Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHeureusement que ton infirmière est là pv NICHOLAS :D
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Heureusement que ton infirmière est là pv NICHOLAS :D

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Un nouveau virus avait fait son apparition. Il semblait résistant et difficile à soigner. Le travail à l’hôpital était monstrueux. J'étais arrivée tôt ce matin, l'hôpital était devenue un vrai raffuts. La journée avait été difficile entre les patients malade et les patients qui pensaient être malade. Ma pause était enfin arrivée. Je partie direction la chambre de repos. Il était temps pour moi de dormir et de reprendre des forces. Enfin, c'est ce que je pensais avant de recevoir un sms d'une de mes collègue. La surprise fut grande lorsque j'appris que Nicholas faisait partie des personnes infectées par le virus... Nicholas était un de mes patients quotidiens avec qui j'aimais parler et surtout avec qui je m'entendais bien. Je me levais rapidement, l'horloge indiquait 17h30. Les heures de visite étaient terminée, j'en avais bien conscience. Heureusement pour moi que je travaillais à l'hôpital. Une fois arrivée, j'entrais dans le couloir des visites. Je m'installais sur une chaise attendant la venue de mon patient favoris. Il ne tarda pas à ce montrer, j'affichais un sourire et finis par lui dire : " Tu as une belle tête " dis-je en essayant de me montrer rassurante. Nicholas semblait fatigué et plutôt mal en point. Je finis par grimacer et lui fis sincèrement : " J'aurais du te ramener du chocolat ! " dis-je gentillement.
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À la salle de quarantaine, un garde malade venait de l'appeler. Nick prit ses lettres en main et se leva, péniblement, mais il était déterminé à faire cette idée qu'il avait eu. Louane devait être là, la mieux placé pour se protéger de lui. Le Mather mit un de ses masques qu'on met pour ne contaminer les gens et arriva dans le couloir des visites. Titubant, pâle, le garde lui demanda si ça allait et Nick hocha de la tête et se tint un peu plus debout, comme pour ne pas perdre sa fierté. Il finit par s'asseoir doucement dans la chaise, cette simple marche ayant l'air de l'épuisé. Il avait encore son bras dans le plâtre et sa main indemne posa quatre lettres sur le comptoir, devant la fente dans la vitre qui les séparait. En regardant Louane dans les yeux, il avala de travers. Depuis le début de son internement, c'était la première fois qu'il recevait une visite et la seule qu'il comptait recevoir. Ça valait mieux ainsi, il ne voulait pas contaminer personne d'autres. Le Mather baissa les yeux ensuite et esquissa un léger sourire au propos que son infirmière préférée lui disait. Il lâcha juste, d'une voix basse et fatiguée:

-Tu es venue...

Puis, il redressa la tête et se racla la gorge, semblant faire des efforts pour reprendre sur lui.

-Je ne sais pas si tu peux, ils ont toutes sortes de règles emmerdantes. Remarques, je les blâme pas. Si ça se trouve, on a déjà contaminé un tas de gens. Avoir su...

Dans sa vie, Nicholas avait toujours fait un mauvais malade. Il voulait toujours guérir vite, c'était pareil avec son bras. Il l'enlevait un brin avant la date, recommençait à s'en servir avant que le médecin le lui dise. Heureusement, Louana avait le bon ton pour le modérer et l'encourager. Il avait fini par avoir confiance en elle et dans cette crise, il ne savait pas à qui d'autre faire appel.

-Merci d'avoir pu te libéré. J'imagine que vous êtes débordés en ce moment. Je veux... je veux la vérité sur ce qui se passe, s'il te plait.
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Son visage était marqué et fatigué. Il était mal en point tout comme le garde qui l'avait invité à entrer. Tout semblait difficile à l’intérieur. Les infirmières malades étaient débordées. A l'extérieur s'était la panique. Il s'installa sur une chaise. En bonne infirmière, je l'aurais obligée à ce coucher mais Nicholas avait bien plus besoin de soutient mentale que d'un bon lit. " Tu es venue " ma tête se pencha sur le cotée et je finis par dire doucement : " Bien sûr que je suis venue..". Je me sentais obligée, Nicholas faisait partie des patients avec qui je m'étais liée d'amitier et que j'appréciais. Contrairement à beaucoup de personnelle, je m'étais portée volontaire pour aider tout les malades qui se trouvaient à l'intérieur de la zone de quarantaine. Ce virus ne me faisait pas peur, les précautions pouvaient être prise. A l'extérieur, j'avais la sensation d'être inutile et s'était atroce. " Je ne sais pas si tu peux, ils ont toutes sortes de règles emmerdantes. Remarques, je les blâme pas. Si ça se trouve, on a déjà contaminé un tas de gens. Avoir su... " Les règles, toujours des règles. Ma vie était faite de règle. Je m'approchais de la vitre et je finis par dire : " j'essayerais de te ramener quelques choses de potable la prochaine fois, je te promets rien mais si ça peut être mieux que ce que vous mangez actuellement j'essayerais ". La nourriture de l'hôpital, j'étais bien placée pour savoir qu'elle ne valait pas grand chose. Certains malade amaigrissant à vu d'oeil. Nicholas semblait faire parti de ces personnes. " Merci d'avoir pu te libéré. J'imagine que vous êtes débordés en ce moment. Je veux... je veux la vérité sur ce qui se passe, s'il te plait " la vérité ? J'étais épuisée. Mes cernes montraient le surplus de travaille et le manque de personnelle. Je soupirais et finis par lui dire doucement : " Ici c'est le gros bordel... Les urgences sont surbookés. J'ai entendu dire que les symptômes avaient évolué... douleur au ganglions, Tachycardie, comportement agité, possibilité de convulser. C'est très sérieux Nicholas. " dis-je en le regardant fixement. J'étais honnête avec lui, ce virus faisait des ravages. Je lui fis : " J'ai fais une demande pour venir vous aidez dans la zone de quarantaine ! Je sais pas si ça va être accepter mais vous avez besoin de quelqu'un ! "
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Du soutien mental à l'intérieur de la zone de quarantaine, les patients n'en avaient pas beaucoup. Ils étaient laissés à eux-mêmes et Nicholas avait l'impression qu'on les traitait plutôt comme des rats de laboratoire, des numéros, que comme des humains. D'un autre côté, il sait comment ça fonctionne en cas de pandémie, il a lu sur le sujet et il ne blâmait pas les hôpitaux pour prendre les mesures qui doivent être prises.

Mais Louana était venue. Elle le connait tout juste comme patient et encore, il a dû être parfois bête avec elle, mais elle était venue. Il avait tout de suite senti que cette fille avait l'âme d'une sainte, une personne qui s'oublie au détriment d'une cause. Il a toujours admiré ces gens, ces filles. Le grand amour de sa vie a été pour une fille qui venait en aide à des Indiens dans les bidonsvilles. Ensemble, ils ont bâti un puits et une école. Il devait se concentrer sur le présent, sur elle surtout. Ce n'était pas le moment de laisser son cerveau divaguer. Nick opina de la tête et commença à parler plus normalement. Le jeune homme finit par hausser des épaules en parlant de la bouffe.

-Ça ne pourra pas être pire.

Nick avait maigri, il le savait. Il dormait peu la nuit, pas beaucoup plus le jour. Il avait mal partout et ça, c'est quand il n'était pas pris de tremblements ou de fièvre. Son état empirait de jour en jour, si ce n'était d'heure en heure. Il voulait néanmoins connaître la vérité, savoir et Louane était la personne la mieux placée qu'il connaissait pour le lui dire. L'infirmière lui donna alors ce qu'il demandait et rien que pour cela, Nick lui sera d'une reconnaissance éternelle. Son regard s'attarda aussi sur le visage angélique de l'Anglaise, épuisée, cernée elle aussi. Ses yeux fixèrent les siens un instant et le jeune homme répondit, avec résignation:

-Je sais. Et euhm... Ya des progressions? Je veux dire, ils bossent bien sur un vaccin, pas vrai?

Sauver ceux qui peuvent être sauvés au moins. Puis, Louane lui dit quelque chose qui lui parut tout de suite insensée. Entrer dans la zone de quarantaine, y travailler? Ces yeux devinrent ahuris, empli d'inquiétude surtout. Non, pas ça.

-Se dont on a besoin, c'est de gens derrière la vitre qui font ce qui doit être fait. On est déjà assez de l'autre côté. Louane, je t'en pris, retires ta demande, c'est de la folie. Imagines si tu tombes malade? Non, crois-moi, c'est inutile de se sacrifier à l'autel des condamnés.

Il n'aura pas la force de s'obstiner bien longtemps et monter le ton, d'instinct, lui provoqua une douleur à la poitrine qui lui coupa le souffle court. Le jeune homme prit sur lui de se détendre, de respirer doucement.
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" Ca ne pourra pas être pire " je fis un petit sourire au coin. Etre ici était difficile mentalement, j'avais la sensation d'être innutile. Nicholas semblait souffrir et de savoir qu'il n'était pas le seul me rendait malade. Je ne savais pas comment ça se passait à l'intérieur. L'hôpital ainsi que le conseil général nous divulguaient que très peu d'information. Je connaissais Nicholas ou du moins bien plus qu'un simple patient. Il était mon ami et ça même si notre relation n'allait pas plus loin que de petit rendez-vous pour voir si tout allait bien. Le mensonge ne faisait pas partie de mes particularités. Je n'aimais pas ça et disons aussi que je mentais très mal. Les yeux de Nicholas étaient rouge. Il ne dormait pas, mangeait très peu et devait s'hydrater très mal. Sa situation était préoccupante. J'étais inquiète même si je ne le montrais pas. " Je sais. Et euhm y a des progressions ? Je veux dire, ils bossent bien sur un vaccin, pas vrai ? " Je fis une grimace, je n'avais aucune information là dessus. Les médecins ne divulguaient aucune information. Pour être honnête, la réponse était évidente. Pour le moment ils se focalisaient sur le virus.Le vaccin allait mettre du temps. Je le savais mais j’espérais pour une fois me tromper. " Je pense Nicholas... plusieurs médecins travaillent sur votre cas. La plupart des médecins d'ailleurs ".

Ma décision pouvait paraître folle, insensée, suicidaire. Et pourtant, je me sentais si inutile derrière la vitre. Ces personnes avaient besoin de moi. " Se dont on a besoin, c'est de gens derrière la vitre qui font ce qui doit être fait. On est déjà assez de l'autre côté. Louane, je t'en pris, retires ta demande. C'est de la folie. Imagines si tu tombes malade ? Non, crois moi, c'est inutile de se sacrifier à l'autel des condamnés. " me dit-il faiblement avant d'être pris de douleur. Je me levais, je ne pouvais rien faire. Je fis une grimace. L'idée ne semblait pas lui plaire, j'étais consciente du risque que je prenais. Je lui fis : " Regarde toi... tu as besoin de soin... Vous avez tous besoin de soin. Regarder votre état, vous êtes désydrater, amaigrie. Vous manquez de soin ! " j'étais déterminée et peut-être trop têtu. Je finis par lui dire : " Ne t'inquiète pas pour moi ! " dis-je en insistant sur chacun de mes mots.
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Dans sa vie, Nicholas n'avait jamais voulu qu'on se préoccupe de lui. Il avait trois ans lorsque ses parents sont morts. Sa tante est devenue sa mère adoptive, mais cette comptable ambitieuse ne voulait pas d'un gamin dans sa vie et c'est à contrecœur qu'elle a pris sa charge. Quand on grandit en se disant qu'on ne se préoccupe pas vraiment de vous, cela vous porte à être débrouillard, autonome. Heureusement, il y avait bien eu ces grands-parents pour compenser un peu. C'est sans doute pour cela qu'il pensait, non pas à un "remède" pour lui, mais à un vaccin pour sauver les autres. On ne dirait pas en regardant Nicholas, mais franchement, il se préoccupe bien plus des autres que de lui, un point qu'il semble partager avec Louane.

Louane était aussi une optimiste, réaliste tout de même. Tous les médecins travaillaient sur eux disait-elle. Le vaccin était sans doute à l'ordre du jour, mais elle n'en parla pas plus, ce qui lui laissait entendre qu'elle n'était pas trop au courant, ce qui est normal aussi. Le jeune homme acquiesça, ménageant sa voix.

Puis, la consternation. Louane voulait travailler avec les malades, dans la quarantaine. Pure folie. Si c'était une vieille empathique, d'accord, peut-être, mais une jeune femme avec toute la vie devant elle? Ce serait un spectacle qu'il n'arriverait pas à me supporter. La jeune femme lui parlait, tentait de le convaincre, mais pour être honnête, trop abattu, il écoutait qu'à moitié.

-Si tu étais à ma place, de l'autre côté et que je te disais que je voudrais passer l'autre côté, alors que ya peut-être un virus mortel qui sévit, je me demande quelle serait ta réaction.

Il l'avait dit tout haut, ce que beaucoup pensaient mais n'osaient dire: virus mortel. Comme pour se réconforter lui-même, il avait dit "peut-être". Après tout, on le saurait s'il y avait eu décès. N'empêche, il ne fallait pas se faire d'illusion. Nick lâcha un soupire.

-De toute façon, Louane, je n'ai pas la force de m'obstiner. Je te connais assez pour savoir que tu feras comme tu veux.


De sa main libre, celle qui n'est pas prisonnière ou presque d'un plâtre, il remettait ensemble les lettres pliées qu'il avait écrit un peu plus tôt et les poussaient doucement vers la fente dans la vitrine.

-J'ai besoin de ton aide. Ils nous ont confisqué nos téléphones. J'ai besoin que tu remettes ces lettres à ces personnes. Tu peux faire ça pour moi?
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La soirée du nouvel s'était avérée parfaite, en fait la vie se présentait de manière tout à fait superbe pour moi, et je ne pouvais m'en plaindre. J'étais finalement parvenu à prendre un tout nouveau départ, libéré et lavé de toutes ces fausses rumeurs à mon égard. Je m'étais réconcilié avec pas mal de mes amis, m'étais rapproché de mon père et de ma sœur, et surtout avais rencontré la femme, que je considérais déjà comme celle de ma vie. Jamais je n'avais eut une relation si passionnelle, et pouvant animée avec une femme, je n'arrivais plus à me passer d'elle. C'est pourquoi que lorsqu'elle m'avait demandé d'aller envoyer une lettre pour elle à une de ses amies, alors internée dans l’hôpital je n'avais pas refusé. Je ne lui refusais jamais rien à vrai dire. Habillé de manière élégante, je marchais d'une démarche sereine dans les couloirs de l’hôpital. J'avais pris le soin d'enfiler des gants de protection, ainsi qu'un masque recouvrant mes voies nasales et buccales, je préférais être sur mes gardes avec cette saloperie d'infection. Heureusement, aucun de mes amis proches avait été infecté, contrairement à quelques unes de Blue, dont celle à qui je portais la lettre. M'étant un peu perdu, j'entrepris d'aller demander à l’accueil ou se trouvait les chambres des infectés, quand en tombant sur un couloir, je vis une petite connaissance. « Tiens tiens, ne serait-ce pas ce cher Nicholas ? » lui dis-je en souriant, et baissant mon masque. Il était à coté d'une fille, et autant dire qu'il avait très mauvaise mine, il était infecté il n'y avait aucun doute. « T'es littéralement à tomber par terre » et c'était le cas de le dire, il était aussi pâle qu'un zombie, si je ne le connaissais déjà pas je me serais certainement évanoui. Je ne l'aimais clairement pas, d'un car il était un sérieux concurrent dans l'équipe de basket, et de deux car il avait récemment essayer de foutre la merde entre la cousine de Blue et moi. J'avais gardé une petite rancœur, et je comptais bien le lui montrer. « Je t'aurais bien souhaité un bon rétablissement mais en toute honnête, j'espère que tu vas crever. » déclarais-je sans aucune gêne.
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Tandis qu'il parlait avec Louane, Nick aperçut un mec vêtu comme les gardes malades, à ceci près que ses vêtements étaient bien trop kitsch pour qu'il soit un employé ici. Le jeune homme fronça des sourcils et reconnu bientôt la voix de Draco, qui, par-delà la vitrine, lui souhaitait somme toute de mourir. Franchement, il aurait bien aimé répliquer, traverser la vitrine et lui foutre son poing sur la gueule, mais il avait raison, il fait peine à voir, tellement, qu'il n'ose même plus se regarder dans le miroir, c'est moins décourageant ainsi. C'est d'un regard abattu qu'il baisse les yeux et hausse des épaules.

-Si je crèves, j'espère juste que ma mort te hantera.

Cela allait être la seule réaction qu'il aura. C'est quand même grave, souhaiter la mort de quelqu'un qui est malade et sur le précipice peut-être de sombrer et de dire adieu à ce beau monde. Maintenant au moins, il était fixé sur ce petit Draco et tout ce qu'il avait pu penser de lui s'était confirmé en une poignée de secondes. Ça va peut-être vous paraître drôle, mais Nick ne lui souhaite même pas d'attraper sa maladie, encore moins de mourir. Il a toujours cru qu'il vaut mieux que ça.

Par contre, s'il sort d'ici en santé, il se jurait, à cet instant même, de trouver Draco et de l'amener à se battre et là, on verra bien qui va ravaler ces paroles et ces dents.
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Je ne l'avais jamais apprécié, premièrement parce qu'il est mather, deuxièmement parce qu'on occupe le même poste dans l'équipe de basket, puis troisièmement parce que c'est un fouteur de merde. Tant de raisons qui me pousse à le détester. Le cru de ma parole pouvait sembler fou, voir extrêmement choquante mais à vrai dire, je m'en fichais un peu. Je savais pertinemment qu'il n'allait pas mourir, il est un peu comme ces mauvais herbes dans les jardins, il revient toujours. Pis très honnêtement si je le voulais vraiment mort, je n'aurais eut aucune gêne à engager un tueur à gage, qu'on se le dise. Il eut une petite réaction passive, en temps normal il aurait certainement gonflé face à une telle remarque mais là, c'était différent, il était faible et comme le salop que j'étais, j'en profitais.  «Sauf que tu me hantes déjà, du moins tu essais. Enfin bref, tu vas nous manquer dans l'équipe, jte souhaite néanmoins pas de mourir dans la souffrance » dis-je une dernière fois, et c'était sincère. Il méritait tout de même de mourir dans la dignité, et le calme. Sur ces dernières paroles, je lui sourie une dernière fois, puis fit demi-tour en remettant mon masque.
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 « Si tu étais à ma place, de l’autre côté et que je te disais que je voudrais passer l’autre côté, alors que ya peut-être un virus mortel qui sévit, je me demande quelle serait ta réaction ». Je soupirais Nicholas n’avait pas faux. Je réagirais comme lui. Mon regard se levait avant que je ne mette mes mains sur mon front. Je ne savais pas quoi faire. Je finis par dire sans le regarder et en restant dans cette position. « Il faut que je te face une prise de sang ! » dis-je d’une petite voix presque inaudible. Les chercheurs faisaient leur travaille mais peut être qu’un esprit neuf comme le miens allait pouvoir servir. Je le regardais ensuite. « Il faut que je face quelque chose Nicholas ! Je peux pas rester là à regarder ce qui se passe en espérant patiemment que sa ne m’arrive pas ! » noooooon impossible. Je le regardais dans les yeux cette fois. J’étais certes agréable et gentille mais j’étais très têtu. Un défaut que j’avais hérité de mon père. « De toute façon, Louane, je n’ai pas la force de m’obstiner. Je te connais assez pour savoir que tu feras comme tu veux. » J’affichais un sourire et finis par lui dire : « Vous commencez à me connaitre monsieur Laflamme » Nous nous connaissions que très peu et pourtant j’avais l’impression de le connaitre depuis plusieurs années. Il était attachant et gentil. Toute les qualités que j’aimais chez un homme. Il poussa ensuite plusieurs lettres vers mois. Quatre pour être plus exacte. « J’ai besoin de ton aide. Ils nous ont confisqué nos téléphones. J’ai besoin que tu remettes ces lettres à ces personnes. Tu peux faire ça pour moi ? » J’étais curieuse de savoir ce qu’il y avait dedans. J’espérais juste qu’ils ne leur disaient pas au revoir. « Ce ne sont pas des lettres d’adieux ? » dis-je sérieusement.

Alors que j'attendais la réponse Nicholas, un jeune homme nous intterompa. Je ne le connaissais ce qui était sur c'est que Nicholas et lui ne s'appréciaient pas. Je ne disais rien du moins pas tout de suite. " Je t'aurais bien souhaité un bon rétablessement mais en toute honnête, j'espère que tu vas crever " mes yeux se fronçèrent. Mon regard se porta sur Nicholas. Il ne fit pas grand chose. Une réaction qui montrait qu'il était vraiment mal en point. Je finis alors par dire : " Héééééé ! Je vous pris de partir, on a pas besoin de vous ici " dis-je sérieusement au jeune homme que je ne connaissais pas. J'étais qu'une simple infirmière mais j'avais assez de pouvoir pour le faire sortir de ce couloir. Je lui fis : " S'il vous plait ! " dis-je sérieusement et sincèrement.
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