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Caleb&Thaïs + I can't believe my ears !

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Avait-il le droit de dire qu’il n’avait rien compris ? Très certainement. Thaïs n’était pas réputée pour être une fille très simple mais d’un autre côté, elle avait follement besoin de se défouler de la façon la plus agréable possible histoire de se vider l’esprit et revenir sur ce qui venait de se passer n’était pas dans ses projets, loin de là. « Tu as le droit de le dire mais il n’y a rien à comprendre » coupa-t-elle, la respiration presque haletante, tandis qu’elle soupirait en se faisant maintenir par les épaules par les bons soins de Caleb. Lui qui n’était pas loquace d’ordinaire, ne voulait-il pas se remettre en mode silence juste pendant quelques secondes histoire qu’elle évacue son stress et sa colère ? La danse ne lui suffirait pas cette fois, c’était une certitude certaine. « Mais moi je n’ai pas du tout, du tout envie d’en parler chéri. Je veux juste oublier cette bitch à la vitesse de l’éclair pour garder le peu de tête froide qu’il me reste et je crains que la danse ne parvienne pas à me calmer pour le coup » avoua-t-elle sans honte tandis qu’elle le poussait avec un mélange d’ardeur et de douceur contre la paroi de la première douche à proximité, lui ôtant ses mains puissantes de ses frêles épaules à elle pour mieux faire de sa ceinture de l’histoire ancienne lorsqu’elle atteignit bruyamment le sol. La seconde d’après, elle maintenait ses poignets contre la paroi, s’emparant de ses lèvres comme si elle recherchait la plus petite once d’oxygène qu’il pouvait bien lui offrir et ce n’est que plus haletante qu’elle murmura à son oreille : « Je répondrai à toutes les questions que tu veux après m’être calmée mon ange mais là… je n’arrive pas à réfléchir et je n’en n’ai pas envie, j’ai juste follement envie de toi… » Thaïs lui mordilla aussitôt l’oreille avant de ne dévorer son cou de baisers tandis que ses mains brûlantes continuaient doucement mais sûrement à lui ôter un à un ses vêtements restants.
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C’était bien la première fois que Thaïs voulait que je me taise et cela ne fit que m’inquiéter dans un premier temps avant que toute pensée cohérente ne déserte mon esprit. Comment rester de marbre quand la femme que vous aimiez de tout votre cœur vous mettez aussi nu que le jour de votre naissance ? Oui, je savais que j’aimais cette femme plus que ma vie et bien plus que je n’avais aimé Mary. Les deux histoires n’étaient pas comparables. Mary, elle, était à l’opposé de Thaïs. Les deux femmes partageaient l’amour de la danse mais pour la première, ce n’était qu’un moyen de s’exprimer pour la seconde, c’était tout bonnement une façon d’exister. Thaïs et moi partagions bien plus la danse mais au-delà de ça, je sentais une véritable connexion entre nous. La seule chose qui me bloquait était que je n’avais pas encore terminé mon deuil de ma fiancée. Je ne voulais pas aimer deux femmes en même temps. Je voulais, le jour où j’arriverai à prononcer ces mots, qu’il n’y ait plus que ma jolie blonde dans mon cœur et dans ma tête. Je lui devais bien ça, je NOUS devais bien ça.

Pour l’heure, je pouvais lui apporter ce réconfort dont elle semblait tant avoir besoin et si les mots restaient dérisoires, les actes n’en auraient que plus de poids. « Tout ce que tu veux trésor » murmurais-je avant d’inverser les rôles pour mieux la plaquer contre la paroi de la douche, mes mains fébriles la déshabillant pour pouvoir enfin sentir sa peau contre la mienne. Mes lèvres entamèrent alors une lente exploration de ce corps car je voulais lui faire perdre la tête, lui donner cette sensation qu’il n’existe plus rien en dehors de nous et même s’il y avait urgence, il était hors de question que je néglige son plaisir alors je lui donnais tout : caresses, baisers, effleurement, tout. Je l’entrainais alors sous la douche chaude, me glissant dans son dos pour mieux offrir son corps à l’eau tandis que mes mains la vénéraient en caressant sa poitrine avant de glisser sur son ventre plat pour mieux se perdre entre ses cuisses. « Laisse-moi te faire perdre la tête » murmurais-je à son oreille en lui demandant ni plus ni moins que de se laisser aller et de me laisser mener la danse comme lors de nos répétitions.
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Enfin, il abdiquait… Thaïs commençait sérieusement à être à court d’arguments mais elle voulait à tout prix tenir bon, ne pas gâcher un moment de pure folie par celle dont sa sœur aurait été l’instigateur. C’était bien simple, la jolie irlandaise ne voulait pas songer à sa sœur tout court, ou lui donner la plus petite importance dans son existence. « Je préfère ça » s’amusa-t-elle avant de ne se laisser plaquer contre la paroi de la douche, ravissant ses lèvres au passage avant que Caleb ne se mette à mener définitivement la danse : il fallut tout son self control à Thaïs pour qu’elle ne se mette pas à hurler de plaisir en pleine cabine de douche, et ce bien qu’elle ait pris le soin de fermer la porte principale à clef. Il n’aurait plus manqué qu’on les observe ou même qu’on les entende en plein ébat… « Tu me fais déjà perdre la tête » avoua-t-elle au bout de quelques secondes, alors qu’elle se tenait littéralement à la paroi de la douche pour ne pas sombrer définitivement dans cet océan de plaisir dans lequel son cher et tendre la faisait plonger tête la première. Sauf qu’il n’était pas question que Thaïs soit la seule à perdre l’esprit, elle ne l’entendait pas de cette oreille. Elle s’empara donc des mains diablement douées de Caleb pour mieux déposer un baiser sur chacune d’elle et se retourner afin de lier fougueusement ses lèvres aux siennes. Leurs deux corps étaient déjà dégoulinant d’eau mais rien n’empêcha les doigts inquisiteur de la jolie blonde de se mettre à caresser cet éphèbe, se nourrissant de ses frissons, redessinant chaque courbe de son être jusqu’à atteindre sa virilité fièrement tendue rien que pour elle. A aucun moment Thaïs ne lâcha ses lèvres, lui prodiguant une sorte d’oxygène nouvelle tandis qu’elle cherchait à lui offrir autant de sensations qu’il avait pu lui en donner de son côté. « Caleb… je te veux et je n’ai pas envie d’attendre » murmura-t-elle finalement à son oreille, secouée par sa propre impatience.
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« Tu n’es pas la seule à y perdre la tête » murmurais-je car c’était la stricte vérité, Thaïs me faisait succomber rien que par sa présence, sa voix, sa chaleur alors que dire de ses attouchements ?! Je crois que la meilleure des réponses restait mes gémissements et autres soupires de plaisir qui ne faisaient que s’accroitre à mesure que le temps passait à être torturer par ces délicieuse mains mais très vite, tout comme moi, Thaïs ressentit le besoin de s’unir. « Tout ce que tu voudras trésor » m’exclamais-je dans un gémissement légèrement bestial avant de la soulever dans mes bras et de plaquer son dos contre la paroi fraiche de la douche pour mieux me fondre en elle d’un long et profond coup de rein. Diable que c’était bon de retrouver cette chaleur, cette moiteur qui m’enivraient les sens. J’étais comme un lion en cage qu’on venait de libérer après une longue traversée du désert. C’était presque hallucinant de voir à quel point nos corps s’accordaient dans cette danse sensuelle rythmée sur la mélodie de nos cris de plaisir. Je n’arrivais plus à intégrer quoique ce soit qui n’était pas elle, pas nous. Je n’arrivais plus à rien si ce n’est plonger au creux de sa féminité pour me repaitre d’elle et lui appartenir. Aussi, quand la jouissance me vrilla les reins, je pris ses lèvres dans un baiser des plus fougueux pour calmer le cri qui se voulait libérateur. « Je t’aime » murmurais-je sans m’en rendre compte, la tête plongée au creux de son cou alors que je peinais à retrouver une respiration. Je ne voulais pas m’écarter, je voulais rester encore un peu en elle, comme protégé de tout et de rien. Je m’étais juré que je ne prononcerai pas ses mots sans être certain que Thaïs était la seule dans mon cœur mais il semblerait que ce que ma tête rechignait à comprendre, mon cœur lui, le savait déjà. Ma jolie danseuse était désormais la seule à détenir mon cœur.
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Une chose était sûre : ils n’avaient jamais mis autant de passion ni de volonté dans une étreinte auparavant. Thaïs se donnait sans condition au même rythme que Caleb, ne lâchant pas ses lèvres d’une semelle alors qu’il la comblait de vagues de plaisir de plus en plus intense. A plusieurs reprises, elle dû faire preuve d’un self control terrible pour ne pas planter purement et simplement ses ongles dans la peau de son dos offert à ses plus viles attentions tant il la comblait de toutes les manières possibles et imaginables. Mais quand enfin la jouissance les prit de concert, c’est un élan de surprise qui s’empara aussitôt du cœur de Thaïs pour finalement refuser de le lui rendre : il lui avait dit qu’il l’aimait à voix haute. Caleb ne s’en n’était peut-être même pas rendu compte tant cela semblait être un cri du cœur mais il le lui avait dit, elle n’avait pas rêvé ! « Tu m’aimes ?! » répéta-t-elle en déglutissant avec difficulté, un regard presque gaga sur les lèvres avant qu’elle ne se mette à l’embrasser à nouveau, avec un peu plus de tendresse et de douceur, contrastant agréablement avec l’étreinte des plus fougueuses qu’ils venaient de se donner. La jolie irlandaise demeura tout contre lui de longues minutes également, reprenant son souffle avec peine tandis qu’une fatigue incontrôlable pesait de plus en plus lourd contre ses épaules. Finalement, elle se blottit complètement entre ses bras, reposant sa tête devenue pesante contre ses épaules puissantes, soupirant de bonheur. Oui, elle était heureuse… fatiguée certes mais heureusement comme elle ne l’avait jamais été. « Chéri… je suis exténuée » avoua-t-elle simplement, luttant pour ne pas fermer tout bêtement les yeux bien qu’aucune différence ne soit marquée de son côté niveau vision, qu’elle les ait ouverts ou fermés. « Pitié dis-moi que tu n’as pas cours et qu’on va pouvoir rester dans les bras l’un de l’autre pendant des heures… j’ai pas envie de quitter tes bras, j’ai juste envie que tu sois avec moi. »
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« Oui. » réponse au combien courte mais révélatrice. Oui je l’aimais. Depuis quand ? Aucune idée. Comment ? Non plus. Tout ce que je savais, c’était que je l’aimais peu importe comment les choses s’étaient déroulées entre nous, l’important était le résultat final. Ma mère me disait toujours la même chose : peu importe combien de temps tu danses, seul compte la performance à la fin. J’avais fini par me tenir à cette philosophie sans négliger mes efforts. J’avais besoin même au sein de ma vie privée de me laisser guider et d’observer la finalité des choses. Toutefois, j’avais peut-être une petite idée de l’origine de mes sentiments. Cela me faisait penser à un dessin animé que ma petite sœur affectionnait tant quand elle était gosse. Dans ce film, il y a une chanson et je ne sais pas pourquoi, les paroles me faisaient penser un peu à notre histoire : Et trois deux un, Il prend sa main, c'est presque une évidence. Elle est radieuse et victorieuse, prête à saisir sa chance... J'ai tout prévu, mais n'ai rien vu, d'un amour qui commence [...] faut pas qu'un homme et une femme dansent.

Oui cette chanson me faisait penser à nous mais au-delà de ça, j’aimais l’aimer. Comment ne pas l’aimer ? Thaïs était la femme la plus magnifique que je connaisse et je ne parlais pas de beauté physique. Non, à l’intérieure, elle était simplement la plus belle. « J’ai cours mais je rattraperai tout cela plus tard » me contentais-je de répondre, un peu surpris en un sens qu’elle ne m’ait pas retourné mes sentiments mais qu’importe. Son sourire valait peut-être mieux que des mots. « Si tu es sage et que tu t’habilles, j’accepterai peut-être de te porter jusqu’à mon dortoir » plaisantais-je doucement avant de déposer un baiser sur ses lèvres et de m’écarter, frissonnant loin de sa chaleur.
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Thaïs n’avait pas encore retourné les sentiments de Caleb mais ça ne voulait pas dire qu’elle ne les ressentait pas, bien au contraire. L’exact inverse se jouait actuellement : cela faisait un bon moment déjà qu’elle était persuadée de ses sentiments, seul manquait le courage, la volonté de passer à l’étape de l’aveu. Mais aujourd’hui, ces deux inconnues de l’équation ne manquaient pas, la fatigue pesait simplement bien trop lourd sur ses frêles épaules pour qu’elle n’ait la possibilité de lui rendre une déclaration convenable. Thaïs ne voulait pas juste lui dire « je t’aime » en passant au détour d’une douche, comme ça, sans cadre romantique ni temps devant elle pour s’épancher sur son cœur amoureux… la blondinette voulait faire les choses dans les règles, avec un sens du détail tout particulier. « T’es le meilleur mon ange » murmura-t-elle d’une voix effectivement exténuée avant de sortir de la douche non sans l’entraîner avec elle, tout en l’embrassant, incapable qu’elle était de se détacher de lui-même une seconde. Ce fut d’ailleurs presque un déchirement que de s’écarter pour s’habiller dans les règles, car quelque chose lui disait que Caleb n’aurait jamais accepté même une seconde qu’elle se balade en petite culotte ou pire, aussi nue qu’à sa naissance même portée entre ses bras puissants. « Laisse-moi juste dormir quelques heures entre tes bras pour me remettre de mes émotions et je t’avouerai tout plein de choses à mon tour… je veux que l’on soit dans ta chambre sans oreilles indiscrètes et avoir tout plein de temps devant moi. Mais dis-toi que je ressens les mêmes choses. Je suis juste… trop fatiguée pour réellement aligner trois mots cohérents à la suite » avoua-t-elle en se passant légèrement la main sur la nuque, non sans être incroyablement sincère au passage. Demain, il aurait sûrement la plus belle déclaration de sa vie, et pour l’instant, elle le couvrait déjà de baisers.
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Le meilleur ? Je n’étais pas certain de la chose mais je n’étais pas homme à contrarier ma petite-amie. Il ne fallait d’ailleurs jamais contrarier une femme sous peine de s’exposer à des conséquences désastreuses surtout avec une chieuse. Je laissais donc simplement un sourire taquin effleurer mes lèvres, attrapant une de ses mains pour la poser sur mon visage et qu’elle comprenne mon silence même dans un état quasi-comateux comme le sien. En tous les cas, Thaïs avait raison, je préférais de loin qu’on se rhabille car je ne supportais déjà pas qu’elle se déshabille pour de l’argent, ce n’était pas en prime pour qu’elle se trimballe même dans mes bras, dans le plus simple appareil. « Je te laisserai dormir autant de temps qu’il faudra trésor » murmurais-je à son oreille avant de déposer un baiser sur sa joue et la soulever sur mon dos, bien plus pratique pour marcher car même si mon dortoir n’était pas très éloigné de notre salle de danse, il y avait une petite trotte quand même. « Je ferme à clé, quand tu seras bien endormie, j’irais chercher nos affaires. J’en aurais pas pour long, tu ne sentiras même pas mon départ » lui dis-je tandis que je redescendais les marches avec mon précieux colis sur le dos. Je marchais dans le silence sentant bien que Thaïs s’était endormie sur mon épaule. Je la trouvais adorable ainsi endormie.

Ce fut donc avec des gestes pour le moins précautionneux que je déposais la belle endormie dans mon lit avant de lui enlever tout vêtement susceptible de l’empêcher de dormir correctement avant de la border et de déposer un baiser sur son front. « Je reviens, j’en ai pas pour longtemps » lui dis-je pas certain qu’elle m’ait entendu avant de refaire un aller-retour à la salle de danse pour ramener nos affaires avant de tout simplement la rejoindre dans mon lit afin de mieux l’attirer dans mes bras. Il faut dire que je n’avais guère de choix puisqu’il s’agissait d’un lit une personne. C’était un coup à regretter le large lit de mon appartement en ville.
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Thaïs avait bien sûr hoché la tête à l’attention de Caleb pour lui faire comprendre qu’elle avait bien entendu chacune de ses paroles mais en moins de temps qu’il n’en fallut pour le dire, à peine fut-elle confortablement installée et portée contre son dos qu’elle sombrait dans un sommeil profond. Morphée n’avait guère pris le temps pour la serrer dans ses bras, lui offrant ainsi le repos bien mérité auprès duquel elle ne courait que depuis trop longtemps. La jolie irlandaise n’entendit même pas la voix grave et suave de son cher et tendre lui dire qu’il revenait, nageant déjà dans un rêve des plus agréables qui lui fit serrer d’autant plus Caleb à son tour tout en soupirant joyeusement d’aise, un joli sourire planant contre ses lèvres. « Je t’aime… » murmura-t-elle soudainement, dans son sommeil, sans s’éveiller un seul instant ni même avoir conscience de ce qu’elle était en train dire. « Tu es déjà toute ma vie » poursuivit-elle d’une voix extrêmement basse bien qu’intelligible, frottant à quelques reprises sa joue contre son torse sans pour autant arrêter là avec la confession. « Plus tard on se mariera… et puis je porterai tes enfants. On vivra vieux et on dansera toujours… toujours. » La sincérité se glissait à l’intérieur de ses propos, preuve qu’elle pensait ces derniers dur comme fer. Mais bientôt, le silence fut de retour dans la chambre de Caleb et ce pendant de nombreuses heures… jusqu’à ce que le corps de la blondinette ne soit suffisamment reposé et lui permette ainsi d’ouvrir paisiblement les yeux, constatant rien qu’à la respiration du jeune homme que celui-ci ne dormait pas. « Oh mon dieu j’ai dormi longtemps ?! Et toi, tu ne t’es pas reposé ? » s’enquit-elle aussitôt, rougissant légèrement au passage, quasi honteuse de s’être endormie comme une masse même si le tourbillon d’émotion qu’elle avait ressenti juste avant y était pour beaucoup. « Je confirme tu es vraiment confortable mais ça m’embête, non seulement tu as séché à cause de moi mais si en plus t’as pas dormi… »
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Je venais de rentrer dans ma chambre où le silence régnait en maitre malgré un léger et adorable ronflement. Elle était si belle dans son sommeil, les traits détendus, la montrant si vulnérable que j’éprouvais des remords à l’idée de me coucher à ses côtés de peur de la réveiller. Elle avait besoin de sommeil surtout si elle avait fait la java toute la nuit –avec une bonne dose d’alcool. Toutefois, ma propre fatigue me rattrapa et je me glissais bien volontiers sous ma couette, réceptionnant ma petite-amie dans les bras. Un trésor qui avait semble-t-il décidé à la fois de me prendre pour son doudou personnel mais également pour son confident. Un sourire attendri se profila sur mes lèvres tandis que je l’écoutais parler. Oh on peut dire qu’elle m’avait ôté toute idée de sommeil ou envie de dormir. En réalité, je n’avais de cesse de me répéter ses paroles. Elle voulait vivre et vieillir à mes côtés et qu’est-ce que c’était que cette histoire d’enfant ? J’ignorais qu’elle avait envie de devenir mère. En temps normal, les jeunes femmes de son âge pensent plutôt à leurs études et future carrière voire tout simplement à s’amuser. Décidément, il y avait bien des pans de la personnalité de Thaïs que j’ignorais. Je restais donc allongé sur le dos à regarder mon plafond, pensif.

Quelques heures passèrent avant que je ne sente un regain d’énergie dans le corps que je n’avais eu de cesse de serrer durant son sommeil. « Tu as dormi quatre heures et non, je n’avais pas sommeil donc tu ne m’as pas empêché de dormir » lui mentais-je. En même temps, je n’allais pas lui dire qu’elle m’avait fait de telles révélations que le sommeil m’avait fui comme un lâche ?! « Pourquoi t’excuser ? J’ai adoré te servir d’ours en peluche surtout que c’est adorable quand tu dors… Tu as un léger ronflement et en prime, tu parles durant ton sommeil » la taquinais-je de bon cœur avant de déposer un léger baiser sur son front. « T’écouter a d’ailleurs été très instructif » ne pus-je m’empêcher de rajouter cette dernière information.
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