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JULIAN&ALEXYS † brise-lui le coeur et je t'arrache la tête.

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Julian avait le don de m’exaspérer. Ok, ok, il me promettait de ne pas la faire souffrir et après ? Il ferait tout son possible pour mais, je ne pouvais pas être sûre qu'il tienne parole. Je ne faisais pas confiance aux hommes, je faisais pas confiance à Julian. Dans d'autres conditions, je ne lui aurais même pas prêté attention, je l'aurais laisser faire sa vie aux côté de Septembre or, elle était mal, elle venait de perdre son bébé, elle était dans un état second et je me devais d'être présente pour elle, de faire attention à ses fréquentations et de tout faire pour qu'elle se sente mieux et ce, même si ça ne me plaisait pas vraiment de jouer à la maman. Si tu tiens à elle, tente rien. Tu ne la connais pas, tu connais que ce qu'elle est devenue. Je dis ça pour son bien et pour le tien également. Ouais parce que s'il osait la faire souffrir, c'est à moi qu'il aurait à faire, et surement à Jeno aussi.
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J'écoutais attentivement ses paroles, unes à unes. Elle me demandait de ne rien tenter, qu'il en allait de son bien. Et du mien par la même occasion. "C'est des menaces que t'es en train de me faire là ?" Je réagissais peu être au quart de tour, mais malgré la hauteur de mes propos, j'avais gardé une voix calme, et posée. J'voulais pas qu'elle pense qu'elle était en train de m'atteindre, même si elle y réussissait parfaitement, à m'atteindre. "Peu être que je ne la connais pas aussi bien que toi, mais je sais ce qui est nécessaire à son bonheur." Et à nouveau, le nez dans mon livre, je repris mon chemin. Elle allait finir par me foutre en retard, la garce.
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Est-ce que c'était des menaces ? Bah oui en quelque sorte, ça semblait l'étonner sauf que pour moi, c'était juste... Normal. « Peut-être bien oui ! » Ajoutais-je tout sourire. J’en avais rien à faire que ce soit un mec ou que Septembre tenait à lui ou quoi que ce soit d’autre d’ailleurs. Lorsqu’il s’agissait des personnes auxquelles je tenais -parce que oui, même si je ne l’avouais pas je tenais à ma demi-sœur- plus rien n’avait d’importance. J’avais conscience du fait qu’il la rendait peut-être heureuse mais, est-ce que ça allait durer ? Est-ce qu’on pouvait parler de Julian sur du long terme ou est-ce que Septembre était seulement un divertissement entre deux livres à ses yeux ? « Et qu’est-ce qu’il va se passer le jour où elle quittera l’hôpital ? » Demandais-je curieusement pour savoir ce qu’il comptait faire et aussi pour l’embêter un petit peu.
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Je croyais pas aux menaces, seules les actions étaient véritables, et j'la voyais mal me coller un pain la tout de suite. En plus, merde, j'avais jamais fait de mal à personne, pourquoi je commencerai avec Septembre, alors que je suis profondément ... Alors que je tiens à elle quoi. Malgré l'insistance que j'avais à me casser au plus vite de son chemin, elle persistait à vouloir me suivre, cette fois ci, je ne m'arrêterai pas, si elle veut me parler, alors elle montrait dans mon service avec moi. L'interne d'aujourd'hui était un véritable salaud et si j'arrivais en retour lors de sa prise de poste, j'allais le savoir pendant les six prochains mois. "Écoute, j'en sais rien. J'imagine qu'on s'verra plus. T'es ravie c'est bon ?" Je soupirais longuement à nouveau. C'est vrai, je savais pas ce qu'il adviendrait de notre "amitié" si on peut appeler ça comme ça, quand elle aurait passer les portes de l'hopital. Elle n'aurait plus besoin de moi, elle.
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Mon surnom devait être ‘chieuse de service’ parce qu’il est vrai que quand je n’avais pas d’emmerdes, je m’arrangeais pour m’en créer. Aujourd’hui, j’avais décidé de m’attaquer à Julian et qu’il veule de moi ou non, ça m’importait peu. Je le suivais à travers les couloirs, portant mon regard sur lui sans me préoccuper de l’endroit où nous étions. J’essayais de lui faire ouvrir les yeux, de protéger ma sœur et je trouvais que c’était une jolie preuve d’amour venant de ma part alors que je n’avais jamais rien fait pour elle si ce n’est lui apporter une coloration lorsqu’elle me l’avait demandé. Je n’avais rien contre Julian en particulier d’ailleurs, si cela avait été un autre homme qui tournait autour de Septembre, ce serait la même chose. « Te sers pas d’elle comme un divertissement. Soit tu vas jusqu’au bout, qu’elle soit ici ou ailleurs, soit t’arrêtes tout maintenant. » Autant mettre les choses au clair. J’ai jamais aimé les menaces, je préférais de loin prouver de quoi j’étais capable or, je me voyais mal me battre avec Julian dans les couloirs de l’hôpital alors que je ne savais même pas ce qu’il se passait exactement avec Sept.
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Je soufflais, j'étais agacé, ça y est, elle avait touché la limite de ma patience. C'était pas le jour pour venir me chercher de toute façon. J'étais fatigué, j'avais aucune nouvelle de Septembre, et j'avais l'impression que le monde entier ne voulait pas que je la vois. Je fermais mon livre d'un coup sec. "Bon écoute, vient." Sans plus attendre, je me dirigeais vers une des remises du rez de chaussée, attendis qu'elle entre à son tour et fermais la porte derrière nous. Je faisais les cent pas, enervé par la situation. Nerveusement, je passais ma main dans mes cheveux avant de commencer à parler. "Bon, t'as pas l'air de vouloir lâcher l'affaire, et t'es vraiment relou sur le coup. J'ai pas ma journée, alors je vais être clair. Oui, j'ai des sentiments pour ta soeur. OUI, je pense même être profondément amoureux d'elle, et NON, je ne lui ferai jamais de mal. C'est bon, t'arrête de m'emmerder ?"
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Je n’étais pas du genre à abandonner, quand j’avais quelque chose en tête, c’était foutu. Julian n’avait pas d’autre choix que de me supporter parce que j’attendais des réponses et que je ne les avais toujours pas. Tant qu’il ne me les donnerait pas, je lui collerais aux baskets telle une sangsue. Finalement, il souffla d’un air agacé, ferma brusquement son livre et me demanda de le suivre, ce que je fis sans rechigner. Une fois de plus, j’avais gagné. J’allais avoir ce que je voulais et ça, ça me faisait sourire. J’entrais dans la remise et croisais les bras dans l’attente d’explications alors qu’il faisait les cents pas devant moi après avoir refermée la porte. Sa remarque sur le fait que j’étais relou ne fit qu’agrandir mon sourire et j’écoutais attentivement la suite de son monologue. « Tu l’aimes vraiment alors ? Wahou, je m’attendais pas à ça ! » Je restais à la fois surprise, inquiète pour Septembre mais aussi heureuse pour elle également. C’était vraiment bizarre.
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"Oui." Alexys semblait surprise des aveux que je venais de faire. Pourtant elle avait tout fait, persuadé que j'étais amoureux de Septembre, pour que je crache le morceaux. Je m'assis sur le rebord d'un meuble, soupirant. Il n'y avait que Blake, mon meilleur ami, qui était au courant des sentiments que j'éprouvais pour Septembre, parce que personne n'avait le droit de savoir, même pas elle-même. "T'avises pas de lui dire un mot. Je nierai tout en bloc de toute façon. Elle a pas à savoir ça. Elle a d'autres choses à penser en ce moment."
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Je le savais. J'aurais mis ma main à couper et pourtant, je ne m'attendais pas à ce qu'il me fasse ses aveux. Au début, je restais surprise mais, au fils des secondes, un sourire se dessina sur mes lèvres et je n'avais qu'une envie, me mettre à sauter partout telle une gamine de trois ans qui venait d'apprendre une grande nouvelle. Ah je le savais ! Dis-je d'un ton un peu plus joyeux. Au moins, il l'aimait vraiment, ce n'était pas pour jouer avec ses sentiments. Je marquais une pause avant de lever le regard en sa direction de lui jurer : Je dirais rien promis ! Même si en réalité, je mourais d'envie d'aller tout raconter à Julian. Je pense qu'il attendait le bon moment pour lui et puis après tout, ça ne me regardait pas vraiment tant qu'il ne lui brisait pas le coeur.
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