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Étrangement modeste en sa compagnie, je répondis : « En fait, ça n'a rien d'étonnant depuis le temps que j'en fais. » Certes, certains pouvaient avoir pratiqué un instrument depuis leur tendre enfance, ça ne faisait pas nécessairement d'eux de bons musiciens. « Il faudra que tu me joues un morceau de violon une fois, ça me ferait plaisir. » « Quand tu veux. » Répliquais-je, un sourire aux lèvres. Je me rappelais soudainement une chose qu'elle avait dite et, poussée par la curiosité et l’intérêt, j'ajoutais : « Tu fais parti de quels clubs ? » Demandais-je, détournant le regard, jouant avec mes pouces, puis reportant mes yeux sur elle, essayant de ne pas trop insister, me rappelant que son regard à elle pouvait me déstabiliser si celui-ci était trop persistant.
J'avais toute la soirée devant moi, Sasha ayant annulé en dernière minute notre rendez-vous, ce que je détestais. Il préférait passer sa soirée comme à son habitude avec ses copains stupides du football, à boire et à agir comme le primate qu'il était. Ce que je pouvais le trouver limité parfois... néanmoins, il aurait beaucoup plu à ma mère qui affectionnait le type grand garçon, carrure imposante (car physiquement capable de prendre soin de la famille). De plus, mon petit-ami pouvait, quand il le voulait, avoir une conversation des plus vives et fascinantes, autant qu'il pouvait se montrer attardé et stéréotype même du footballer bête comme ses pieds, beau mais tristement vide à l'intérieur. « C'est ta couleur naturelle ? » Demandais-je soudainement, passant innocemment une main dans ses cheveux. Au delà du fait que je tentais d'établir un contact physique avec elle, j'enviais ce magnifique blond et me demandais réellement s'il était naturel ou non, bien que cette réflexion des plus superficielles n'eut pas la nécessité d'être formulée à voix haute.
J'avais toute la soirée devant moi, Sasha ayant annulé en dernière minute notre rendez-vous, ce que je détestais. Il préférait passer sa soirée comme à son habitude avec ses copains stupides du football, à boire et à agir comme le primate qu'il était. Ce que je pouvais le trouver limité parfois... néanmoins, il aurait beaucoup plu à ma mère qui affectionnait le type grand garçon, carrure imposante (car physiquement capable de prendre soin de la famille). De plus, mon petit-ami pouvait, quand il le voulait, avoir une conversation des plus vives et fascinantes, autant qu'il pouvait se montrer attardé et stéréotype même du footballer bête comme ses pieds, beau mais tristement vide à l'intérieur. « C'est ta couleur naturelle ? » Demandais-je soudainement, passant innocemment une main dans ses cheveux. Au delà du fait que je tentais d'établir un contact physique avec elle, j'enviais ce magnifique blond et me demandais réellement s'il était naturel ou non, bien que cette réflexion des plus superficielles n'eut pas la nécessité d'être formulée à voix haute.
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