Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityXANDARSHALL ღ I don't know how i can tell you the truth... - Page 2
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XANDARSHALL ღ I don't know how i can tell you the truth...

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Je le regardais toujours inquiet mais cherchant a tout cacher au fond mais c'était si simple pour moi. J'étais un habitué de la stratégie, je me cache et ne dis rien. Alors je me contentais simplement de le regarder en l'écoutant réellement avec un grand soucis de lui. Il me parla me confirmant que j'avais raison de flipper carrément vu le peu de sureté qu'il mit dans son intonation en me disant son petit : « Euh.. ouais. J’suppose. » Il était donc pire qu'incertain et je n'aimais pas ça du tout et encore une fois, je ne pensais qu'à une chose l'aider, le prendre dans les bras, chose que je n'aimais jamais oh grand jamais faire avec les gens et meme mes proches qui restaient réellement inexistant. Je sentais les émotions de mon frère totalement bouleversé donc ouais, ce grand dadet dont on parlait comme le mec qui baise a tout va dans les couloirs et qui n'a pas de sentiments ; c'était faux, c'était un mec bien je le voyais et mieux que moi, le mec qui ne comprenait clairement pas les sentiments. Je ne savais pas quou lui dire et ne voulant rien laisser paraitre, je me contentais de me lever, reposant mes pieds au sol pour m'y ancrer et je fonçais de l'autre coté de la salle pour lui tourner le dos et tout masquer. En avez vous parler à votre famille ? Avais-je dit durement et sans y mettre une hésitation bien que je grimaçais secrètement d'avoir osé demander cela.
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Qu’est-ce que j’allais faire? Comment est-ce que j’étais supposé prendre mes responsabilités en tant que père? J’aurais aimé pouvoir lui donner un chèque à tout le mois un point c’est tout, c’aurait été largement plus facile. Mais, apparemment, c’était pas l’argent le problème. Non. Eden me l’avait bien dit, elle avait besoin du père de sa fille pour qu’il s’occupe d’elle un peu, pour qu’elle puisse reprendre les études tout ça. Et moi alors? J’étais supposé faire quoi? Arrêter le boulot? Quitter mes équipes sportives? Foutre l’école en l’air? La tête me tournait et je la pris donc entre mes mains, fermant les yeux. Je ne vis pas tout de suite que monsieur Blackstone avait traversé la pièce. Mais j’entendis tout de même sa voix s’élever durement. « En avez-vous parlé à votre famille ? » J’ouvris rapidement les yeux. À ma famille..? À mon père? À ma mère? Non, certainement pas. Qu’est-ce qu’ils allaient bien pouvoir faire de moi si je revenais avec un gosse sur les bras. Ils pourraient tout aussi bien me déshériter! « Je… non.. je crois pas en avoir la force. » Et c’était la pure vérité. Balancer l’info à Samson, c’était une chose. Me confier à Helena en était une aussi. Mais tout dire à quelqu’un de plus âgé que moi. Quelqu’un de plus responsable. De ma famille qui plus est. Ça me paraissait improbable. Et pourtant……

HJ: VAZY SOLENE! XD
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Je ne voulais plus croiser son regard parce que clairement, j'étais gêné et que je rêvais profondément de lui dire que je serais là pour lui parce que je me sentais responsable de lui, moi, son frère, certes demi, mais son frère tout de meme. Je ne pouvais pourtant pas, j'avais peur qu'il veuille pas de moi : oui, je retrouvais des sentiments inconnus et c'était intéressant surement je ne sais pas, je devrais voir avec Spencer, en parler, je ne sais pas. Il avait l'air désespéré. de tout, je l'entendais rien que dans sa voix lorsqu'il reprit : « Je… non.. je crois pas en avoir la force. » Pourquoi ne pouvait-il pas lui dire ? Pourquoi ne pouvait-il pas le dire ? Je ne comprenais pas et je voulais savoir ... peut-être était-ce le moment alors de dire ce que je savais ... je ne sais plus, je l'avoue. Je le regarde du coin de l’œil en tournant lègèrement la tête : Vous ne vous entendez pas avec eux .. les pères paraissent souvent bon conseiller dans ces situations d'après certains psychiatres étranges ... Je disais ça comme ça comme pour dépister si oui ou non il aimait son père, si oui ou non, ça lui ferait mal de savoir ce que je comptais lui annoncer. Je stressais d'avance, tordant alors mes doigts entre eux.
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Encore j’aurais pu en parler à maman. Elle aurait peut-être compris. Elle m’aurait dit que tout irait bien et m’aurais consolé même. Parce que c’était ça être une mère. Mais mon père… je ne pouvais certainement pas en dire autant. Il me mettrait sa main sur la gueule et me traiterait comme du poisson pourri. Me ferais remarqué à quel point j’avais gâché ma vie et celle de cette pauvre fille en agissant comme un crétin et… oh non, rien que d’y penser, j’avais la nausée.« Vous ne vous entendez pas avec eux .. les pères paraissent souvent bon conseiller dans ces situations d'après certains psychiatres étranges ... » J’eu un rire las, ces psychiatres ne connaissait donc pas monsieur Reilly. « Ouais.. non. J’ai jamais pu me confier à mon père. C’est pas ce genre de père là… » Je secouai la tête, me passant rapidement une main sur le visage, tentant de reprendre contenance. Moi qui venais simplement pour avoir un délai pour un devoir, voilà que je racontais ma vie à mon prof. Génial!
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A l'autre bout de la pièce, je pourrais presque croire que je tremble et que ça se voit, oui, je tremble d'espoir, de peur de tout. Je ne sais pas si je dois lui dire pourtant son inquiétude semble me confirmer que je dois le faire pourtant, j'attends sagement mais impatiemment sa réponse comme espérant qu'il me confie qu'il n'aime pas son père, qu'il ne le porte pas dans son cœur. Je veux pas détruire une vie ; on m'a déjà détruit la mienne alors je ne tolérerais pas d'infliger ça a quelqu'un. Pourtant je sentais dans sa voix, une certaine haine lorsqu'il disait : « Ouais.. non. J’ai jamais pu me confier à mon père. C’est pas ce genre de père là… » Je souriais presque et j'avais honte de me sentir heureux de voir qu'il n'osait pas me dire qu'il détestait l'homme ; j'étais fin psychologue comme disait certains alors oui, je savais qu'il voulait se cacher de ça mais ça sentait, ça clochait ! Je respirais un grand coup puis fit volte-face retournant près de lui. Je me reposais sur la table, une jambe au sol et attrapais un stylo pour le taper entre ma main et le vide pour évacuer tout ça. Je le regardais et lui dit ; Je dois vous parler d'une chose Marshall ! Un air grave, je ne savais pas comment me comporter. Je le regardais dans les yeux à présent mon regard toujours dur et noir. Je pense que votre père n'ait pas votre père ... Je me sentais choqué de devoir lui dire ça et je le sentais sans réaction si bien que je voulais me rétracter si bien que je me levais précipitamment et je lui disais ; C'est idiot j'suis désolé ... Vous devriez partir, Monsieur Reilly ... Je montrais une facette de moi, inconnu ; l'homme appeuré.
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Soudainement, monsieur Blackstone fit volteface. Il revint rapidement vers moi et je le fixai, perplexe. J’avais dit un truc qui ne fallait pas? J’attendis qu’il parle puisqu’il semblait sur le point de le faire et ne pus m’empêcher d’être surpris. «Je dois vous parler d'une chose Marshall ! » Encore à me vouvoyer et à m’appeler par mon prénom. Il avait du mal ma foi! Et comment ça me parler d’une chose? Quelle chose?! Son regard croisa le mien, dur, ferme. J’avalai difficilement ma salive. Il allait me foutre dehors de sa classe? «Je pense que votre père n'ait pas votre père ... » J’eu un rire rapide et bref. Comment ça, mon père n’est pas mon père? C’est quoi ces conneries? J’avais beau l’avoir souhaité durant des années, fallait pas rêver en couleur non plus hein. «C'est idiot j'suis désolé ... Vous devriez partir, Monsieur Reilly ... » J’haussai les sourcils en me redressant sur ma chaise. « Wô! Un instant… De quoi est-ce que vous parlez? Et pour l’amour de Dieu, appelé moi simplement Marshall, sans les vous et les monsieur. Ce sera plus simple. » Allez savoir si je lui facilitais la tâche comme ça, mais je l’espérais bien. Parce qu’il n’était pas question que je parte d’ici sans savoir de quoi il parlait et d’où il tenait cette information-là!
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Oh j'avais osé débuter mais bien sur, je n'avais pas le courage de tout lui briser comme ça d'un simple coup de parole alors je décidais de fuir mais dès que j'avais tourné les talons, mon demi frère avait fait un boucan fou en se redressant je suppose et m'interpella en disant sans peur : « Wô! Un instant… De quoi est-ce que vous parlez? Et pour l’amour de Dieu, appelé moi simplement Marshall, sans les vous et les monsieur. Ce sera plus simple. » Je me retournais, la bouche grande ouverte tant j'étais choqué de la simplicité avec laquelle il me demandait ça, la facilité dont il me parlait comme si il comprenait déjà notre lien, la façon dont nous étions liés alors que pourtant non. Je portais mes mains à mon visage soupirant comme pour trouver du courage. Je crachais ensuite : Mon père est le votre ... il le dit dans son journal ... enfin tout laisse penser que c'est le cas ! Avais-je dit nonchalamment.
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C’était à n’y rien comprendre. Moi qui venait ici demander un délai pour un devoir, j’avais finalement raconté ma vie et voilà que mon prof me disait tout bonnement que mon père n’était probablement pas mon géniteur en fin de compte. Frustré qu’il veuille s’enfuir sans explication, je m’étais levé d’un coup, faisant grincer ma chaise sur le sol en linoléum. Et je me tenais là, attendant qu’il s’explique. Mais au fond, allait-il le faire? « Mon père est le vôtre ... il le dit dans son journal ... enfin tout laisse penser que c'est le cas ! » Elle est bien bonne celle-là. Alors maintenant, on est frère en plus. Je ris. Un rire sec, incertain. Est-ce qu’il disait vrai? D’où il me parlait d’un journal dont je n’avais jamais entendu parler. Je l’aurais su, maman me l’aurait dit… pas vrai? Je commençais à douter. « Quel journal… ? »
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Trop nonchalant ? Surement mais je savais pas faire autrement, le stresse me gagnait étrangement parce que surement la peur du rejet bien que je connaissais bien ça et que ça ne me faisait rien habituellement parce que je rejetais beaucoup aussi. Je le sens tellement choqué que j'ai soudain honte et que je n'ose plus lui faire face alors je me tourne toujours vers ce tableau qui orne notre salle des profs, contre ce mur qui me faisait dos depuis trop longtemps alors que je déballais ça au jeune homme, le perturbant encore plus. Je garde mes mains jointes, bien serrées parce que je suis énervé d'avoir fait ça. Sa seule parole est alors ; « Quel journal… ? » J'inspire alors bien fort et me gratte la tete en me demandant si je dois tout dire. Bien sur, je n'ai pas le choix maintenant alors je reste ainsi placé et lui dit donc ; Le journal de mon père au manoir à Vanar ... je l'ai trouvé et il explique qu'il a apprit que sa maitresse... celle qui l'aimait plus que ma sal' ... enfin ma mère était aussi enfin bref qu'elle était parti sans lui dire qu'il avait un fils ... il s'est renseigné, c'était Marshall son prénom et puis, en arrivant ici, je t'ai trouvé, tout colle ... Je me sentais confus et je rougissais presque, chose qu'on savait pourtant si impossible chez moi.
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Toute cette histoire me semblait irréelle. Et pourtant, j’avais envie d’y croire. Envie de lui laisser une chance de s’expliquer. Envie qu’il ait raison… peut-être. « Le journal de mon père au manoir à Vanar ... je l'ai trouvé et il explique qu'il a apprit que sa maitresse... celle qui l'aimait plus que ma sal' ... enfin ma mère était aussi enfin bref qu'elle était parti sans lui dire qu'il avait un fils ... il s'est renseigné, c'était Marshall son prénom et puis, en arrivant ici, je t'ai trouvé, tout colle ... » Tout colle? Rien qu’à cause d’un prénom? Attend, il peut y en avoir des tonnes de Marshall.. Pourquoi moi? Je secoue furieusement la tête avant de me la prendre à deux mains. Comment maman aurait pu faire ça à mon père? Elle voulait mourir ou quoi? Il était bien capable de la tuer s’il l’apprenait. Mais alors, elle ne l’aimait pas vraiment? J’y comprends rien merde! « Vous en êtes certain…? » Voilà tout ce que je trouve à dire, la seule question qui me vienne vraiment aux lèvres, tout le reste et en boule dans ma gorge serrée par l’émotion. Marshall Elliot Reilly, émotif… une première!
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