Le ringard rencontra la princesse pv CODY :D

Cette vidéo ne devait en aucun cas être divulguer. J’aimais mon image et cette vidéo était clairement compromettante. Cody le savait. Il affichait ce regard, le regard que j’aimais pas et qui montrait qu’il était fière de lui. « Je crois que c’est la première fois que j’entends un s’il te plait sortir de ta bouche, je suis ému. » mes sourcils se froncèrent. A cet instant, je rêvais tout simplement de tremper ce bon vieux Cody dans une marmite de soupe. Une illusion qui me plaisait. « Je rigoleeeeeee pas Bleeker ! » dis-je en détachant chacune de mes paroles et en dégainant cette fois ci mes jolies ongles. « Oh, continue comme ça, j’aime quand tu me caresse la cuisse ! ». Mes doigts étaient tendu et prêt à s’enfoncé dans les cuisses que je venais de prendre en otage. « Tu vas déchanter mon poulet » dis-je un brin rebelle. Je continuais à enfoncer mes ongles dans ses cuisses. Et finit par m’asseoir sur lui lourdement : « J’espère que mon gros poids va te faire suffoquer ! »

Craindre Jackie, c'est comme craindre un Razmocket quoi. La seule chose qui pourrait effrayer Cody, c'était qu'elle se mette à pleurer d'un coup puisque monsieur n'aimait pas beaucoup voir les gens pleurer. Il en devenait hypersensible et dans l'incapacité de consoler la demoiselle. Heureusement pour lui – enfin ça reste à débattre, ça – elle opta pour la simple attaque des ongles. Il essayait d'imaginer la souffrance dans sa tête mais ça ne ressemblait à rien à ce que ce fut réellement. Il poussa un grognement assourdissant, la bouche grande ouverte prête à mordre ce qui lui passerait sous la main. Il parvint tout de même à calmer ses pulsions cannibales pour le plus grand plaisir de Jackie. « MAIS C'EST PAS POSSIBLE ON T'A GREFFE DES SCALPELS OU QUOI ????! » Il baissa la tête sur sa cuisse et jurait presque qu'elle avait traversé son jean. En réalité non, mais il avait cette sensation. Puis, elle joua à la baleine échouée en écrasant le jeune homme qui poussa un soupir de plaisir … Non les petits pervers, rien à voir avec quelque chose sous la ceinture voyons. « Oh merci, tu compresses la douleur comme ça, ça fait du bien. » Que dieu bénisse les grosses fesses.

Cody ne le savait peut être pas mais je pouvais être redoutable. Je voulais cette vidéo et j’allais bien sûr tout faire pour l’obtenir. Mes ongles étaient assez long pour faire pas mal de dégâts. Cody était fière de lui et à la fois content de sa bêtise. J’affichais moi-même un sourire sachant qu’il n’allait pas tarder à déchanter. Il lâcha un léger grondement qui ne me paraissait peu audible. J’enfonçais d’avantage. La tête de cody ressemble à … - l’avatar on peut pas faire mieux là :mdr -. J’affichais quant à moi un jolie sourire. « MAIS C’EST PAS POSSIBLE ON T’A GREFFE DES SCALPELS OU QUOI ??? ». C’était tout à fait. Je plissais des yeux et lui dis : « Tu crois pas si bien dire ! ». Il avait chercher et bien il m’avait trouvé. Je m’asseyais sur lui lourdement pensant accroitre la douleur. « Oh merci, tu compresses la douleur comme ça, ça fait du bien » je fronçais des sourcils. Rooooooooooooooooh. « Bleeker tu peux pas juste me donner ce stupide téléphone ! » dis-je simplement tout en tendant la main. J’étais toujours assise sur lui, finalement assez proche de ces cheveux. J’affichais un sourire et commençais à tirer doucement ces LONG LONG CHEVEUX : « Bleeker ! On pourrait faire une tresse avec tes cheveux tellement ils sont long »

Ce n'était pas humain de faire aussi mal avec ses ongles, Jackie n'était pas humaine ! Non, elle devait être une tigresse et pas dans le sens agréable du terme, mais bien dans le sens où elle faisait souffrir physiquement les gens. Quoique certaines personnes trouvaient cela particulièrement agréable, sauf que ce n'était point le cas de Bleeker qui agonisait. Heureusement, quand elle s'assit sur lui, il put enfin penser à autre chose qu'aux horribles pointes dans sa graisse. Dans son peu de graisse, c'est bon, il n'était pas si gras le Cody. « Non ! Tu ne me l'as pas demandé gentiment. » Et même si elle le faisait, elle ne l'aurait pas puisqu'il était en mode gros bâtard ce soir. Attaque typiquement féminine ; tirer les cheveux de Jackie. Le problème avec ceux de Cody était que bien qu'ils n'étaient pas spécialement longs, il y avait matière à l'agacer en touchant à ses petits frisottis. Comme simple vengeance, il s'amusa à décoiffer à son tour la Cabot en lui ébouriffant sa tignasse blonde comme s'il lui administrait le plus tortueux des shampoings ; « Et toi tu voudrais quoi ? Un petit rafraîchissement sur les côtés ? Lâche mes cheveux et je laisse les tiens ! » Ils devaient avoir l'air sacrément intelligents tous les deux. Heureusement, il n'y avait personne d'autre dans la salle.

Qu’es que Bleeker pouvait être chiant quand il s’y mettait. En plus de ça, il ne semblait pas vouloir céder. Mes ongles lui sortirent quelques vilaines grimaces mais le téléphone ne bougeait pas. « Non ! Tu ne me l’as pas demandé gentiment » je plissais les yeux. Si je lui avais demandé gentiment. Pour moi s’était l’extrême. Je changeais de tactique en lui tirant les cheveux. Les cheveux pouvaient être un endroit sensible, surtout pour les garçons. Je parle d’expérience. Cody n’était pas le premier à qui je tirais les cheveux. J’étais loin de me douter que mon attaque allait être contrer une nouvelle fois. Il me décoiffa et pas qu’un peu. « Et toi tu voudrais quoi ? Un petit rafraichissement sur les côtés ? Lâche mes cheveux et je laisse les tient ! » raaaaaaaaaaah qu’il m’énervait. La situation dans l’ensemble était marrante. Dommage qu’une camera ne filmait pas cela. (CODY SORT TON TELEPHONE :sifle: ) Je finis par lâcher ses cheveux. « Franchement tu es un vrai chieur quand tu t’y mets ! » dis-je vexé de pas arriver à avoir ce que je voulais. Je pris mon manteau et me dirigeais vers la sortie de la salle. J’en avais marre. Mes cheveux toujours était toujours décoiffé s’est en sortant que je me rendis compte de cela. Les gens me regardaient bizarrement. C’est quelque peu gêner et déstabilisé que je pris la direction des toilettes.

De quoi Jackie se plaignait ? Elle venait d'avoir un shampoing gratis par le maître du shampoing, le grand coiffeur Codinello ! Oui, en italien, son prénom rendait tout de suite plus classe, vous ne trouvez pas ? Donc Codinello ria bêtement quand Jackie le traita de chieur – ce qui était en soi un compliment puisque le brunet tentait désespérément de faire ravaler sa fierté à cette sale blonde – mais il ne pensait pas l'avoir réellement vexé. Ce ne fut que lorsqu'elle quitta la salle noire qu'il comprit qu'il était peut-être allé trop loin et, de ce fait, il attrapa à son tour sa veste et courut jusqu'à la sortie. Il marcha dans le couloir à travers la foule et aperçut au loin son œuvre d'art s'engouffrer dans les toilettes. Des femmes. Evidemment. Quoique comme elle s'appelait Jackie comme le beauf dans le film Camping, on aurait pu douter mais bon. Il s'avança en sifflotant vers la porte, fit un tour sur lui-même avant de rentrer tout naturellement dans les toilettes des femmes. « Oh Jackie, quelle surprise ! » s'écria-t-il le moins naturellement du monde. Plus sérieusement, il demanda ; « Tu m'en veux ? Beaucoup ? À combien tu m'en veux ? » Il colla ses mains l'une contre l'autre puis les écarta progressivement en attendant que Jackie lui dise stop afin de jauger à quel point elle était en colère contre lui.

D’un naturel joueuse, je me surprenais à être mauvaise perdante. Je n’aimais pas ça. Cody était têtu et regorgeait d’idée farfelu. Je voulais ce téléphone et mon égaux en prenait un coup. Le jeune Lowell était déterminé et pour une fois je n’avais que d’autre choix de m’incliner. Le shampoing n’arrangea rien du tout. Vexer j’avais finis par quitter les lieux. La fuite ne m’était pas habituelle. Lucide, j’avais compris qu’obtenir de moi-même ce téléphone allait être compliqué. En sortant, j’avais finis par fuir à nouveau. Cette soirée était une véritable catastrophe. Une fois dans les toilettes, je me regardais dans le miroir. L’horreur. J’affichais un sourire et me mis à rire. Ma tête était horrible. Alors que j’essayais de remettre tout sa en place. Cody se faufila dans les toilettes. Mon regard s’arrêta sur lui. « Oh Jackie, quelle surprise ! » mes yeux roulèrent. Et en bonne petite boudeuse, je ne lui répondis pas tout de suite. Mon regard se posa à nouveau sur lui : « Tu m’en veux ? Beaucoup ? A combien tu m’en veux ? » Je me retournais pour lui faire réellement face. Cody colla ses mains contre l’autre et les écarta tout doucement. « T’es mains sont pas assez grande Bleeker… » dis-je finalement. Je m’approchais et écarta doucement ces mains. « Voilà ça me semble plutôt pas mal ». Je le regardais en affichant une grimace. « Franchement j’arrive même pas à remettre ça bien » dis-je en pointant mes cheveux du doigt.

Epris de culpabilité, Cody ne tarda pas à voler au secours de la blondie sur son cheval blanc invisible. Il prenait même le risque de passer pour un obsédé en s'aventurant dans les toilettes des femmes. Mon dieu, il s'agissait de la première fois où il se montrait aussi délinquant. « Oh, on peut trouver facilement plus grand que mes mains, si tu veux mon avis ... » Petit sourire en coin, il se rattrapa vite avant que les esprits racoleurs ne s'excitent sur lui. « Mes pieds par exemple. » Finalement, elle se contenta de ses mains, montrant donc à combien elle lui en voulait. Ça va, pas tant que ça au final, enfin Bleeker avait encore un peu de marge ce qui était bien rassurant. Il avait tellement bien réussi son atelier coiffure que Jackie ne parvenait même plus à remettre ses cheveux correctement, ce qui fit rire aux éclats l'étudiant qui, ce soit, avait la bonté de l'Abbé Pierre ; « Attends, j'vais t'arranger ça. » Il passa ses mains sous l'eau et bien face à elle, s'appliqua à placer et déplacer ses mèches blondes afin que ça ressemble à quelque chose … Mais en vain. On aurait dit la prochaine coupe de Lady Gaga, il ne manquait plus que la robe steak pour que la ressemblance saute aux yeux. « De toute façon, tu comptais finir la soirée avec moi, non ? Donc tu t'en fous de qui te voit. » Il valait mieux pour elle car ce n'était pas ce soir qu'elle risquait de pécho.

La venue de Cody me faisait plaisir et satisfaisait mon égaux surdimensionné. - chuuuuut - Je le regardais dans les yeux. Je ne souriais pas ou du moins pas encore « Oh, on peut trouver facilement plus grand que mes mains, si tu veux mon avis » à la fin de sa phrase. Je lâchais un sourire et mis ma tête main sur la tête. Je lui fis : « Ah je vois de quoi tu parles ». Je regardais ensuite par terre, pour être plus exacte je regardais ses pieds. « C’est ça ? Tes palmes ? Sa doit pas être évident hein… » dis-je en faisant la moue. Petite vengeance. Peu habituée à être la victime, je fis une grimace. Cody m’avait surprise ce soir. Je me regardais ensuite dans le miroir. Un vrai champs de bataille. « Attends, j’vais t’arranger ça. » j’osais les épaules laissant Franck Provost se charger de mes cheveux. Il mouilla ses mains et tenta de rattraper la chose. Rien de très concret. « De toute façon, tu comptais finir la soirée avec moi, non ? Donc t’en fou de qui te voit ». Je me retournais. J’affichais une moue. « Je ne trouverais pas mon prince charmant aujourd’hui » dis-je en haussant les épaules. Je rigolais bien sûr. Le prince charment s’était très peu pour moi. « mouaiiii… je crois qu’on devrait sortir d’ici. Les gens pourraient croire qu’on tapisse les murs des toilettes » dis-je avec un léger sourire.

Spoiler:

Cody ne voulait pas que Jackie lui en veuille. Non, il voulait qu'elle l'aime, elle voulait qu'elle voit en lui l'ami le plus sympa du monde, celui qui lui fait découvrir les joies des shampoings à base de pop-corn. Ben quoi ? Il s'agissait du genre de savoir-faire qu'il fallait partager, un peu comme le saucisson Justin Bridou. Jackie devait être encore un peu sur les nerfs puisqu'elle critiqua ses pieds, ses jolis petits pieds. « Non, c'est vrai, mais d'un côté, ça m'a permis de décrocher un super job au cirque. Pour faire le clown. » Il serait canon avec des chaussures géantes. Pour le moment, il n'attirait pas beaucoup de femmes mais vous verrez lorsqu'il sera clown. Là, elles se jetteront toutes à ses pieds, à commencer par la blondasse en face de lui. « Ton prince charmant, ce sera celui qui t'aimera qu'importe ta coiffure. » Particulièrement quand cette dernière est réalisée par Cody Bleeker qui parvint à rendre la Cabot un petit peu plus regardable. Oh, de toute façon, avec sa tête, il ne fallait pas s'attendre à de grands miracles. « Tapisser les murs … T'es un peu crade des fois comme fille ... » soupira-t-il avant de s'esclaffer. Pour une des premières fois de la soirée, il se transforma en gentleman et tint la porte à Jackie. Il n'avait peut-être pas le physique du prince charmant, mais il pouvait au moins faire comme si pendant trente secondes.

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