« Non, je reste, plus je vois ta tête, plus je me sens bien. » Un petit sourire triste s'afficha alors sur mes lèvres tandis que j'hochais de la tête. « S'il te plait princesse. » Il n'avait pas besoin d'insister encore plus, j'allais rester à ses côtés, même derrière cette vitre, aussi longtemps qu'il le voudra. « D'accord… Mais ne te forces pas s'il-te-plait. J'ai vraiment envie que tu guérisses vite. » J'avais besoin de le savoir en pleine forme le plus tôt possible. Pour lui, mais aussi pour moi. Je ne supportais pas de le voir dans cet état mais je ne pouvais rien faire d'autre, si ce n'est espérer.
konysia† Je voulais qu'elle reste, cet endroit était un véritable enfer et être là avec elle, la voir en pleine forme derrière cette vitre, c'était mon coin de paradis. Elle me disait qu'elle allait rester mais que je ne devais pas me forcer, je rigolais même si ça me déchirais les entrailles Me fais pas rir, ça me tue le bide. je la regrdais dans les yeux Lyly, tu pourrais aller à mon appart quand tu auras le temps pour nourrir Doogy, il est pas immortel et il a besoin de bouffer, t'as un double des clés t'façn non ? c'est vrai que ce husky était coriace mais son estomac pas du tout, une grosse bouffe puis qu'il voit Elysia allait lui faire plaisir. Puis tu lui manque aussi. Plus que je ne lui manque j'pense même.
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Un rire s'échappa alors de ses lèvres. Mon visage s'illumina. Ça me faisait bien de l'entendre rire, et c'était un bon moyen pour qu'il garde espoir que tout aille bien, que tout finira bien. « Me fais pas rire, ça me tue le bide. » Je pris alors une petite mine boudeuse. « Mais j'ai rien fait! » C'est vrai, je ne voyais pas ce que j'avais fait pour qu'il réagisse comme ça. Néanmoins, j'étais contente. « Lyly, tu pourrais aller à mon appart quand tu auras le temps pour nourrir Doogy, il est pas immortel et il a besoin de bouffer, t'as un double des clés t'façn non ? » J'acquiesçais alors. Franchement, je me suis toujours demandée comment il avait pu nommer son chien "Doggy". J'veux dire, c'est un nom stupide… Mais bon. « J'le ferais, t'inquiète pas. » « Puis tu lui manque aussi. Plus que je ne lui manque j'pense même » Je lâchais alors un petit rire devant sa petite mine. C'est vrai que son husky s'était pris d'affection pour moi, et ça ne m'étonnait même pas qu'il me dise ça. « C'est parce que je suis géniale. » Un sourire amusé s'afficha alors sur mes lèvres. « Je prendrais bien soin de lui. »
konysia† Je riais et ça faisait mal mais au moins je riais, et elle souriait, putain ça faisait du bien de le voir son sourire Si, si tu me détruis le bide. je la taquinais alors qu'elle prenait une petite mine boudeuse mais même ça, ça me faisait du bien. Elle acceptait de prendre soin de mon chien, je souriais Cool. et ça m'avait manqué qu'elle se lance des fleurs aussi Bah voyons, on sait tous les deux que je suis génial. que je m'en lance aussi dans cette période me faisait du bien, je la regardais T'as intérêt parce que après c'est mon tour. qu'elle s'occupe de moi, putain que j'avais hâte, ses attentions à mon égard, jamais je m'en lasserais, vraiment.
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« Si, si tu me détruis le bide. » Je gardais toujours ma mine boudeuse, même mes yeux montraient à quel point ça me faisait plaisir de le voir ainsi, sur le chemin d'un rétablissement certain. « Genre, tu te le détruis tout seul. » Je levais alors les yeux au ciel encore plus quand il se mit à se lancer des fleurs. « Bah voyons, on sait tous les deux que je suis génial. » Là, je roulais des yeux, amusée par son comportement enfantin. « Oui oui, bien sûr. » Finalement, je rigolais. Nous étions des enfants tous les deux, c'est ce qui arrivait quand on était à deux. « T'as intérêt parce que après c'est mon tour. » Et la, les yeux remplis de malice, je répliquais. « Et qui te dis que je prendrais soin de toi après? » De toute façon, je savais que je le ferais, il n'avait même pas besoin de me le demander, ou même de me le confirmer dans ce cas-ci. Et lui aussi, il le savait.
konysia† Elle gardait sa moue alors que je la taquinais me disant que je me faisais mal tout seul, elle avait pas tord Tu crois ? demandais-je gardant un sourire innocent. Je la voyais lever les yeux au ciel et sourire quand je me jetais des fleurs, avec elle, je me lâchais et je retrouvais mon âme de gamin et c'est ce que j'adorais, aucune contrainte, du moins maintenant si, elle est avec Maximilian. Elle me disait que c'était pas sûr qu'elle s'occupe de moi après, je la regardais T'es grillée d'office là. c'était plus fort qu'elle de s'occuper de moi, c'était dans ses veines, car j'étais dans ses veines, j'étais en elle, elle était une partie de moi et j'étais une partie d'elle, un besoin vital, nous en étions conscients tous les deux.
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« Tu crois ? » J'hochais vigoureusement de la tête. Hey, j'suis innocente dans toute cette histoire moi! J'ai rien fait de mal. Par contre, oui, j'allais prendre soin de lui quand il sortira enfin de ce foutu hôpital. « T'es grillée d'office là. » Je ne dis rien, un simple sourire sur les lèvres suffisait. « Rentres vite alors sinon tu n'auras pas la chance de profiter de mes merveilleux soins, et mes délicieuses soupes. » Bon, je n'avais aucune compétence d'infirmière, mais je savais comment prendre soin de mes amis. Je ne suis pas la meilleure cuisinière du monde non plus, mais je me débrouillais quand même un minimum. Du moins, assez pour ne pas mourir de faim et manger sainement. Et j'allais lui montrer de quoi j'étais capable.
konysia† Je la taquinais, elle n'avait rien à voir avec le fait que je me détruisse le bide en rigolant, mais ça faisait du bien de la retrouver, je voulais juste en profiter, même si je devais la voir tirer une moue toute mignonne. Et surtout qu'elle fasse croire qu'elle n'allait pas s'occuper de moi après, c'était le plus gros mensonge qu'elle puisse sortir, c'était en elle de s'occuper de moi et ça me faisait sourire qu'elle se rende compte que je l'ai grillée J'aimerais sortir vite mais je sais pas ce que j'ai chopé Elysia, mas j'itens bon. lui disais-je lui souriant faiblement, je voulais vraiment sortir et la retrouver, elle m'a terriblement manqué.
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Je ne savais pas quand est-ce qu'il serait complètement guéri, mais je savais qu'un jour ou l'autre, il finira par rentrer à la maison. Et ce jour-là, je serais là pour l'accueillir. En attendant, je ne pouvais rien faire d'autre que de venir lui rendre visite, sans même avoir la chance de lui tenir la main, derrière cette stupide vitre qui le mettait en quarantaine. « J'aimerais sortir vite mais je sais pas ce que j'ai chopé Elysia, mas j'itens bon. » Une nouvelle fois, j'acquiesçais d'un petit signe de tête, gardant mon sourire. « Alors va vite te reposer. Je vais te laisser, je reviens vite, c'est promis. » L'heure des visites allait bientôt s'écouler et je devais encore aller voir Andy. Pas qu'il était plus important, non, mais je devais aussi m'assurer que, lui aussi, il allait bien. Du moins, pas trop mal.
konysia† J'ignorais ce que j'avais attrapé, et d'après ce que les médecins pouvaient dire, c'était loin d'être un virus à prendre à la légère, c'était pas une grippe je le savais. Elysia s’inquiétait et voulait vraiment que je rentre vite à l'appart, qu'elle soit là pour m’accueillir mais j'ignorais si mon état allait s’aggraver ou non. D'accord maman. lui répondais-je, ouais elle jouait parfois ma mère, s'occupant de moi, toutes ses petites attentions pour moi, bon ma mère était six pieds sous terre mais voilà Elysia était une partie de moi. Je venais porter ma main à mon cœur puis à mes lèvres pour la pointer ensuite vers elle Je t'aime princesse. un clin d’œil et me voilà à retourner à cette chambre du mieux que je pouvais avec l'aide de cette béquille.
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« Non, je reste, plus je vois ta tête, plus je me sens bien. » Un petit sourire triste s'afficha alors sur mes lèvres tandis que j'hochais de la tête. « S'il te plait princesse. » Il n'avait pas besoin d'insister encore plus, j'allais rester à ses côtés, même derrière cette vitre, aussi longtemps qu'il le voudra. « D'accord… Mais ne te forces pas s'il-te-plait. J'ai vraiment envie que tu guérisses vite. » J'avais besoin de le savoir en pleine forme le plus tôt possible. Pour lui, mais aussi pour moi. Je ne supportais pas de le voir dans cet état mais je ne pouvais rien faire d'autre, si ce n'est espérer.
