanças de plusieurs pas, le forçant par la même occasion à reculer. Tu le plaquas contre le mur, posant tes deux mains autour de son cou un instant. Toujours en l'embrassant langoureusement, tes doigts parcoururent la peau de son cou, de ses épaules, de ses omoplates. Tes mains glissèrent le long de ses bras, puis jusqu'à ses mains. Tes doigts s'enroulèrent avec les siens et c'est à ce contact que ta bouche se décida à faire son propre chemin; tu l'embrassa au coin des lèvres, dans le creux du cou, sur le torse - t'attardant à chacun de ses mamelons - et tu descendis jusqu'à ses abdos. Il était magnifique. Son corps était magnifique. Et dire que tout ça était pour toi... Tes mains lâchèrent les siennes et vinrent s'occuper de son jeans. Agenouillé devant lui, tes doigts détachèrent le bouton de son pantalon, puis descendirent la braquette. D'en bas, tu le regardais. Comme pour lui faire comprendre que cette fois, c'était la bonne. Et que cette fois, rien ni personne ne pourrait t'empêcher de faire ce que tu as envie de faire depuis si longtemps. Avec force et rapidité, tu descendis d'un seul coup ses jeans. Tes mains retrouvèrent ses fesses. Tes lèvres, quant à elle, embrassaient avec tendresse et avidité le tissus de son caleçon, à l'endroit exacte où son membre déjà bien excité se trouvait. Tu entendais Emrys gémir. Signe que tu lui faisais plaisir... C'est à ce moment que tu compris qu'il fallait passer à un autre niveau... Avec tes dents, tu saisi l'élastique de son sous-vêtement et le força à descendre. Le jeune homme se retrouvait donc à présent complètement nu, devant toi. Tu jetas un coup d'oeil à ton amoureux comme pour demander son accord et en une fraction de seconde, tu le pris dans ta bouche.
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