Premier jour de fac [ Koko ]

kimad † Je la regardais et le jean lui allait à merveille, elle avait un physique à tomber même avec son caractère, ses attitudes et son style, elle me plaisait quoi. Elle me voyait galérer devant mon armoire et elle ne se gênait pas pour passer devant moins en faisant exprès d'effleurer mon épaule, je souriais admirant ses fesses, un cul de rêve y a pas à dire. Elle me tendait un jean, je l'attrapais et l'essayais Alors ? demandais-je à Kim pour avoir son avis. Il me va ou tu dois me l'enlever pour m'en passer un autre ? un jeu s'installe on dirait, de la drague, de la séduction, on a l'air de s'amuser, du moins moi je m'amuse, plus elles me plaisent et plus je m'amuse.

kimad † Elle venait d'enfiler un des jeans de ma sœur, il lui allait vraiment bien et c'était à mon tour d'en choisir hein, sauf que j'hésitais entre tous ceux que j'avais et elle ne se faisait pas prier pour choisir à ma place. Elle passait devant moi, m'effleurant, c'était fait exprès, tout comme se baisser comme elle le faisait pour chercher un jean qui m'irait, je ne me gênais pas pour mater son cul, un cul de rêve au passage, elle m'en tendait un, je l'attrapais et l'essayais et j'attendais son avis avec impatience. Elle se redressait et se retournait avec le sourire, se rapprochant un peu trop près de moi, me faisant savoir que le jean était parfait mais que le haut ne collait pas, ses mains venaient sur mes hanches, un frisson me parcourait la colonne vertébrale puis ses pouces venaient se glisser sous le tissu pour ensuite le hisser vers le haut et me l'ôter. Alors tu proposes qu'elle haut Kimmy ? lui demandais-je d'une voix séductrice et surtout provocante. Il y avait définitivement ce jeu de séduction entre nous.

kimad † J'te remercie. je rigolais presque, bon oui je suis parfait, physiquement parlant, je le sais et j'en joue, caractériellement je suis très loin d'être parfait, donc autant jouer de ce que je dégage. Je la sentais perturbé et elle était troublée, c'était assez amusant, la même réaction que quasi toutes les filles qui ont déjà vu mon corps mi-nu et c'est plaisant de savoir qu'on plait. Elle me passait un t-shirt sans trop réfléchir, surtout pour cacher mon torse Saigner du nez ? je n'enfilais pas le t-shirt, j'allais même en jouer Il fait chaud, pas la peine d'enfiler ce t-shirt mais merci du choix. je le reposais dans l'armoire avant de me tourner vers elle Rougit pas Kimmy ou j'vais croire que tu craque pour moi. je la taquinais, c'était tellement bon d'avoir ce pouvoir sur les filles.

kimad † Je souriais, amusé par la situation, je la mettais mal à l'aise, elle était perturbée et ne savait plus trop quoi penser dès qu'elle m'avait ôter mon t-shirt. Elle avait une fixette sur mon corps, parfait disait-elle, j'allais pas la contre dire, j'en jouais même, refusant de mettre le t-shirt qu'elle m'avait passé histoire que je me couvre pour arrêter de la déstabiliser. Je le rangeais dans l'armoire avant de jouer de la situation et de ta taquiner avec le fait qu'elle pourrait craquer et elle ripostait direct me certifiant le contraire Cause toujours, tu m'intéresses. dis-je souriant la voyant poser son index sous mon menton Tout est dans la cuisine. elle enlevait son index et sortait de ma chambre. Dommage, j'ai attraper froid.. je sortais de la chambre, elle était là, adossée au mur Occupe toi de moi.. sourire malicieux et regard de braise, tout devenait de plus en plus intéressant.

kimad † Je venais de sortir de la chambre et elle était juste à côté, adossée au mur, je m'étais rapproché d'elle m'amusant à lui dire que j'avais attrapé froid, qu'elle devait s’occuper de moi. Oui je sais. elle arrêtait de tourner autour du pot et entrait finalement dans mon jeu, posant sa main sur mon torse nu Parce que. sa main s'enlevait et venait avec l'autre, autour de ma nuque, nos lèvres se frôlaient presque, je devais lui donner une raison de faire en sorte qu'elle s'occupe de moi,, je souriais Moi j'ai faim. je venais glisser mes lèvres dans sa nuque en posant mes mains sur ses hanches, je jouais à mon rythme, luid onner la raison qu'il fallait pour qu'elle s'occupe de moi.