fight me because I'm going to do something stupid.† koace.

Plus tes jambes s'activaient plus vous vous raprochiez de Central Square puis de l'immeuble. La dernière fois que tu avais franchi cette rue c'était en pleine nuit à cinq du matin limite en train de mourir. Tu t'étais enfuie tel une lâche. Et Konrad avait dût se réveiller le matin sans même penser que tu étais déjà à des kilomètres de lui et ceux pour un bon moment ou pour toujours. Montant les escaliers doucement, tu ne voulais surtout pas précipiter ton arrivée dans l'appartement qui d'après les dires de Konrad une fois devant la porte n'avait pas changer. Apparemment, il n'avait rien jeter. Poussant doucement la porte, tu quittais la main de Konrad pour entrer la première. Respirer cette odeur sucré, chaude qui était toujours la même. Tout était à la même place. Tu passais devant le canapé de vos embrassades. Te dirigeant vers la chambre, tu trouvais dans un coin une de tes nuisettes, quelques habits puis tes mains allaient caresser le dessus du lit, t'asseyant dessus dos à la porte, tu lâchais quelques larmes. Trop plein de souvenirs, trop plein d'émotion mais le pire c'était que ça ne te faisait plus rien. Tu avais envie de passer des nuits dans ce lit, dans les bras de Konrad mais uniquement comme un ami. Reprenant doucement tes esprits, tu te redressais espérant que Konrad ne t'ai pas vu fondre en larmes. « Comment veux-tu construire quelque chose avec quelqu'un d'autre si mes nuisettes et mes strings traînent partout. » Tu riais doucement, te retournant, ne pensant pas que Konrad était si proche de toi. « Je.. je vais te débarrasser de tout cela au plus vite. » Tu lui faisais un faible sourire avant de le dépasser sur le côté, pour filer dans un endroit moins remplie de tes effets personnels.

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† fight me because I'm going to do something stupid.†

koace † Le campus se faisait loin et Central Square se tenait à nos pieds, et encore quelques pas maintenant pour arriver devant cet immeuble où elle et moi avions passés tellement de temps, tellement de moments partagés et elle entrait en première lorsque je déverrouillais la porte de mon appartement. Je restais silencieux, elle connaissait l'endroit par cœur, et je la regardais se diriger vers le canapé puis la voir disparaitre dans le couloir, je refermais la porte pour la suivre et m'arrêter dans l’encadrement de la porte, la voir jeter un œil dans un coin du placard où il doit rester quelques fringues à elle, la voir caresser le dessus du lit pour venir s'y asseoir, je savais que des larmes coulaient, elle ne pouvait pas rester insensible à temps de souvenirs même si elle avait tirer un trait sur notre relation d'avant, je me rapprochais, me tenant juste derrière elle Je peux tourner la page, j'pense que j'ai besoin de savoir que j'ai toujours une partie de toi dans cet appart c'tout. elle se retournait par un léger sursaut surprise de me savoir derrière elle puis elle lâchait un petit rire avant de me dire qu'elle allait me débarrasser de tout ça, hors de question. N'importe quoi. lui disais-je alors qu'elle se levait pour passer à côté de moi et quitter ma chambre, je la suivais Grace, toi t'as surement tout brûler de moi mais pas moi, je peux pas, notre histoire à trop compter pour que je la laisse s'envoler. des confidences ? Oui, je crois, j'étais plus amoureux, j'acceptais totalement qu'elle soit avec Jeno, juste que ces deux ans de relations compliqué et ce mois de bonheur avec elle, je peux pas les effacer.

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Wow trop de souvenirs d'un coup. Trop d'images, trop de mal, trop de bien. Trop de sensations tellement différente que tu ne savais plus quoi faire à pars laisser couler quelques larmes mais la voix de Konrad te rappelait bien vite à l'ordre. « Konrad tout ça, ça ne représente rien puisque de toute manière je suis là, tu as toujours une partie de moi avec toi. » Tu lui souriais doucement, balançant tout de même la nuisette là où tu l'avais prise. L'entendant presque ronchonnait lorsque tu voulais le débarrasser de tout ça. « Comme tu voudras mais que je ne vois pas une de tes grosses greluches portaient une de mes fringues sinon je l'étripe. » Tu riais légèrement, lui mettant un petit coup de coup dans les côtes mais en vrai tu ne rigolais pas tant que ça. Il était hors de question que tes fringues aillent à ses futures copines fallait pas déconner non plus. Quittant la chambre, tu allais dans la cuisine, l'écoutant sagement. Tu souriais en secouant négativement la tête. « Je n'ai rien brûler, j'ai juste laisser beaucoup de choses en Argentine, tout ce qui a attrait à notre relation amoureuse est resté en Argentine, comme mes scanners de ma tumeur, comme mes habits de gogo danseuse. Tout ceci c'est mon passé, je ne veux pas l'oublier mais je ne veux pas qu'il me revienne tout le temps en tête surtout la tumeur. Je n'ai ramener que ce qui aura un attrait à mon futur c'est à dire nos souvenirs d'amitié, une belle amitié, si intense que je n'aurais jamais du la briser pour quelques sentiments. » Tu lui caressais doucement la joue, c'était plus fort que toi. Il fallait que tu le touches, il fallait que tu sentes qu'une d'une part il n'était plus amoureux de toi mais que d'un autre côté, tu voulais rester l'une des plus belles femmes de sa vie à ses yeux et à vrai dire tu ne voulais pas qu'il en est dix milles. Même si ce n'était que de l'amitié, tu avais besoin de sentir ça.

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† fight me because I'm going to do something stupid.†

koace † Elle lâchait quelques larmes, je le savais, faire face à tant de souvenirs aussi merveilleux que malheureux, elle était une femme sensible derrière ses traits de garce et elle était amoureuse et être présente dans cette chambre, ça lui faisait un quelque chose qu'elle laissait s'échapper le long de ses joues. Je m'étais rapproché d'elle, discrètement, la surprenant légèrement lorsque je me fis entendre pour lui faire savoir que j'étais obliger de garder toutes ces choses lui appartenant pour sentir une partie d'elle ici et sa réponse me lâchait un faible sourire Oui tu es là mais quand tu partiras, je sais que tu seras là. elle voulait quand même s'en débarrasser mais je n'étais pas de son avis et elle rigolait voulant me menacer qu'elle ne voulait qu'aucune de mes greluches porte ses fringues, je riais presque Ce qui est à St-James reste à St-James, t'en fais pas. Même ta tasse de café, y a que moi qui m'en sert. ajoutais-je souriant alors que je la suivais jusqu'à la cuisine tout en lui avouant que je ne pouvais rien brûler de notre relation passée, ça avait beaucoup trop compter pour moi, j'étais tombé amoureux d'elle et j'avais tant de souvenirs. Elle aussi jouait les confidences, tout son passé, tout ce qui le concernait était resté en Argentine et elle n'avait que ramener notre amitié, une amitié disait-elle qu'elle n'aurait jamais du briser il y a plus de deux ans pour des sentiments. Je sentais sa main sur ma joue, ce contact n'a jamais disparut entre nous et je crois que jamais il ne disparaitra, on en a besoin, je viens la saisir pour la baisser et entrelacer mes doigts aux siens Tu es unique à mes yeux Grace St-James, que tu es été mon ex, que tu sois mon amie, tu resteras toujours unique, tout ce que je partage avec toi, je peux le partager avec personne d'autre car tu es St-james, simplement. elle était une des plus belles femmes de ma vie et dieu sait qu'elle se font rares.

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Tu te retournais doucement face à lui. Partir ? Mais où voulait-il que tu partes ? Tu comptais bien finir tes études à Harvard sans tumeur, sans attentat, sans rien du tout, juste comme quelqu'un de normal avec des hauts et des bas dans la vie mais c'est tout. Tu regardais alors Konrad, esquissant un petit rire. « Qu'est ce que tu dis ? C'est toi dans un an qui va quitter Harvard parce que tes études seront fini, tu vas quitter Cambridge et aller je ne sais où. » C'est vrai quoi. C'est lui qui te laissera tomber pour toute la vie après. Certes, tu exagérais parce que si tu voulais vraiment le revoir, tu pourrais même s'il est à l'autre bout du monde. Et puis, ton visage se radoucissait à ses mots. Tu riais doucement. « De toute façon à pars les greluches qui passent dans ton lit, tu vis toujours seul ici non ? » Tu avais peut-être manqué un épisode. Tu étais quasiment sûre qu'il ne s'était pas remis en couple mais peut-être avait-il pris un ou une colocataire. Enfin bref, tout ceci n'était plus ton problème et tu n'avais pas à insulter ses plans culs, ses copines de greluches. On dirait une grosse moule jalouse accroché à son rocher. Puis, tu lui avais embrasser la joue. Il t'avait ensuite pris tes mains pour entrelacer vos doigts. Ton regard venait se planter dans le sien. Tu buvais ses paroles, avant de passer tes bras autour de sa taille pour venir lui faire un câlin avec un sourire aux lèvres. Te détachant doucement de lui, tu le regardais. « Bon où caches-tu ta mort ? » Tu en riais mais en réalité, tu n'étais pas voulu pour rire du fait que la coke va le tuer à la longue.

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† fight me because I'm going to do something stupid.†

koace † Elle avait raison, je partirais avant elle, dans un an je serais je ne sais où à faire je ne sais quoi pour je ne sais quelles raisons, ça me faisait sourire Pas faux. mais si on voulaient vraiment se revoir, on allaient tout faire pour se revoir, Koace ne peut pas disparaitre de toute façon. Ele prenait un malin plaisir à traiter toutes les filles avec qui je couchais de greluches, ça me faisait plus sourire qu'autre chose car je sentais une petite once de jalousie mais j'appréciais, je comptais toujours à ses yeux comme ça puis ça me rassurait qu'elle soit toujours là pour étriper celle qui me casserait les couilles J'ai toujours Doogy, ce clébard dont t'es tombé amoureuse, il me tient compagnie quand j'ai pas la tête entre deux cuisses. mon husky, sept putains d'années qu'il est là et presque trois ans que lui et Grace sont en relation de couple, ouais, elle pourrait quitter Jeno pour ce chien tellement elle l'aime qui ne l'aime pas façon. Ses lèvres se déposaient sur ma joue, nos doigts s'entrelaçaient puis après avoir entendu mes paroles, elle se collait contre moi pour un câlin, quelques instants avant qu'elle ne quitte mes bras et me demande où est la poudre Un peu partout je crois, dans ma chambre et sur la table basse. elle allait faire le ménage dans mon appart, débarrasser cette merde de ma vie.

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Koace c'était trop de douleurs mais tellement d'amour d'un coup. Konrad avait vraiment tout partager avec toi et c'était bien trop douloureux de le voir dans cette situation. Et tu devais l'avouer, tu avais toujours un peu de mal à accepter que quelqu'un puisse prendre ta place dans son lit mais ça jamais tu ne lui dirais, tu avais bien trop de fierté pour ça. Konrad te sortais de tes pensées en te parlant de Doogy, cette boule de poil tellement attendrissante qui parfois t'écouter même plus que Konrad. Tu souriais doucement en lui tapant le torse. « Parle pas de Doogy comme ça toi ! C'est un chien pas un clébard ! Et puis il est où d'ailleurs ? » Tu fronçais doucement les sourcils en regardant autour de toi. « Ah oui ! Dernière chose aucune de tes pouffiasses ne prend ma place au près de Doogy. » Tu le regardais bien sérieuse. Il en était hors de question qu'une pimbêche ne te prenne tout. Déjà que tu lui laisser Konrad fallait pas abuser. Votre conversation s'ensuivit d'un câlin et puis tu te mettais en route à la recherche de cette merde de coke, que tu comptais bien détruire. La mettre dans la poubelle ? Non, Konrad pourrait la reprendre. Tu l'as foutrais dans les chiottes, dans l'évier, dans la douche n'importe où mais tu l'as détruirais. Commençant ta quête par la chambre, tu récupérais plusieurs pochons, que tu gardais dans les mains. Allant ensuite tous les mettre dans l'évier de la salle de bain pour tout détruire, tu ne t'attendais pas à ce que Konrad t'es suivis. Te retournant, tu te retrouvais donc coller à lui, ton visage à quelques centimètres du sien. Respirant calmement, tu t'écartais. C'était hyper troublant. Marchait ici, le voir, le toucher mais tout en tant qu'ami c'était hyper bizarre. Tu n'avais pas vraiment l'habitude. « Ex.. excuse-moi. » Finissant ton travail, tu quittais ensuite la salle de bain pour aller dans le salon et réitérer ton opération.

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† fight me because I'm going to do something stupid.†

koace † Tellement de choses nous liaient Grace et moi, tellement de douleurs, tellement d'amour, tellement de tout et même si maintenant nous ne sommes plus ensemble, même si je n'accepterais jamais qu'elle soit en couple avec un autre que moi, Jeno autrement dit, mais je le garderais pour moi, et bien même si nous sommes séparés, nous sommes toujours liés. Je venais de lui parler de Doogy, ce chien avec qui elle était mariée depuis le jour où ils se sont rencontrés, il y a plus de deux ans et qu'elle me menace en parlant de lui, ça me touchait, un point qui nous liera pour toujours je crois. Désolé. Sur le canapé. lui disais-je avec le sourire tournant la tête pour le voir allongé sur le canapé. T'inquiète pas, il reste ton bébé. un autre petit sourire avant qu'on s'enlace pour un petit moment de tendresse et là voilà prête à faire le grand ménage dans mon appartement. Je la voyais filer dans ma chambre, la plupart des pochons étaient là bas, je la suivais et la voyais rentrer dans la salle de bain pour les jeter dans l'évier, et en se retournant elle se retrouvait à quelques centimètres de moi, un silence s'installait avant qu'elle ne s'écarte, voyant qu'elle était perturbé, moi aussi, cette petite gêne, cette petite tension. C'.. C'est moi. lui disais-je lorsqu'elle s'écartait pour sortir de la salle de bain, je soupirais légèrement me regardant dans le miroir et je la rejoignais dans le salon Co.. comment ça va avec Jeno ? demandais-je, au fond de moi je m'en voulais de lui poser cette question car je détestais la savoir avec lui, un autre que moi mais je ne laissais rien paraitre.

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Et merde ! Tu pouvais supporter pleins de choses mais pas de l'avoir là quasi coller contre toi, son souffle caressant ton visage. Tu ne pouvais pas, tu étais bien trop faible pour supporter ça. Sortant donc rapidement de la salle de bain, tu regagnais le salon sans te retourner une seule fois face à Konrad. Tu passais près du canapé et caressais la tête du husky qui t'avait reconnu et qui te faisais comprendre qu'il était content de te voir. Ramassant tous les pochons que tu trouvais, Konrad te demandait comment ça allait avec Jeno. Soupirant doucement, tu émis un faible sourire. « Ça va plutôt bien. On ne se voit pas beaucoup en ce moment mais ça va. Bon, il m'a oublié au bal mais rien de grave. » En réalité, ça t'avait mise hors de toi. Tu avais juste eu envie de lui foutre ton poing dans la gueule mais bon c'était Jeno. Tu ne pouvais pas lui en vouloir mais il y avait cette part de toi qui aurait tellement aimer qu'il assure et qu'il te voit dans ta robe de bal. C'était vraiment le seul moment où tu pouvais t'affichais avec lui et faire taire toutes les langues qui pouvaient se déliées. Enfin bref, tu reprenais tes esprits allant jeter cette merde dans l'évier de la cuisine. Une fois cela terminait, tu te retournais face à Konrad prenant appuie sur le plan de travail. « Et.. et toi ? » Tu le regardais le visage neutre, le voyant s'approcher de plus en plus tu redoutais le fait d'être à quelques centimètres de lui. Il y avait cette sorte de tension entre vous qui faisait que tu ne pouvais pas t'empêcher de te sentir attirer d'un certain côté.

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† fight me because I'm going to do something stupid.†

koace † Quelques centimètres qui nous séparaient, c'était perturbant, ça ne durait que quelques secondes avant qu'elle ne s'écarte et qu'elle quitte la salle de bain, je me sentais bizarre d'un coup, je m'étais fais à cette idée, elle et moi ça pouvait pas marcher mais d'un autre côté, ce lien entre nous me faisait hésiter. Je la rejoignais dans le salon où je la voyais récupérer encore des pochons de blanche et je lui demandais des nouvelles d'elle et Jeno, même si c'était à contre cœur, je ne voulais rien laisser paraitre car oui ça me faisait clairement chier qu'elle soit avec un autre que moi. Quand même, oublier sa meuf au bal faut le faire, j'ai pas mon mot à dire j'sais mais quand même Jeno à merdé sur ce coup. je m'étais rapproché d'elle, toujours un peu plus, la fixant, lors qu'elle voulait savoir ce qui l'en advenait de moi Moi quoi ? disais-je, m'arrêtant devant elle, encore avec ces quelques centimètres, pourquoi m'étais-je rapprocher autant c'est presque que comme si elle était cet aimant qui ne cessait de m'attirer, et cet aimant auquel je ne pouvais ni dire non, ni résister.

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