SOIREE DISNEY ✱ Magic everywheeeere

Idylle n'avait pas encore eut le temps de faire voir à son fils tout les disney qui existaient, c'était une longue et fastidieuse tâches quand on sait que l'empire Disney est très prolifique. Néanmoins, quand elle évoque Toys Story, les yeux de Mérida s'allumèrent.« Ah oui avec le robot de l'espace là.» Il faut le temps que les neurones se connectent tous les uns aux autres, chose dure. Elle trinqua donc avec sa compagne de bar, le sourire au lèvre, et bu sa boisson, avant de finalement répondre. «Je suis Idylle. Oui c'est mon vrai prénom, et non je sais pas ce qui a prit à ma mère. Contente de te rencontrer Hayley. C'est pas mal comme prénom, Hayley la bergère, c'est une bergère des temps modernes.» Enfin si il existait encore des bergères dans le coin, ce qui était moins sûr, à part peut être dans les disney. Dydylle continuait de sourire, comme toujours, un verre d'alcool et une personne sympathique, ça pouvait que la rendre happy.

Quel comédien, je savais pertinemment qu'il appréciait ma compagnie et qu'il ne pouvait passer de moi. Je lui souriais, je commençais à être bien défoncée alors c'était juste hors de question que je le laisse tranquille. Arrête, t'avais qu'une envie c'était que je monte pour venir avec toi. T'es jaloux enfait. Je lui ai pincé son petit nez avant de lui déposer un baiser juste au coin de ses lèvres. Si on prenait de la MD, et autant dire qu'on allait en prendre, on allait être pire que tactile et on serait dans notre monde ça allait être énorme. Franchement, j'en ai vu d'autre. Et puis autant te dire que le rail n'était pas énorme, c'est pas ça qui va changé quoi que se soit à l'effet de la D. De toute manière j'étais déterminée à en prendre quoiqu'il en pense, je voulais qu'on se retrouve et c'était le seul moyen pour qu'on soit dans le même délire. Je les regardé, attendant qu'il commence à faire les deux paras.

• Esclave de cette merde depuis mon premier souffle, j’étais fait pour être dans la merde, pour me foutre dans des histoires les plus connes les unes que les autres et toujours tout gâcher en faisant le con, en ne prenant rien au sérieux. Alors ce soir, j’avais trouvé l’excuse de fêter ma paternité pour me mettre la tête, mais ce n’était pas le cas, la raison est que j’avais envie de me vider la tête, de ne plus penser à rien. Depuis le nouvel an, ma vie n’était que galère et pêché, j’étais foutu je crois, l’enfer m’avait déjà réservé une place aux côtés de ces plus fidèles membres, j’allais pourrir de l’intérieur, sentant tous mes organes bruler et se décomposer petit à petit m’infligeant une douleur de fils de pute. J’étais là à ce bar, enchainant les verres dans un accoutrement de baltringue, et je ne portais pas attention aux gens qui pouvaient bien défiler à cette soirée, seul mon verre qui se vidait et se remplissait pouvait compter pour moi ce soir. « Que des baltringues ici putain… » Avais-je lâché. J’me décide enfin de tourner la tête et là j’vois un gars en bleu, putain, j’hallucine où j’suis bien torché ? « WESH Michelin ! J’ai le droit à combien de vœux ? Et t’as pas intérêt de faire ta radine ! » Avais-je lâché au génie qui n’était autre que Ric, sauf que ça, je l’avais pas encore remarqué… •

On allait être dans notre petite sphère, dans notre petit monde sans se soucier des autres. Quand est tous les deux j'ai besoin de personne pour passer une bonne soirée car il capte toute mon attention. Je me suis relevée alors qu'il commençait à s'attaquer aux paras. Personnellement je prends tout le temps en para, dans un verre je trouve que ça ne monte pas assez vite. Je savais pas si ça l'embêtait de me filer cette drogue, enfait je pense qu'il préfère que j'en prenne lui plut^t qu'avec d'autre. Tu me trouves comment en Jane? Je suis sauvage non? dis je en faisant la tigresse avec mes mains. Je me suis approchée pour saisir un des paras qu'il avait, j'ai déposé la petite feuille blanche sur ma langue avant de l'avaler en fermant les yeux. Santé mon chou. Que la fête commence. J'avais envie de danser, de boire et tout ça avec lui, je ne lâcherai plus.

La conversation était à peine entamer que ça l'a fuyait déjà. Soupirante tu n'en voulais pas à ta meilleure amie mais la Aaliyah te restait en travers de la gorge. Konrad avait essayer de te stopper mais finalement, il te proposait quelques shooters. Le regardant, tu ne disais rien mais buvais quand même les shooters au caramel. « J'ai pas été cool ? Je me fais insulter de pétasse et je devrais rien dire parce que c'est une protégée de monsieur Sheffield ? » Tu fronçais les sourcils. Fallait pas déconner là, pour le coup tu n'étais pas du tout d'accord. « Et puis, je savais pas que Ric était son mec et puis c'est bon je lui ai juste pincé le cul, l'autre elle arrive elle m'insulte et tape un scandale comme si je venais de sucer Ric en live quoi! » Tu secouais doucement la tête, la tournant ensuite vers la dénommée Kendall. « C'est elle. La fameuse Kendall, ton double Grace, elle est comme toi. Elle est tellement comme moi, qu'elle a même commencer à prendre ma place à tes côtés. Moi je ne vois qu'une greluche, faisant semblant d'être mather qui bouge son cul. Bon, je ne te retiens pas plus longtemps, je crois que quelqu'un t'attend. » Tu souriais faussement à Konrad. « Et puis, vous pouvez y aller dans les toilettes, Kendall bosse ici je crois elle n'aura juste qu'à nettoyer derrière, ce qu'elle fait déjà quoi. » Tu tapotais doucement l'épaule de Konrad, te retournant vers le bar pour passer commande de deux tequilas pures.