Sa y est la belle prune est enfin sortie de cette endroit de quarantaine qui fessais d'elle une femme complètement impuissante. J'ai été la voir et je lui avait promis un diner après qu'elle soit sortie de l'hôpital, ce qui ma étonné c'est que je n'est pas été prévenue de son retour par elle mais par une connaissance que nous avons en commun, je comprend pas pourquoi et ne me pose pas trop de question, j'imagine juste qu'elle n'a pas eu le temps. Moi en tout cas libre ce soir je décide d'aller chez les Dunster et une fois arrivé à la porte de ça chambre je toc un coup tout en souriant presser de la retrouvé. Une rose à la main j'attend patiemment qu'elle m'ouvre cette porte qui nous sépare.
Cela faisait quelques jours que j’étais sortie de l’hôpital. Ils avaient enfin trouvés un traitement à la peste. Dieu merci, je faisais partie de l’une des vagues qui avaient étés le moins touchés par le virus. En revenant à la Dunster House, j’avais eu l’ordre de prendre mon traitement tous les jours sans interruption. J’avais donc profité de ses derniers jours pour me reposer et reprendre des forces. Mes parents avaient appelés pour savoir si j’allais bien, mais ils ne comptaient pas venir me voir à cause de leur travail. Ce soir, alors que j’en profitais pour rattraper tous mes cours, quelqu’un frappait à ma porte de chambre. Tranquillement, j’allais ouvrir et tombais sur Nork. Je ne lui avais pas reparlé depuis sa visite à l’hôpital et je ne l’avais donc pas prévenu de mon retour. Ce qui était préférable étant donné qu’une folle hystérique était venue me voir pour me menacer. « Nork, tu ne devrais pas être ici. » Heureusement, aucune de mes colocataires étaient présentes ce soir. Je laissais la porte ouverte pour qu’il rentre, après tout, il avait peut-être quelque chose à me dire. J’évitais soigneusement de regarder la rose qu’il tenait entre les mains. « Alors, que me vaut l’honneur de ta visite. » Je m’appuyais contre mon bureau.
Elle devais m'appeller et elle ne la pas fait, je me suis dit que c'était certainement parce quelle à pas eu le temps mais je suis loin de me douté que c'est pour une toute autre raison, d'ailleurs lorsqu'elle m'ouvre un sourire s'affiche sur mes lèvres mais à sa remarque je le perd d'un coup arquant un sourcil "Hein pourquoi? Les Winthrops on plus le droit de venir?" Je pense vraiment pas que c'est à cause de Sally qu'elle me dit ça. Je rentre à la suite lorsqu'elle m'invite dans sa chambre et la rose à la main je continue de la regardé d'un aire étrange "Ben je te rappelle que nous devions nous voir à ta sortie" Je lui tend la rose même si j'ai l'impression qu'elle n'en veux pas et me racle la gorge voyant qu'elle ne la prend pas, je la dépose donc sur la table que je trouve à côté de moi "Mais à première vue je suis pas le bien venue je vais te laisser tranquille" Je comprend vraiment rien.
Je ne pensais pas qu’il aurait eu le culot de venir. D’ailleurs, sa copine ne l’avait pas prévenu ? Apparemment non, car il ne reculait pas et entrait dans la pièce tout en essayant de plaisanter : "Hein pourquoi? Les Winthrops on plus le droit de venir?" Je ne relevais pas sa phrase, me contentant seulement de le regarder tout en croisant les jambes. "Ben je te rappelle que nous devions nous voir à ta sortie" Après la visite de cette jeune femme, j’avais décidé de ne pas rappeler. J’avais assez de problèmes comme ça pour être mêlé à leur histoire de couple. « Ah oui, c’est vrai » Je répondais d’un air désinvolte comme si cela n’était qu’un insignifiant détail. "Mais à première vue je suis pas le bien venue je vais te laisser tranquille" Je ne pouvais pas le laisser partir sans lui avoir dit ce que je pensais. « La prochaine fois, fait attention de ne pas te faire suivre. Je n’ai pas envie d’être mêlé à tes problèmes de couples. » Il lui avait dit qu’il avait été ivre ce soir-là, alors que c’était totalement faux. Pourquoi mentir et ne pas assumer ses actes ? A quoi cela servait ?
Le culot? Mais pourquoi je devrais être culotté? Personne ne ma rien dit et moi je suis ici avec une rose à la main espérant pouvoir profité de la jeune femme et de sa forme mais à son accueil je comprend rapidement que je suis pas le bien venue. C'est pourquoi je rentre sous le ton de la plaisanterie mais à premier vue y à que moi qui à le sens de l'humour, à cette instant je doit avouer que je me sens vraiment très con, je me racle la gorge et lorsqu'elle me répond d'un simple "Ah oui c'est vrais" Je reste un peux sur le cul, elle avait l'aire heureuse que je lui donne rendez vous à l'hôpital et là plus rien "Y a quelque chose qui va pas?" Parce que la je comprend vraiment rien, puis à sa seconde remarque je arque un sourcil ne comprenant pas tout de suite jusqu'à ce que tout se rassemble dans ma tête, les événements passer avec Sally, je passe ma main sur mon visage pour me le frotté tout en ayant l'aire bête "J'y croit pas, elle à pas fait ça quand même?" Je souffle un coup avant de reprendre "Dit moi ce qu'elle ta dit" En tout cas qu'elle ne croit pas être dans mes problèmes de couple plus qu'il n'y à pas de couple.
Lorsqu’il comprenait que je parlais de sa copine, sa tête se décomposait d’un seul coup. Il ne s’y attendait pas à celle-là. Honnêtement, je n’avais pas envie de me prendre la tête. Je ne lui piquais pas une crise de jalousie, car ce n’était pas dans mon tempérament. Seulement, je n’avais pas apprécié que sa nana vienne me piquer sa petite crise, alors que j’étais mal en point. "J'y croit pas, elle à pas fait ça quand même. Dit moi ce qu'elle ta dit" Surprise chéri, ta copine à rappliqué. « Peu importe ce qu’elle a dit. C’est juste que tu devrais la tenir en laisse la prochaine fois. » Je croisais les bras avant de reprendre. Apparemment, c’était important pour lui de savoir ce qu’elle avait dit. « Si tu y tiens, elle a dit que tu étais son mec. Elle a essayé de me menacer de ne plus te revoir. Oh et j’oubliais, tu lui as tout avoué en lui disant que tu avais trop bu. C’est vrai qu’un verre ça monte vite au cerveau. » Je décroisais les bras, puis, je me rapprochais de lui. Mon visage n’exprimait pas la colère. J’étais juste dégoutté d’avoir été une fois de plus, mêlé dans un couple. « Peu importe. Assume et retourne voir ta copine. Je ne veux pas détruire un couple. » Je le regardais et même si j’étais déçu par ce qu’il avait dit, j’avais terriblement envie de l’embrasser. A croire que j’étais en manque d’affection. A moins, qu’il m’attirait beaucoup trop physiquement et sexuellement.
En faite je veux pas vraiment savoir ce qu'elle lui a dit, mais juste pouvoir justifier de quoi elle m'accuse, d'ailleurs quand elle me fait ça première réflexion je lève les yeux au ciel tout en soupirant "Euh...Elle est libre de faire ce qu'elle veux, j'ai aucun droit sur elle bien qu'elle n'aurais pas du venir te chercher à l'hôpital" Prudence avait pas la forme et je trouve ça trop facile que Sally à été la voir alors qu'elle était faible, elle aurais du attendre qu'elle sorte de là, mais une Sally en colère c'est vraiment pas beau à voir la preuve. Puis rapidement j'ai la question à ma réponse quand elle me dit ce qu'elle lui a dit, je vais m'assoir sur le lit tout en soufflant un coup "Disons que je suis son ex petit ami, nous avions couché ensemble quelque jours avant que je parte à Vegas, entre elle est moi ça à toujours été comme ça entre nous et bien que nous avons mis un terme à notre relation, je suis pas tout à fait sur qu'elle soit terminé, du moins j'en était sur lorsque je t'est fait l'amour, mais à sa réaction j'ai compris qui avait encore un truc entre nous" Puis il est temps de me justifier sur le mensonge que je lui est dit "Pour être honnête je lui est dit que j'avais un peux bu parce que je savais pas quoi trouvé pour me défendre, même si j'avais pas à me défendre, mais Sally à tendance à mettre une pression de fou et je me suis emporté ce qui n'a pourtant pas excuser la chose." Je me redresse pour m'approché d'elle "Sache une chose Prudence, tu n'a pas du tout détruis de couple, tu n'était pas au courant de toute cette histoire et moi étant sur que tout était terminé, je ne pensait pas faire de mal, je veux aussi que tu sache que je ne regrette absolument rien et que cette nuit à juste été fabuleuse, mais je peux pas te promettre autre chose que cette nuit, j'ai pas non plus envie de te perdre, je t'aime beaucoup et j'aimerais que nous soyons amis" Je sais pas vraiment comment elle va prendre la chose mais j'ai pas envie qu'elle m'en veuille plus longtemps, j'aime passer du temps avec elle.
"Euh...Elle est libre de faire ce qu'elle veux, j'ai aucun droit sur elle bien qu'elle n'aurais pas du venir te chercher à l'hôpital" Je me retenais de lever les yeux au ciel. Sally ne me faisait pas peur, loin de là. Seulement, j’aurais préféré qu’elle est un peu de jugeote. Elle me prenait la tête comme si c’était moi qui l’avait trompé, alors que le fautif, ça devrait être Nork. "Disons que je suis son ex petit ami, nous avions couché ensemble quelque jours avant que je parte à Vegas, entre elle est moi ça à toujours été comme ça entre nous et bien que nous avons mis un terme à notre relation, je suis pas tout à fait sur qu'elle soit terminé, du moins j'en était sur lorsque je t'est fait l'amour, mais à sa réaction j'ai compris qui avait encore un truc entre nous. Pour être honnête je lui est dit que j'avais un peux bu parce que je savais pas quoi trouvé pour me défendre, même si j'avais pas à me défendre, mais Sally à tendance à mettre une pression de fou et je me suis emporté ce qui n'a pourtant pas excuser la chose." A la bonne heure, il me racontait sa vie sexuelle. Ainsi dont, j’apprenais que miss Sally avait menti. Sans doute pour se protéger et trouver une excuse de m’en vouloir. « Tu n’as pas besoin de me donner tous ses détails. Je ne te fais pas une crise ou je ne sais quoi. Juste, je n’apprécie pas que l’on mente et dans l’histoire tu m’as fait passer pour une conne. » Ce qui était vrai dans un sens. Mentir pour se protéger était d’une certaine façon, se comporter comme un lâche. Nork se rapprochait de moi. "Sache une chose Prudence, tu n'a pas du tout détruis de couple, tu n'était pas au courant de toute cette histoire et moi étant sur que tout était terminé, je ne pensait pas faire de mal, je veux aussi que tu sache que je ne regrette absolument rien et que cette nuit à juste été fabuleuse, mais je peux pas te promettre autre chose que cette nuit, j'ai pas non plus envie de te perdre, je t'aime beaucoup et j'aimerais que nous soyons amis" Je ne le lui donnerais pas raison à voix haute, mais cela me rassurais. J’avais assez de problèmes comme ça et détruire un couple, n’était pas un loisir. Je finissais par esquisser un sourire avant de lui répondre. « Ami ça me va » Moi non plus, je n’avais pas envie de plus. J’aimais bien Nork, mais les relations ce n’était pas pour moi. Pas depuis ce que j’avais fait.
Il est vrais que je ne lui doit pas tous ces détails, mais j'ai envie qu'elle comprenne un peux tout cette histoire, d'ailleurs lorsqu'elle me dit que je n'était pas obliger je fait un oui de la tête "Si, je suis obliger, je te doit au moins ça, surtout après ce qu'elle ta fait, elle avait pas à venir à l'hôpital, du doit savoir pourquoi." Je suis un peux déçu qu'elle pense que je l'est fait passer pour une conne "C'était pas du tout mon attention, parce que j'ai dit à Sally que tu ne connaissait pas notre histoire, je lui est dit que je ne t'avais rien dit et qu'elle ne devais pas te jeté la pierre parce que le responsable c'était moi" Après si Sally à quand même été lui parlé c'est parce qu'elle est borner. Je sourit quand elle me dit qu'elle veux bien resté amis et je souffle de soulagement "Tant mieux, j'espérait pas voir les choses autrement" Je la prend dans mes bras tout sourire.
"Si, je suis obligé, je te doit au moins ça, surtout après ce qu'elle ta fait, elle avait pas à venir à l'hôpital, du doit savoir pourquoi. C'était pas du tout mon attention, parce que j'ai dit à Sally que tu ne connaissais pas notre histoire, je lui ai dit que je ne t'avais rien dit et qu'elle ne devait pas te jeté la pierre parce que le responsable c'était moi" Je me contentais de l’écouter. Il n’y avait rien à dire d’autre. "Tant mieux, j'espérais pas voir les choses autrement " Il me prenait dans ses bras, alors que je venais d’accepter d’être ami avec lui. Je mettais fin à notre étreinte. « Au fait, merci pour la rose » Je le remerciais tout en lui montrant d’un signe de tête, la rose posée sur la commode.