Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityL'Ange soigne le démon. ça promets. ❥ Avec Pryam. - Page 2
Le Deal du moment : -20%
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
Voir le deal
239 €


L'Ange soigne le démon. ça promets. ❥ Avec Pryam.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
    Je ne pouvais pas faire autrement à cause de son insistance, ses sous-entendus, je les comprenais parfaitement, je ne comprenais pas comment il pouvait s'intéresser à moi de la sorte. J'étais outrageusement plus vieille que lui, j'aurais peut-être pas l'âge de sa mère, mais il était jeune, j'approchais de la quarantaine. J'essayais de reprendre mon calme en revenant, posant la boite sur le petit chariot au bord de son lit. Je le regardais soudainement, le voyant alors en caleçon. Il ne bougeait plus, je penchais la tête, surprise.
      . Qu'est ce qu'il y a ? le questionnais-je soudainement.

    Je fus un peu étonnée et m'approchait de lui pour poser mes mains sur ses joues, vérifiant la température de son corps. Ça allait parfaitement, il ne semblait pas avoir de fièvre. Je pris la nuisette et l'aidant pour qu'il ne se fasse pas mal à la poitrine avec ce que je venais de lui faire, je refermais en bas de sa nuque, avec un petit nœud.
      . Allongez-vous.

    Je posais ma main sur son épaule, en lui souriant tendrement pour qu'il se rallonge. Je pris ses vêtements que je mis dans un sac en plastique, et les déposait en dessous du brancard. Je retournais à mon bureau pour remplir quelques papiers.
      . Je vais vous emmener à votre chambre, n'hésitez pas à appeler une infirmière si vous avez besoin. Si nécessaire, je serais là. Je présume qu'on a déjà prévenus vos parents. Bref... Allons-y.

    Je défis la sécurité et ouvrant la porte, je sortis dans le couloir avec Pryam sur le brancard, me dirigeant alors vers la chambre privée qui lui était décerné. J'y avais déjà été à plusieurs reprises, il fallait avouer que c'était loin de ressembler à une chambre normal comme ont les autres patients. Une infirmière m'aida pour entrer, on se retrouvait encore seuls, ce qui ne me rassurait jamais. Je positionnais alors le lit en plein milieu de la chambre.
      . Vous devriez vous reposer. Vous avez besoin de quelque chose ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
    Il aimait qu'on s'occupe de lui et il y avait été habitué depuis tout petit. A peine sortie de l'hôpital lorsqu'il est né qu'il avait déjà une nourrice, rare était les fois où sa mère le prenait dans ses bras, jusqu'à ce qu'il sache marché il ne connaissait que les bras de sa nourrice qu'on écarta de sa vie lorsqu'il fit ses premier pas. Puis sa mère en prit une autre. C'était typique de l'aristocratie anglaise, changer de nourrice pour que les enfants ne s'attache pas. Certains familles par soucis de garder leur secret bien en chaud n'en changeait pas mais la famille Eastwood qui était irréprochable à l'époque et qui n'avait aucun secret préférait en changer afin que les enfants oublie complètement la personne qui s'est occupé d'eux. Lorsqu'il commença à marché, une seconde nourrice ou plutôt un homme s'occupait de lui, marché à coté d'un majord'home donnait aux enfants une tenu irréprochable en marchant, du moins c'est ce que répétait sans cesse son père. A l'âge de trois ans, il avait deux institutrice qui l'accompagnait et qu'il garda jusqu'à ses sept ans. Puis, elle furent virer et remplacer par cinq professeurs qualifié qui le suivait quasiment 24h/24h. A l'âge de ses douze ans, plus aucun professeur ni majord'home personnels à ses cotés, il disposait à présent de tous les serviteurs de ses parents jusqu'au monsieur au chapeau qui campait devant la porte et qui était charger d'accompagner les membres de la famille Eastwood jusqu'à leur voiture en tenant un parapluie et dieu sait qu'elle tache difficile quand on connait le nombre de jour de pluie en Angleterre. Tout ça pour dire qu'il n'avait jamais eu aussi douce compagnie à ses cotés et les mains de cette jeune femme était les plus délicate qu'il eut sur lui jusqu'à présent.

    Il l'a suivait alors sans concession, il la laissa l'aider à s'habiller, s'allongea sur le brancard comme elle l'avait exigé, se laissa transporter jusqu'à la chambre...puis lorsqu'elle lui demanda s'il avait besoin de quelque chose, il ne put s'empêcher de rétorquer :

    « J'aurais été en meilleur état, je vous aurais surement amener dans ce restaurant de la ville dont les lustre sont en or, on aurait mangé sous les violons de la salle, j'aurais eu surement un costard de chez Hermes et des chaussures cirés chez Vuitton, on aurait fini la soirée au Kendall Square Cinema à regarder un vieux film de chaplin...Mais aujourd'hui il n'en est rien, je suis coincé dans un lit d'hôpital avec vous, alors par pitié ne partez pas, restez avec moi, toute la nuit, discutons jusqu'au lever du jour... »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je ne m'attendais pas à ce qu'il me réponde ça. Il disait qu'il préférait une soirée avec moi dans un restaurant, après un cinéma. Tout ce que je rêvais avec un garçon, quelqu'un de charmant, avec qui discuter et passer un temps agréable. Sérieusement, j'étais perdue. A la fois, il avait fait son article sur moi, il paraissait pas comme dedans, je me sentais pas vraiment la proie. Je me sentais plus draguée, j'avais l'impression de me faire draguer, j'avais l'impression que je lui plaisais mais, je ne voulais pas de ça, enfin... je me sentais pas rassurée. Je rougissais, un peu perdue.
    . je... je ne pensais pas à ce genre de besoin. Je ne penses pas que ce soit correcte que je reste ici, et... si on me trouve ici, je risque d'avoir des problèmes, et... mon père est le directeur de l'hôpital, je ne veux pas... vous... en faite, je vous connais même pas...

Je ris, me trouvant vraiment bête en le regardant dans les yeux, à la fois troublée par l'aristocrate, le bel homme qu'il était, mais aussi par le fait que ce n'était pas bien si je restais, si je passais la nuit avec lui, les gens parlent ici... je me tâtais quelques instants, je devais prendre une décision, et j'étais beaucoup trop gentille pour lui dire « non ».
    . Bon d'accord, je reste! Mais pas toute la nuit! Je... c'est pas bien si je reste autant de temps, les gens pourraient se poser des questions, je ne voudrais pas mettre mes parents dans l'embarras.

Je ramenais une mèche en arrière, derrière mon oreille, et je me rapprochais de lui. Je ne savais pas comment m'y prendre, je me méfiais de tous les hommes autour de moi, surtout depuis que mon dernier petit ami m'avait trompé, et sûrement pas la première fois lorsque je l'avais découvert. Au fond, je devais être sociable, et lui parler, ce n'était pas un mal, non ?
    . J'émets une condition. C'est vous qui parlez de votre vie, et vous répondez à mes questions. Ça vous va comme ça ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
    Elle avait enfin accepter de rester avec Pryam une partie de la nuit et il s'en réjouissait, il sourit alors à cette bonne nouvelle. C'est vrai qu'elle n'allait pas rester une partie de la nuit mais le fait même qu'elle accepte de n'en rester qu'une partie était un vrai soulagement pour le jeune homme. Ce qui était plus étrange c'était la condition qu'elle avait émis : ne parlez que de lui. Avait-elle peur de lui dévoiler quelconque secret par son imprudent bavardage ? Était-elle si prude qu'elle se devait de rester muette ? Ou encore, son statut d'infirmière ne lui permettait peut-être pas de se dévoiler comme n'importe qu'elle autre jeune femme mais au fond, elle était une étudiante comme les autres. Cette demande était étrange c'est ainsi qu'il le voyait.

    - Avez-vous peur de vous dévoiler ?

    Néanmoins, il ne voulait pas gâcher ses chances de rester avec elle cette nuit, alors, il décida d'accepter sa demande.

    - Alors on ne parlera que de moi même si de nous deux je suis sur que celui qui aime le moins se confier c'est bien moi, cela dit, j'accepte. Alors parlons de moi ! Posez moi toutes les questions que vous voulez et passons la plus belle des nuits.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Peur de me dévoiler ? Je devais l'avouer qu'un petit peu, je ne le connaissais pas et l'article qu'il avait eu à mon égard ne me mettait pas du tout à l'aise. Il n'était pas méchant, je le voyais bien, il n'avait pas l'air d'un pervers sexuel, mais j'étais bien trop pudique pour dévoiler ma vie à un homme que je ne connaissais pas.
    . Je tiens à me défendre en disant que je ne peux pas confier des parties de ma vie à un inconnu. Je suis une personne méfiante, Mr.Eastwood.

Je me rapprochais de lui pour m'asseoir sur l'un des fauteuils qui sont mis à disposition. L'avantage qu'il soit d'un statut social aisé, c'est que le mobilier était confortable, c'était plus agréable pour discuter avec lui. Je m'asseyais en tailleur, le dos bien calé contre le fauteuil.
    . Alors... vu que je ne connais absolument rien de vous, je voudrais... connaître votre maison à Harvard, vos études, vos ambitions, ... je voudrais aussi savoir ce qui a fait que vous avez écrit cet article sur moi ? Je veux dire que j'ai rien de plus que les autres filles, je m'habille pas de façon sexy comme les Cabots, je fais plus la fête pour éviter les accidents donc vous ne pouvez pas me croiser ainsi...je veux dire que...c'est troublant...

Au final, je parlais de moi, mais ça, il l'avait sûrement remarqué depuis le temps. Je faisais alors une petite pause pour reprendre mon souffle.
    . Vous draguez souvent les filles? Je veux dire...vous n'avez pas fait vœu de chasteté? Vous cherchez la fille qui vous convient ou vous vous amusez un peu avant de vous préparer au mariage...? Mariage arrangé ou d'amour...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
    Je voudrais... connaître votre maison à Harvard, vos études, vos ambitions, …

    Elle demander un peu une carte d'étudiante en détail. Ce n'était pas des choses à cacher, a vrai dire, la maison, les études et les ambitions de Pryam étaient surement les seuls choses que les gens savait sur lui.

    « Je suis le président des Winthrops » et voilà qui en disait long sur le jeune homme. Les Winthrops était une maison d'hommes exclusivement, qui se partageait secret et filles à gogo.

    « Ensuite je suis en Histoire et en théâtre, je suis d'ailleurs metteur en scène du club de la troupe de théâtre » Et oui ! Pryam c'était quelqu'un qui bougeait et qui faisait pas mal de choses. Être le metteur en scène de la troupe de théâtre d'Harvard lui donnait une notoriété conséquente chez certains patron des théâtres du monde entier, ça lui donnait un accès important à ces salles.

    « Ensuite, je souhaite diriger des musées et plus précisemment créer mon propre musée. A côtés de ça j'aimerais écrire des pièces, les mettre en scène et pourquoi pas réaliser un film un jour ».


    Je voudrais aussi savoir ce qui a fait que vous avez écrit cet article sur moi ?

    Voilà une question qui posait un peu plus de reflexion mais avant même d'écire l'article, Pryam en avait eu les réponses.

    « Pas besoin de se balader en porte jartelle pour figurer dans un de mes articles, votre beauté simple me suffit...surtout ces paumettes là » Il parlait des paumettes de la jeune fille qui faisait tout son charme.


    Vous draguez souvent les filles?

    Qu'allait-il dire ? Le truc c'est que oui il draguait des filles et il passait un temps à détruire leur vie sociale en leur faisant découvrir leur vie sexuelle. Bref il était l'un des Hommes les plus immoral qui soit. Il aurait du dire qu'il ne draguait jamais personne et qu'elle était la seule pour qui il eut cette réaction mais il en était rien bien sur, tout le monde connaissait Pryam Eastwood et ses nombreuses conquêtes, on aurait pu en faire un film.

    « La vérité c'est qu'avec les femme, je n'ai pas eu une vie toujours moralisatrice disons. Quand au mariage je n'en parlerait pas, je ne connait pas encore la définition de ce mot et pour le coup je n'y ai jamais pensée. Quand il s'imposera à moi alors j'y penserais ».
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Un Winthrop ? Et même le Chef ? J'étais tellement peu accrocheuse de ce qu'il se passait dans Harvard, au point de ne pas connaître le Chef des Winthrop, le garçon sûrement le plus populaire d'Harvard. Au moins, il me répondait sans hésitation, je sentais qu'il disait la vérité. Quand je le voyais, il avait un projet d'avenir intéressant. Ça m'exaspérait, j'avais l'impression que c'était un envoyé de mon père pour essayer de voir si je lui plaisais pour voir pour un mariage, vu que j'étais la seule fille de la famille qui était sage. Chaque réponse à mes questions me mettaient plus ou moins à l'aise, lorsqu'il a fallu parler de l'article, je sentis mes joues rosirent sous le compliment. Je n'osais pas le regarder. Il fallait calmer le jeu et avec une question comme ça, je m'attendais à quelque chose de plus... sentimentale. Je fus surprise de sa réponse. Je m'approchais de lui, posant mes avants-bras sur le lit, posant mes joues d'hamster.
    . Pour un garçon capable d'écrire l'article plutôt charmant, ça me surprends que tu n'y penses pas. Trouver la fille de tes rêves, voir ton avenir à ses côtés, te marier avec elle... un mariage merveilleux...un baiser divin...passer des noces magnifiques et vivre une vie remplie d'amour... un chemin de bonheur quoi! Ça ne te donne pas envie ? Euh... pardon... je m'emportes un peu.

Je rougissais, enfouissant mon visage entre mes mains pour me calmer. Je me tapotais alors les joues, j'étais un peu bébête sur le coup. Je regardais le visage de Pryam. J'étais à présent à l'aise, je pouvais discuter sans vraiment me préoccuper que j'étais encore en tenue d'hôpital, peut-être parce qu'il n'était pas habillé normalement lui aussi.
    . hm...sinon... je vais faire plus corsé! Et même te choquer! Je ne poses pas ce genre de questions mais vu que j'ai le champs libre, j'ai envie de savoir... J'étais timide soudainement. Mais je me lançais. Vous n'avez personne en vue? Une fille qui comblerait vos envies, votre amour? Peut-être qui vous fera penser au mariage un jour? Et... Je ris. J'avoue que je ne suis pas très douée pour poser des questions. Restons dans le sentimentalisme... tu as un genre de fille particulier qui te plait ? Et … tu as envie d'un fantasme ou un désir particulier à assouvir ? Une passion ? Commme... par exemple, moi j'adore me balader dans le jardin de ma famille, pieds nus... et j'aimerais le faire avec l'homme de ma vie...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
    Trouver la fille de tes rêves, voir ton avenir à ses côtés, te marier avec elle... un mariage merveilleux...un baiser divin...passer des noces magnifiques et vivre une vie remplie d'amour...

    Elle avait été très loin dans la description ce qu'était l'amour, le mariage, tout ça. Bizarrement Pryam ne trouvait pas ça pathétique et, au contraire, pour une fois, il trouvait ça mignon. Il aimait cette naïveté et fragilité qu'elle avait, ce sens de la vie qui la menait loin. Cette vision du monde qui paraissait si erroné et qui pourtant pouvait s'avéré si réelle si seulement les gens pensaient la même chose qu'elle.

    Pryam souffla quelque peu, il ouvrit la bouche comme pour dire quelque chose puis se tue. il avait envie de s'exprimer mais ce qu'il allait dire, il ne l'avait jamais dit a personne, est-ce que cette femme était vraiment la bonne personne pour se confier ? il en doutait bien pourtant il ré-entrouvit la bouche pour prendre la parole et cette fois-ci, il s'exclama :

    - Ma mère a trompé mon père...

    Pryam n'avait jamais exclu le fait que son père avait pu également trompé sa mère mais le fait est que leur mariage avait été un vrai chao et avait causé énormément de problème et de scandales en tout genre. Pour lui l'amour se résumait de cette manière : des scandales. Des scandales dès qu'une fille trop prude se décoinçait un peu auprès de son compagnon, un scandale si un homme avait le malheur de choisir une secrétaire blonde, un scandale si une dispute de couple éclatait lors d'un diner...bref pour lui c'était ça ce qu'on appelait l'amour : une cause d'animation de la vie si morne des hommes.


    Vous n'avez personne en vue? Une fille qui comblerait vos envies, votre amour? Peut-être qui vous fera penser au mariage un jour?

    - Non, le hasard fait trop bien les choses non ? je ne cherche pas, j'attend que le hasard me porte vers quelqu'un. Regardez, on s'est trouvé là nous deux, non ?


    tu as un genre de fille particulier qui te plait ? Et … tu as envie d'un fantasme ou un désir particulier à assouvir ? Une passion ? Commme... par exemple, moi j'adore me balader dans le jardin de ma famille, pieds nus... et j'aimerais le faire avec l'homme de ma vie...

    - Tu me fais rire !

    Et c'était bien rare que quelqu'un face rire Pryam, en fait, c'était son coté enfant encore protéger, gentille et comment elle voyait la vie et ce qu'elle aimait, bref ce qu'elle était le faisait sourire.

    - Un genre de fille ? Non.

    Il réfléchie encore :

    - Un fantasme ? Tient puisque t'en parle hier je pensais que j'adorerais faire l'amour sur un tapis de fourrure prêt d'un feu de cheminé.

    Il réfléchit ensuite :

    - J'adore aller au théâtre !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je me rendais compte que je posais vraiment des questions impersonnels lorsqu'il m'eut dit que sa mère avait trompé son père. Je connaissais ce genre de chose, enfin, rapidement, étant donné que l'on m'avait déjà trompé aussi. Finalement, même si mes questions étaient indiscrètes, je changeais d'avis sur un point : ça me permettait de le connaître un peu plus. Le destin... le hasard qui va faire que l'on rencontre des gens, parfois c'est de l'amour, parfois c'est simplement de l'amitié. Comme un coup de foudre, je dirais. Et Pryam, à mes yeux, faisait parti des personnes qui se mettaient dans la catégorie de l'amitié, car il faut l'avouer, je l'aimais bien finalement, ce n'était plus vraiment le garçon que je pensais avoir en face de moi après cet article, peut-être avais-je juger trop vite ? Ou non ? Je n'en savais rien et je préférais laisser guider mes impressions, quitte à me prendre un vent monstrueux. D'ailleurs, en parlant de vent, Pryam se marrait bien à ma question, c'était une question aussi indiscrète que les autres, mais étrangement, il en parlait. Et c'est là qu'il me racontait succinctement son fantasme. Ma tête pencha sur le coté, un peu surpris de son fantasme, je ne connaissais pas ce qu'était « faire l'amour », de l'acte, je ne voyais pas comment il pourrait apprécier ça en dehors d'un lit, mais c'était sûrement mon coté religieuse qui ressortait et se sentait gênée de la sorte. Heureusement pour moi, je ne pouvais ne pas y répondre, il m'annonçait apprécié le théâtre.
    . C'est un très bon hobby le théâtre. Personnellement, je n'en ai jamais vu mais ça peut être intéressant. J'ai lu quelques livres quand j'étais au lycée, la tragédie de Phèdre était vraiment touchante.

Finalement, je retournais me coller à mon dossier. Plutôt fatiguée, je ne voulais pas m'endormir sur son lit, suffisait que je touche son torse et il pourrait avoir très mal, enfin... je m'en doutais vu comment il avait souffert pendant que je l'avais recousu. Je m'essuyais les yeux en reprenant.
    . Vous allez souvent voir des pièces ? Vous avez sûrement des préférences ? Vous êtes sûrement un grand admirateur de Shakespeare pour Roméo & Juliette, non ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
    Elle décida de parler théâtre. Il sentait qu'elle avait été assez gênée par certaines réponses de Pryam, il ne savait trop pourquoi, il avait envie de lui demander et aussi de lui poser des questions mais ils se souvent qu'il n'avait pas le droit c'était à elle de poser des questions et à elle seule. Il décida de lui répondre.

    « C'est marrant Phèdre est l'une de mes pièces préférés, il faut dire que j'attache beaucoup d'importance à la mythologie. Tu t'y connais toi en théâtre ? »

    Bien elle lui parlait de la fameuse pièce de Roméo et Juliette.

    « Il faut dire que je suis également fan oui. Ce qui est bien dans les adaptations sur scène de cette oeuvre c'est la scène finale, on reconnaît une bonne pièce de Shakespeare à cette dernière scène. Il suffit de regarder le public...Si les gens pleurent alors tu as réussie, tout simplement »

    Il décida d'étoffer un peu son discours et dans dire un peu plus sur cette passion qu'il a pour le théâtre.

    « Mes oeuvres préférés sont celles de Molière mais je pense que la prochaine pièce que je vais mettre en scène à Harvard sera une adaptation de l'oeuvre des Liaisons Dangereuses, tu connais ? »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)