Emrys & Wyatt # Need you my friends

Je ne comprenais pas pourquoi il se prenait la tête comme ça. Pourquoi ne se lançait-il pas avec lui ? C’est à ce moment-là qu’il pourrait se rendre compte si ça marchait ou pas. Oui, je sais que tu comprends mais pas tout, essaie juste de voir que tu ne m'as jamais vu me plaindre mais que là ton pote en a besoin mais je ne t'empeche pas de faire la meme ... Je pète un cable, je pète littéralement un cable mais Je vais aller avec Charlie, j'irais avec Charlie quand je serais pret parce que je suis fou de lui Emrys avait parlé d’un ton plus calme. « Je sais que t’es fou de lui, mais lui se pose des questions. Tu ne le lui prouve pas en faisant ça » J’avais eu une discussion en boite à Las Vegas avec Charlie. Il était fou d’Emrys, mais il ne le comprenait pas. Si Em’ ne faisait rien, Charlie allait se sentir repoussé. Emrys était rouge tomate comme s’il allait tomber dans les pommes. je trouverais le courage d'ouvrir plus mon coeur, je te le promet, je me le promet ... je cherche juste encore la force de ne plus avoir peur ... Wyatt ! Avait-il l’impression que je lui faisais des reproches ? « Je ne te fait pas de reproche, mais dit moi de quoi as-tu peur ? Qu’est-ce qui te terrifie tant que ça ? »

(Invité)

« Je sais que t’es fou de lui, mais lui se pose des questions. Tu ne le lui prouve pas en faisant ça » Charlie s'était donc encore une fois de plus confié à lui et ça me rendait fou qu'il ne me parle pas plus quoique vu comment je le recevais à chaque fois je comprenais quand meme et je ne pus que grimacer plus de me rendre compte de ce qui se passait. Je savais que je devais me décider, me bouger. Wyatt était réellement très sérieux et présent pour moi, je souriais simplement pour lui montrer ma reconnaissance meme si voyait que j'étais mal honnêtement ; « Je ne te fait pas de reproche, mais dit moi de quoi as-tu peur ? Qu’est-ce qui te terrifie tant que ça ? » Je ne savais pas comment exprimer ça ! je ne savais pas alors je réfléchissais, me grattant le menton en regardant mon ami, presque terrifié. Je ne savais comment exprimer ça alors je tournais et virais les idées dans ma tête jusqu'à lâcher comme une bombe; je crois que j'ai peur de l'amour ... Je me réfugiais ensuite la tête dans mes mains.

(Invité)

J’avais du mal à comprendre Emrys. Il ne voulait pas faire du mal à Charlie, mais c’est ce qu’il était en train de faire et s’il continuait, il allait le perdre. je crois que j'ai peur de l'amour ... Sa révélation me laissait perplexe. Je m’asseyais sur le bord d’un transat avant de répondre à Emrys. « Excuse-moi, mais pour un gars qui a peur de l’amour, tu fais fort.. » J’esquissais un sourire, mais il disparaissait très vite. Je voulais faire de l’humour, mais j’avais fait une bourde monumentale. « C’est pas ce que je voulais dire, je me suis mal exprimé… » Je marquais une pause tout en me passant une main dans les cheveux. « Tu veux dire, que tu ressens vraiment de l’amour pour lui, plus que tu en as eu pour Eliah ? » Je disais ses mots avec prudence, je ne voulais pas le froisser. Je n’avais vraiment pas envie de me prendre la tête avec lui. Surtout, je ne voulais pas qu’il pense, que je me moquais de lui. J’essayais juste de comprendre ce qui se passait dans sa tête. C’était un de mes meilleurs amis et je faisais mon possible pour l’aider.

(Invité)

Je ne savais pas quoi lui dire à présent parce que j'avais l'impression de voir trop clair maintenant et j'avais peur qu'il me dise mais tu dis ça maintenant alors qu'avant tu disais l'aimer mais en fait, j'étais clairement persuadé que j'avais toujours toujours aimé Charlie. Je ne savais pas quoi dire du coup. Il ne comprenait définitivement pas et j'ouvris limite la bouche tellement en grand d étonnement que je failli me décrocher la mâchoire. Il osait me dire ça; là, je le prenais mal mais je n'eus pas le temps de relever car il reprit directement : « C’est pas ce que je voulais dire, je me suis mal exprimé… » Je le voyais bien embêté mais savait-il a quel point je l'étais moi aussi ? Je plissais les sourcils, soucieux de ce qu'il venait de me balancer dans la gueule. Si il sortait des gentillesses comme celle-ci à Théo chaque jour, c'est clair qu'ils ne pouvaient que se détester. « Tu veux dire, que tu ressens vraiment de l’amour pour lui, plus que tu en as eu pour Eliah ? » Il essayait de me comprendre alors ça apaisait tout, réellement. Je me sentais touché qu'il cherche plus loin que le bout de son nez si bien que je dis en soupirant, avec la voix et les paroles les plus honnête possible : Je crois qu'inconsciemment, j'ai eu beaucoup de tendresse pour elle mais déjà je provoquais Charlie avant parce que je l'ai toujours, toujours aimé en croyant toujours que ce serait plus possible lui et moi alors je me suis raccroché à elle parce que c'était plus facile ... c'était la porte de sortie face à l'amour ! Je grimaçais, honteux mais comme libéré et délivré de ce truc que j'osais pas réaliser et dire depuis plusieurs semaines.

(Invité)

Je sentais qu’il avait mal pris ce que j’avais dit. Aussi, je m’empressais de lui dire, que je m’étais mal exprimé. Puis, je lui demandais, s’il ressentait plus d’amour pour Charlie que pour Eliah, car il avait une façon de parler de l’amour qu’il ressentait pour Charlie, qui laissait penser autre chose. Comme par exemple, qu’il n’avait aimé que lui. Je crois qu'inconsciemment, j'ai eu beaucoup de tendresse pour elle mais déjà je provoquais Charlie avant parce que je l'ai toujours, toujours aimé en croyant toujours que ce serait plus possible lui et moi alors je me suis raccroché à elle parce que c'était plus facile ... c'était la porte de sortie face à l'amour ! Je comprenais mieux ce qu’il voulait dire. Eliah n’avait été qu’une option de facilité. Je prenais la parole, pesant mes mots. « Et tu crois pas que tu t’es assez voilé la face ? » Je marquais une pause avant de reprendre. « Tu aimes Charlie, alors vas-y, lance toi. Qu’est-ce que tu as à perde. A partir du moment où tu tombes amoureux de quelqu’un, tu prends le risque de souffrir, alors pourquoi se retenir ? »

(Invité)

Il semblait peu à peu me comprendre et ça me faisait réellement plaisir de voir qu'enfin il y mettait du sien. C'est là que je voyais son amitié et que ça me soulageait clairement. Je me sentais aussi soulagé d'avoir su avouer que ouais, Eliah, je l'adorais mais c'était une option de facilité donc forcément, ça enlevait un poids. Il voulait être délicat, je le voyais à ses grimaces sur le visage de mon ami. Je comprenais la petite violence dans ses mots, il avait tellement raison ; pourquoi m'étais-je autant voilé la face ? Je le regardais soucieux, un main tenant mon menton comme en pleine réflexion puis je murmurais : Oui, j'sais ... Dans un air qui se voulait bougon et honteux. Et bien sur, il ne s'arreta pas là et me prouva par des paroles encourageantes que j'avais rien à perdre, que je devais me lancer pour ne pas souffrir puis que je l'aimais et je me tenais la tete, secouant presque dans mes mains cet énorme tete que j'avais et je le regardais ensuite : Je n'ai jamais été doué pour me déclarer vois-tu ... je sais pas si je vais y arriver ... dis-je désespéré en m'asseyant sur un transat.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)