Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHeureusement que ton infirmière est là pv NICHOLAS :D - Page 3
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Heureusement que ton infirmière est là pv NICHOLAS :D

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Qu'est-ce qui lui arrivait? C'était sans aucun doute les conséquences de cette satanée maladie. Nick, qui était si sûr de lui, qui n'avait peur de rien, ni de personne, sursautait maintenant quand on lui murmurait et était bouillant. Les contacts l'apeuraient presque, mais il arrivait encore à prendre le dessus. Cela néanmoins nécessitait de plus en plus d'effort de sa part.

Louane le rassura et cela l'aida à reprendre contenance. Elle fit ensuite le constat que le jeune Mather faisait chaque fois qu'il se réveillait ou quelque chose du genre. En vain, il se contenta d'hausser les épaules sans rien dire. C'était inutile de souligner davantage sa condition. Jouer les martyres, ce n'était pas son fort non plus.

Peu après, l'Anglaise rappelait combien elle était têtue et force est d'admettre qu'elle avait raison et ici aussi, le jeune homme n'ajouta rien, mais puisqu'elle préparait sa seringue, il tendait son bras encore fonctionnel et non pas celui dans le plâtre. En attendant parler du livre, son regard s'éclaira un brin et il le cherchait des yeux.

-C'est quoi?

Genre le titre, l'histoire, le livre quoi. Il espérait encore que ce ne soit pas un roman de fille, mais bon, il ne se sentait pas l'âme très critique en ce moment. Nick pensait à ses lettres et demandait, tandis que Louane se préparait à lui faire une prise de sang:

-Les lettres? Tu en as fait quoi?

Les pensées se bousculaient dans sa tête, il devait se détendre un peu.
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Nicholas et moi n’avions jamais vraiment développer notre relation. J’étais son infirmière et lui mon patient avec qui il m’arrivait de discuter de tout et de rien pendant ses consultations à l’hôpital. Nous nous voyons que très rarement, et pourtant malgré le peu d’information que nous avions sur l‘autre. Nous étions proche. Je l’appréciais. « C’est quoi ? » j’affichais un autre petit sourire pour ensuite lui dire : « Surprise… je te laisse découvrir tout ça quand tu iras mieux. Tu m’en donneras des nouvelles ». Le mystère, toujours et encore le mystère. J’avais beau être une bonne catholique j’avais mon jardin secret et ce livre en faisait partie. J’enlevais l’emballage qui recouvrait la seringue. J’étais minutieuse et appliquée. « Les lettres ? Tu en as fait quoi ? » Je relevais mon visage alors que j’étais plongée dans mes pensées. Je lui fis un petit signe de tête et lui dis : « Je leur ai donnée tout à l’heure ». C’est lettre avait donner le sourire. Je ne l’ai avais pas lu par simple respect. J’avais beau être curieuse, je savais me tenir. « Tu es prêt ? Je vais pas tarder à te piquer » dis-je en le prévenant. Je pris son bras valide et tapota l’endroit ou j’allais mettre ma seringue. « Les piqures ne te font pas peur ? Hein » dis-je en le regardant histoire de prendre quelque précautions.
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Surprise? Voilà une chose que Nicholas n'aime pas beaucoup dernièrement. Surprise le 25 décembre quand il percute un arbre, surprise il y a quelques jours quand, en allant consulter pour ce qu'il pense être un bénin virus, il se retrouve en quarantaine à l'hôpital. La seule bonne surprise, il l'avait eu au jour de l'An et elle s'appelait Lilly... Le jeune homme grommela, puis hocha de la tête, ce qui devait indiquer que oui, il lui dirait son avis, qu'il aime ou qu'il n'aime pas. Ceci dit, ça aurait été sympa' que Louane dise, ne serait-ce qu'en pensée, de quel livre il s'agit! Puisque Nick le lira bien un jour ou l'autre.

Qu'est-ce que la charmante infirmière avait fait des lettres qu'il avait mis plusieurs jours à rédigées? Il semblerait qu'elle les avait déjà donné, un véritable exploit, avec le boulot qu'elle fait et sa vie sans doute mouvementée. Nick ne cacha pas sa surprise.

-Dis donc, t'es plus rapide que la poste.

Bon, ok, ça, ce n'est pas tellement difficile, mais tout de même. Nick espérait donc que ces amis les plus importants échappent à la maladie et n'aboutissent pas à l'hôpital, surtout pas du côté des patients et puissent propager sa mise en garde. Louane le sortit de ses pensées et lui rappela qu'il allait être piqué. Une fois de plus ou de moins, vous savez...

-C'est quand tu veux.

Puis, elle lui demandait s'il a peur, sûrement plus par précaution qu'autre chose. Non mais, il a la tête à avoir peur des aiguilles? Nick a bien une peur, une phobie, mais il ne vous dira pas c'est quoi! L'important, c'est de savoir que ce n'est pas les piqûres.

-Du tout et comme tu peux voir, t'es pas la première à me piquer.

Il désignait du menton les diverses marques de piqûres qu'il devait avoir sur son bras découvert. Tandis qu'elle le piquait, il ne faisait pas exprès, il regardait un peu ailleurs et voyait la plupart des patients, endormis. Il reporta alors son attention sur Louane, qui continuait de lui faire la prise de sang.

-Tu sais ce qui est bien de la maladie? Riche ou pauvre, beau ou laid, peu importe, on tombe tous sur un pied d'égalité.


Nick remarque alors la petite croix dorée au cou de Louane, un classique du genre. Cela le fit sourire et lui rappelait ces grands-parents, surtout sa grand-mère ,très croyante, mais pas de la mauvaise façon. Nick n'a pas la foi, mais il a toujours respecté les diverses religions et les croyants. Il ne croit pas que c'est une bande d'arriérés, contrairement à certains.

-Croyante ou c'est juste une sorte de porte-bonheur?
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Louane était petite et discrète, deux choses qui finalement lui servaient beaucoup à cet instant. J’avais conscience de me mettre en danger mais si s’était le prix à payer pour étudier cette salopri de virus. Je le prenais. Seul mon père avait le pouvoir de m’influencer. Il avait beaucoup d’emprise sur moi, ce qui était parfois malheureux à dire. Le livre : Tome 1 : Millénium de Stieg Larsson. « Dis donc, t’es plus rapide que la poste » je fis un petit mouvement de sourcil avant d’afficher un sourire et de dire : « Et meilleure que la poste ». Dis-je en faisant un clin d’œil et en essayant de relaxer monsieur le malade.

Je pris la seringue et mis l’aiguille pour ensuite prendre le bras valide de Nicholas. « C’est quand tu veux » à la fin de sa phrase. Je le piquais, les flacons se remplirent petit à petit. J’en avais cinq au moins à remplir. « Ton autre bras ça va ? » dis-je en faisant un petit mouvement vers son bras. Il semblait plutôt bien se rétablir comparer à l’état de santé du Mather. « Je préfère me renseigne, je tiens pas à ce que tu tombes dans les pommes » simple mesure de précaution même si je me doutais que Nicholas n’est pas peur des aiguilles mais après tout un homme douiller pouvait se cacher derrière ce visage. Une fois finit je mis les flacons dans ma poche. A cette instant, Nicholas me lançait une jolie phrase. Il n’avait pas tord et s’était sa nous faisait réalisé que nous faisions partie de la même espèce. Je me penchais légèrement vers la table de chevet du malade. « Croyante ou c’est juste une sorte de porte-bonheur ? » Ma main se porta à ma chaine, je remis sous mon haut. Je savais comme la religion pouvait être un sujet tabou. Je finis par lui dire en évitant son regard. « Croyante. »
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Millénium? Drôle de livre pour remonter le moral de quelqu'un, ahah! En fait, Nicholas a bien aimé la série scandinave, le film américain aussi, alors il sera bien heureux de pouvoir lire le livre! Malheureusement, à peu près une semaine plus tard, le jeune homme va tomber dans un état si malade qu'il ne sera malheureusement plus capable de lire. Chose certaine, Louane était certainement meilleure que la poste et il exprima un léger sourire.

Cinq flacons à remplir? Nick eut un léger souffle en les voyant. C'est ce qui s'appelle faire don de soi! Comme l'infirmière évoquait son bras blessé, le malade portait un regard vers celui-ci, avant de le reposer sur Louane.

-Oh, ça va. Disons qu'il se repose bien. Je suis sage comme une image avec.

Ce n'était pas difficile de ménager son bras dans la situation actuelle. Par contre, de là à ce qu'il tombe dans les pommes, il y avait une marge quand même! Nicholas n'était pas tombé dans les pommes de son vivant et d'après lui, ce n'est pas prêt d'arriver. Une vraie pensée de mâle alpha quoi.

-Si tu ne me prends pas trop de sang, ça ne devrait pas arriver.

La prise de sang ne dura pas encore bien longtemps et les flacons se retrouvèrent tous remplis. Après une petite remarque, le jeune homme remarque la croix doré au cou de Louane et pose une question en lien avec celle-ci. Sa question sembla la gêner et c'est presque à contrecœur qu'elle se dit alors croyante. Nick eut un petit regard. Bah voyons, elle avait bien le droit d'être croyante!

-Dans le fond on est tous croyant, que ce soit en Dieu ou autre chose. Faut pas que t'en sois gênée. Si ça se trouve, c'est peut-être ce qui te protège de la maladie.


Pas dans le sens que Dieu la protège, mais qu'en ayant la foi, cela donne parfois la volonté de ne pas succomber, même si la maladie, ce n'est pas qu'une affaire de mental, mais Nick a la conviction que s'il abandonnait tout espoir ou foi en sa propre survivance, alors il risquerait de sombrer définitivement.

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Pour la seconde fois de ma vie, j’allais à l’encontre des règles. Je dépassais des limites qui normalement devaient être infranchissable. Je me sentais bien, aucune culpabilité ne me rongeait. Je voulais aider le plus possible, ce sang était l’occasion pour moi de faire de véritable recherche et de pousser un peu plus loin mes résultats. Nicholas était un patient parfait. Il se laissait faire. « Oh, ça va. Disons qu’il se repose bien. Je suis sage comme une image avec. » j’affichais un grand sourire. Et lui répondit tout aussi rapidement : « J’espère bien, j’ai pas fais ce jolie travail pour rien » dis-je en lui faisant un clin d’œil. Son plâtre était impeccable. « Si tu ne me prends pas trop de sang, ça ne devrait pas arriver. » j’enfilais le dernier tube alors que les autres étaient déjà ranger dans mon sac. « C’est le dernier et après je t’embête plus » dis-je en regardant la seringue attentivement. Tout le monde semblait dormir. Aucun bruit ne se faisait remarquer. La nuit parfaite pour déroger quelque règle. Une fois le tube remplie, je le mis dans mon sac. J’enlevais la seringue et je posais un jolie pansement : « Un jolie pansement Dora, ça te va bien » dis-je en plaisantant un peu.

« Dans le fond on est tous croyant, que ce soit en Dieu ou autre chose. Faut pas que t’en sois gênée. Si ça se trouve, c’est peut-être ce qui te protège de la maladie » j’étais chrétiennes. Mon père m’avait toujours guider dans ce chemin. Je le regardais. Pour être exact la religion était actuellement quelque chose dont je doutais beaucoup. Je lui fis : « Tu as peut-être raison…mais j’en doute » dis-je franchement.
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Si Nicholas ne ménageait pas autant son bras qu'il aurait dû avant d'être malade, depuis qu'il avait la grippe, son bras se reposait et le jeune homme n'enlevait pas son plâtre. Tout allait bien de ce côté là au moins. Louane était donc rassurée et satisfaite, ce qu'elle ne manqua pas de dire. Faut dire qu'au départ, elle avait dû l'entendre râler sur le fait qu'il était pris avec ce maudit plâtre au bras.

Petite blague ensuite sur le fait qu'elle ne devait pas lui prendre trop sang, sous peine de quoi, il risquait de s'évanouir, ce qui serait bien difficile sur l'orgueil du jeune homme faut admettre. Un dernier tube de sang de rempli, il avait assez donné pour aujourd'hui apparemment. Tant mieux et puis de toute façon, il serait prêt à donner autant de sang qu'il en faut pour trouver le remède à cette maladie. Puis, elle lui posait un bandage dora sur le bras et là, le Mather eut un léger rire. N'importe quoi!

-Tu profites de mon état de faiblesse oui, vilaine.

Ya une salle en enfer réservée pour les gens comme elle. Peu après, comme il remarquait le crucifix au cou de Louane, ils se mirent à parler religion et dans ce domaine, Nicholas était plutôt ouvert d'esprit. Lui-même se considérait agnostique, mais peut-être spirituel sur certaines choses. Cependant, l'infirmière semblait prise de doute, ou de scepticisme. Avoir la foi n'empêche pas non plus d'être pragmatique. Einstein était très croyant après tout.

-Profites en en tout cas, de ta santé. On ne sait jamais quand on peut plonger.

Et Nicholas savait de quoi il parle. S'il ne s'en sortait pas, il regretterait sans doute certains gestes, certaines choses qu'il aurait aimé dire à des proches, des amis, des filles. Seulement, il a toujours été une vraie huître, livré ces sentiments, ce n'est pas lui, c'est tout. Puisque tout était terminé, Nick s'allongeait à nouveau dans le lit. Il comptait survivre à cette maladie et faire chier l'Humanité pour encore un moment!
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« Tu profites de mon état de faiblesse oui, vilaine » j’affichais un sourire qui malheureusement n’était pas visible. Il n’avait pas tord. Je profitais de cette situation pour le taquiner un peu, rien de méchant ne vous méprenez pas. Je lui fis : « Je profite un peu.. Je l’avoue » dis-je en lui faisant un clin d’œil. Une fois les tubes dans mon sac, je pris soin de nettoyer mon passage. A part le pansement, rien n’avait changer. Je mis ma main derrière la nuque de Nicholas et l’aida à s’allonger sur son lit. « Maintenant repos monsieur Laflamme » dis-je sincèrement. La religion, un sujet qui pouvait attiser bien des curieux. Mes doutes étaient fondés. « Profites en en tout cas, de ta santé. On ne sait jamais quand on peut plonger. » j’allais en profiter, s’était une certitude. Me connaissant j’allais utiliser ma plaine forme pour la bonne causse. Travailler allait être ma devise. Le sang de Nicholas allait m’aider et je lui en étais reconnaissante. Je lui fis : « Je profite… j’essaye » une petite excuse parmi d’autre. Il n’avait pas besoin de savoir que j’allais me tuer au travail. Personne n’avait besoin de savoir ça. Je lui fis une nouvelle fois : « Merci encore Nicholas… pour ça. »
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