Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNo doubt, I'm here ✗ Thélia.
-43%
Le deal à ne pas rater :
-100€ Pack rééquipement Philips Hue Play : 3 barres lumineuses ...
129.99 € 229.99 €
Voir le deal


No doubt, I'm here ✗ Thélia.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Merde. Merde et encore merde. Je tapotais avec rage cette espèce de lampe torche que j'avais emprunté au gars qu'on m'avait coller pour la garde de nuit alors que la faible lumière qui s'en échappait n'éclairait pas grand chose. Et c'était que je pouvais risquer un gros avertissement si on me voyait traîner dans la zone de quarantaine à cette heure-ci de la nuit, mais je n'en avais strictement rien à foutre. Je voulais la voir. Encore et toujours. Ça faisait maintenant des jours qu'elle était enfermée dans un bocal avec d'autres malades pour compagnie. Des jours que je n'avais pas pu la toucher, l'embrasser, ne pouvant que la voir à travers une fichue vitre que j'avais envie de marteler à coups de poings chaque fois que je m'en approchais de trop près. Il n'empêche que plus les jours passaient et plus je me faisais un sang d'encre pour elle. Elle ne sortait toujours pas et ça me foutait carrément les pétoches, et j’enchaînais les gardes et les heures de travail tout simplement pour me savoir près d'elle, ne dormant pas plus de trois à quatre heures par nuit. Et non, du tout, je n'étais absolument pas crevé. Vers à peu près deux heures du matin, ayant terminer ma ronde de garde, j'avais décidé d'aller la voir, comme je lui avais suggéré la première fois que j'étais venu dans le couloir des visiteurs et qu'elle avait grandement refuser. Mais je m'en moquais. Je ne l'écoutais jamais de toute façon. Et elle savait pertinemment que j'étais le roi des emmerdes, des conneries et de toutes ces petites erreurs que la vie nous permettait de faire. Je quittais donc l'aile de la Physiothérapie à petits pas, saluant les infirmiers, médecins et tout ce que je trouvais sur mon passage avec un sourire hypocrite. Non, je ne me rendais pas dans un lieu interdit aux visiteurs à cette heure-ci... Du tout. Mais une fois réussisai-je à me faufiler dans le lieu désert, je me surpris à me demander qui serait en train de dormir, qui ne le serait pas et si Elia comptait m'en vouloir de la réveiller à cette heure-ci.  Avançant donc à petits pas avec ma lampe torche à la con, je ne vis pas le banc qui régnait au sol et je le percutais de plein fouet. Ah la race à la chatte à sa mère la ****. Je grimaçais alors que j'avais du faire un drôle de bruit. Espérons que je n'en ai pas réveillé au passage.. Je me mis à glousser comme un con. Ouais, ouais, j'adorais faire des conneries et pourquoi pas faire tomber la fontaine d'eau, provoquer un fracas épouvantable et réveiller tout l'hôpital ? Naaan quand même pas, je n'étais pas si cruel. Je m'avançais donc toujours, éteignant cette fois-ci la lampe afin de seulement me laisser guider par les rayons de la lune. Quel était son lit déjà ? Bordel, j'en savais fichtrement rien. « Elia...? » Je collais carrément mon nez à la vitre, chuchotant, laissant mon regard s'habituer à la pénombre, cherchant le moindre mouvement. Le premier qui me criait maggle ça allait être ça fête. « Eliiiiaaaa, merde me fait pas toquer à la vitre, j'suis sur qu't'es par-là... » Et je ricanais un peu, cherchant toujours.
 

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Thélia forever ღ

Ca faisait déjà quatre bons jours que j’étais ici. Quatre jours c’était déjà beaucoup trop à mes yeux et malgré que j’avais eu de la visite avec mon frère, Milena et Théo, le temps passait trop doucement et c’était une horreur. Il passait si doucement que j’ouvrais les yeux pour regarder l’heure sur l’unique horloge présente dans cette grande pièce. Deux heures du matin, il était deux heures du matin et je devais être la seule dans cette pièce a ne pas fermer l’œil. Le pire c’est que c’était comme ça depuis que je m’étais couchée. Dans l’après midi Théo était venu, comme je lui avais demandé il avait respecté le fait que je veuille qu’il vient tous les deux jours grands maximum, non que je voulais l’obliger à me tenir compagnie, mais au moins qu’il passe tous les deux jours pendant cinq minutes c’était m’assurer que lui aussi il allait bien et qu’il n’allait pas finir contaminé comme moi. Il état donc venu, on avait un peu parlé mais on avait toujours pas fini notre discussion sur le mariage, cette discussion qui s’était stoppé car il avait du me conduire dans cet hôpital car j’étais vraiment mal. Hors moi je faisais que y penser, je pouvais pas rester plus longtemps sans faire comme si de rien n’était. Je me repassais les mots qu’il m’avait dit sur Leyna et lui et sa réponse à ma question n’avait pas été clair. Pas à mon goût, pour moi il l’aimait plus qu’une amie et même si cette idée m’arrachait le cœur, je voulais savoir vraiment le fond de sa pensée et de ses sentiments pour elle. J’avais donc que ça a faire à cette heure ci : me torturer l’esprit sur comment lui en parler, me tracer différent chemin de comment la discussion pourrait tourner, me préparer à réagir ou quoi dire selon ce qu’il me répond dans un cas ou dans un autre. Je me faisais des dizaines de scénarios quand j’entendis un bruit. Me tournant du côté de la vitre, étant le seul endroit où je pouvais voir si quelqu’un arrivait, je regardais discrètement. J’avais même entendu comme des râlements mais ne voyant personne je tentais de fermer les yeux pour essayer enfin de m’endormir. « Elia...? » J’ouvris à nouveau les yeux en entendant mon prénom. Est-ce que je devenais folle et j’entendais des voix ? Avais je trop vu de films d’horreur et vu l’ambiance ici, je me croyais dans un tel film ? Ou peut être que la maladie commençait à faire des hallucinations ? « Eliiiiaaaa, merde me fait pas toquer à la vitre, j'suis sur qu't'es par-là... » J’entendais encore mon prénom et pas seulement, m’appuyant sur mes avants bras comme je pouvais, je tentais de faire lever ma tête pour regarder vers la vitre. Impossible de voir le visage mais y avait bien quelqu’un contre la vitrine, je voyais son corps mais pas assez son visage. Choppant ma couette que j’entourais autour de moi, je marchais doucement vers la silhouette pour découvrir au fur à mesure que je m’avançais que c’était Théo. Arrivant assez prêt je lui lançais un regard noir, pas certain qu’il le voit mais le geste était là. Mais qu’est ce que tu fais là ? T’as failli me faire mourir de peur chuchotais je tout en l’enguirlandant. Je lui avais bien dit de pas venir en dehors des visites, bon sang. T’es fou ou quoi, si tu te fais chopper ici tu vas te faire démonter Théo. Ma voix était plus calme et moins comme une engueulade mais je voulais vraiment pas prendre le risque de plus avoir le droit de le voir, sinon j’allais mourir de désespoir.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Mais qu’est ce que tu fais là ? T’as failli me faire mourir de peur. » Oh putain ! Je portais une main sur mon cœur ayant limite frôlé la crise cardiaque. Je regardais tellement partout que je n'avais pas prit la peine de regarder ce qui arrivait juste devant moi. J'avais d'ailleurs fait un pas en arrière, avant de me remettre à rire. Si je continuais mes conneries, j'allais véritablement finir par me faire prendre, mais je m'en foutais encore et toujours, royalement. N'empêche, moi qui pensait qu'elle serait contente de me voir, je m'étais carrément foutu le doigt dans l’œil. Sa voix était sortie de nulle part si bien que je me retenais de justesse de lui crier que c'était elle qui avait failli me faire mourir de peur. « Je suis venu là pour te voir banane ! Et t'as pas besoin de moi pour mourir de peur, vu l'ambiance de cet endroit... » Je regardais autour de nous. En plein jour ça foutait un peu les pétoches mais en pleine nuit c'était carrément flippant. De plus, la savoir enfermée là-dedans avec d'autres personnes, ce n'était pas toujours très rassurant. «  T’es fou ou quoi, si tu te fais chopper ici tu vas te faire démonter Théo. » J'haussais les épaules, mais pas sur qu'elle puisse voir mon geste. J'allumais alors de nouveau ladite lampe torche, pointant le fuseau lumineux vers ses jambes pour ne pas non plus l'aveugler et par la même occasion réveiller qui que ce soit. Elle portait une grosse couverture sur le dos et j'arrivais tant bien que mal à distinguer son visage. « Fais moi penser à te rapporter un peigne la prochaine fois. » Je lui fit un grand sourire, secouant la tête. Ok, ce n'était pas drôle et elle allait probablement finir par encore plus me détester qu'elle ne me haïssait déjà. « Puis pas grave si je me fais démonter. J'étais sur que tu ne serais pas en train de dormir. » Et j'avais finalement taper dans le mille. J'avais parallèlement tellement envie de la serrer dans mes bras et de l'embrasser que je me demandais si je n'allais pas finir par embrasser la vitre. Je manquais véritablement de sommeil moi. Mais je retournais néanmoins ma veste sachant pertinemment que ça me retomberait dessus. « Tu sais l'heure qu'il est ? Pourquoi tu ne dors pas d'ailleurs ? Tu as besoin de te reposer au maximum. M'enfin même si je suis la pour te perturber... » Quel égoïste je faisais n'empêche !

 

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Thélia forever ღ

« Je suis venu là pour te voir banane ! Et t'as pas besoin de moi pour mourir de peur, vu l'ambiance de cet endroit... » Oui c’est vrai que les hôpitaux sont pas connus pour être très joyeux mais alors ici c’était encore pire. C’était comme si on était destiné à dépérir, comme si notre fin était bientôt là. C’était morbide, voilà ce que c’était et je pouvais pas le contredire sur ça. Si ça tenait que à moi je m’occuperais comme je peux à refaire la déco. Il alluma une lampe torche et grâce à la lumière qui s’en échappait je pouvais mieux le voir, voyant son visage à l’occasion au lieu de voir simplement quelques traits de son visage. « Fais moi penser à te rapporter un peigne la prochaine fois. » Je fis une mine choquée, passant une main sur chaque côté de mes cheveux comme pour les remettre bien droit. Oui j’étais pas coiffée mais je sortais du lit et il était pas censé être venu me voir non plus. Tu me dis pas ça après nos ébats lui dis je en fakant un sourire. & bim ! Il fallait bien arriver un moment où il allait devoir me voir au plus bas, dans un état lamentable comme on est quand on est malade. Je n’étais pas parfaite en effet et j’avais pas vraiment besoin qu’il me rappelle combien je devais être affreuse depuis que j’étais rentrée dans cette pièce. « Puis pas grave si je me fais démonter. J'étais sur que tu ne serais pas en train de dormir. » Etait il venu juste pour me dire de me recoiffer car je devais faire un peu peur ? Je haussais donc les épaules, j’étais pas du genre à me coucher tôt et étant donné qu’on avait que ça a faire ici, trouver le sommeil au moment de la nuit c’était clairement pas facile. « Tu sais l'heure qu'il est ? Pourquoi tu ne dors pas d'ailleurs ? Tu as besoin de te reposer au maximum. M'enfin même si je suis la pour te perturber... » Je hochais la tête. S’en était presque comique, il se contredisait tout seul à me dire de devoir dormir vu l’heure alors qu’il était venu pour me voir selon ses mots. Je riais d’ailleurs un léger moment. Deux heures du matin, oui je sais et non j’ai pas besoin de me reposer, je le fait toute la journée depuis des jours maintenant, arrive un moment ou j’ai plus besoin de me reposer. Je me sentais limite comme un chat, je mangeais, je me lavais puis je dormais. Ma vie durant les derniers jours se résumait seulement à ça, à ces actions et pour une fille comme moi qui est toujours active, qui fait cinquante milles choses en même temps, y a pas plus stressant et de quoi me rendre folle. Toi pourquoi tu es venu ? Tu veux vraiment m’obliger à ce qu’il me prive de toi ? dis je d’une voix douce. C’était bien la dernière chose que je voulais d’être interdit de le voir. Puis mon cerveau est trop occupé à penser pour dormir terminais je de dire. Il m’avait demandé la raison de mon insomnie, j’avais besoin de lui en parler, alors c’était peut être le bon moment non ? J’avais pas bien tout prévu mes scénarios, mes répliques, mes réponses, mes solutions mais j’allais devoir improviser apparemment, j’allais devoir le faire en live.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Tu me dis pas ça après nos ébats. » Quoi ? Je relevais mon visage dans sa direction alors qu'elle faisait presque semblant de se recoiffer. Mais c'est qu'elle avait de l'humour elle aussi à cette heure-ci. J'eus un bref mouvement de la tête, avec un petit sourire. « Ça c'est parce qu'après nos ébats, tu m'envoie dans la quatrième dimension. » Après nos ébats, j'étais dans les nuages, c'était même plus possible de me demander ce qu'était une douleur musculaire ou combien faisait deux plus deux. J'étais plutôt content de la voir, même si j'aurais largement préféré la voir dans un autre lieu que celui-ci qui était carrément morbide. « Deux heures du matin, oui je sais et non j’ai pas besoin de me reposer, je le fait toute la journée depuis des jours maintenant, arrive un moment ou j’ai plus besoin de me reposer. » Je formais un grand "ah" silencieux avec ma bouche, prenant une fausse expression qui lui montrait que je comprenais parfaitement ce qu'elle vivait. Mais là, elle m'ouvrait juste les portes pour que je puisse lui balancer une petite réplique bien -ou mal- placée. « C'est bien. Dès que tu sortiras d'ici tu auras de l’énergie à revendre. » Je chuchotais ça à voix basse, lui faisant clairement comprendre ce à quoi je songeais, car même dans un piteux état et séparer par une vitre, je la trouvais toujours aussi merveilleuse. En revanche, j'allais finir comme un petit vieux à la fin de cette histoire avec le grand besoin de sommeil que me quémandait mon corps, elle péterait donc le feu toute seule, malheureusement. «  Toi pourquoi tu es venu ? Tu veux vraiment m’obliger à ce qu’il me prive de toi ? » Ah oui, je n'avais pas penser les choses de cette façon là. Qu'ils essaient de me priver de venir la voir que ça m’inciterait toujours plus à le faire. Je me passais alors une main dans les cheveux, les ébouriffant encore plus. Je m'apprêtais donc à répondre quand elle continua: « Puis mon cerveau est trop occupé à penser pour dormir. » Je fronçais les sourcils, me retenant limite de lui gueuler "à quoi" ? Nous n'avions pas fini notre dernière discussion la dernière fois puisqu'elle était tombée malade et je savais parfaitement qu'elle voudrait me poser d'autres questions concernant Leyna. Et je n'avais pas envie de subir ça encore une fois. Mais il allait définitivement bien falloir. Et cette putain de vitre là qui m'empêchait de la serrer dans mes bras ! « Ils ne peuvent pas me priver de toi. Personne ne le peux, sauf toi. Et à quoi tu penses autant ? Il y a quelque chose que tu veux que je fasse pour toi ? » On était jamais trop prudent, elle pouvait avoir quelque chose à faire et qu'elle ne pouvait pas de là où elle se trouvait. Je me retrouvais donc à la fixer, un peu nerveux.
!

 

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Thélia forever ღ

« Ça c'est parce qu'après nos ébats, tu m'envoie dans la quatrième dimension. » Il avait toujours les mots pour répondre et je ne répondis rien. C’était pas un sujet très sensible, sur ça je voulais bien le croire qu’il prenait son pieds, sinon je comprendrais pas. Je le regardais faire alors que j’expliquais le pourquoi du comment je dormais pas à cette heure ci. Enfin je lui expliquais cinquante pourcent de pourquoi je dormais pas. « C'est bien. Dès que tu sortiras d'ici tu auras de l’énergie à revendre. » Je souriais un peu. Pensait il à la même chose que je pensais ? Hors avec l’autre cinquante pourcent de pourquoi je dors pas, je savais pas si on allait pouvoir dépenser mon énergie quand je sortirais de là, si jamais je venais enfin à en sortir. Oui plus les jours passaient et plus mon optimisme se transformait en pessimisme. C’était pas mon jour, mais comment voir le bout du tunnel alors que j’étais privé d’absolument tout ? Même si j’avais mes proches je les avais à moitié, n’ayant aucun contact à cause de cette pièce et je le vivais assez mal. Moi qui ai besoin d’être un minimum entouré par ceux que j’aime, je devais vivre sans leur présence, me contentant d’horaires pour les voir et ce n’était pas comme s’ils n’ont pas de vie et des choses prévus en dehors de venir me voir dans ce lieu dénué d’émotions, de sentiments. « Ils ne peuvent pas me priver de toi. Personne ne le peux, sauf toi. Et à quoi tu penses autant ? Il y a quelque chose que tu veux que je fasse pour toi ? » Moi ? Je ne voulais pas me priver de lui, je le savais déjà depuis un moment que j’étais devenue dépendante à sa présence et avec cette situation, cette épidémie je m’en rendais un peu plus compte. J’étais telle une abeille attirée vers du miel ou un aimant attiré par un autre aimant. Quoique je veuille, j’étais attirée vers lui malgré toute la bonne volonté que mon cœur ou ma raison donnait pour se battre contre ça. Pas que tu fasses mais que tu me dis. Je marquais une pause après avoir soufflait ces mots. Promets moi de pas me mentir juste parce que je suis dans cet état, juste parce que je dois te faire pitié, parce que tu préfères attendre que je sors pour me répondre sincèrement ? Il pouvait toujours venir à me cacher la vérité une fois ma question posée, cependant je voulais quand même qu’il promet avant d’être sincère. Il n’était pas devant un tribunal mais devant mon cœur et c’était tout aussi grave s’il me mentait. Aimes tu Leyna plus qu’une amie ? Je ne voulais pas lui faire subir ça, ici, mais déjà quatre jours que j’étais enfermée, je savais pas si j’allais pas y passer des semaines et je voulais pas reporter cette discussion à ma sortie ne sachant pas quand je serais libre. Je n’ai pas eu le temps de te répondre la dernière fois, mais j’ai eu la sensation que comme tu le disais qu’elle signifiait plus qu’une amie. Je veux dire, je te demande pas de plus lui parler, je sais que vous avez un passé et qu’elle a compté, je suis bien placé pour le savoir. Je disais ça puisque je l’avais connu après qu’ils ne soient plus ensemble et j’avais pu constater qu’il avait été mal de leur rupture, j’avais même essayé de le pousser vers elle à l’époque, qu’il la reconquiert étant donné que je le connaissais à peine. Je comprends que tu veuilles la garder dans tes proches mais je ne sais pas si y a une limite entre l’amitié et l’amour. Je ne veux pas partager ton cœur avec une autre, je veux en être la seule détentrice mais je veux être sûre que toi-même tu saches si j’en suis la seule détentrice ou non.. J’avais chuchoté mes mots avec une voix douce. Je n’étais pas en colère et s’il l’aimait je ne pouvais pas lui en vouloir, de ce que je savais ils avaient duré plus longtemps que nous si on comptait avec notre pause, notre rupture et les deux semaines ou il avait du partir.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Pas que tu fasses mais que tu me dis. » M'oui, d'accord. Ça ne présageait rien de bon tout ça. Je me sentais un peu mal à l'aise. Non parce que nous nous trouvions dans un endroit particulièrement bizarre pour discuter sérieusement et en plus rempli de monde qui devait faire semblant de dormir ou dormait vraiment. « Promets moi de pas me mentir juste parce que je suis dans cet état, juste parce que je dois te faire pitié, parce que tu préfères attendre que je sors pour me répondre sincèrement ? » Quoi ? Je ne pus m'empêcher de fixer son regard et de lui lancer d'une voix presque hargneuse. « Tu ne me fais pas pitié Elia, ne redit jamais ça ! » M'étant un peu énervé, je baissais la voix et regardais à mes alentours pour être sur que je n'avais pas alerter le moindre monde avant de soupirer. « Mais, je te le promet. » J'avais lâché ces mots sans prendre leur véritable signification en compte et c'est dire que je redoutais déjà le genre de questions qu'elle comptait me poser. « Aimes tu Leyna plus qu’une amie ? » Si jamais j'aurais eu quelque chose dans la bouche à cet instant-même, j'aurais probablement recraché le tout sur la vitre. Je ne pouvais pas croire qu'elle me demandait encore ça. Ma réponse de la dernière fois ne lui avais pas suffit ? « Je... » Là je ne savais plus quoi dire. J'étais partagé entre l'envie de lui hurler dessus et celle de la secouer dans tous les sens. « Je n’ai pas eu le temps de te répondre la dernière fois, mais j’ai eu la sensation que comme tu le disais qu’elle signifiait plus qu’une amie. Je veux dire, je te demande pas de plus lui parler, je sais que vous avez un passé et qu’elle a compté, je suis bien placé pour le savoir. » Je fronçais encore plus les sourcils, jamais je n'avais prétendu lui faire croire ce genre de chose. Je me sentais encore plus stupide. Mais la torture ne s'arrêtait malheureusement pas là. « Je comprends que tu veuilles la garder dans tes proches mais je ne sais pas si y a une limite entre l’amitié et l’amour. Je ne veux pas partager ton cœur avec une autre, je veux en être la seule détentrice mais je veux être sûre que toi-même tu saches si j’en suis la seule détentrice ou non.. » Et si elle ne l'était pas, quoi ? Elle allait me quitter, encore une fois ? Non il en était hors de question. « Alors écoutes-moi bien. Déjà saches que tu as de la chance que cette vitre nous sépare car sinon je serais déjà en train de te secouer dans tous les sens ! » Jamais dans ma vie je ne violenterais une femme, et surtout pas elle, mais le but de lui faire comprendre qu'elle disait des conneries était là. J'avais de plus malgré moi employé un ton dur. « Sentimentalement Leyna ne représente plus rien, tu m'entends ? Plus rien ! Je ne comprends même pas pourquoi tu me poses ce genre de questions, comment tu peux penser ce genre de choses et que tu doutes à ce point de moi... Alors certes, j'en ai fait des conneries dans ma vie et dans notre relation je n'ai pas été le plus brillants des petits-amis mais je n'ai jamais menti sur mes sentiments à ton égard ! Je ne verrais pas l'intérêt de rester avec toi, de prendre les risques que je prends pour toi si c'était pour en aimer une autre en retour. » C'était très confus dans ma tête, je ne savais pas comment la convaincre et l'obscurité du lieu ne m'aidait pas. Je l'avais parallèlement trompé et je m'étais marié à sa cousine mais je ne pus m'empêcher de lui demander méchamment mais toujours en chuchotant. «  Merde, je sais que j'suis un connard mais je me comporte donc aussi mal que ça avec toi ? J'prends pas en compte mon putain d'mariage parce que pour moi c'est qu'une broutille à la con qui n'compte pas. Mais tu ne vois donc rien ? Ne t'ai-je jamais fait toucher mon cœur lorsque tu étais prêt de moi ? N'as-tu jamais senti la vitesse à laquelle il battait ? Mes paroles ont si peu d'importance à tes yeux ? Je te dis je t'aime et toi tu entends "est-ce vrai" ? » J'hochais la tête en plissant les lèvres. « Je vois que la confiance règne, j'constate que j'ai tout perdu avec toi. » J'avais bien merdé décidément et ça me faisait mal au cœur de savoir ça. Je pointais presque un doigt accusateur sur la vitre. « Tu l'as mon cœur, ok ? Il est tout à toi, tout entier. Tu es la seule et l'unique bordel et je tourne en rond en te l'expliquant. JE. T'AIME. Tu comprends ? Tu veux peut-être que je te le dise dans d'autres langues ? J'sais pas, j'suis quadrilingue, ça peut peut-être m'aider ! » Je n'avais pas haussé la voix mais mon ton était toujours aussi dur que cynique. Elle ne me croyait pas de toute façon peu importe ce que je disais. Je plaçais alors une main sur ma hanche et une autre sur mon front. Fais chier.  

 

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Thélia forever ღ

« Tu ne me fais pas pitié Elia, ne redit jamais ça ! » Ouais ben moi j’avais la terrible sensation de faire pitié et face à lui c’était pénible, car je voulais tout sauf qu’il ait pitié de moi de me voir comme ça et ici. « Mais, je te le promet. » Je savais bien que c’était facile de dire je faire une promesse et ensuite ne pas la tenir mais tant pis je devais lui dire ce que je ressentais et savoir ce que lui aussi ressentait. J’avais donc enfin vidé mon sac, lui posant LA question fatidique qui allait me coûter la perte de mon cœur peut être. « Alors écoutes-moi bien. Déjà saches que tu as de la chance que cette vitre nous sépare car sinon je serais déjà en train de te secouer dans tous les sens ! » Arf, ça promettait rien de bon ça. Je le connaissais déjà assez pour savoir que j’avais du le mettre un peu en colère, bon peut être beaucoup mais tant pis j’avais besoin de cette réponse, quitte à m’en prendre plein la tête. « Sentimentalement Leyna ne représente plus rien, tu m'entends ? Plus rien ! Je ne comprends même pas pourquoi tu me poses ce genre de questions, comment tu peux penser ce genre de choses et que tu doutes à ce point de moi... Alors certes, j'en ai fait des conneries dans ma vie et dans notre relation je n'ai pas été le plus brillants des petits-amis mais je n'ai jamais menti sur mes sentiments à ton égard ! Je ne verrais pas l'intérêt de rester avec toi, de prendre les risques je prends pour toi si c'était pour en aimer une autre en retour. » Je disais pas qu’il mentait sur ses sentiments pour moi mais il pouvait bien m’aimer et aimer toujours Leyna. Ce n’est pas ce que je souhaitais mais c’était possible. « Merde, je sais que j'suis un connard mais je me comporte donc aussi mal que ça avec toi ? J'prends pas en compte mon putain d'mariage parce que pour moi c'est qu'une broutille à la con qui n'compte pas. Mais tu ne vois donc rien ? Ne t'ai-je jamais fait toucher mon cœur lorsque tu étais prêt de moi ? N'as-tu jamais senti la vitesse à laquelle il battait ? Mes paroles ont si peu d'importance à tes yeux ? Je te dis je t'aime et toi tu entends "est-ce vrai" ? » « Je vois que la confiance règne, j'constate que j'ai tout perdu avec toi. » Si je me souvenais de chaque moment où j’avais eu ma main sur sa poitrine et que je pouvais sentir son cœur battre, je me souvenais de chaque moment avec lui de toute façon, chaque détail de chaque minute. Puis je le vis poser son doigt contre la vitre, m’indiquant clairement avec celui-ci. « Tu l'as mon cœur, ok ? Il est tout à toi, tout entier. Tu es la seule et l'unique bordel et je tourne en rond en te l'expliquant. JE. T'AIME. Tu comprends ? Tu veux peut-être que je te le dise dans d'autres langues ? J'sais pas, j'suis quadrilingue, ça peut peut-être m'aider ! » La façon dont il me demandait si je voulais qu’il me le dit dans d’autres langues me fit un sale coup. Je ressentais clairement combien il était en colère et je ne pus me retenir d’avaler ma salive alors que sa voix était dur et que son regard l’était tout autant. Je dis pas que tu m’aimes pas mais c’est possible d’avoir des sentiments pour deux personnes en même temps et je veux pas que ce soit le cas, je veux pas te partager. Je n’avais peut être aucune raison de douter, de m’inquiéter mais si c’était le cas c’était parce que je ne voulais pas le perdre à nouveau. Je ne voulais pas le voir partir avec une autre. Je le voulais que pour moi, c’était très égoïste mais c’était le cadet de mes soucis. Pour le coup je trouvais ça bien d’être égoïste, c’était mon petit ami et je ne souhaitais pas le partager avec une autre. Je te demande juste de te mettre un peu à ma place, de me comprendre Théo. Je suis dingue de toi et je ne veux pas te perdre à nouveau. Je veux retrouver la confiance que j’avais en toi car je sais que tu m’aimes mais tu me dis des choses et en fait d’autres à côté. Comment pouvait-il comprendre ? Devais-je-moi aussi faire ce qu’il faisait ? Devais-je à mon tour faire des conneries comme lui pour qu’il ait cette peur, cette impression que je lui glisse entre les doigts ? Je supporterais pas que tu en aimes une autre.. disais je d’une petite voix alors que je baissais le regard vers mes pieds. Bordel Elia tu fais quoi là ? Tu deviens bien trop accro, faut te réveiller ma vieille. Oui il fallait que je me reprenne, à cette allure si le pire arrivait j’allais devenir une pauvre larve. Déjà que avant je craignais que tu te réveille un jour en te disant que la vie de couple ce n’est pas pour toi, ou que ce n’est pas fiat pour que ce soit avec moi. La je le crains encore plus, parce que tes actes le montrent et que je comprends toujours pas pourquoi moi. Je regardais toujours vers le sol. J’avais l’impression d’être une ado presque. Comment pouvais je lui expliquer combien il était devenu important et combien le perdre me détruirait ?


CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

J’espérais juste une chose en ce moment-même et qui était à ce qu'elle ne soit pas en train de me maudire de lui avoir parlé de la sorte parce que moi, je le regrettais déjà. Mais elle m'écouta jusqu'au bout, probablement pensive, me laissant perplexe. J'en avais fait des erreurs, et les réparer n'était pas le plus dur, c'était de récupérer les pertes qu'elles m'avaient causé. En somme et principalement: sa confiance. « Je dis pas que tu m’aimes pas mais c’est possible d’avoir des sentiments pour deux personnes en même temps et je veux pas que ce soit le cas, je veux pas te partager. » J'hochais la tête, limite j'étais face à une petite fille que je venais de prendre en faute. Il n'y avait qu'elle là pour le moment et basta. « Écoutes, la dernière fois que j'ai vu Leyna nous étions à Vegas, elle m'a giflé puis elle est partie. Tu n'as vraiment aucun soucis à te faire sur ce sujet-là. » J'avais employé un ton plus calme, plus doux. Je songeais brièvement au fait qu'elle était entrée en furie dans la chambre parce qu'elle venait d'apprendre ce que je venais de faire avec sa meilleure amie, c'est à dire l'épouser en étant bourré. Il était temps que je me reprenne et merde, je me mourrais d'envie de la serrer dans mes bras. «  Je te demande juste de te mettre un peu à ma place, de me comprendre Théo. Je suis dingue de toi et je ne veux pas te perdre à nouveau. Je veux retrouver la confiance que j’avais en toi car je sais que tu m’aimes mais tu me dis des choses et en fait d’autres à côté. » Je la fixais, ne bougeant plus du tout, parce que je savais pertinemment qu'elle avait raison. J'étais le pire des bouffons. Mais quelque chose me chagrina plus que tout. Je ne m'étais pas trompé, elle ne me faisait plus confiance. Cette unique et seule pensée me donna envie de m'enfuir. De m'enfuir pour aller prendre ma tête entre mes mains et probablement sangloter comme une fillette. Elle avait changé son point de vue sur moi et cette idée m'en était presque insupportable. « Je supporterais pas que tu en aimes une autre.. »  Elle avait baissé la tête et j'eus comme le sentiment qu'elle n'osait même plus me regarder. Je me sentais mal parce que c'était moi qui ne supporterais pas qu'elle en aime un autre. « Déjà que avant je craignais que tu te réveille un jour en te disant que la vie de couple ce n’est pas pour toi, ou que ce n’est pas fiat pour que ce soit avec moi. La je le crains encore plus, parce que tes actes le montrent et que je comprends toujours pas pourquoi moi. » Elle ne me regardait toujours pas et au lieu de me calmer ça eut le don de m’énerver encore plus. C'était plutôt moi qui me demandait ce qu'elle foutait encore avec moi avec tous les pas de travers que j'accumulais. « Elia, je t'en prie, regardes-moi. » J'avais utilisé un ton plutôt convainquant alors que je m'étais rapproché de la vitre autant que celle-ci me le permettait. « Je suis désolé. Pour tout de ce que je fais de mal, je suis désolé. Tu l'avais dit toi-même, tu mérites mieux que moi. Et je suis nouveau dans tout ça, les histoires de couples j'y connais rien. Mais grâce à toi j'apprends. » Lui dire tout cela en chuchotant c'était pas vraiment la meilleure des façons. « C'est moi qui ait peur et qui me demande si jamais je ne vais pas recevoir un message de ta part qui me prédira que tu ne veux plus de moi...J'ai déjà fait l'erreur d'imposer une pause entre nous, je t'ai déjà perdue une fois, je ne veux pas que ça recommence. » Je me mis à fixer le plafond, cherchant mes mots. « Et c'est toi parce que tu as su être la lors de mes plus piteux états. Parce que tu m'as changé totalement, -ou peut-être pas encore assez. Parce que tu es merveilleuse et j'en passe et putain s'que c'est pas glamour de te faire des déclarations d'amour dans un endroit aussi glauque. » Je fis glisser mes doigts sur la vitre, suivant mon tracé avec mon regard. « Si tu savais comme j'aimerais te toucher... » Je remontais ensuite lentement mon regard et croisait le sien. « Puis parce que c'est toi et pas une autre. »
 

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Thélia forever ღ

« Écoutes, la dernière fois que j'ai vu Leyna nous étions à Vegas, elle m'a giflé puis elle est partie. Tu n'as vraiment aucun soucis à te faire sur ce sujet-là. » Je secouais doucement la tête, cela ne signifiait rien. Aucune idée de la raison pour laquelle elle l’avait giflé et puis une gifle de la part de la jeune femme ne voulait pas dire que lui ne ressentait rien pour elle. C’était censé me rassurer mais ça ne marchait pas. Je lui avais alors tout déballé, lui disant de se mettre à ma place, de me comprendre et lui dévoilant un peu plus mon cœur. Décidément il avait toutes les cartes en main pour le mettre en poussière, je lui offrais moi-même ces cartes. « Elia, je t'en prie, regardes-moi. » Regardant encore le sol quelques secondes, je relevais mon regard vers lui alors qu’il s’était rapproché un peu plus de la vitre. C’était pas le moment idéal pour parler de ça mais d’un autre c’était bien mieux de le faire maintenant, tout le monde était censé dormir et même si certains se réveillaient on chuchote et non on crie sur tous les toits. Avoir cette discussion en plein jour, avec tout le monde éveillé et toutes les personnes qui viendraient pour les visites ça serait juste pas possible. C’était étrange là vu l’ambiance mais c’était bien plus faisable et plus personnel. « Je suis désolé. Pour tout de ce que je vais de mal, je suis désolé. Tu l'avais dit toi-même, tu mérites mieux que moi. Et je suis nouveau dans tout ça, les histoires de couples j'y connais rien. Mais grâce à toi j'apprends. » « C'est moi qui ait peur et qui me demande si jamais je ne vais pas recevoir un message de ta part qui me prédira que tu ne veux plus de moi...J'ai déjà fait l'erreur d'imposer une pause entre nous, je t'ai déjà perdue une fois, je ne veux pas que ça recommence. » « Et c'est toi parce que tu as su être la lors de mes plus piteux états. Parce que tu m'as changé totalement, -ou peut-être pas encore assez. Parce que tu es merveilleuse et j'en passe et putain s'que c'est pas glamour de te faire des déclarations d'amour dans un endroit aussi glauque. » Je fis un léger rire sur les derniers mots. Y avait plus romantique et glamour certes mais je me moquais du lieu, ce qui m’intéressait c’était lui et ce qu’il disait, pour vu que ce soit sincère de chez sincère. Je le vis déposer sa main sur la vitre qui nous séparait et je ne pus déposer mon regard sur sa main. « Si tu savais comme j'aimerais te toucher... » Je fis un sourire alors que j’avais limite envie de pleurer fasse à ce qu’il disait. « Puis parce que c'est toi et pas une autre. » Reportant mon regard vers lui, à mon tour je fis glisser ma main sur la vitre pour qu’elle vienne rejoindre la sienne. Certes cette vitre nous empêchait tout contact mais ainsi le geste était là malgré la sensation du touché qui elle n’y était pas. Moi aussi, si je reste encore longtemps je vais pas tenir.. Non c’était de la torture là ce qu’ils font. & si tu.. tu deviens aussi contaminé je vais faire comment ? Non je le voulais pas mais via la radio qu’on nous avait foutu dans la pièce j’avais su que y avait des autres contaminés apparemment et cette merde se répand bien trop vite, je craignais qu’elle finisse par toucher Théo tôt ou tard. Cela signifierait qu’il irait aussi en quarantaine, surement pas avec moi et que je serais privé de lui, je ne pourrais même plus le voir à travers cette vitre. Je préférais ne pas y penser alors. Si je sors d’ici, j’aurais le droit de te séquestrer quelques jours chez toi ? Oui ce truc me rendait surement folle mais entre nous, on avait bien besoin de quelques jours que à nous, trop de chose était venu se foutre entre nous dernièrement. Quelques jours que pour nous y avait quoi de mal dedans ?


CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)