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Le cœur battant, les mains tremblantes, Bambi fixait intensément la porte en face d’elle sans savoir quoi faire. Si elle se payait le culot d’entrer, il lui faudrait dévoiler un pan de sa vie particulièrement… complexe. Mais dans le cas contraire, si elle partait comme elle était venue, l’altercation qu’elle venait de vivre avec son père la ferait très certainement ruminer des heures durant, à lui en provoquer des insomnies insupportables. Que faire ? Xander se trouvait de l’autre côté, elle le savait, et pour cause elle l’avait vu rentrer à l’intérieur il n’y avait pas vingt minutes. Bambi était tentée. Incroyablement tentée. Tellement tentée qu’elle finit par ne pas écouter sa raison et frapper tout de même à la porte, avec assurance et détermination. Bientôt, une voix masculine se fit entendre et c’est en se mordant violemment la lèvre inférieure que Bambi pénétra dans le bureau du professeur, échevelée, les yeux rougis par les larmes qu’elle avait laissé silencieusement couler de longues minutes durant. Mais sa fierté refusait même de mentionner ces dernières… elle ferait comme si elle n’avait pas craqué et qu’elle demeurait un géant de pierre aussi insensible qu’un volcan éteint. « Je suis désolée de vous déranger mais vous êtes fin psychologue… les autres ne comprendraient pas, ils se méprendraient même » fit-elle de façon énigmatique sans savoir par quel bout prendre son problème.
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Je me trouvais tranquillement dans mon bureau ; Travailler, c'est la santé. Je ne savais pas vraiment si j'allais tenir le coup car la fatigue allait me tuer si cela continuait. J'étais dans une période de fatigue intense que je ne laissais jamais paraitre ou que simplement, je ne ressentais pas assez. Ouais, je refusais. Griffonnant quelques notes sur mon livre, je restais concentré pour ne pas manquer de tomber la tête la première. Ces maladies psychologiques que pouvaient avoir les gens me fascinaient toujours, non que je trouvais cela bien de les avoir mais elles étaient si intéressantes à étudier. Des maladies bien intéressantes quand on aime étudier la psychologie mais terrible pour celui qui l'a malheureusement. Alors que je travaillais, j'entendais frapper. Je stoppais net ce que je faisais, fermant doucement le bouquin en gardant la page d'un simple post-it puis j'enlevais mes lunettes affichant un sourire très fin, presque invisible si on ne me regardait pas réellement quand je découvrais Bambi; une jeune élève que je connaissais non pas comme étant mon élève mais simplement pour son intérêt pour la psychologie, enfin parfois avec Calvin par exemple ou mes proches, il semblait dire que c'était pas la psycho mais moi qui intéressait la jolie demoiselle. « Je suis désolée de vous déranger mais vous êtes fin psychologue… les autres ne comprendraient pas, ils se méprendraient même » Elle semblait désemparée. Réellement. Je la regardais inquiet, fronçant lègèrement les sourcils mais ne montrant pas mon sentiment profond, restant de marbre comme incapable de ressentir quoi que ce soit. je me levais et passer devant le bureau m'asseyant sur la table en bois massif et donc à moitié debout face à la jeune femme que j'invitais à s'assoir sur la chaise à coté du regard. Inconsciemment, je crois que j'aimais provoquer : Dites Bambi, dites .. je suis toute ouïe ! J'en savais rien de son histoire mais je me demandais pourquoi elle avait choisi de me demander parce que je voulais pas croire à ce qu'on me disait et je savais que d'autres étaient de fins spychologues surement là depuis plus longtemps et il y avait aussi une spychologue; Spencer. Je restais intrigué et je lui dis : D'ailleurs, peut-etre serait-il plus juste de voir Mademoiselle Strudwick pour votre soucis !? elle est surement plus à meme de vous répondre ... Je tentais un fin sourire pourtant très peu réussi qui ne s'imprimait guère sur mon visage.
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Quand Bambi disait que certains pourraient se méprendre, elle pensait ses mots. Son existence actuelle possédait trop de complexités et d’inconnus à l’équation pour qu’elle s’amuse à aller se confier à Pierre, Paul ou Jacques… ce professeur lui semblait suffisamment fin d’esprit pour ne pas aller conter les rares informations qu’elle pourrait lui livrer sur un plateau au premier venu. « Les femmes sont des commères » coupa-t-elle avec un brin de froideur, non sans accepter l’invitation tacite qu’il venait de formuler en lui pointant la chaise du regard. Bambi s’avança donc, la respiration presque trop rapide mais hélas, elle ne pouvait pas exercer le plus petit contrôle sur cette dernière. « Je pense que vous connaissez mon père de réputation. Il a rapporté tellement de trophées de ses fouilles que tous le considèrent en héros » poursuivit-elle non sans soupirer à de très nombreuses reprises, le regard dans le vague, ce dernier rempli de colère et bien loin d’être impassible. « Que feriez-vous si on vous avait obligé à effectuer certaines études alors que vous n’en n’avez cure ? Et qu’à chaque fois que vous tentez de mettre le sujet sur le tapis et bien… » La réaction de son géniteur était toujours aussi violente, quand les gifles ne volaient pas extrêmement bas. Bambi avait déjà de la chance : ce n’étaient pas les casseroles qui volaient bas ! Mais la piquante blonde en était si troublée qu’elle ne parvenait même pas à regarder le professeur dans les yeux, elle qui brillait tant d’assurance en temps normal…
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« Les femmes sont des commères » Il est vrai que je ne pouvais point contredire la demoiselle sur ce point. Il était peu rare qu'une femme n'ait pas l'envie extrême dans la partie droite de son cerveau d'aller dire ce qu'on lui a dit malgré que l'autre partie tenterait de lui dire de ne point le faire : ah ces femmes, tellement compliqué ! Je poussais un long soupire puis me grattais le menton, montrant de mon regard, intensément dur comme toujours, que je l'écoutais. Elle s'avançait vers moi avec une lueur étrange, presque insaisissable dans les yeux qui auraient surement troublé beaucoup de gens mais a part me faire lever un sourcil, cela ne me fit guère quelque chose : je me croyais décidément insensible à tout sentiment normalement prévu pour mon cœur. Je n'étais pourtant pas un robot, enfin je crois. Elle me parla d'abord de son père et dès la description, j’acquiesçais puisque effectivement, je voyais tout à fait de quel homme, elle me parlait. Rustre personnage me faisant lègèrement penser à ma mère, quel malheur pour la belle ! Pourquoi ne pouvait-elle pas me regarder ? Je ne comprenais pas vraiment ; étais-je si troublant ? J'étais tellement habitué que toutes les petites frappes me défient que lorsqu'une élève ne le faisait pas ça me faisait étrange. « Que feriez-vous si on vous avait obligé à effectuer certaines études alors que vous n’en n’avez cure ? Et qu’à chaque fois que vous tentez de mettre le sujet sur le tapis et bien… » J'eus un rire automatique, nerveux et sévère toujours loin du rire jovial. Je me levais de la table et retournais derrière le bureau m'assoir face à elle, à présent, posée sur la chaise d'en face et je m'appuyais dans le fond passant ma main dans mes cheveux en soupirant : Votre père que je connais comme vous le dites me demanderait surement de vous répondre que vos études sont les meilleurs, que vous devez poursuivre cependant ... Je soupirais et sévèrement, je captais son regard comme cherchant à la provoquer et à tout comprendre en lisant en elle ; Je ne suis pas pour alors je dirais simplement que vous devez faire ce que vous pensez bon pour vous ... Je tapotais sur la table de mes doigts long et fin non loin de la main posée de la jeune fille mais je gardais mes distances, captant toujours son regard, le scrutant presque trop.
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Il fallut un long moment à Bambi pour qu’elle cesse de fuir le regard du professeur et se mette à le regarder sans détour d’aucune sorte. Il l’impressionnait certes mais au-delà de ça, elle avait l’impression qu’il était capable de sonder ses plus vils secrets d’une seule œillade, et cela la mettait follement mal à l’aise les trois quart du temps. Ceci étant, ce qui la fit changer son fusil d’épaule, ce furent ses paroles : il dépeignait très habilement le père de la demoiselle, qu’il devait côtoyer de temps à autre en tant que professeur de Harvard et connaissant Moneypenny père, il devait très certainement savoir que même pour sa propre fille, ce dernier n’avait aucune pitié, aucune tolérance d’aucune sorte. « Vous dépeignez très exactement la réaction qu’il attendrait de vous » reprit-elle non sans hausser les épaules, persuadée que son problème était décidément insoluble. Après tout, son opinion ne pesait pas lourd dans la balance, et avait-elle pesé un jour d’ailleurs ? Mais les paroles suivantes de Xander eurent pour effet de lui arracher un haussement de sourcils plutôt vif, tranchant largement son expression jusque là rester impassible si l’on mettait de côté le brillant de ses beaux yeux émeraudes. « J’aimerais pouvoir vous dire que c’est aussi simple. Si j’arrête maintenant, c’est lui que je perds. Mais si je n’arrête pas, je deviendrai aigrie et plus en colère encore que je ne le suis déjà. » Bambi passa sous silence le fait que son père soit désormais sa seule et unique famille, mais que d’un autre côté, actuellement, elle soit contrainte de faire de la boxe tous les soirs pour canaliser cette colère bouillonnant en elle, de peur de faire du mal à quelqu’un un jour où elle ne se contrôlerait pas. « C’est insoluble. »
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Je scrutais ma jolie élève qui semblait se faire de plus en plus belle à chaque nouvelle parole parce qu'elle bougeait ses cheveux puis ses mains sur son visage me laissant découvrir différentes expressions adorables pourtant je ne ressentais rien de plus spéciale. Elle semblait me regarder avec admiration lorsque j'étudiais son cas sans avoir plus d'information sur le fond mais elle acquiesça tout de meme en me donnant raison lorsque j'expliquais ce que je savais du bon vouloir de son père avant de m'adresser un sourire comme fière que j'ai bien analysé la situation. Elle avait comme un instant pensé que je laisserais ces paroles etre les dernières si bien que la suite l'étonna vivement mais c'était ainsi que ainsi que je jugeais les choses ; c'était à la jeune femme de voir. Je vis bien que cela la choque que je lui laisse la liberté dans mon choix de conseil et je l'entendais déjà montrer son étonnement pourtant elle n'en fit rien et me dit ; « J’aimerais pouvoir vous dire que c’est aussi simple. Si j’arrête maintenant, c’est lui que je perds. Mais si je n’arrête pas, je deviendrai aigrie et plus en colère encore que je ne le suis déjà. » Je grimaçais parce que je ne savais pas quoi lui dire et que je savais quelle serait ma réponse mais surement pas la sienne, je n'avais pas à l'influencer, ça aussi je l'avais appris en devenant prof mais en fin psychologue, je savais qu'elle devait faire ses envies et c'était clairement de faire ce qu'elle aimait et non ce qui plaisait à son père car elle risquait tout au plus la dépression. Que dire ? je ne savais pas et me montrais très pensif. « C’est insoluble. » Je soupirais en regardant impassible la jeune femme qui me faisait face et jouait avec un elastique qui se trouvait sur mon bureau montrant mon intense reflexion puis je le lachais et m'accoudais sur la table pour m'appricher plus d'elle comme pour lui confier un secret, laissant mon parfum venir vers elle par la meme occasion ; je crois que je ne suis pas le mieux placer pour vous répondre ... ou du moins, que vous devez choisir seule, mademoiselle ... Je me reculais en un instant et me remettais au fond de la chaise. Je ne comprend vraiment pas pourquoi vous etes venu me voir dis-je un sourire pervers en coin comprenant à son expression peu à peu que mes collègues avaient surement raison vis à vis des envies qui prenaient la jeune femme vis à vis de moi. J'eus un rire nerveux et je repris : Néanmoins, j'en reste très ... touché ! Avais-je dit d'une voix très sensuel, définitivement joueur sachant pourtant de l’incorrection que cela représentait. Je frolais alors sa main du bout de mes doigts faisant mine que ce passage était obligatoire pour que ma main revienne vers moi.
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Choisir seule… si seulement c’était si facile ! Bambi ne lâchait désormais plus le professeur des yeux, buvant littéralement ses paroles comme si ces dernières pouvaient contenir le plus petit commencement de réponse et pourtant, même en entrant en ces lieux, la belle blonde savait qu’il ne pourrait sûrement rien pour elle. Cela aurait été trop simple. Si la réponse était détenue par un tiers, alors pourquoi se creuser la nénette ? Il n’y avait qu’à interroger à tire larigot et point final. Mais d’un autre côté, Bambi se sentait un tantinet plus sereine d’avoir confié le fond du problème à un tiers justement. Il ne la jugerait sûrement pas comme son père le faisait, à savoir avec dureté et mépris… non, il semblait plutôt mu par un tout autre type de réaction et la Mather s’en trouvait perdue : cherchait-il à jouer avec sa potentielle attirance pour lui ou bien avait-elle la berlue ? Non, elle devait clairement prendre ses désirs pour des réalités car si belle soit-elle, Bambi restait l’une de ses étudiantes et la chose resterait impossible. Pourtant… le jeu était si tentant, même pour la demoiselle. « A vrai dire je crois que je ne sais pas moi-même pourquoi je suis venue » rétorqua-t-elle aussitôt sans l’ombre d’une violence, d’un ton plutôt résigné. Dieu sait combien le mot « abandon » ne faisait pourtant pas partie de son vocabulaire d’ordinaire mais là, face à cette situation insoluble, difficile de faire autrement. « Peut-être parce que j’ai confiance en vous… je n’arrive pas souvent à faire confiance mais avec vous, je n’ai pas de mal. » Le simple fait que Xander ait frôlé sa main, même si la belle blonde considéra qu’il ne s’agissait sûrement que d’un incident, lui fit entrouvrir les lèvres sans qu’aucun son ne transperce l’atmosphère. Ce geste était pourtant ridiculement simple et sans importance mais elle en était troublée. Sa solitude la poussait-elle à perdre à ce point la tête ? « Vous êtes touché de la confiance que je vous porte ou… » Exprès, elle laissa la fin de sa phrase en suspend. Au pire, elle allait passer pour une parano, ce qui ne changerait guère de d’habitude, et dans le meilleur des cas, un potentiel jeu lui éviterait très certainement de déprimer comme une folle.
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Elle semblait vouloir me percer à vif mais je savais qu'elle ne pouvait car je n'étais pas de ceux qu'on peut avoir si facilement, il faut beaucoup trop creuser pour qu'une simple jeune fille puisse tout comprendre à mon fonctionnement, à ce fait irréel que j'ai le cœur gelé. Je ne souris pas, toujours impassible comme figé dans mes expressions si neutre. je ne montre rien jamais et meme lorsqu'elle me répond qu'elle ne sait pas pourquoi elle est venue ce qui aurait eu pour but de me vexer, je ne bouge pas d'un cil et seul un ricanement très bas retentit. Elle me fixe, je le sens et je souris intérieurement bien  que meme cela reste difficile car je semble ne rien ressentir du tout ; choquant ! « Peut-être parce que j’ai confiance en vous… je n’arrive pas souvent à faire confiance mais avec vous, je n’ai pas de mal. » Je plisse les paupières, fronce les sourcils faisant celui qui ne pige rien et je tapote de mon stylo le bureau en  bois massif, si élégant. Je ne démord pas et revient piquer au vif son regard comme pour la troubler plus encore et ne répond rien. Je ne fais qu’acquiescer comme en pleine réflexion tandis qu'elle semble perdre ses moyens. « Vous êtes touché de la confiance que je vous porte ou… » La demoiselle s'attendait elle à ce que je lui fasse un compliment magnifique, une déclaration formidable ? Mais ne savait-elle pas que je ne dirais que chose supposée et rien qui ne puisse etre interprété, que suppositions et devinettes en tout genre. Je restais toujours le regard viré sur elle quand je me décidais à répondre en soupirant : ou je suis simplement curieux ... Dis-je froidement avant de ricaner bêtement. Je me levais de mon siège laissant mes doigts glisser sur le bureau au fil de mon déplacement tout en la dévorant du regard pour la complimenter tout en laissant cette lueur de simple froideur et provocation méchante dans mes yeux perçants. Je m'asseyais à nouveau sur le bureau, juste à ses cotés si bien qu'elle aurait facilement la possibilité de me toucher mais elle n'en ferait rien sans que je la repousse. Je me décidais à me poser en fin conseiller, posant alors ma main sur sa joue, je pris son menton en main et m'approchant dangereusement comme pour la faire espérer, je lui disais : Vous pouvez m'accorder votre confiance, me dire ce que vous souhaitez ... mais ne tentez pas de me pieger avec vos phrases sans fins mon enfant ... Avais-je dit froidement en claquant des dents juste avant de me reculer et de regarder ailleurs, refroidissant alors la jeune femme. Car ça ne marchera pas ainsi entre nous ! Avais-je dit en appuyant sur la fin comme pour donner espoir d'un nous prochain.

HRP; alors pour une fois, je viens de m'auto-tuer en me disant que ouais, ma réponse déchire :p O;
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La façon de répondre du professeur de psychologie n’était guère pour rassurer Bambi à vrai dire. Il maîtrisait l’atmosphère, se trouvant sur son terrain pour ainsi dire et tandis qu’elle peinait à entrevoir les règles du « jeu », lui semblait les écrire à chaque seconde en jonglant habilement avec chacune d’entre elles. Dans quelques instants, la monténégrine serait probablement noyée dans une joute verbale pour laquelle elle n’avait aucune maîtrise et qui ne faisait que se retourner contre elle. Comment faisait-il pour faire preuve d’autant de contrôle ? Qu’est-ce qu’elle pouvait l’envier ! Et en même temps, il ne se dégageait que plus de charisme méritant son respect de cet état de fait. De quoi devenir fou d’un coup d’un seul… « Loin de moi l’idée de vous piéger » fit-elle en déglutissant avec difficulté, comme s’il venait de s’emparer de la plus petite once d’air de ses poumons en frôlant sa joue puis son menton, qu’il redressa subitement sans crier gare. Bambi ne le quittait pas des yeux mais elle n’était pas rassurée pour autant : dans quel merdier s’était-elle encore fourrée ? Dieu seul le savait. Sûrement la belle blonde ne désirait pas obtenir de réponse face à cet état de fait alors qu’il l’impressionnait de façon presque… effrayante en cette seconde précise. « Je dois admettre que je suis un petit peu confuse… » Là encore, Bambi laissait sa phrase sans véritable fin mais qu’importe. Peut-être que cela deviendrait un jeu entre eux mais rien n’était moins certain : il criait tout et son contraire, soufflant le chaud et le froid avec tant de maîtrise qu’elle en était presque étourdie. Mais subitement, elle se reprit, fermant quelques secondes les yeux pour mieux initier à nouveau un contact visuel, se levant même de son siège en avançant d’un pas, un seul pas et rien d’autre. Bambi ne serait jamais assez stupide pour lui sauter au cou et risquer ainsi un ridicule cuisant. « Je ne veux pas vous piéger. A vrai dire je ne veux rien de précis ou à tout le moins, rien que vous ne puissiez me donner. Il ne s’agit pas d’un manque de respect envers vous mais d’une simple logique. Ceci dit j’admire votre contrôle… j’aimerais beaucoup avoir le même. » De son côté, les sentiments de Bambi se transformaient de plus en plus en un insupportable capharnaüm sur lequel aucun contrôle n’agissait jamais, aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain. « Pourquoi m’avoir touchée ? Vous auriez tout aussi bien pu rester assis sur votre fauteuil… mais vous vous êtes levé et avez initié un contact physique. » Chose que la blonde n’aurait pas osé faire la première, il va sans dire.

HJ :  (+ Xander) you're the help I need 1881463262 j'avoue elle déchirait à fond les petons ta réponse  (+ Xander) you're the help I need 387742012 j'espère que la mienne sera à la hauteur !  (+ Xander) you're the help I need 3850463188
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Je la sentais mal, stréssé et si ça ne me faisait pas plaisir, ça ne me faisait pas mal non plus alors je ne comptais pas cesser ; j'aimais jouer alors a quoi bon !? Je la regardais plus, je regardais le mur d'en face avec sureté. Je n'avais aucunement honte de ça mais sa fragilité me touchait, je ne devais juste pas lui dire, lui montrer ; et ça je savais bien faire. Elle me croyait dupe en me disant qu'elle ne voulait pas me piéger, je ne savais pas non plus mais en tout cas, je ne croyais rien. Je me trouvais beaucoup plus droit, bien plus en retrait d'elle, ne voulant plus donner de provocation, de contact entre nous à présent et je la sentis presque déçu si bien qu'elle me dit avec timidité : « Je dois admettre que je suis un petit peu confuse… » Je ne daignais pas lui donner un regard et je me levais du bureau, posant alors mes deux pieds au sol et me levant pour marcher dans la pièce, grande pièce qui était mon repère. Je lui tournais le dos et eut un léger sourire malsain ; déstabiliser pour faire réagir l'Homme et voir comment il tente de contrôler, de mentir, j'aime ça, tellement. Confuse ... avais-je répéter d'un ton sec. La jeune femme semblait si stressée par son souffle que meme de dos je le sentais et très vite, elle poursuivait : qu'est-ce qu'elle pouvait parler non d'un chien ! J'enlevais mes lunettes et fit volte face pour les poser tout en plantant mon regard dans le sien durement tandis qu'elle semblait sous entendre mille et une chose dans ses paroles. Je répétais encore, jouant le trouble faite, celui qui énerve son partenaire : Que je ne peux pas vous donner ... n'est-ce pas ? Je fronçais les sourcils, laissant échapper un rire à la limite du sadique et je croisais les bras devant moi, me grattant le menton comme montrant une grande reflexion. J'avais donc de bonnes informations, elle était attirée par moi et je ne pouvais lui donner ce qu'elle voulait : ça ! Tout juste, je ne pouvais pas mais ce qu'elle ne savait pas, c'est que je me permettais tout sauf que je n'aimais pas spécialement faire du mal aux gens meme si je faisais croire le contraire alors contrairement aux autres, je ne jouerais pas à fond avec elle, c'était pas possible car elle, elle semblait engager dans des sentiments, et ne sachant pas clairement lesquels le jeu semblait impossible sans douleur. « Pourquoi m’avoir touchée ? Vous auriez tout aussi bien pu rester assis sur votre fauteuil… mais vous vous êtes levé et avez initié un contact physique. » Ah elle me rentrait dedans maintenant pour connaitre mes intentions, savoir et cela me décrocha un sourire presque fier de mon élève pour son audace. J'aimais ça et j'appréciais de plus en plus cette adorable jeune audacieuse. Je m'approchais un peu plus du bureau m'appuyant d'une main dessus, me penchant vers elle pour me trouver face à son beau visage et assez prêt puis je lui répondais dans un murmure : Est-ce que je vous en demande des choses mademoiselle ? Mon regard devient plus perçant comme préparant le scan de ses émotions. Je ne laisse rien paraitre mais je ne bouge pas, restant toujours aussi proche de son visage, de ses lèvres puis je reprend : Peut-être tout simplement que pour vous faire comprendre, je crois devoir instaurer une certaine ... intimité ... Dis-je presque en sifflant tel un serpent provocateur.
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