Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+ Septembre) Coïncidences, coïncidences... - Page 2
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(+ Septembre) Coïncidences, coïncidences...

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Il était devenu comme vital pour Thaïs de rester positive envers et contre tout, bien que la donne soit nettement plus complexe lorsqu’elle se trouvait dans un hôpital à attendre le bon vouloir des médecins. Pourtant, bien loin de la choquer, la question de la fameuse Septembre la fit légèrement sourire. Il n’y avait pas la moindre trace de moquerie bien sûr, la donne l’amusait car voilà que Thaïs se mettait à s’exprimer en termes médicaux alors qu’elle s’était toujours juré de ne jamais le faire… cela finissait par rentrer dans les mœurs par la force des choses, il faut croire. « Oh ce n’est pas une question de « nouvelles techniques ». Il n’y a pas de traitement, ils n’arrêtent pas de me le dire. Il y aurait bien une opération pour arranger les choses mais elle est très lourde, à savoir que je n’ai que quarante pour cent de chances de m’en sortir et… elle n’est pas du tout dans mes moyens. Je crois que je devrais vendre un rein, mon estomac et quasiment tous mes organes que ce serait encore trop cher ! »
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La jeune fille a cote de toi etait aveugle, mais elle se retrouvait avec toi dans le service d'obsterique. Enfin, ce n'etait pas tes affaires de toute facon. Tu voulais juste sortir d'ici, et mettre derriere toi la perte de ton enfant. Mais bon, tu voulais pas trop parler de cela. Tu preferais ecouter le jeune femme, qui t'expliquait que sa maladie ne pouvait pas etre traiter ou alors que par une operation tres cher. Tu ne comprenais vraiment pas les USA parfois. Tu etais contente que ton pere avait de l'argent et donc il pouvait te payer ton assurance et ce sejour a l'hopital -quand tu lui en aurais parle. Mais c'est vrai que les operation c'est cher, quasiment trop cher et apres on se demande pourquoi personne ne veut aller a l'hopital pour se faire soigner. "Il n'existe vraiment rien contre cela?" Tu voulais lui faire la conversation et surtout ne pas parler de toi.
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Parler de la cécité de Thaïs, c’était un long chemin sinueux et sans fin. La jolie blondinette n’en n’était pas « choquée » en soit, bien qu’elle ait plutôt tendance à penser que de parler d’un sujet sans solution ne s’avérait pas être la chose la plus utile de la création mais au moins Septembre lui faisait la conversation et l’irlandaise n’avait pas à déplorer un silence… désagréable entre elles. « Disons que j’ai déjà essayé des dizaines de traitement « expérimentaux » et rien n’a jamais marché. Il ne reste plus que l’opération selon les toubibs mais je n’aurai jamais les moyens donc je crois que ce n’est même pas la peine d’espérer. Tu sais, on finit à s’habituer à tout, même aux pires merdes qui soient… je ne dis pas que c’est évident, mais je me suis faite à l’idée. Pourquoi pleurer sur quelque chose que l’on ne peut pas changer ? » Cela sonnait affreusement fataliste dans la bouche de Thaïs mais elle n’avait que trop chouiné sur son propre sort. Désormais, elle voyait le côté positif des choses. « Je prends ça de la façon la plus positive que je peux ! »
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C'etait quand meme un peu triste. On dirait qu'il n'y avait absolument rien pour la sauver. A vrai dire, est-ce qu'il y avait quelque chose pour te sauver? Qu'est-ce qu'il y avait quelque chose qui pourrait te faire sortir de ce trou noir? Non, les medicaments et les anti-depresseurs que les medecins te donnaient n'aidaient pas. Il n'y avait rien qui changeait. C'est comme si ton chagrin et la douleur etaient impregnié en toi, comme bruler au fer. Tu ne pleurais pas ta condition, mais tu ne l'aimais pas. Tu l'acceptais, vivant avec sans que tu essayes d'y changer. T'es marquée au fer du malheurs, et t'allais y rester comme ca pendant un certain temps. Tu souris a la jeune fille. Elle ne devait pas le voir. Ca doit faire bizarre de ne voir que du noir a longueur de journées. Tu n'aimerais pas etre a sa place, mas tu n'aimais pas non plus etre a la tienne. Tu voulais juste une vie normale mais celle-ci ne t'etait pas accordé par le destin visiblement. "C'est bien de rester positive dans ce genre d situation." Tu essayais de te convaincre, mais au fond, tu n'y croyais pas.
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Thaïs sentait d’ici la fragilité évidente de Septembre, mais elle se refusa à poser la plus petite question en la matière : d’une parce que cela ne la regardait en aucune façon, mais aussi parce qu’elle ne souhaitait pas blesser son interlocutrice au cas où elle soit là à cause d’un malheur. Il ne fallait pas croire, la blondinette avait bien plus d’empathie que bien d’autres demoiselles de son âge… et si elle ne cachait pas la curiosité qui la poussait vers Septembre, Thaïs évitait de plonger à corps perdu dedans quoi qu’il en soit. « Disons que j’essaye… c’est ça ou bah je n’ai plus qu’à me jeter du haut d’un pont ! De toute façon il y a toujours pire que soit, c’est évident, alors je suis à plaindre sans être à plaindre. Tu ferais quoi, à ma place ? Tu désespèrerais ou tu trouverais un moyen de te faire opérer ? » Curieuse question, mais elle n’avait guère pu s’en empêcher. Obtenir un avis extérieur… l’irlandaise en avait bien besoin.
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Thais semblait vraiment etre une fille plein de joie qui n'avait peur de rien. Tu l'enviais d'etre comme ca, de ne pas sombrer dans son propre malheur. Tu etais bien differente d'elle, et c'est peut-etre pour cela que tu te retrouvais maintenant avec cette sensation de vide. Il n'y avait plus rien pour toi. Tout etait parti. Drake, Sander, le bebe, Travis, tout le monde qui t'etait cher finissait parti. Ce n'etait qu'une question de temps de toute facon. Ca l'etait toujours. "Je pense que j'trouvais un moyen de me faire operer. Tant qu'il y a de l'espoir, il faut se battre. C'est quand il n'y en a vraiment plus qu'il faut desesperer et se laisser aller." Elle avait une chance d'avoir la vue a nouveau. Toi tu n'avais plus aucune chance d'avoir un enfant a toi, alors a sa place, tu prendrais cette chance, aussi minime soit-elle.
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Cela pouvait paraître égoïste de la part de Thaïs de poser même la question au sujet de son opération mais lorsque l’on connaissait le passif de l’irlandaise, cela coulait pourtant de source. La demoiselle était fatiguée d’avoir constamment les huissiers au cul pour impayés et si elle se lançait dans une telle entreprise après son accouchement, cela voudrait dire s’endetter pour… pfiooow un temps considérable. Indéfinissable, même. « Tu as sûrement raison, techniquement parlant j’ai une option potentielle… le seul problème que j’y vois c’est que je risque d’être endettée pour les trois cent douze prochaines années ! Bah, il n’y a pas de problèmes, uniquement des solutions, je vais essayer de partir de ce principe là et la solution me tombera peut-être toute cuite dans le bec ! »
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D'un cote, tu pouvais bien comprendre pour Thais ne voulait pas de cette operation. Si elle coutait uen fortune, ca ne fera que la ruiner. Tu ne comprenais pas vraiment le systeme d'assurance aux USA, etant donne que ton pere s'occupait de cela pour toi le temps de tes etudes. C'etait cher d'avoir une bonne assurance medicale et si on ne l'etait pas au depart, ca faisait beaucoup d'argent sur un coup. Cependant, avec Obama et les nouvelles lois, il devait y avoir quelque chose pour la jeune fille. "La medecine evolue chaque jours, tu trouveras peut-etre quelque chose un jour sans que tu t'y attendes." Lui dis-tu d'une petite voix. Il n'y avait pas de solution a ton probleme. Ta sterilite ne pourrait etre contrée. Un miracle etait survenu avec Sander, mais il n'y en aura pas un deuxieme. Personne arriverait a te toucher au point ou lui l'avait fait. Tu restais comme tu es, seule, a jamais mais tu apprendrais a vivre avec, comme tu le faisais a chaque fois.
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La médecine évolue chaque jour… vrai, mais lorsque l’on a déjà passé six ans dans le noir, l’impatience compte double. Pire, deux solutions ne pouvaient que s’offrir à Thaïs : soit elle se résignait définitivement et vivait la vie la plus normale possible en sachant qu’elle ne reverrait jamais, soit elle s’acharnait à vouloir se faire opérer et dès lors, son impatience risquait d’être mise à rude épreuve. « Le problème c’est que ce n’est pas évident de rester le cul entre deux chaises, si tu me permets l’expression. Savoir que je pourrais revoir sans savoir quand, ou bien me résigner à ne plus jamais revoir histoire de pouvoir vraiment poursuivre ma vie… le pire c’est que je culpabilise de me plaindre. Là, c’est ce que je fais et ça m’énerve » avoua-t-elle non sans offrir un sourire désolé à Septembre. Certes, Thaïs n’avait pas la moindre idée de sa pathologie potentielle mais il n’empêche… « Tu n’as pas obligée de répondre et encore moins de me donner des détails, ça ne me regarde pas, mais tu n’as pas un truc grave ? Tu peux m’envoyer péter si tu trouves que je me plains trop ! »
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Tu ne pouvais pas vraiment comprendre Thais. Tu n'avais jamais eu ce genre de probleme, du moins jusqu'a maintenant. Tu ne t'etais jamais retrouvée dans une situation ou tu pouvais choisir. Meme maintenant. Pour toi, il n'y avait que la fatale realite. Tu etais sterile et tu ne pourrais pas avoir d'enfant. Celui qui avait reussi a grandir en toi n'avait pas survecu, cela voulait donc tout dire. Il n'y avait pas de miracle medicale pour toi. Tu etais damnée et il n'y avait pas de traitement. Tu ne repondis rien, attendant qu'elle continue de parler. Elle semblait du genre a parler beaucoup, contrairement a toi et ton cote timide et reservée. Elle te demandait alors si ce tu avais n'etais rien de grave. Tu baissais le regard venant placer une main sur ton ventre a present plat. "Non c'est rien. C'est une habitude pour moi de venir a l'hopital. J'ai des problemes d'alimentation." Choses qui etaient mais ce n'etait pas la raison pour ta venue. Tu etais anorexique, mais ce n'est pas pour cela que tu etais a l'hopital aujourd'hui.
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