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L'Ange soigne le démon. ça promets. ❥ Avec Pryam.

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« Quand les démons veulent produire les forfaits les plus noirs, ils les présentent d’abord sous des dehors célestes. »
de WILLIAM SHAKESPEARE

    Il y a quelques jours encore, je faisais ma pause tranquille, lisant le journal de l'université. Je ne fus pas déçue de voir ma photo dans un article. Je fus surprise, et bien évidemment, je devais lire ce qu'on disait sur moi. J'étais surprise, je ne connaissais pas ce fameux « Pryam Eastwood », enfin, il ne faisait pas médecine, je risquais pas de le connaître. Je soupirais, jetant le journal dans la poubelle. Je ne voyais pas où j'étais sa « cible n°1 », lui avais-je fait pour qu'il agisse ainsi ? Je retournais à mes occupations, terminant mon rangement dans mes dossiers jusqu'à ce que mon bipeur se mette à me casser les tympans. Sans vraiment faire attention si c'était bien rangé, je me mis à courir vers les urgences, c'est alors que je vis le camion des secouristes arrivé.
      . Que se passe t-il ?
      . Euh... Celui qui arrive, c'est un élève d'Harvard, il s'est blessé pendant un cours, je n'ai pas plus de précisions. Ce n'est pas très grave, mais c'est une personne importante, c'est pour ça que vous avez été appelé.
      . Amenez le dans mon cabinet, je vais le prendre. N'oubliez pas de préparer la fiche de soin, j'attends.

    Je soupirais, voyant les portes du véhicule s'ouvrir sur le patient, je me dirigeais vers mon bureau, l'ouvrant en grand pour qu'ils puissent passer le brancard. Je préparais alors quelques bandages, je ne savais pas ce qu'il avait après tout. Je refermais ma blouse, c'est alors qu'on apportait un jeune homme sur le brancard, on le transférait sur mon lit médicalisé. Je me dirigeais alors vers lui.
      . Bonjour, je suis le Docteur Saint John, je voudrais savoir votre nom, prénom, et ce qu'il s'est passé exactement..

    Je pris alors un stylo et la feuille de soin que m'apportait l'infirmière, posant mon regard sur cet homme, il me fit un peu peur, je le sentais...très impressionnant, c'était plutôt bizarre. Je ne me laissais pas toucher pour essayer de le soigner.

Désolé, c'est pas terrible.
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    Pryam s'était rendu en cette mâtiné à la salle de théâtre pour faire un essaie sur les décors de son prochain spectacle. Il avait choisie de revisité les liaisons dangereuses. Pour cela, il avait besoin de reconstitué un décors, celui du salon de Mme de Merteuil ou se dresserait toute l'histoire. Cependant des meubles du 18ème siècle c'était du boulot. Il y avait tout d'abord deux canapé immense et baroque ornée d'or, du vrai or. Tout avait été acheté par Pryam qui se dévouait corps et âme au club de théâtre. Puis des tapis, muraux et de sol également. Puis un paravent en velours pourpre et enfin l'immense miroir que l'on retrouve dans l'oeuvre lorsque Valmont caché derrière le paravent fait des signes à sa camarade afin de la déconcentré et de la mettre dans la voie de ce qu'il aurait aimé dire à l'interlocuteur de la duchesse. Cependant lorsque les ouvriers eut fini d'accrocher le miroir, Pryam se mit devant afin de l'admirer quand souvent, le miroir tomba et même si Pryam eut le réflexe de se reculer, des éclats de verres lui avait atterri dessus, il saignait juste en dessous du torse mais alors que ses amis essayait de l'aider à retirer son tee-shirt pour lui retirer le bout de verre, le tissue s'accrochait au bout de verre lui déclencha une douleur atroce. Ainsi, ils n'eurent d'autre choix que d'avertir le personnel qui vint le chercher. Le mettre sur le brancard fut une épreuve car il ne pouvait se pliait il devait rester allonger un mouvement du torse et la douleur était insupportable. On l'amena alors au moyen d'une ambulance à l'hôpital de Cambridge. En arrivant, on l'amena dans une salle ou il reconnu tout de suite le médecin qui était devant lui : c'était sa cible n°1. Alors quand elle lui demanda son prénom, il n'eut de choix que de sourire et même de rire, il s'avait qu'à l'instant où il allait dire son prénom elle allait savoir de qui il s'agissait, il aurait pu choisir un autre nom mais il décida de révéler qui il était :

    « Qui je suis ? Je pense que ça va pas vous plaire.... » Il la fixa, fit son sourire en coin, intérieurement, il rigolait vraiment la situation était marrante « Je suis Pryam eastwood ! »

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    Je notais quelques petits détails sur ma fiche, griffonnant alors les détails de sa blessure, assez rapidement car je devais les lui retirer. Je l'avais questionné, après tout, il fallait bien que je mettes un nom sur sa fiche de soin. Je le regardais, et même fut étonnée par le sourire qu'il arborait. Je fus surprise, et attendant une réponse, je posais le support sur mon bureau, m'approchant de lui pour l'examiner. « Qui je suis ? Je pense que ça va pas vous plaire.... » Je levais ma tête vers lui, je n'avais pas l'impression de le connaître, mais il semblerait que lui oui. Je répondais à son regard, je le fixais autant qu'il me fixait, je sais pas pourquoi, je le sentais pas. « Je suis Pryam Eastwood ! » Je me mis à rire, c'était donc lui? J'étais tellement surprise, que j'en rigolais, je devais m'écarter de lui pour me calmer. Je me sentais gênée au fond de rire devant un patient, mais je ne pouvais me retenir.
      . Enchanté, Mr.Eastwood. Je ne m'attendais pas à ce que vous vous blesseriez pour venir me voir. Je posais ma main sur le pan de son tee-shirt pour lever un peu, histoire de voir ses blessures. Vous êtes vraiment blessé. Rassurez moi, vous ne l'avez pas fait exprès pour que je vous examines ?

    J'essuyais mes larmes de joie et partit dans le SAS pour me laver les mains, et prendre plusieurs « outils » afin de soigner le pauvre élève. Je revenais dans le bureau, posant alors le matériel sur un petit plateau que je posais non loin du torse du jeune homme.
      . Bon... j'espère que vous n'êtes pas une petite nature, Mr.Eastwood. Vous voulez quelque chose dans la bouche pour éviter de vous mordre la langue ?

    Je pris alors le ciseau pour couper autour des blessures, pour enlever le plus de tissus possible sans toucher à ses blessures pour l'instant. Je mis les bouts dans la poubelle. J'espérais vraiment qu'il ne soit pas une petite nature. J'ouvris un plastique où était un ciseau spécial stérilisé, et j'attendais qu'il me réponde pour commencer à retirer les morceaux de verres.
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    « Si j'avais vu avec certitude que ça me mènerait à vous, je l'aurais fait depuis bien longtemps » et c'était bien vrai. Pryam savait que la belle était médecin en revanche il ne savait pas où elle exerçait et surtout avec le nombres de médecin qu'il y avait dans cette immense hôpital, en avait autant de chance de se faire soigner par son médecin préféré que de trouver 5 dollars perdu sur son lit d'hôpital. Il ajouta alors : « Comme quoi, le destin vous voyez... » !

    Sa blessure le faisait extrêmement souffrir alors certes, il avait oublier quelques instant cette douleur mais elle revenait c'était par coup. Il n'était pas une petite nature non loin de là et pourtant il suait comme s'il luttait pour ne pas avoir mal. Il étaient cependant entre de bonnes mais, pensait-il. Lorsqu'elle s'inquiéta de savoir s'il allait supporter l'intervention, il fixa la jeune femme et rétorqua avec sa voix douce et délicate « Quelque chose à mettre dans la bouche ? Si vous m'embrassiez je suis sur que plus aucune douleur n'aurait raison de moi ».
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    Il n'était donc pas là exprès ? J'étais rassurée, même si au fond, j'avais du mal à le croire, sûrement à cause de cet article qui me troublait. Je ne comprenais pas pourquoi un élève pouvait s'intéresser à moi, surtout que j'étais presque comme une professeur, et beaucoup plus vieille que lui.
      . Comme quoi le destin fait mal les choses...

    Oui, j'avais peur de lui et de son article pour la simple raison qu'il avait écrit sur son journal que j'étais sa « cible n°1 », j'aimais être discrète et pour la peine, c'était raté. Je le regardais, constatant que la douleur devait être atroce, je n'avais pas envie d'être à sa place. Je le regardais, surprise par les propos qu'il avait. Comme-ci j'allais l'embrasser, il avait rêvé, jamais je ne toucherais à un homme avant qu'il soit mien, j'avais bien trop peur des conséquences.
      . Que cela est fort intéressant. Dommage que je n'ai pas mangé de l'ail, je vous aurais révulsé!

    Je lui fis un sourire alors que je mettais mes gants. Je pris le ciseau, le regardant, j'hésitais et puis... je ne devais pas être méchante avec lui. Je pris deux bouts de tissus propre que j'humidifais avec un peu d'eau, l'un que je posais sur son front, et l'autre où j'essuyais ses joues, histoire qu'il se sentes mieux. J'approchais alors un second tissus devant ses lèvres pour qu'il le mordes s'il le souhaite.
      . Je vais les retirer, faites attention à ne pas vous mordre la langue, ça serait dommage que vous la perdiez, non ?

    Je repris mon ciseau, et posant ma main sur son torse, je retirais petit à petit les morceaux de verres, du moins, les plus petits. L'infirmière revenait me voir, et prit les devants pour passer du désinfectant sur les parties où j'avais retirer le verre. Je reposais mon regard vers lui.
      . Je vais retirer le plus gros morceau, dites moi si je peux continuer... c'est ce qui fera le plus mal.

    Ma main sur son torse pour le calmer et le maintenir, j'attendais une réponse pour reprendre, et enlever le dernier morceau, celui qui faisait certainement le plus mal, il semblait si profond.
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    Pryam était allongé souriant. Il était très charmeur mais sans vulgarité avec classe, il sentait ce truc, il y avait quelque chose en elle qui l'apaisait fortement et il aimait ça. Bien sur, c'était évident, elle avait refuser de l'embrasser et ce avec humour, il prétexta alors pour aller dans son sens « au contraire, j'aime l'ail... ».

    Ensuite, elle se mit à retirer les bouts de verre, la douleur était bien présente mais il se sentait bien et en sécurité. Il ne dit rien alors comme si ce n'était que des picotements. En revanche quand l'infirmière vint lui administrer du désinfectant, il se mis soudain à rugir discrètement, il ne voulait pas de ces mains sur lui.

    Enfin, elle allait retirer le plus gros morceau, elle s'inquiète bien évidemment de savoir si il était « ok » et conscient de la couleur que pouvait engendré l'extraction. « Vous me ferez plus mal en me repoussant qu'en me retirant cette chose ».

    Et alors qu'elle continuait à préparer l'intervention et qu'elle vint vers lui pour extraire ce gros bout de verre qui était planter dans son torse, il la coupa avant qu'elle commence "accepter de boire un verre avec moi...".
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    J'avais un peu de mal à lui échapper, ce n'était pas facile, il était plutôt charmeur. Je le regardais en souriant, ça l'amusait sûrement de dire ça, personnellement, je n'aimais déjà pas embrassé quelqu'un qui venait de fumer, alors quelqu'un qui avait mangé de l'ail, je n'osais même pas imaginé l'horreur, il devait vraiment avoir envie de toucher à mes lèvres, mais je n'y prêtais pas attention, il était un patient comme un autre, j'en avais vu d'autres...même si c'était peut-être lui le pire des séducteurs, qui ne lâchait pas. Je préférais me concentrer sur ses plaies, enlevant les petits morceaux, je me retenais de rire lorsque je l'entendais gémir lorsque l'infirmière vint à le désinfecter un peu. Je le regardais, le prévenant que ça allait faire mal. « Vous me ferez plus mal en me repoussant qu'en me retirant cette chose ». Je me mis à rire, c'était vraiment charmant, mais je ne tomberais pas dans le panneau.
      . D'accord.

    Je souris, et prit le ciseau, je me préparais à lui enlever. Connaissant la profondeur, ça se voyait, il nécessitait bien évidemment plus de soin, je regardais l'infirmière, elle comprit qu'il allait falloir quelques aiguilles, et du fil pour le recoudre. Je posais ma main sur son pectoraux, me préparant à lui retirer. « accepter de boire un verre avec moi... » Je le regardais un peu surprise, mais je ne le lui répondais pas. Je pinçais sa peau autour du morceau de verre, et retirait délicatement le morceau, en le posant sur un petit récipient de métal.
      . Je ne suis pas sure que ce soit correct.

    Je congédiais l'infirmière du regard une fois qu'elle eut préparer le fil dans l'aiguille, et je regardais Pryam, un instant, essayant de lui faire comprendre que ça allait faire mal, enfin en principe, car les hommes étaient moins sensibles sur ce genre de choses. Je me mis à le recoudre, essayant de le recoudre délicatement, faisant attention à ce qu'il ne souffre pas trop. Une fois terminé, je posais l'aiguille sur le plateau, et prit du désinfectant.
      . ça va mieux? Vous désirez quelque chose? On va vous garder en observation pour la nuit, pour voir si ça va, après, vous reviendrez dans deux semaines pour contrôler ça. N'hésitez pas à revenir à l'hôpital si vous pensez que ça s'infecte, on verra ça... Attention...

    Je le prévenais, avant de mettre un peu de désinfectant pour nettoyer le reste de sa plaie. Je tapotais avec un gaze sur sa blessure, maintenant alors son torse en le tenant avec ma main.
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    Quand elle se mit à lui pincer la peau il coupa alors sa respiration pour atténuer la douleur. Gonflant son torse, il savait qu'elle s'apprêtait à lui retirer le morceau et qu'il allait avoir mal. En effet, lorsqu'elle le retira il commença un gémir doucement, il suait un peu, il ne pensait tout d'un coût qu'à sa plaie jusqu'à ce qu'il l'entende « Je ne suis pas sure que ce soit correct ». Il était vrai que en tant que médecin mais aussi en tant que professeur, c'était totalement incorrect mais Pryam s'en fichait pas mal de tout ça, surtout que finalement, ils n'avaient pas beaucoup de différence d'âge tous les deux.

    « Je me fiche de la bienséance ! »

    Lorsqu'elle le fixa du regard pour lui indiquer que ça allait faire mal, Pryam regarda alors le plafond, s'empêchant de respirer il espérait encore faire passé la douleur de cette manière. Mais la douleur était vraiment intense, il soupira alors très fort plusieurs fois. Lorsqu'elle termina et qu'elle désinfectant, la douleur était partie, le désinfectant paraissait même être un soulagement. Puis elle lui demanda si ça allait mieux, s'il désirait quelque chose et lui expliqua qu'il restera en observation toute la nuit.

    « Vous viendrez me voir cette nuit ? »
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    Je me fichais pas de la bienséance, comme il le disait si bien, je ne pouvais pas essayer d'accepter qu'il me drague, sous X prétextes, je ne pouvais pas. A présent, il était mon patient, mon médecin, et heureusement pour moi, je n'étais qu'un professeur comme les autres, voir même je ne me considérais pas comme professeur, je n'avais aucun titre pour enseigner, mais pour soigner, et je n'avais pas l'expérience pour ça. Ça me faisait sourire qu'il s'intéresse à moi comme ça, mais je le sentais trop direct, j'avais peur d'être comme toutes les étudiantes de vingt ans qui se laissaient avoir par un beau garçon, surtout que Pryam avait ce charme qui me troublait quand même un peu. Je ne préférais pas répondre, ça me troublait cette insistance continuelle. Je m'occupais consciencieusement de lui, essayant de faire mon travail malgré tout. Il me demandait alors si j'allais venir le voir, j'avais l'impression qu'il voulait me voir. J'hésistais, j'avais peur de lui quand même un peu, mais pas à cause de son comportement, il était plutôt charmant, très bon seducteur, et je devais avouer qu'il était pas moche du tout, il était même attirant, mais je ne voulais pas céder à la tentation que m'agitait le Diable sous le nez.
      . Je ne sais pas si je suis de garde ce soir. Possiblement vu que vous êtes là, on va surement me demander de rester ici. Je m'occupe souvent des personnes qui viennent d'Harvard. Mais je préfère laisser un autre médecin le privilège de vous surveiller.

    C'était mieux ainsi. Je savais qu'il avait rien d'innocent, que sa question cachait sûrement autre chose. Je m'écartais de lui, enlevant le chariot pour le mettre contre le mur, et je partis mettre mes gants dans la poubelle. Je pris une sorte de robe de nuit en tissus, et je revenais vers lui.
      . Déshabillez vous, et mettez ceci. Je cherchais alors le sac en plastique. Et mettez vos effets personnels là dedans, je vais chercher des médicaments pour soulager en cas de douleur. Restez allonger, quelqu'un viendra vous chercher.

    Je retournais une ou deux minutes dans le SAS pour prendre quelques médicaments que je posais dans une boite en métal. Je revins vers lui, espérant qu'il arrête peut-être ce qu'il me faisait subir depuis tout à l'heure, je n'aimais pas me sentir aussi faible dans ce genre de situation, j'avais du mal à me préserver sur le coup, ça ne pouvait qu'être passager, une mise à l'épreuve du bon dieu..
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    Il fut si direct que la belle en prit peur si bien qu'elle voulait demander à un autre médecin de faire la garde de nuit qu'elle avait l'habitude de faire lorsque les élèves d'Harvard étaient blessés. Il ne voulait pas d'un autre médecin ça c'est sur, il était même capable de partir de l'hôpital dans la nuit, il détestait les hôpitaux alors s'il n'avait personne pour le retenir dans son lit, il s'enfuirait ça c'est sur, il l'avait déjà fait et il ne comptait pas passé la nuit ici. L'hôpital est lui c'était un lien qu'il ne connaissait pas, il en avait horreur et même peur...

    - Mais je ne veux pas d'un autre médecin...

    Le protocole de l'hôpital obligeait les patient à mettre une espèce de nuisette de nuit bleu horrible qui les rendait encore plus malade selon pryam. Quand on est à l'hôpital avec cette espèce de robe, accroché par des tubes à une perfusion, installé dans un petit lit style brancard dans une salle blanche et avec une espèce de sonnette au dessus de nous, on se sent tout de suite souffrant alors qu'on ne l'était pas forcément à notre arrivé. C'était l'ironie de l'hôpital.

    Pryam se leva alors pour enlever ses vêtements sous les ordre du médecin. Il n'avait déjà plus de tee-shirt et il enleva son pantalon. C'était un homme très bien fait, il avait toujours été dessiné ainsi/ Lorsqu'il était plus jeune il était très fin c'est en grandissant qu'il a pris du poids et surtout du muscle. C'est ainsi qu'il s'affiche à présent comme un homme d'un carrure irréprochable très protectrice. Lorsqu'elle revint, il n'avait pas fini de s'habiller, il se trouva, il donc en caleçon devant elle, il ne bougea pas la mettant surement mal à l'aise en ce moment...
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