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(+ Xander) you're the help I need

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Avec sa fâcheuse tendance à être plus bavarde que d’ordinaire une fois stressée, Bambi démontrait par a+b son trouble et cela ne faisait que lui déplaire de seconde en seconde. Ici, dans ce bureau, non seulement elle ne contrôlait pas les battements effrénés de son cœur mais en prime, le fait que son professeur lui tourne le dos ne faisait que la troubler plus encore. Sans contact visuel, difficile d’imaginer la réaction de son interlocuteur ou même d’anticiper sa réaction à venir. Bambi se trouvait actuellement dans l’aveuglement le plus total, tant et si bien que cela la plongea à la fois dans une perplexité qu’elle n’avait jamais expérimentée auparavant, mais aussi dans un silence qu’elle détestait en tant normal. Non pas qu’elle soit beaucoup plus bavarde que la plupart de ses congénères du même âge, mais la belle blonde n’aimait pas particulièrement les lieux trop silencieux et même pour s’endormir la nuit, il lui fallait un peu de musique en fond sonore sans quoi elle ne trouvait pas le sommeil réparateur dont son corps d’insomniaque sur le retour avait tant besoin. En définitive, Bambi se contenta de hocher légèrement la tête aux propos du professeur, espérant que son silence l’inciterait à se retourner et bien qu’elle ne puisse pas jurer que ce dernier en soit le premier responsable, Xander lui accorda bientôt une nouvelle œillade des plus contrôlées et froides, comme s’il cherchait à la glacer sur place. Le cherchait-il, seulement ? « Non en effet » crut-elle bon de répondre sans le lâcher du regard et surtout sans esquisser un pas en arrière bien qu’il ait subitement placé entre eux une proximité que beaucoup auraient pu qualifier de gênante. La fierté de Bambi n’en sortirait pas intacte si elle fuyait face à la difficulté qu’il lui imposait… ce serait trop facile ! « Une certaine intimité ? » demanda-t-elle ensuite, non sans savoir à peu près où il voulait en venir à moins qu’elle n’ait clairement rien compris au film mais il valait mieux espérer que non. « Vous avez dit être curieux et bien c’est réciproque. Si vous avez quelque chose à faire ou à dire, faites-le ou dites-le ! » Il n’y avait pas de trace d’arrogance véritable dans le ton de la voix de Bambi, ou même dans ses yeux s’étant subitement mis à briller. Elle éprouvait à l’heure actuelle une profonde curiosité et ne supportait pas que l’on joue avec ses nerfs de la sorte… qu’il agisse ou qu’il n’agisse pas, il possédait hélas bien plus de cartes en mains qu’elle n’en n’aurait jamais. Mais qu’il cesse de jouer avec ses nerfs, c’est tout ce qu’elle semblait lui demander dans cette seconde précise.
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Elle était toute chose face à moi et c'était clairement excitant de voir ça meme si maintenant je lui avais tourné le dos avant de revenir sur mes pas pour la provoquer évidemment, elle insistait sur le fait que je ne pouvais pas lui donner ce qu'elle souhaitait de toute évidence et ça me faisait encore plus rire de la voir si ... si sure d'elle, cherchant à défendre tout en laissant mon esprit réfléchir à ce dont elle parlait. Je souriais réellement cette fois. Bien sur, la proximité que je lui imposais lui faisait tout drôle, c'était certain que ça restait désarmant de voir un professeur capable de ne pas avoir peur de la provocation, peur que la jeune femme ne court pas chez le doyen tout raconter : Mais je savais très bien qu'on voulait souvent faire ça mais qu'on n'osait jamais ; c'était le positif de mon choix de rester cœur de glace, je faisais peur bien trop peur et j'aimais ça. « Une certaine intimité ? » Elle aussi se posait des questions et j'aimais ça, j'aimais qu'elle veuille tout savoir mais ce que je préférais c'était toujours tout laisser en suspens comme elle avait essayé de le faire avec moi. De plus, je ne lâchais aucunement son regard car j'avais appris à fermer la porte de mes émotions si bien sur, j'en avais. Je ne lâchais rien ni meme ma position compromettante si quelqu'un entrait par inadvertance. Je ne répondais rien, la regardant perplexe, comme réfléchissant à ce que j'allais prochainement lui faire tandis qu'elle me regardait de ses grands yeux si beaux, que je ne cessais d'apprécier de plus en plus.   « Vous avez dit être curieux et bien c’est réciproque. Si vous avez quelque chose à faire ou à dire, faites-le ou dites-le ! » Si je voulais qu'elle se détache de cette idée de m'apprécier et de me vouloir, je savais à présent que c'était raté car j'avais réussi à attiser encore plus son envie de m'avoir ou du moins de me connaitre et ça c'était fou mais totalement plaisant. Je n'avais que rarement désiré, je n'avais presque jamais eu de contact avec des gens dans mon enfance si bien que je savais que j'étais trop différent et trop dangereux pour le monde car chaque jour, je l'apprivoisais mais pas des meilleurs façons parce que ouais, je le faisais de ma façon et surement la plus dangereuse d'entre elles. Je laissais un sourire carnassier s'afficher sur mon visage puis je repris : Vous répondez à une question, je répond à une question alors Mademoiselle Moneypenny ? Avais-je dit en perçant plus en profondeur son regard qui attisait de plus en plus mon désir. Malgré tout, je gardais toujours ce contrôle semblable qui attisait l'admiration de tous. Je me relevais, me tenant bien droit et revenais plus près d'elle en faisant le tour du coin du bureau sur lequel je m'étais presque allongé du haut du corps pour l'approcher  puis je m'asseyais une dernière fois à ses cotés, face à elle, sur le bureau, une jambe dans le vide l'autre touchant le sol. Qu'est-ce que je ne peux pas vous offrir Bambi ? Dis-je d'une voix sensuelle, d'une voix totalement provocante accompagnant le tout de mon éternel regard perçant et sévère. Je m'approchais de son oreille puis je lui dis : Dites-la ... Je chuchotais ses mots à son oreille, d'une voix sifflante. Mon sourire carnassier devint plus durs puis de nouveau beaucoup trop équivoque sur mes connaissances de ses sentiments, sur mon sadisme, sur mon envie de savoir ce que j'avais bien analysé depuis le jour où un collègue avait voulu se moquer en disant qu'elle était folle de moi.
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Répondre à une question par une autre… d’ordinaire, Bambi adorait s’adonner à ce jeu mais là, il semblait qu’elle n’en soit guère maîtresse. Depuis le moment où elle avait foulé le carrelage de ce bureau, Xander avait pris le contrôle et ne lâchait rien, ni un regard, ni une parole de trop. Il l’impressionnait pour cela, tout comme il devait exercer ce genre de « pouvoir » sur bien d’autres personnes mais en vérité, la belle blonde se trouvait aussi attirée par cet état de fait que cela l’effrayait. Tous les secrets qu’elle cachait au commun des mortels n’avaient de cesse de lui sauter à la gorge aussi assurément que ces mots, tranchants comme la lame d’un sabre de samouraï. Bambi avait tout à gagner dans cette conversation mais également tellement à perdre… si elle reculait, pourtant, sa fierté en serait brisée à jamais et le fait de se rendre aux cours de ce cher professeur bien aimé particulièrement complexe. Non. Hors de question qu’elle lâche cette petite joute verbale et quand bien même il se trouverait en position de vainqueur, elle n’aurait pas abandonné si aisément. Son honneur s’en trouverait sauf… « C’est votre droit » avoua-t-elle d’une voix aussi calme que possible, bien que ce soit loin d’être son fort en règle générale. Mais si la belle blonde refusait de quitter ces lieux, c’est également parce qu’elle n’avait jamais connue pareille quiétude avant aujourd’hui. Aucune colère ne coulait dans ses veines tel un feu ardent, elle n’éprouvait même pas l’envie de se ruer dans son ring de boxe habituel pour calmer ses nerfs… non, hormis cette respiration rapide dont Xander était le premier responsable. D’ailleurs, le voir s’asseoir juste en face d’elle sur son bureau, respirant l’assurance à des kilomètres comme s’il cherchait à embaumer littéralement la pièce et l’esprit de la demoiselle la troubla plus encore. Il cherchait à créer une proximité sans forcément la revendiquer comme telle, à priori… « Vous. » L’homme lui avait posé la question en murmurant à son oreille, lui offrant un délectable frisson ayant exponentiellement augmenté son rythme cardiaque et fatalement, la réponse avait outrepassé ses lèvres sans qu’elle n’ait contrôlé quoi que ce soit. « Vous pouvez m’offrir des conseils et tout ce que vous voudrez bien mais pas vous. Je suppose que vous êtes satisfait puisque ce n'est pas une question mais une affirmation. » C’était honnête. Ô combien dangereux mais honnête… hélas.
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Henry Kissinger a écrit « Le pouvoir est l’aphrodisiaque suprême. », dans le journal "The Guardian' du 28 Novembre 1976, est croyez-moi lorsque je vous dis que c'est totalement le cas pour moi. Je devenais fou de ce jeu qu'elle ne refusait guère parce qu'elle restait sous mon contrôle comme envouté par mes demandes et désirs suprêmes. Je me vendais du rêve à toujours savoir garder le contrôle alors que parfois dans ma tête en pleine crise c'était un capharnaüm de folie et non de poésie sublime. Je la sentais sur le point de craquer face à moi et ça me rendait dingue. j'en avais limite déjà l'objet du désir de chez cher dame au garde à vous parce je sentais qu'elle était au point de non retour, celui où elle allait me dire une chose qui allait me plaire et surtout qu'elle serait à ma merci. Engrangement, me direz vous, ça ne me fait rien de ressentir des choses si étranges, pervers, moi ? Non, je dirais simplement sadique. Chacun son tour tant qu'on connait ses limites ! Ce qui me fait le plus sourire intérieurement, c'est sa facilité de me répondre en essayant de jouer les fortes en me disant que j'ai mes droits. Je reste près d'elle, toujours, je ne bouge pas et rit fièrement à ses mots. Je ne pouvais m’empêcher de la regarder, de tenter d'analyser chacun de ces gestes, ces mains tortillaient, son regard trouble et brillant, tout ces signaux troublants et là, elle me lâcha un petit signe, un simple mot, un pronom, me désignant. Je restais de marbre, pas une once de joie, de victoire, de sourire. Oui, moi ... Dis-je très froidement en fixant ses pupilles tels un fuseau voulant crever son regard. J'écoutais sa respiration s'accélérait à cause du stresse alors ça lui faisant tant de choses de devoir répondre à ma question. Je savourais me mordant les lèvres de plaisir. « Vous pouvez m’offrir des conseils et tout ce que vous voudrez bien mais pas vous. Je suppose que vous êtes satisfait puisque ce n'est pas une question mais une affirmation. » Mais c'est que la jeune femme avait peur, je le sentais à ses petits tremblements que seul un observateur pouvait remarquer. Je le sentais à beaucoup de chose et sa phrase ne me choqua point ce qui dut la déstabiliser d'ailleurs parce qu'elle s'attendait surement à ce que je la vire du bureau, que je l'engueule direct mais non, je restais calme et me rapprochant d'elle, de son visage, à quelques mètres de ses lèvres, je lui dis : N'auriez vous pas oublier votre question ma chère ? Un murmure, je lui passe le souffle que provoque mes paroles comme donnant la fumée d'un pète que je viendrais de fumer bien que pour le coup ce ne soit pas le cas. Je la regarde de haut en me reculant pour m'assoir bien sur le bureau et m'appuyer en arrière en mode pause photo sur les deux mains. Je la regarde avec nonchalance ; D'ailleurs, si je peux me permettre .. vous ne savez pas ce que je peux donner ou non ... Dis-je d'une voix éternellement provocatrice.
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Un jeu. Cela semblait être un jeu pour lui, mais un jeu de pouvoir. Peut-être n’était-il pas ainsi avec toutes ses étudiantes, sans quoi il ne serait rien d’autre qu’un vague séducteur des bacs à sable et Bambi doutait fortement que ce soit le cas. Il se dégageait de lui une telle prestance, une telle assurance mesurée au millimètre que son talent n’était plus à prouver. Cela aussi ne pouvait être considéré que par un observateur et la belle blonde ne faisait que cela, l’observer. Se nourrir du moindre de ses gestes, analyser ses réponses verbales mais aussi gestuelles, comme si ces dernières pouvaient lui en apprendre davantage sur ce personnage si attirant et effrayant en même temps… chose désagréable, Bambi se retrouvait dans la peau d’un agneau venant de naître, à la fourrure d’un blanc pur et Xander, de son côté, semblait si sombre et recroquevillé dans un carcan de pouvoir qu’il en devenait inaccessible. Oui, inaccessible, le mot n’était pas trop fort. Tantôt il approchait, tantôt il s’éloignait, jouant de la girouette face à l’esprit de l’étudiante en archéologie déjà bien assez troublé en temps normal… « Ma question… » murmura-t-elle, plus marquée qu’elle ne l’avait pensé de prime abord. Il fallut quelques instants à Bambi pour se reprendre en la matière, d’ailleurs. « Pourquoi ne m’avez-vous pas éjectée de votre bureau ? » Cette question tombait sous le sens, la réponse, nettement moins. Une fois encore, le professeur tirait toutes les ficelles, tant et si bien que quoi qu’elle dise ou fasse, Bambi aurait toujours un pas, trois pas, sept pas de retard. Et pourtant… l’étudiante semblait en redemander plutôt que d’en être lassée. « Vous avez raison, je n’en n’ai aucune idée » répliqua-t-elle puisque manifestement, il semblait sous entendre habilement qu’il se trouvait en position pour lui donner quelque chose. Sûrement faisait-elle fausse route… comment le savoir ? « Si vous étiez en passe de donner quelque chose alors… que donneriez-vous ? » Bambi ne l’appelait plus professeur, mais ne l’appelait pas davantage pas son prénom. De même, elle conservait un respect parfait en usant du vouvoiement… dernier rempart de fierté qu’elle pouvait bien posséder, sans nul doute.
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Le pouvoir oui, mais l'anarchie, la dictature, hors de question : j'avais donné des règles, elles seraient respectés ... je me devais donc de répondre à mon tour à ses questions, à sa question et je ne doutais pas qu'elle serait coriace ce qui ne me faisait aucunement peur. Alors je la regardais comme pour tenter de lui faire dire avant meme qu'elle ne le sorte oralement sa putain de question. Alors alors que voulez vous me dire chere amie ? Je fronçais les sourcils comme pour trouver le truc mais rien, évidemment. Après tout, peu importe. Elle répéta une fois encore mon mot comme pour etre certaines qu'elle pouvait bien dire sa question puis osa enfin courageusement me demander ; « Pourquoi ne m’avez-vous pas éjectée de votre bureau ? » Ce qui m'impressionnait chez la demoiselle c'était qu'elle était aussi sadique en fin de compte car je n'étais pas tendre pourtant elle restait là et ne fuyait pas du tout, étrange ! Je me grattais le menton et y laissais ma main, pensif. Je savais très bien ma réponse mais la laisser languir ... huum... c'était excitant à un point infini. Je fis une mine fière puis j'osais répondre sans grande honte : Parce que vous voir aussi déstabilisé est un pure plaisir mon enfant, croyez-le ! Je ne tombais pas, je ne flanchais pas, je ne faisais pas le gêné, non rien, je restais comme ça, je restais moi. Bien sur, j'avais continué en donnant ma réponse, en la provoquant mais bien sur, elle prenait la perche à chaque fois répondant à mes provocations rapidement ; « Vous avez raison, je n’en n’ai aucune idée » et elle poursuivait par une autre question bien trop tentante mais vicieux, je ne pus m'empercher de dire ; HOP HOP HOP ... on n'a des règles ma chère et là vous la transgresser ... Une question pas deux ! Je rigolais diaboliquement et réfléchissais à ma question suivante. En fait, je me fichais de tout clairement alors je posais ma question tout en attrapant sa main, me levant et l'attirant vers moi pour tourner contre le bureau sensuellement ; Pourquoi me voulez-vous ? Je respirais fortement dans son cou, portant une de mes mains à l'arrière de sa nuque et dévorer la peau de son cou de petits baisers tout en posant l'autre main sur son intimité à travers son vêtement. Je reprend alors la parole, sensuellement, tout en la retournant pour qu'elle soit dos à moi mais ma main se retrouve de nouveau à l'endroit interdit : Est-ce ça les choses que je ne peux pas vous donner ou parliez vous de ... sentiments ? Je la fixe, ne brisant aucunement le contact de ma main dans son cou et reprend dans un dernier souffle ; Oui, j'ai déjà répondu à votre question donc j'en avais le droit à deux ... Je lui laisse simplement le temps de répondre à mon affirmation, à mes questions puis par instants, ma main s'active sur son intimité, juste doucement mais assez sensuellement, pour la provoquer. Je la dévore du regard mais sans sentiment parce que ouais, je n'en ai pas et ça, je m'en fou clairement. J'aime choqué et je ne peux pas le nier encore moins dans cette position.
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Bambi n’avait pas eu conscience de l’instauration de règles mais là, difficile d’en douter davantage alors que Xander l’avouait très clairement. Une question à la fois, donc… et il aimait la déstabiliser au-delà des mots de ce qu’elle en retenait. Dieu sait combien elle haïssait perdre le peu de contrôle qu’elle pouvait bien avoir pourtant en temps normal, mais là, impossible que de faire machine arrière à moins de vouloir connaître une frustration des plus vives et sévères. La belle blonde n’était pas si masochiste… du moins ne le pensait-elle pas, aussi n’esquissa-t-elle aucun mouvement pour se dégager de son emprise, même si Bambi savait parfaitement qu’avec ses connaissances en boxe, elle aurait probablement pu faire quelque chose. A ce moment précis, la jeune femme laissait les évènements s’emparer d’elle aussi sournoisement que Xander ne titillait sa féminité avec l’habileté d’un chasseur : combien de fois avait-il fait cela à une femme, au juste, pour asseoir son pouvoir ? Non, définitivement, elle ne voulait surtout pas poser ce genre de question de peur de la réponse pouvant suivre. « Je ne sais pas pourquoi je vous veux, vous me l’inspirez » expliqua-t-elle en toute sincérité car autant lui demander de trouver une raison au lever du soleil, ou au fait que l’eau mouille… c’est comme ça, point final. Bambi ne contrôlait pas plus la chose qu’elle ne contrôlait son esprit ou ses gestes à ce moment précis mais ce qu’elle savait, c’est qu’elle n’était pas la maîtresse du jeu, loin s’en faut. « Qui a dit que j’étais si sentimentale ? » D’accord, une autre question mais celle-ci définissait clairement la réponse attendue par Xander. La belle blonde avait toujours eu un goût du risque très prononcé et bien qu’elle n’ait pas bougé d’une semelle face à cette nouvelle proximité, cela ne voulait pas dire que sa langue ne fourcherait pas à nouveau contre la fragilité des règles de ce jeu. « Je suppose que je dois comprendre que vous aimez choquer également… déstabilisée je le suis mais pas choquée. Surprise plutôt que vous ne m’avez pas renvoyée… »
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Mon corps est sérré contre le sien, je respire dans son cou, je laisse ma main vagabondait près de la région sud de son corps. Entre ses jambes, je sens la chaleur, la chaleur d'un désir infini pour moi et je souris, un sourire qui se veut presque trop pervers pour que ce soit normal. Je sens mon sexe irrigué collé contre ses fesses et le fait qu'elle ne se débat pas, qu'elle ne tente pas de filer alors je me laisse emporter, je laisse ma violence se stopper. Je lâche la demoiselle alors qu'elle parle plusieurs fois meme en glissant ma main sur son bras, comme un voile tombant de ses épaules pour la faire frisonner. Ses paroles m'ont touchées, trop surement et m'ont fait un effet inconnu : je ne suis pas insensible, je l'ai toujours su bien au fond de moi mais ça ne compte pas. Je reste pourtant de marbre mais au fond, je trouverais presque ça mignon bien que trop mielleux. Je ne répond rien. Je l'écoute continuer en prouvant par des signaux différents qu'elle est stressée, troublée de la scène qui a pu se dérouler d'un coup sans qu'elle s'y attende ; je me sais pourtant si souvent surprenant. Et la dénommée Bambi semble vouloir prendre les rennes, me posant alors une nouvelle question : « Qui a dit que j’étais si sentimentale ? » Je laisse un sourire narquois s'afficher sur mon visage durcit par des traits figés puis je marche dans la salle en me frottant le menton avant de faire volte-face, la fusiller du regard ; Je l'ai dit .... je crois que cela suffit à le confirmer ! Votre façon de parler, votre voix, vos agissements tout montre votre sentimentalisme mademoiselle mais sachez que cela n'est en aucun cas une chose qui me rebute ! Je reprend ma marche tapant doucement l'une de mes mains sur la paume de mes doigts qui bougent individuellement dessus comme jouant du piano. Je la sens à la fois apeuré, stressée mais sur le point de se relever le moral. Elle me regarde avec une telle ... comment puis-je dire ... facilité, une telle décision comme si elle n'avait plus peur peu à peu et je la vois me fixer, je la sens me fixer. Je la vois alors se rassoir encore un peu abasourdi suite à la scène, j'attends que ça, j'attends qu'elle s'assoit puis je reviens dans l'endroit de la salle où elle se trouve tandis qu'elle parle : « Je suppose que je dois comprendre que vous aimez choquer également… déstabilisée je le suis mais pas choquée. Surprise plutôt que vous ne m’ayez pas renvoyée… » Je souris, gardant un regard qui ne trahit pas un coté cruel que je veux garder et défendre bien qu'on sache que je ne le suis guère puis je tourne autour du fauteuil où elle est assise, sournoisement comme un fauve ferait pour cerner sa proie peu à peu, progressivement. Je reste ensuite derrière et me baisse pour me retrouver près de son oreille, presque posé sur son épaule, en murmurant : J'aime le fait que vous ne soyez pas ... choquée...Mademoiselle ! Je dirais meme plus ... ça me plait énormément... Je souris franchement cette fois et ose lui montrer ce sourire avant de retourner me placer face à elle, derrière le bureau, assis sur ma chaise de bureau très détendu. Que disions nous ? Une autre question n'est pas ?... Allez vous faire la petite ingrate et aller faire la victime dans le bureau du doyen ? N'hésitez pas ... je n'ai que faire des sanctions ! Dis-je cyniquement en me servant un verre de whisky toujours assis. C'était étrange comme j'avais su me stopper net avec elle et ne pas la baiser sur le champs comme ça sur le bureau. Étrangement, je ne la prenais pas comme toutes ces femmes, c'était un peu comme avec mes amies, ou bien la belle madame Strudwick, j'avais un certain respect. Je ne résistais pas à sa beauté, je résistais au désir pour ne pas blesser car là, j'avais vu une limite contrairement à Phoebe que je savais pas du tout éprise de moi.
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Bambi tâchait de se battre contre son sentimentalisme justement mais la chose n’était pas aussi aisée que l’on pouvait le penser. Contrairement à bien d’autres étudiants de sa génération, la belle blonde avait vécu une histoire l’ayant considérablement humanisée et même encore maintenant, les séquelles se faisaient sentir. Il n’y avait qu’à voir la façon avec laquelle elle agissait face à Xander pour s’en rendre compte. Si son cœur s’était révélé aussi dur et froid qu’une pierre, sûrement ne serait-elle même pas restée au cœur de ce bureau, elle serait partie avec pertes et fracas sans attendre de pouvoir demander son reste. « Cela vous plaît ? » Bambi tournait à la fois sa question autour de sa sentimentalité potentielle mais aussi sur le fait qu’elle ne soit pas choquée. Les règles du jeu semblaient avoir très légèrement évolué étant donné qu’il s’était séparé d’elle sans autre forme de procès, retournant bientôt à son bureau pour mieux reprendre la parole. Certes, il aurait pu la prendre et la jeter comme une femme sans envergure, qui se donne au premier venu mais… il ne l’avait pas fait et une fois encore, il la troublait à cause de son comportement disons étrange. Cela ne lui déplaisait pas. La belle blonde avait presque l’impression d’avoir un tantinet plus d’importance qu’une étudiante lambda qui lui aurait plu à lui pour un plaisir passager. Pourtant, Bambi ne bougea pas, n’initia aucun rapprochement physique, demeurant assise et droite sans pour autant le lâcher du regard. Si elle avait éprouvé quelques hésitations à la chose au départ, ce n’était plus le cas désormais… le regarder n’était plus seulement instructif, mais également attirant. « La victime dans le bureau du Doyen… est-ce vraiment ce que vous pensez de moi ? Pourtant je n’ai pas envie que vous soyez sanctionné » fit-elle d’un air presque déçu car s’il y avait bien quelqu’un qui n’irait pas se plaindre au Doyen comme une sale gamine manipulatrice, c’était bien elle ! « C’était ma question, pour ainsi dire… je ne connais même pas le nom du Doyen et je m’en moque. Je n’ai aucun intérêt à vous nuire bien au contraire. Ce n’est pas être ingrat ou chercher quelque chose… même si vous ne voulez rien de moi, disons que ça restera notre petit secret. »
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Sa tenacité me trouble. D'autres jeunes femmes seraient partis, ne seraient jamais restées pourtant elle était bien là en face de moi et cherchait, je crois, toujours à me comprendre, àme plaire presque puisque déjà elle me demandait mon avis sur elle, sur son caractère que je décelais. Je ne savais pas quoi lui dire pourtant je restais dur et je me disais encore une fois que je m'en foutais bien, que je devais rester moi si bien que je la regardais durement en répondant ; Surement Mademoiselle, surement ... Dire que ça me plaisait, c'était pas moi et je ne le dirais jamais juste pour le principe je crois. Je ne disais jamais je t'aime, je ne disais jamais de mots trop gentils alors dire que quelques choses me plait en sachant très bien que ça aura un effet positif, hors de question. J'aime voir l'effet que l’indifférence, la distance crée sur le mental d'une personne meme si j'ai mal ensuite sans vouloir vraiment me l'avouer. Elle s'étonne, je le sens à son regard sur moi, sur mes bras et le haut de mon corps comme si elle imaginait une autre technique pour me rapprocher et la provoquer mais je ne bouge pas de derrière le bureau où je suis assis simplement, bien au fond. Je l'écoute alors disserter sur mes dires et sur son potentiel statut de victime. Elle semble choquée encore une fois mais cette fois, de mes paroles, de mes croyances et elle aussi m'étonne beaucoup. Comment peut-elle vouloir ne rien propager ? Elle pourrait tant de chose contre moi si elle en parlait de cette scène et je me réjouis néanmoins d'entendre ça bien que j'ai toujours tenu à mon travail tout en aimant le risquer comme j'aime risquer aux différents méandres de la vie. Je n'aime étrangement pas voir cet air déçu dans ses yeux, et l'entendre dans sa voix si bien qu'une petite grimace s'affiche sur mon visage mais très vite, je reviens à l'impassibilité tandis qu'elle poursuit : « C’était ma question, pour ainsi dire… je ne connais même pas le nom du Doyen et je m’en moque. Je n’ai aucun intérêt à vous nuire bien au contraire. Ce n’est pas être ingrat ou chercher quelque chose… même si vous ne voulez rien de moi, disons que ça restera notre petit secret. » Ah c'était une véritable question sont c'est ce que vous pensez de moi !? je fais mine de réflexion et me rentre bien dans la tête sa réaction et cette grande maturité et prise de responsabilité qui m'impressionne alors chez elle. Je pose mon avant-bras sur le bureau et gratte le bois du bureau avec hargne comme pour une petite détente, une évacuation du stresse alors je me retiens et me stoppe. Je plisse mes yeux me donnant un air plus dur encore et je répond alors simplement sans plus de discours : Je ne pense rien de vous ... Je ne peux pas penser puisque je ne connais que des bases de votre caractère que j'analyse et je ne veux pas me fier à cela Mademoiselle, sachez-le ... je peux me voir reprocher beaucoup de choses mais pas celle de me fier à mes simples pensées, mes simples analyses mais je ne dis pas non plus que vous connaitre ne m'intéresse pas ... Dis-je en souriant presque un tout petit peu.
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