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Caleb&Thaïs + I can't believe my ears !

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Thaïs était en retard d’une ou deux minutes à peine mais à sa décharge, elle se tapait une telle casquette suite à la beuverie de la veille qu’il lui était quasiment impossible de ne pas marcher en tenant sa canne d’une main et son front de l’autre. Néanmoins, la colère irradiait l’intégralité de son corps, cette dernière ne se dirigeant que vers une personne : Caleb. Bien sûr, qui d’autre ? Lui, le beau donneur de leçon incapable d’appliquer ses propres préceptes ! Il n’y avait qu’à entendre la force avec laquelle l’irlandaise venait d’ouvrir la porte à la volée pour savoir qu’elle était en colère. La musique venait juste de stopper, preuve que l’allemand était déjà présent en ces lieux et qu’elle n’aurait pas à l’attendre en prime au risque de n’en ruminer que davantage. « Alors, c’était bien de te taper Maëlys après avoir dansé avec elle ? » attaqua-t-elle sans une salutation ni le plus petit mot doux, Thaïs étant bien incapable de réfléchir avec discernement à l’heure actuelle. « Quand je pense que tu m’as fait tout un foin parce que j’avais dansé avec une autre personne que toi… mais bordel avec Tommy y’a jamais rien eu qu’une forte amitié alors que toi, tu as carrément dansé la salsa à l’horizontale en prime !! » C’était peut-être bas de sa part de remuer ainsi le couteau dans la plaie mais non seulement entendre ces propos de sa meilleure amie ne lui avait guère fait du bien mais en prime, elle ne pouvait que se souvenir de la façon avec laquelle il lui avait sauté à la gorge alors qu’il ne s’en n’était aucunement privé de son côté. « Faut croire que les grands principes ne vont dans un sens mais manque de bol tu vois, Maë est ma meilleure amie donc forcément, c’est venu jusqu’à mes oreilles ! »
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Je me faisais une joie d’attendre ma petite-amie, l’effet fut douché convenablement rien qu’en entendant la porte s’ouvrir à la volée. Elle était en colère pour une raison que je ne comprenais pas encore mais quoiqu’il en soit, j’éteignais la musique prêt à l’enlacer car je n’avais pas souvenir d’avoir fait quoique ce soit ces derniers jours. « Ce qui s’est passé avec elle appartient au passé et c’était bien avant que je ne sache ce que j’éprouvais pour toi alors tu relâches la pression car ça ne va pas le faire du tout » répliquais-je calmement tout en restant à bonne distance car les furies et moi, ça faisaient deux. Certes, elle était en droit d’être jalouse car apparemment c’était sa meilleure amie mais si elle devait m’attaquer sur toutes mes conquêtes passées, on n’était franchement pas couchés. « Je peux savoir ce qui te prends de m’agresser ainsi ? Je m’étais excusé pour ton cavalier et mon comportement maintenant si tu dois me ressortir l’histoire dès que tu as un pet de travers, ça ne va pas être jouasse. En passant, je n’ai pas couché avec ta copine alors actualise tes informations » déclarais-je cette fois-ci bien plus froidement car me faire prendre à rebrousse-poil le matin alors que je ne l’avais franchement pas vu venir, il y avait de quoi s’énerver. En prime, toute cette histoire était terminée bien avant que je ne sache que je l’aimais alors elle n’allait pas me chanter ramona quand même ?! « Et puis jusqu’à preuve du contraire, depuis qu’on sort en ensemble, je suis pas allé une seule fois voir ailleurs alors que je dois supporter le fait que ma petite-amie se dessape pour gagner sa croûte alors merde… Echauffe toi, on doit revoir le jive »
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Thaïs s’attendait à tomber sur un os, elle n’était pas complètement idiote mais sa jalousie la dominait totalement, à un point tel que même sa raison habituelle avait été réduite au silence. La réaction de Caleb fut à la hauteur de ce qu’elle attendait au départ, puis de plus en plus douloureuse même si l’irlandaise partait du principe on ne peut plus évident qu’elle l’avait bien cherché. « C’est pour le principe ! Et puis que tu te la sois envoyée ou pas je m’en tape le cul contre du gravas, c’est pas le propos ! C’est juste qu’apparemment toi tu t’es octroyé le droit de me faire me sentir comme une merde alors que quelques jours plus tôt, tu faisais pire ! Il n’y a jamais eu la moindre trace d’ambiguïté entre Tommy et moi et contrairement à moi, toi tu as deux yeux et tu n’es pas obligé de jouer à l’aveugle ou à voir des trucs qui n’existent pas ! » Thaïs avait un mal fou à se calmer mais pour ainsi dire, sa colère fut définitivement douchée par une blessure bien plus insupportable face au dernier discours de Caleb. Pour sûr, il serait toujours plus froid et même mauvais qu’elle ne le serait jamais : il n’y avait pas de trace de méchanceté dans les propos de l’irlandaise, alors que l’allemand venait de lui enfoncer soigneusement la tête sous l’eau, même s’il l’avait calmée dans l’entre fait. « Je n’ai jamais dit que tu étais allé voir ailleurs, jamais. C’était une question de principe, c’est tout… au risque de t’apprendre un truc, ça me dézingue de devoir enlever mes sapes pour éviter d’avoir les huissiers au cul. Mais qu’est-ce que tu peux bien y comprendre, hein ? Tu ne vois que le fait que je me dessape, pas les raisons derrière et pourtant, tu les connais bordel ! » Thaïs avait besoin d’air. Caleb avait beau vouloir s’entraîner, l’irlandaise n’était pas en capacité de le faire pour autant. Elle tourna donc les talons pour mieux sortir de la salle, en larmes, atteignant avec difficulté les marches extérieures où elle s’assit sagement, faisant gratter sa canne à terre pour s’occuper l’esprit et éviter de hurler.
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« MAIS PUTAIN C’EST PAS VRAI ! » rageais-je tout seul alors qu’elle venait de repartir comme si elle était venue. Bien sûr que je savais très bien pourquoi elle le faisait et qu’elle n’y prenait pas de plaisir mais merde, elle m’attaquait et je me devais de dire amen à ses conneries ? Je m’étais tenu à carreau, j’avais un passé derrière moi. Ce n’était quand même pas du premier puceau venu qu’elle était tombée amoureuse. Thaïs devait quand même bien se douter que j’avais couché avec d’autres femmes avant elle après, que pouvais-je faire d’autre ? Cette histoire avec ce Tommy, je l’avais pas prémédité, comme je ne m’étais pas dit : tiens, j’aime Thaïs, non je ne coucherai plus avec aucune fille. A l’époque des faits, je crevais de solitude alors merde, elle ne pouvait pas me reprocher d’avoir été le combler dans d’autres bras. Cette histoire de striptease me bouffait littéralement mais je ne disais rien, je rongeais mon frein alors que j’avais envie de fracasser la gueule de tous les clients. Toutefois, cela me brisait le cœur d’être en froid avec elle surtout pour des conneries du genre. Aussi, fermais-je la salle de danse pour la retrouver non loin de là, assise sur les marches. Je vins m’installer à ses côtés. « Je ne voulais pas te blesser, je voulais simplement te faire comprendre que ta crise de jalousie était totalement hors propos. Ce qui s’est passé avant toi, c’est de l’histoire ancienne pour moi. Concernant Tommy, je venais de comprendre mes sentiments pour toi et je t’ai vu magnifique dans ta robe de soirée, souriante au bras d’un autre homme et j’avais eu vent de votre tango des plus sulfureux et sensuels d’après votre public alors oui, j’ai pété un câble. Maintenant, je ne me cache pas, avant toi, j’ai connu des femmes mais c’était des histoires d’une nuit et je ne m’en excuserai pas car à cette époque, je ne te devais aucun compte. Après, comme tu le dis souvent, je ne suis pas devin. Je ne savais pas qu’il n’y avait aucune ambiguïté entre ce type et toi. Thaïs, concernant ton travail, tu remarqueras que je ne te dis jamais rien quand je viens te chercher, je te ne fais aucune crise de jalousie car je sais que tu ne le fais pas de gaité de cœur »
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Le pire, c’est que Thaïs se trouvait ridicule d’exploser et de faire une scène pour ce qui pouvait très bien être considéré comme un grain de riz. Mais qu’est-ce qui ne tournait pas rond chez elle ? Tout allait bien entre eux, bordel ! Résolution du jour : ne plus boire autant car le mal de crâne et les nausées n’étaient pas pour l’aider à avoir les idées plus claires. Mais par chance, cette fois-ci Caleb fut le plus sage et le plus intelligent des deux vu qu’il vint bientôt s’asseoir à ses côtés, lui expliquant plus clairement son point de vue alors qu’elle rongeait son frein dans son coin et pleurait comme une madeleine face à sa propre connerie. « Je ne t’ai pas demandé des excuses pour ton passif » s’expliqua-t-elle d’une voix plus douce sans pour autant réussir à calmer ses larmes. Il ne fallait pas croire, elle culpabilisait énormément d’exercer ce travail tout en sachant que Caleb l’attendait sagement dehors, tel le preux chevalier qu’il savait si bien être. « Moi j’ai surtout pété un câble parce que je fais un complexe. Mais un complexe de la taille de l’état de Washington… tu comprends, elle est belle, elle respire la vie ET elle peut te voir. Je sais, c’est ridicule mais tu ne peux pas vraiment comprendre. Je crois que j’ai trop bu hier soir pour noyer pour désespoir… » Thaïs secoua très légèrement la tête, sans pour autant y mettre trop de cœur afin d’éviter de ne se flanquer un nouveau mal de crâne plus puissant encore. « Je sais que tu ne me dis rien pour mon boulot mais merde Caleb je commence à te connaître et tu ne sais pas à quel point je culpabilise ! Si j’avais le choix crois-moi je ferais autrement mais j’ai beau te supplier tu veux toujours rester jusqu’à ce que je sorte… je fais ce que je peux mais je ne peux pas faire plus ! » conclut-elle en s’emportant légèrement non sans finir par déposer son front contre ses mains. Avait-on idée de se mettre dans des états pareils…
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Je savais qu’à un moment donné, je serais confronter à la jalousie mais aussi au complexe de Thaïs concernant son handicap, je m’y étais préparé mais je n’avais pas une seule fois imaginé que les deux puissent me tomber sur le coin de la gueule en même temps. Le moins qu’on puisse dire, c’est que c’était assez ardu à gérer. Je soupirais, me rapprochant d’elle jusqu’à me fondre dans son dos après m’être assis sur la marche juste au-dessus de la sienne. « Arrête de pleurer, il n’y a pas mort d’homme » déclarais-je en essayant de mettre de la douceur et de la chaleur dans mes propos mais à défaut de pouvoir réussir pleinement cet exploit, je l’entourais de mes bras pour l’attirer à moi. « Je me fiche que tu vois ou que tu ne vois pas. Je ne dis pas que ça m’emmerde pas certaines fois mais ça fait partie de toi et je l’accepte. Alors oui, il y a sûrement des filles jolies et voyantes mais je m’en tape comme de ma première chaussette. Je ne suis pas avec toi uniquement pour ton joli minois ou encore ton petit cul, je suis avec toi pour que tu es et pour que ce que je suis quand je suis près de toi. Tu ne le sais peut-être pas mais tu me rends heureux, avec toi, je vois l’avenir autrement et merde, tu arrives à me faire aligner plus de deux mots et cela plus d’une fois… Thaïs, je me fiche que tu sois aveugle et puis si tu vas par-là, tu as un avantage de taille sur les autres femmes, tu es bien plus habiles de tes doigts » tentais-je un brin d’humour avant de la forcer gentiment à venir s’installer à califourchon sur mes genoux. « Je te demande rien concernant ton autre job mais oui, j’ai peur qu’à la longue, ça finisse par nous mettre à Terre… Je pourrais te proposer de rembourser tes crédits, de prendre en charge tes frais et que tu me rembourses plus tard… ou nous pourrions essayer le BlackPool et si nous gagnons, tu empocherais la totalité des gains »
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Bien sûr que si, il y avait mort d’homme pour Thaïs. C’était la première fois qu’elle pétait une durite à ce point là pour un grain de riz sans réelle importance. Mais elle n’eut pas la volonté de contredire à nouveau Caleb, non pas par peur de se prendre un nouveau tacle dans la tronche mais plutôt afin de profiter de cette accalmie qu’ils avaient autant méritée l’un que l’autre : le jeune homme car il venait de se faire agresser de bon matin, et la jolie irlandaise car elle avait certainement passé l’une des nuits les plus pénibles de sa vie à force de cogiter pour rien. « Je te demande pardon » murmura-t-elle au bout de quelques minutes alors qu’il venait ni plus ni moins de l’inciter à venir s’installer à califourchon sur ses genoux. Thaïs voulait bien aller jusque sur la lune s’il restait avec elle, à lui faire partager cette chaleur qui contrastait agréablement avec son ton parfois si froid… « Tu es heureux avec moi ? » articula-t-elle avec difficulté avant de ne balayer elle-même les quelques larmes récalcitrantes venant de s’échapper de ses beaux yeux d’un bleu puissant. S’il ne lui avait pas dit clairement, sûrement ne l’aurait pas deviné elle-même, pas peur de se faire des idées. Mais autant dire qu’il balaya toute trace de tristesse en la faisant éclater de rire la seconde qui suivit. « Je savais bien que tu les aimais mes mains baladeuses ! » énonça-t-elle avec une fierté proche de la provocation, un nouveau sourire canaille reprenant ses droits contre ses traits de porcelaine. « Je sais que tu ne me demandes rien par rapport à ça mais crois-moi, je culpabilise bien assez toute seule. J’ai l’impression que ça casse l’ambiance entre nous les soirs où l’on se voit et le pire, c’est qu’hier je n’ai pas bossé et je voulais décommander Maë, venir te voir genre « tadaaa » surprise, mais je n’ai pas osé. C’est crétin, hein ? Pourtant, on aurait pu se voir sans que tu aies attendu trois ans dehors en te pelant le jonc… mais j’ai peur que tu finisses par me considérer comme un poids. Tu trouveras peut-être ça ridicule mais on ne peut pas dire que j’ai beaucoup l’habitude qu’on me bichonne et je veux te rembourser mais je ne sais pas comment ni quand je pourrai le faire. Je n’ai pas envie de mettre des problèmes d’argent entre nous… mais je peux peut-être trouver autre chose ? Si c’est invivable pour toi alors je te choisis plutôt que mon boulot, c’est évident, tu es mille fois plus important. Moi ce que je veux c’est que tu sois bien… je trouverai un plan B mon ange. »
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« Excuses acceptées ! » murmurais-je en déposant un baiser sur chacune de ses joues comme pour en tarir les larmes qui s’y déversaient. Définitivement, je n’aimais pas la voir pleurer et encore moins être à l’origine de ses larmes. Elle était bien plus magnifique lorsqu’elle souriait comme à cet instant précis, lui donnant un air canaille par excellence. « Oui je suis heureux et oui, je les aime tes mains baladeuses même quand tu as envie d’un câlin à vingt minutes que le réveil ne sonne » plaisantais-je en faisant référence à notre première nuit après l’épisode de la limousine. Cette nuit-là, nous avions refait l’amour encore et encore avant de sombrer dans un sommeil du juste dont elle m’avait tiré joyeusement et sans scrupules –autant dire que j’avais passé une journée pour le moins nébuleuse car même en étant insomniaque, j’avais besoin de quelques heures de sommeil tout de même. « On trouvera une solution ensemble et si tu ne veux pas être redevable financièrement, je peux toujours demander à mon père s’il ne connait pas quelqu’un qui est dans le besoin. Je ne sais pas, tu pourrais enseigner le braille ou même aider à la formation d’un chien d’aveugle mais sinon mon offre tient toujours » commençais-je en parlant dans un premier temps du sujet qui fâche avant de l’embrasser avec la plus grande des tendresses. « Ose avec moi. N’aies pas peur, laisse toi guider par tes envies. Si tu veux me voir, viens. Si tu veux m’appeler, appelles moi. Le jour où je te considèrerai comme un poids, c’est que j’aurais perdu toute intelligence et que je ne serais qu’un branleur de première catégorie. J’aime à croire que je vaux mieux que ça. T’es bien partie pour devenir toute ma vie Thaïs O’Neall»
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« Râle pas tu adores quand je t’épuise ! » fanfaronna un instant Thaïs avant qu’un sourire tendre ne se glisse contre ses lèvres, attestant du fait qu’elle ne puisse être plus touchée qu’à cette seconde précise. « Je ne veux pas être un poids pour toi, vraiment. Je ne sais que trop bien à quel point les problèmes d’argent peuvent détruire une famille et je n’ai pas envie que ça nous détruise nous. Cela ne nous empêche pas de tenter Blackpool mais je ne veux pas non plus que tu t'y sentes obligé. Mais si par contre tu peux m’introduire auprès de ton père, j’irai prendre contact après par moi-même pour qu’il puisse voir quelles sont mes capacités… il se trouve que pendant mon enfance j’étais au conservatoire, en piano, ça peut peut-être jouer en ma faveur ? En tout cas je ne sais pas ce que je ferais si je ne t’avais pas et n’aie aucune crainte… c’est parce que tu me rends plus heureuse que je ne l’ai jamais été que j’ai si peur de te perdre » avoua-t-elle non sans déposer un instant son front contre celui de Caleb, s’enivrant de son odeur avant de ne s’emparer de ses lèvres comme s’il s’agissait d’un ultime baiser de réconciliation. Mais hélas, elle fut coupée dans son élan par la voix ô combien désagréable de Minnie, sa sœur cadette, aussi brune qu’elle pouvait être blonde, et aussi sournoise que Thaïs s’avérait adorable. « Comme c’est touchant… il faut croire que tu as trouvé un homme aussi aveugle que toi pour t’accepter telle que tu es, sœurette ! Je suis fière de toi, tu as bien noyé ton poisson, surtout s’il est riche ! Mais il finira par s’apercevoir que tu ne vaux pas une cacahuète moisie et comme tous ceux qui t’ont un jour témoigné de l’importance, il finira par passer son chemin… » « LA FERME !! » s’exclama Thaïs en se relevant pour mieux la pousser sans forcément y mettre de violence et par conséquent sans risquer de la faire tomber. Il ne manquerait plus qu’elle blesse Minnie et aie une plainte sur le dos pour que la boucle soit bouclée. « J’en ai fini avec toi » murmura-t-elle d’une voix sévère avant de s’emparer de la main de Caleb pour qu’il la suive à l’intérieur du complexe sportif, l’irlandaise tremblant tellement la colère, la crainte et la tristesse irradiaient l’intégralité de son corps. Mais Thaïs ne reconduisit pas son cher et tendre à l’intérieur de la salle de danse, plutôt au sein des douches dont elle ferma la porte principale à clef avant de lui offrir un baiser des plus passionnés. En un mot comme en cent, alors qu’elle lui ôtait son débardeur, elle n’avait aucune envie d’en parler.
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« Tu ne me perdras pas aussi facilement. Je ne supporterai pas de te perdre toi aussi. Pour mon père, j’essaierai d’arranger cela sinon, tu pourras lui parler pendant le réveillon, il n’y aura aucun souci. L’avantage, c’est qu’il connait beaucoup de monde donc fais-moi plaisir et oublie cette histoire de striptease car moi vivant, il est hors de question que tu déshabilles devant un autre que moi » murmurais-je avant de tout simplement reprendre ses lèvres. J’avais besoin qu’elle comprenne que je ne lui en voulais déjà plus. Certes, j’étais un sanguin mais une fois calmé, je l’étais pour de bon. Il faudrait juste qu’elle évite de me reprendre à froid comme ça sinon, ça n’allait pas furieusement le faire. Le moment semblait idyllique jusqu’à ce qu’une demoiselle ne se pointe et ne s’attaque à Thaïs. Elles semblaient se connaitre et je fronçais les sourcils, prêt à prendre la défense de ma jolie blonde car il ne fallait pas déconner, il était hors de question que je n’intervienne pas alors que cela se passait sous mon nez. Toutefois, ma danseuse ne me laissa guère le temps d’en placer une qu’elle m’embarquait déjà vers la salle de danse ou plutôt les douches. « J’ai le droit de dire que je n’ai rien compris ? » demandais-je platement avant qu’une tornade ne me saute dessus et ne m’enlève mon débardeur. « Ouaw.. ouaw… qu’est-ce qui se passe Thais ? Et c’est qui cette nana ? » repris-je la parole en posant mes mains sur ses épaules pour la maintenir à une faible distance. Ce n’était pas que je n’appréciais pas que ma petite-amie fasse preuve d’autant d’ardeur mais c’était que je ne comprenais rien à rien et je détestais ça. « Au risque de paraitre paradoxale, je crois qu’il faut qu’on parle trésor »
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