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Je sais pas je le sentais pas trop non plus ce coup, là déjà que je suis certaine de m'être fait flashé avec Dylan avant de l'emmener à l'hosto, qu'on allait me pourrir la vie que sont père allait me pourrir la vie, quitte à retourner en Allemagne. Je jouais avec le feux tout comme lui, on avait simplement des dimensions différentes des risques s'était certain. Il voulait parler sérieusement mais moi aussi, ou il y avait une chose simple à faire, écouler le stock et tout arrêter après. "Oui c'est vrai, vrai que les Quincy sont sages et font pas de conneries, arrête tes préjugés sur nous, on est pas des anges, crois moi. Donc c'est... nan ça serai à moi, je te dois rien, tu me dois rien. Après ça?!" J'avoue que s'était tentant mais y avait tellement de risque à côté, j'étais peut-être qu'un simple Quincy à la dérive, fille de vigneron reconnu par le monde, passant trop de temps avec le mari d'un écrivaine reconnue, si je me faisais prendre, s'en était fini de moi, mais dans le font j'avais quand même envie de tenter. "Et imaginons que j'ai besoin de conseil tu serai là ou pas?" Nan parce que me laisser sont bordel c'est bien beau, mais je sais pas comment ça marche.
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Je voyais bien Alicia réticente face à cette nouvelle requête, c'est vrai qu'après tout elle était soudaine, je n'avais pas planifié de lui annoncer cela, c'était une idée qui m'était venue d'un coup, sans prévenir. En temps normal, il serait difficile de dire qu'un individu lambda puisse accepter une proposition pareille, car les risques demeuraient bien présents. Seulement, Alicia était bien loin d'être une personne banale, et puis je l'a voyais tout de même bien dealeuse, « Non tu ne me devras rien, je te donne le tout gratuitement. Vu qu'on ai gagnant tous les deux au final, je vais tout de même pas de demander un supplément. Cependant, je te demanderais juste de signer un certificat de confidentialité, afin que la vente se fasse à l'abri de quiconque, et que personne ne puisse jamais savoir que je t'ai vendu tout ça. » Je préférais néanmoins resté sur mes gardes, les médias n'avait fait qu'une bouchée de mon père, je n'avais pas le droit à l'erreur. « Biensur que je serais là ! Je te donnerais tous les conseilles et astuces d'un bon dealer ! ». Je lui souris, ce n'était pas tous les jours qu'on entendant ce genre de promesse tout de même. « Je me demande ce que tu attends pour être Mather...ça tirais tellement bien » lui affirmais-je légèrement espiègle.