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Il nous arrive d'être en désaccord pv CALEB :D

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→ JACKIE AND CALEB



J’étais épuisée. Cette longue semaine de quarantaine m’avait affaiblit comme la plupart des malades. Le début d’année se montrait particulièrement difficile. Mon père était venu me chercher et m’avait raccompagner à mon appartement. C’est a cette occasion que nous avions pu parler du fameux retour de ma mère. Un souvenir qui me perturbait beaucoup trop. Nous étions mardi. Cela faisait déjà un jour que j’étais enfermée chez moi. A part dormir, je ne faisais rien de bien intéressant. Il fallait que je sorte. L’air frais de Cambridge me manquait. Je pris mon manteau, une écharpe, un bonnet pour m’aventurer dans ce froid glaciale. Les règles se n’étaient pas mon truc. Une fois dehors, j’humais l’air frais. Pour la première fois depuis une semaine et demi, je me sentais libre et presque débarrasser de cette salopri. Je me dirigeais tranquillement vers le parc. La ville était silencieuse. Je m’installais sur un banc. Mon regard vagabondait de passant en passant pour m’arrêter sur un homme. Caleb, le meilleur ami d’Aidan. Depuis mon passage à l’hôpital, je n’avais eu aucune nouvelle de lui. Je me dirigeais alors doucement vers le jeune homme. « hééé... comment vas-tu ?» dis-je en grimaçant et en essayant d'être gentille. J’attendais qu’il se retourne pour afficher un petit sourire en signe de bonjour. « Comment va Aidan ? » dis-je en grimaçant sachant pertinemment que Caleb n’allait pas être des plus coopératif.
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Voilà quelques jours que nous étions de retour de New York, Thais et moi et je n’étais pas mécontent même si mon problème n’était que partiellement résolu mais au moins, je pouvais savourer cette liberté. J’adorais Nicolaï mais être fliqué constamment comme du lait sur le feu, c’était épuisant à la longue et puis, ma jolie blonde était trop esseulée dans la grosse pomme. Toute sa vie ou presque se trouvait à Cambridge et la mienne aussi : Aidan, Julia, Elia et Lia etc. Alors pour marquer le coup, je m’étais rendu au parc histoire de marcher un peu, étant interdit de sport le temps de voir pour l’opération du genou. De tout de manière, vu comment je souffrais rien qu’en marchant, je n’allais pas me mettre à faire le marathon. J’en étais là de mes pensées lorsqu’une autre blondinette de ma connaissance vint me faire la causette. Jackie. Je ne l’appréciais pas trop pour une simple raison : Aidan. J’avais l’impression qu’elle se jouait de mon meilleur ami et je ne pouvais pas m’empêcher de voir tout cela d’un très mauvais œil. « Salut. » marmonnais-je en la toisant du regard, cherchant à savoir ce qu’elle me voulait. « ça va et toi ? » lui retournais-je la question par pure politesse. « J’en sais rien, tu t’en préoccupes réellement ou c’est pour une toute autre raison ? » lui demandais-je froidement. Oui, j’étais un vrai papa poule concernant mon petit chat aka poto.

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Caleb et moi n’étions pas proches. Ils nous arrivaient rarement de parler ensemble. Caleb avait son caractère et je l’avais également. En le voyant dans le parc, j’avais vu l’occasion d’en savoir plus sur l’état de santé d’Aidan. « Salut ». J’avais envie de lever les yeux. Je savais d’avance que cette discussion allait mal tourner. J’avais beau être malade et avoir du respect pour les amis d’Aidan. Je n’étais pas du genre à me laisser faire. « Ça va et toi . ». Je soufflais un peu et finis par lui dire d’une voix totalement monotone « Ça va ! ». Sous ses airs de politesse se cachait un véritable problème. « Je n'en sais rien, tu t’en préoccupes réellement où c’est pour une tout autre raison ? ». Mes yeux roulèrent agacer par son comportement. Je savais que Caleb se méfiait de moi. Je le sentais. La relation que j’avais avec Aidan était compliqué. « Commence pas… oui je m’en préoccupe ! Comment va-t-il ? » dis-je en insistant. Mon regard se refroidissait tout comme celui de Caleb. J’affichais ensuite une grimace : « Et qu’est que tu veux dire par là . ».
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On me reprochait souvent de ne pas être aimable au premier abord. Je crois que j’en avais entendu des vertes et des pas mûres comme : coincé du cul, mister freeze etc. Pour ma part, je me foutais bien du qu’en dira-t-on, j’étais comme j’étais et j’emmerdais ceux à qui cela ne plaisait pas. Je n’allais quand même pas m’excuser d’avoir du caractère ? Au moins, nous avions ce point commun Jackie et moi. Fatalement, nous avions aussi Aidan en commun mais plutôt m’arracher la langue que de le reconnaitre. En réalité, je craignais qu’elle ne finisse par le blesser. Je les voyais évoluer de loin et leur relation prêtait pour le moins à confusion même si Aidan ne m’avait jamais rien dit de romantique à son sujet. Non, je savais qu’ils étaient amis mais la frontière était mince. « Il va bien enfin il s’en remet doucement » consentis-je néanmoins à lui répondre avant d’hausser les épaules, rentrant mes mains dans les poches de ma veste. Il ne faisait pas très chaud à cette période de l’année. « Je dis simplement que si tu joues avec lui, arrête de suite… Aidan est mon meilleur pote alors je veille sur son cul ». La messe était dite.
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L’état de santé d’Aidan m’inquiétait. Tout comme celui de mes autres amis. L’inquiétude animait depuis plusieurs semaines mes journées. La perte de poids et la fatigue parlaient pour moi. Avec Aidan s’était compliqué, je le savais et j’étais assez lucide pour le voir. J’aimais notre relation qui était à la fois simple et pleine de liberté mais pleine de sous entendu que je ne comprenais pas encore. « Il va bien enfin il s’en remet doucement ». J’affichais un léger sourire presque soulager de savoir que son état s’améliorait. La petite peste semblait bien loin aujourd’hui. Quoi que… il ne fallait pas grand-chose pour réanimer la petite étincelle. « Bon tant mieux alors… je suis contente » dis-je en affichant un sourire avant que Caleb ne me dise : « Je dis simplement que si tu joues avec lui, arrête de suite… Aidan est mon meilleur pote alors je veille sur son cul ». Mes yeux se froncèrent. Aidan faisait bien partie des rares personnes avec qui je ne jouais pas. Je lui fis : « Je ne joue pas avec lui.. On est de très bon ami et je le respecte beaucoup ! ». Sa pouvait sembler bizarre venant d’une petite peste comme moi.
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A voir la réaction de Jackie ainsi que son petit sourire, je ne pouvais que froncer les sourcils. Ce n’était pas trop ce que je m’étais attendu de sa part et elle semblait sincèrement s’être inquiétée pour mon meilleur ami. Pouvais-je lui accorder le bénéfice du doute ? Pas certain. J’étais bien trop protecteur envers mes amis pour accorder ma confiance aussi facilement bien qu’elle n’avait pas besoin de l’avoir pour fréquenter Aidan. On peut dire que pour le coup, je me conduisais comme un chien de garde envers elle mais tant pis. Toutefois, cela se voyait qu’elle était fatiguée alors je fis un effort pour me montrer un peu plus avenant, moins froid. « D’accord… Et toi, ça va vraiment ? Tu sembles fatiguée » lui demandais-je d’un presque sympathique. Je savais qu’Aidan m’en voudrait si je la bousculais un peu trop. J’ignorais la nature exacte de leur relation mais bordel, ils me faisaient penser à un couple à se tourner autour de la sorte. « Si tu veux discuter, y a un petit café pas loin, tu serais mieux au chaud. Pas envie que tu me claques entre les doigts » détournais-je le regard, un peu gêné de me montrer presque gentil. J’ignorais si elle le méritait réellement mais bon, dans le doute, je pouvais toujours lui accorder la présomption d’innocence.
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Je n’avais pas parlé à Aidan depuis notre entrevu dans le couloir. Ce qui remontait aujourd’hui à plusieurs jours. L’entrevu en question s’était révélée être très bizarre pour moi. J’affichais une petite grimace en repensant à tout cela. J’appréciais Aidan, vraiment et pourtant j’avais l’impression que ma révélation avait mis un froid entre nous. « D’accord… Et toi, ça va vraiment ? Tu sembles fatiguée » sa aussi s’était étrange. Je le regardais bizarrement essayant de chercher une raison à tout ceci. Je ne voulais pas l’irriter et lui répondis simplement en faisant impasse sur le fait qu’il était pour une fois agréable. « Je suis fatiguée… en faite je suis épuisée mais le sommeil est dur à trouver en ce moment » dis-je en hochant la tête et en souriant histoire de me donner une meilleure mine. Caleb me ressemblait beaucoup sur certains point. J’en étais surprise. « Si tu veux discuter, y a un petit café pas loi, tu serais mieux au chaud. Pas envie que tu me claques entre les doigts. » J’affichais un sourire et lui fis rapidement : « Je te ferais pas se plaisir monsieur » mourir maintenant ? Naaaaaaaaaaah. Plus sérieusement. « Je veux bien. Il caille ici » dis-je presque frigorifier. Un bon chocolat chaud allait être parfait. Pendant le trajet, je lui fis : « Toi et Thais vous avez été malade ? » dis-je en le regardant.
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J’hochais la tête à sa réponse. « Il parait qu’il y a des effets secondaires à la maladie… Qui aurait pu croire que la peste pouvait encore frapper à notre époque hein ?! » surenchéris-je sans trop savoir quoi dire d’autres. Je ne pouvais pas non plus la plaindre ou quoique ce soit alors que cela avait toujours été tendu entre nous. Le seul problème, c’est que je n’étais pas un crevard et que tirer sur l’ambulance, ce n’était pas mon genre. Jackie ne semblait pas au mieux de sa forme, aussi, je ne voulais pas en rajouter. Qui sait, nous pourrions redevenir les meilleurs ennemis un autre jour bien que le terme ennemi était un peu poussé. Je lui proposais donc d’aller poursuivre la conversation dans un petit café non loin de là, proposition qu’elle accepta. « Je me doute, tu es destinée à me casser les couilles » plaisantais-je rapidement, les mains toujours plongées dans les poches de ma veste, marchant à ses côtés. « Non et heureusement car elle est enceinte mais son père et la compagne de ce dernier ont été malade sans compter quelques proches. Tu as fait partie de quelle vague ? » lui demandais-je avant d’ouvrir la porte du café et de la lui tenir pour qu’elle rentre. « Qu’est-ce que tu veux boire et/ou manger ? Je t’invite alors profite, ça sera pas tous les jours le cas »

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« Il parait qu’il y a des effets secondaires à la maladie… Qui aurait pu croire que la peste pouvait encore frapper à notre époque hein ? » ironie du sort hein. Pour dire vrai, l’année 2014 commençait très mal. Ce virus était au cœur de toute les attentions. Les retrouvailles avec ma mère m’angoissaient. J’affichais un mince sourire presque pensive. « on aura tout vu » dis-je. Cambridge la ville maudite. Un titre parfait pour un article de journal. Bien des évènements s’étaient produits ici. Nous marchions tranquillement vers la cafétéria. « Je me doute, tu es destinée à me casser les couilles. » Caleb était lucide et sa faisait plaisir. J’affichais un petit sourire et lui fis : « T’as tout compris » dis-je un brin moqueuse. L’air était glaciale. Caleb m’apprit une nouvelle. Thais était enceinte. J’affichais un grand sourire. Malgré les conneries qu’il pouvait se passer, les bonnes nouvelles faisaient du bien à entendre. « Félicitation Caleb ! je suis vraiment contente pour vous deux. Sa fait plaisir d'entendre de bonne nouvelle ! » dis-je avec enthousiasme et répondis à sa question : « La quatrième vague… j’étais avec Emma, Milena et Walter. Je sais pas si tu l’es connais quoi que tu dois connaitre Emma » dis-je en levant les yeux. Emma la fille avec qui Aidan avait couché. Il devait être au courant. Nous entrions dans le café. La température était beaucoup plus chaude. J’en étais presque soulagée. Nous nous instillions à une table. « Qu’est-ce que tu veux boire et/ou manger ? Je t’invite alors profite, ça sera pas tous les jours le cas. » et bien aujourd’hui était un grand pas pour l’humanité. Je lui fis : « Je vais profiter alors, un chocolat chaud s’il te plait ».
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Qui aurait pu croire que Jackie et moi serions capables de tenir une conversation civilisée sans nous envoyer sur les roses toutes les quinze secondes ?! Poto pouvait être fier de moi car c’était un véritable exploit en même temps, je me voyais pas lui enfoncer la tête plus qu’elle ne l’était déjà. Je n’étais pas un crevard comme le pensait bien des personnes à commencer par l’amie d’enfance de ma femme. Je ne sais pas trop ce que je lui avais fait mais apparemment, quelque chose de bien. Le séjour en Inde risquait d’être coriace. « Qu’est-ce que tu crois, je suis pas aussi con que tu ne le penses » la taquinais-je avant de lever la main « Inutile de répondre à ça » plaisantais-je avec un brin d’autodérision car je n’étais pas le dernier à me foutre de ma propre gueule. Je l’informais au passage que Thais et moi attendions un enfant et elle semblait réellement être heureuse pour nous si bien que pour la première fois depuis que nous nous étions rencontrés, je lui adressais un véritable sourire. « Merci » soufflais-je avant de grimacer. Pour connaitre Emma, je la connaissais de loin ! Sérieusement, je ne savais pas ce qu’Aidan était allé foutre avec une Mather… Des deux, je préférais encore Jackie ! « Ouais je vois.. Dommage que vous n’étiez pas au même étage, cela aurait pu faire des combats intéressants » dédramatisais-je tout en l’invitant à boire un café… ou un chocolat chaud puisque c’était ce qu’elle désirait. « Va pour le chocolat, installe toi, je reviens » lui dis-je avant effectivement de revenir quelques minutes plus tard avec deux chocolats chauds. « J’ai pris quelques viennoiseries si tu as faim. Ecoute Jackie, on n’est pas partie du bon pied toi et moi et je dois reconnaitre que notre conversation me donne presque envie d’être sympa avec toi… Je crois qu’on pourrait enterrer la hache de guerre non ? » lui proposais-je. Devenir père me rendait-il diplomate ?!

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