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Le ringard rencontra la princesse pv CODY :D

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→ JACKIE AND CODY


 Dimanche, le jour que je détestais le plus finalement. Celui qui annonçait une nouvelle semaine et surtout la reprise des cours. J’étais une élève sérieuse et appliquée. Ce qui était en parfaite contradiction avec mon statue de jeune garce. J’avais passée ma journée à tourner en rond sans savoir vraiment quoi faire. J’avais étudié, je m’étais reposée et finalement les heures ne semblaient pas vouloir défiler. Il était donc temps que je trouve une occupation et vite. Je me jetais dans mon lit et pris mon téléphone avec moi. Un nom, il me fallait un nom. La liste défilait et mon doigt s’arrêtait sur Cody. Un ami, une connaissance quelqu’un avec qui j’aimais rire et qui finalement était une bonne compagnie. En soit, Cody était le parfait ringard de l’université. Je me demandais encore comment j’étais venue à lui parler. Mes principes étaient simples, être populaire et libre. C’était simple pourtant Cody ne rentrait dans aucun de ses principes. Il était encombrant mais très marrant. J’affichais un petit sourire et l’appela. « Monsieur le rustique, vous êtes attendu dans moins de 20 minutes au cinéma ! »  dis-je sans dire bonjour, c’était tout moi ça.  Allez droit au but. Son répondeur. Il fallait s’y attendre. J’affichais un sourire et je filais me préparer. Tenue simple mais classe. Une fois prête, je partie de mon appartement et partie direction le cinéma. Je m’installais sur un banc et attendu que Cody montre sa tête.
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Les dimanches de Bleeker vendaient du rêve. Affalé sur son canapé, sa mère dans le fauteuil voisin, lambinant devant les programmes dominicaux. Quand ils avaient de la chance, ils avaient une rediffusion des feux de l'amour pour le plus grand plaisir de maman. Cody était fatigué de ne rien faire, il comprenait pourquoi les paresseux – l'animal, Sid RPZZZZ – ne faisaient rien et continuaient à dormir, dormir, dormir. Peut-être que dans une vie antérieure, Cody était un paresseux, qui sait ? Il en était quasiment sûr. Ce fut un appel de Jackie qui le sortit de ses songes. Il grommela un vague 'OK' bien qu'il n'eut le déclic que bien plus tard après que la meuf est rapprochée. Ouais, la meuf, la chose, Jackie quoi. Il avait l'impression d'être un amant parfois parce qu'elle n'assumait même pas leur amitié. Bon OK, Jackie était populaire – même si Bleeker n'avait jamais entendu personne parler d'elle, tant mieux si elle se plaisait à croire qu'elle l'était – et lui n'était pas tout à fait le type de mec qui vend du rêve … Mais quand même. Un peu de respect pour sa personne. Toutefois, trop gentil, il daigna lever ses grosses fesses de son canapé et quitta la maison tout pantelant. Il ne prie pas la peine de faire un effort vestimentaire, après tout venez comme vous êtes McDonalds face. Il aperçut la Jackie sur un banc et se tint à un mètre d'elle, sans la regarder, s'attardant sur un taxi au loin. « Tu vas bien ? Je suis pas trop près de toi ou tu veux que je m'éloigne encore un peu ? » déclara-t-il en se pinçant la lèvre pour pas rire. Il l'aimait bien, mais elle était sincèrement pathétique.
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Je pouvais être insupportable. J’aimais être une garce et être méchante. Cela pouvait paraitre bizarre mais finalement cela me permettait de ne pas trop me dévoiler face aux autres. J’avais beau prétendre aimer les salades, je détestais les salades. Cody subissait mes caprices. Je ne lui laissais jamais l’occasion d’en apprendre plus sur moi. J’étais imprévisible et lunatique. Nous étions complètement opposée et pourtant nous nous entendions très bien. J’attendais tranquillement sur le banc, j’allumais une cigarette histoire de faire quelques choses. Je regardais un peu partout avant que mon regard se pose sur lui. J’affichais un sourire qui se dissipa petit à petit. Il était à quelques mètre de moi. Finalement assez loin pour que je trouve cela bizarre. « Tu vas bien ? Je suis pas trop près de toi ou tu veux que je m’éloigne encore un peu ? » Mon sourire réapparu sur mon visage. Je m’avançais discrètement en regardant le ciel discrète. Une fois en face de lui, je lui fis un petit sourire : « c’est mieux comme ça » dis-je contente de le voir. Je le regardais et finis par lui dire avec un grand sourire : « Bon année mister Bleeker ! ».
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Il avait très bien compris, le Bleeker, que Jackie était une de ces filles superficielles. Au fond, peut-être bien que non. Mais simplement l'idée d'être vue en compagnie de Cody – pas non plus le mec le plus détestable ou le moins regardable du campus, fuck – semblait la perturber au plus haut point. Il avait l'impression d'être un homme-objet, le type que tu prends et que tu jettes, sauf que dans son cas il n'y avait même pas la partie de jambes en l'air comme lot de consolation. Ça craint. Il devrait très sincèrement le négocier, tiens. Elle avait de la chance qu'il soit sympa, trop sympa. « Ouais, ben si on te voit en ma compagnie, je te préviens c'est toi qui te caches cette fois. » Il était debout ici le premier à ce que je sache. Puis … Oh, la surprise fut totale. Décidément, cette journée n'était pas comme tous les dimanches aux côtés de sa gentille maman. Jackie semblait plus … Joyeuse. Sans doute la nouvelle année, les bonnes résolutions, tout ça tout ça. Ou alors elle était devenue amnésique. Cette hypothèse est tout à fait probable. « Pourquoi tu me souhaites la bonne année ? Pourquoi t'es polie ? Pourquoi tu te tiens si proche de moi ? T'as quelque chose à me dire ? On attend un enfant ? On va divorcer ? Ah non, c'est la troisième fois cette semaine. » déclama-t-il, les yeux exorbités. Il n'exagérait pas … À peine.
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« Ouais, ben si on te voit en ma compagnie, je te préviens c’est toi qui te caches cette fois » je le regardais, ma tête tomba sur le cotée. J’étais impitoyable. Je le savais et je ne faisais rien pour changer. Cody était gentille et stupide. J’étais parfois loin d’être une amie exemplaire et pourtant il était venue ici. J’avais des défauts et bizarre soit-il je n’y remédiais jamais en sa présence. Je ne faisais que accroitre mes mauvais cotées. Au fond, j’avais peut-être tout simplement pas envie qu’il s’attache à quelqu’un comme moi. Je lui fis alors : « Oh normalement, il devrait avoir personne. Je m’en suis chargé » dis-je en faisant une grimace. Je n’avais prévenu personne, non. Je lui fis un petit sourire pour lui montrer que je rigolais finalement à ce que je venais de dire et je lui fis. « Rooooooh soit pas vexer, je suis sur que l’arbre était confortable et que la vue était bonne » dis-je en bougeant les sourcils. J’étais joyeuse et contente de le voir. Ma vie était un vrai bordel, j’avais beau aimé la liberté. J’avais l’impression d’être totalement dépassé. J’avais besoin de m’échapper d’urgence. J’étais à cotée de lui, pas trop proche pour ne pas le troubler et pas trop loin. « Pourquoi tu me souhaites la bonne année ? pourquoi t’es polie ? Pourquoi tu te tiens si proche de moi ? T’as quelques chose à me dire ? On attend un enfant ? On va divorcer ? Ah non, c’est la troisième fois cette semaine. ». Je le regardais en plissant des yeux. Je me reculais d’un pas et finis par lui dire : « Woooooooh je savais pas que tu étais si troubler. Et puis au pire des cas, je peux être méchante hein » dis-je en faisant une grimace. Je pouvais l’être oui, mais ce soir l’envie n’y était pas..
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Cody menait la vie dure, il était au bout du rouleau avec Jackie. Ils étaient justes amis et pour elle, ça semblait être une affaire d'état, une mission commando top secrète que seul 007 devait connaître. N'importe quoi. Pauvre Cody hein. Dommage que sa candeur l'empêchait de se révolter. Un jour viendra, il sortirait les armes pour se battre contre le dragon Jackie. Mais pas ce soir, ce soir il va au cinéma pour se gaver de pop-corn. Un cinéma sans pop-corn c'est comme un Père Noël sans massage des pieds, ça ne marche juste pas. « Je vois que ce n'est pas toi qui n'a pas pu marcher pendant trois jours à cause de cette … Hum de branche à un endroit que je ne préfère pas citer. » Imaginez deux secondes le traumatisme de cet homme. La gentillesse de Jackie rendait perplexe le futur économiste qui arqua un sourcil, la voyant d'un coup se soucier des vœux pour la nouvelle année. Elle lui disait à peine bonjour quand elle l'appelait, c'est pour dire. « Quand t'es méchante, tu as l'air normale. » finit-il par dire sur un ton sarcastique. Il promena ses yeux d'affiche en affiche, n'ayant absolument aucune idée de ce qu'avec prévu la Stevensen.
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« Je vois que ce n’est pas toi qui n’a pas pu marcher pendant trois jours à cause de cette… hum de branche à un endroit que je ne préfère pas citer ». Je me mis à sourire essayant de ne pas rigoler. C’était d’ailleurs peine perdu. Je ne pu retenir un petit ricanement finalement étouffer par ma main. Pour finalement m’arrêter et je lui fis avec une grimace : « Je pensais pas que ça avait été aussi douloureux ». J’étais compliqué, compliqué à comprendre. Et finalement c’était ce que je voulais qu’on ne me comprenne pas. La méchanceté était quelques chose que je contrôlais à la perfection. La gentillesse m’était plus étrangère finalement. « Quand t’es méchante, tu as l’air normale. » je le regardais avec de petit yeux. Et je soufflais. « T’es chiant quand tu t’y mets » dis-je en effaçant le sourire que j’avais eu en le voyant. Je me mis derrière lui. J‘essayais de le pousser un peu pour qu‘on décampe d‘ici. « Un film d’aventure sa te tente ? » dis-je en essayant de détourner la discutions. J’aimais les films d’aventure et par contre je détestais les films d’horreurs. Petite natures que j‘étais pourtant je ne pus m‘empêcher de lui dire. « ou un film d’horreur ? » dis-je en le provoquant un peu.
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Evidemment que Jackie n'avait pas imaginé une seule seconde que Bleeker puisse souffrir atrocement au sommet d'un arbre. D'ailleurs, elle lui devait un jean pour cette misérable aventure. Un Levis en plus. Pas de la gnognotte. Et elle devait aussi lui racheter une dignité car ce n'est pas drôle de se promener toute la journée avec un trou au niveau de l'entrejambe à cause de ses conneries. Blee reprochait énormément de choses à Jackie quand même, sauf qu'il était bien trop gentil pour lui lâcher ses quatre vérités dans la face. « Tu ne penses pas beaucoup à moi. » soupira-t-il simplement, une once de remords gardé au plus profond de sa gorge. Oui il était chiant, mais sa chiantise (Robert, Larousse, tremblez) n'avait jamais poussé Jackie est haut d'un arbre. Là était toute la différence. Glacial, il balança ; « Pas autant que toi. » Rébellion on dirait ? Maybe. Pas décidé à se laisser marcher sur les pieds, il refusa catégoriquement le choix de film de la blondasse. « Film d'horreur. J'ai envie que tu vois que je suis indispensable à ta vie. » Et qu'elle ait honte de s'accrocher à lui chaque fois qu'il y aura un personnage qui saigne du nez.
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« Tu ne penses pas beaucoup à moi » Cody avait tord ou du moins c’Est-ce que je me disais. J’aimais prendre soin de mon image, j’étais une garce, méchante et mystérieuse. Ses mots me collaient à la peau. Je ne souhaitais pas m’en débarrasser. Au fond, il me protégeait. Je le regardais Cody était gentil, peut être trop finalement. Il sentait la gentillesse à des kilomètres. Un vrai chameaux. Le ringard rencontra la princesse pv CODY :D 1881463262 Je finis par lui dire : « Si je penserais pas à toi, je t’aurais pas inviter ce soir » dis-je sincèrement. Je n’assumais peut être pas notre amitié mais j’appréciais sa présence. Il me faisait rire et il avait le dons de me faire baisser les armes rapidement. Quoi que ce soir, monsieur Bleeker semblait d’humeur rebelle. « Pas autant que toi ». Je fronçais des sourcils. Bleeker était tout de suite moins drôle et amusant. « Tu devrais te rebeller plus souvent, tu es mignon quand tu fronces des sourcils » dis-je en affichant un petit sourire provocateur. Je n’aimais pas les films d’horreur et pour être honnête je n’attendais pas à ce qu’il accepte le film d’horreur. « Film d’horreur. J’ai envie que tu vois que je suis indispensable à ta vie » Je levais les yeux et finis par lui dire. « Rêve Bleeker, allez on y va ». Je marmonnais quelque petite phrase pas contente du choix qu’il venait de faire. Nous nous avançons vers le guichet et je lui fis : « deux places s’il vous plait ! » j’étais une garce certes mais avec un bon fond finalement. Je lui payais sa place de cinéma. L’argent ne me posait aucun problème et après tout j’étais celle qui l’avait invité. Je lui fis avant qu’il ne dise quelques choses : « Tu payes les pop-corns  :sifle: »
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Pas franchement convaincu par la prétendue gentillesse de Jackie, Bleeker se contenta de hausser les épaules. Inviter quelqu'un, est-ce penser à lui vraiment ? N'est-ce pas le reflet de tout ce qu'elle cherchait en Cody, à savoir un larbin ? Je pense très sincèrement que ces questions devraient donner lieu à une analyse plus que philosophique, mais comme je suis très fatiguée on ne le développera pas. En plus, il était énervé, méchant, sur le point de bouillir ! Du moins, jusqu'à ce que Jackie remarque enfin le charme fou qu'il avait dès lors qu'il fronçait les sourcils, laissant place à un magnifique mono-sourcil à l'embouchure du crane. Son expression s'adoucit quelques secondes avant de reprendre ; « T'en fais pas, j'ai pas fini d'être mignon avec toi ! » D'être mignon-colère-beau-gosse, pas mignon-trop-gentille-moche, ça va de soit. Une fois dans le hall d'entrée, Jackie paya le ticket de Bleeker, ce qui anéantit en cinq mots le peu de virilité qu'il lui restait. Sympathique. Il fallait qu'il rajoute ça sur sa note, tiens. Heureusement, elle lui laissa l'opportunité de payer la nourriture, comme c'est gentil. Il se dirigea vers le marchant et prit deux gros pots bien rempli de pop-corn salés pour leur plus grand plaisir. Il pointa du doigt la porte à côté de la grande affiche du film qu'ils étaient censés regarder et fit ; « Je crois que c'est là-bas. Mais tu peux toujours partir en courant si tu veux. » Elle allait avoir peur, c'est sûr.
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