Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityXANDARSHALL ღ I don't know how i can tell you the truth... - Page 3
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XANDARSHALL ღ I don't know how i can tell you the truth...

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Il ne me croyait pas parce que je développais pas mais mine de rien que mon père n'est rien dit au petit garçon que j'étais, ça m'énervait bien que c'était logique ! Je ne comprenais pas comment je devais vraiment lui expliquer alors je soupirais et sortit de mon sac de prof, posé au sol, un carnet en cuir marron-rouge. Je le caressais avec émotion et j'ouvrais à une page marquée d'un post-it rouge. 15 Février 1989, pourquoi est-elle parti ? Pourquoi ... je ne suis pas expressif mais il semblerait que cela m'ait couté qu'elle n'abandonne pas ses amours pour moi ... Je lis tous le texte à Marshall puis soupirant, je tourne la page en disant : 6 Mai 1989, Comment a-t-elle pu croire que je ne le découvrirais pas ? Comment ? Elle veut me faire croire qu'elle va réussir à faire gober à son Reilly qu'il a pu l'engrosser cette semaine là, cette semaine de début février alors qu'elle était avec moi ... dès que j'ai vu son ventre, tout m'est revenu, les dernières fois où nous dinions ensemble, elle était déjà un peu fatigué... Je reposais le livre toujours ouvert et soupirais, passant ma main dans mes cheveux et fixant mon demi-frère droit dans les yeux.
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Allez savoir pourquoi j’suis encore ici. Pourquoi je l’écoute et pourquoi je pose même des questions. Au fond, je sais très bien que c’est parce que j’ai envie qu’il ait raison. J’aimerais avoir une personne sur qui mettre le blâme. Pas lui, non. Mais enfin pouvoir dire à mon père que je ne lui dois rien et pas rien que parce que j’en n’ai pas envie, mais aussi parce que j’suis pas son fils. C’est cruel, égoïste, mais tout ce qu’il mérite. Monsieur Blackstone s’avance vers son sac et en sort un journal en cuir. J’le regarde en silence, respectueux face à son émotion. Ce journal signifie beaucoup pour lui, ça se voit. « 15 Février 1989, pourquoi est-elle parti ? Pourquoi ... je ne suis pas expressif mais il semblerait que cela m'ait couté qu'elle n'abandonne pas ses amours pour moi ... » Il parle de maman? Normalement, c’est à cette époque qu’elle est tombée enceinte de moi… J’dis rien, j’attends la suite. « 6 Mai 1989, Comment a-t-elle pu croire que je ne le découvrirais pas ? Comment ? Elle veut me faire croire qu'elle va réussir à faire gober à son Reilly qu'il a pu l'engrosser cette semaine-là, cette semaine de début février alors qu'elle était avec moi ... dès que j'ai vu son ventre, tout m'est revenu, les dernières fois où nous dinions ensemble, elle était déjà un peu fatigué... » Reilly, c’est forcément papa. Seigneur… Je sais pas quoi dire, je le regarde la bouche à demi ouverte et j’me sens stupide. J’ai un grand frère? Demi-frère plutôt.. Il me regarde droit dans les yeux et j’me racle la gorge, mal à l’aise. « Bah merde. » Voilà tout c’que j’trouve à dire. J’vais quand même pas lui sauter dans les bras et tout ça. Mais, étrangement, ça me soulage de savoir que c’est à mon frère et pas juste à mon prof que j’viens d’me confier….
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Je sais que ça ne peut pas le réjouir comme ça , que c'est choquant ! Je ne sais vraiment pas quoi faire de plus et je vois soudain son regard changé car il comprend que je ne mens pas, que c'est vrai. Il semble perplexe et choqué mais je ne peux que comprendre. Il sourit plus et se contente de réaliser je crois vu a quel point il reste bloqué, la bouche à demi-ouverte. Il se contente d'un simple : « Bah merde. » Que lui dire de plus ? Que dire ? je ne sais pas réellement et je ne sais pas si je ferais pas mieux de laisser décanter. Je m'assois, me laissant tomber sur la chaise et je reprend vite fait ; j'suis désolé d'avoir craché le morceau mais mentir, c'est pas mon truc ! Je le regarde sans me démonter puis je m'enfonce dans ma chaise inconsciemment et là, je sens que je montre mon coté à la Marshall, la meme position qu'il prend sur sa chaise en cours et je me dis que ça ne va pas du tout, qu'il n'a pas à voir ça et que c'est étrange alors je me relève net dans ma chaise, réagissant étrangement.
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J’suis toujours là à le regarder et il semble encore plus mal à l’aise que moi. Comme s’il s’en voulait de m’avoir dit la vérité. Moi ça m’arrange d’un sens. « J’suis désolé d'avoir craché le morceau, mais, mentir, c'est pas mon truc ! » Je souris en hochant la tête alors qu’il se laissait tomber sur sa chaise. Jamais je ne l’avais vu comme ça. Et franchement, j’avais l’impression d’être en train de me regarder et non d’être en train de regarder monsieur Blackstone. Il se redresse d’un coup, comme s’il avait entendu mes pensées et je me détends un peu, content de voir qu’il est aussi humain que tout le monde –non pas que j’en ai douté. « Et en fait, ton prénom c’est quoi? » Voyez, s’il devait être mon frère, j’me voyais mal continuer de l’appeler monsieur Blackstone dans nos temps libre. Bien entendu, je ne comptais pas faire genre on est des grands potes tous les deux, encore moins durant les cours. Mais j’avais envie de savoir sous quel nom j’étais supposé l’appeler si ma vie tournait encore plus au vinaigre et que j’avais plus personne d’autre vers qui me tourner que mon cher nouveau demi-frère.
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Ça le perturbait et je ne pouvais que le comprendre, je voulais juste son bien et egoistement, je sentais que je voulais avoir un frère, l'avoir comme frère parce que je n'aimais pas apprécié inconsciemment aussi bien un élève moi qui tentait en vain de faire le roi des glaciers avec mon coeur de glace mais avec lui, rien ne marchait à cause de ce que je savais. Maintenant que je lui avais dit, j'étais très conscient qu'il faudrait du temps mais j'étais soulagé. Quand il me regarda étrangemment après l'avoir presque immité dans ma position, je me relevais droit comme un piquet et je l'écoutais me demander mon prénom. Je grimçais ; ça faisait tout à coup étrange et j'annonçais alors : Je me prénomme Xander ... mais aussi, Noah ou Viktor ... Mais tu peux m'appeler Xander quoi ! Je montrais ma gene, une gene inhabituel chez moi et bien trop palpable. Je tentais de me déconstiper en me disant que c'était quelqu'un de ma famille mais j'étais si peu habitué et j'osais franchement : Tu m'en veux de te l'avoir dit ? Je baissais le regard, me faisant tout petit d'un coup parce que je voulais éviter qu'il me réponde sec que oui.
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Monsieur Blackstone mit un certain temps avant de me répondre. D’ailleurs, je me demandais à quelle vitesse j’allais m’adapter à cette nouvelle situation. Ne plus l’appeler constamment Monsieur… ce serait étrange. « Je me prénomme Xander ... mais aussi, Noah ou Viktor ... Mais tu peux m'appeler Xander quoi ! » Je ris doucement, il était nerveux, ça se voyait très bien. Mais qui ne l’aurait pas été après avoir lâché une bombe comme celle-là? « Xander alors… » répétai-je à voix basse pour moi-même. « Tu m'en veux de te l'avoir dit ? » Je relevai rapidement la tête vers lui. Lui en vouloir? Pourquoi est-ce que je lui en voudrais? Il était la seule personne depuis des lustres à être honnête avec moi, je n’allais tout de même pas lui reprocher, pas vrai? « Non… Au contraire. » Soufflais-je doucement pour le réconforter, ne serait-ce qu’un peu. Allez savoir, c’était moi le plus jeune des deux, mais je sentais qu’il avait besoin de ça présentement.
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Ouais, bon, j'avouais que pour une première fois peut-être pas dans ma vie mais là en tout cas, je succombais au stresse d'une telle nouvelle annoncée à quelqu'un et surtout de ce type parce que là, ça changeait beaucoup de chose. Je ne savais pas vraiment ce que lui ressentait mais il était étrangement serein. Il répéta mon nom et cela me fit sourire, l'entendre dire mon prénom, je sentais alors notre proximité. Ouais, je crois que monsieur n'est plus d'actualité ... dis-je presque timide tandis qu'il m'étonnait plus encore en m'annonçant que ce n'était pas une si mauvaise chose que je lui ai dis. Il était adorable, je le sentais comme moi, on se ressemblait surement plus qu'on le pensait et j'osais dire : Je suis heureux que ce soit vous ... enfin toi ... mon demi-frère, en fait, Marshall ... je laissais ma phrase en suspens parce que je me sentais ridicule encore une première.
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