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Un gala passant de l'ennui à l'envie. - Avec Pryam. ♥

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    Je me pinçais la lèvre lorsqu'il s'approchait de moi, j'étais loin d'appréhender le moment avec lui, je connaissais le bonheur de l'avoir contre moi. Je me mis à sourire lorsque je le vis allumer la bougie à coté de moi, je trouvais ça plutôt romantique, j'étais touchée de l'attention. Ça me troublait un peu, il voulait que je reste ainsi, je me laissais faire, pauvre petit agneau que j'étais. Je me laissais envouter par ses mains sur mes cuisses, je sentais déjà mon corps frissonner lorsqu'il vint à approcher son bassin du mien, nos corps étaient si proche, ma poitrine s'écrasait sur son torse, c'était une douce chaleur, si agréable. Je sentais sa main sur ma nuque et soudainement ses lèvres sur les miennes pour m'embrasser langoureusement. Je posais mes mains sur son torse, approfondisssant comme je le pouvais, ça me faisait du bien de sentir sa langue caresser la mienne, la chaleur de son corps contre le mien. Je glissais ma main sous sa chemise, déboutonnant petit à petit son haut pour laisser une grande ouverture sur son ventre, son torse, glissant mes mains sur sa peau. Je retrouvais le plaisir de l'avoir dans mes bras, c'était agréable. Je continuais de répondre à son baiser alors que je montais mes mains jusqu'à ses épaules pour lui enlever sa chemise en la faisant glisser le long de ses bras, la posant ensuite à coté de moi. Je posais ma main sur sa nuque, arrêtant alors notre baiser. « Tu veux...que je te détendes, Pryam ? Si tu as envie de... » lui dis-je en souriant timidement, je lui proposais une petite douceur, je voulais lui changer les idées, rendre sa nuit agréable. Je lui volais un rapide baiser, le regardant dans les yeux, en attente d'une réponse pour pouvoir lui voler ses lèvres.
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    « Tu veux...que je te détendes, Pryam ? Si tu as envie de... » ils le savaient tous les deux, le sacrifice de la chair était proche. Mais avant de lui répondre il partit dans ses pensées. Il relâcha alors tout son corps, retira ses mains de la nuque de la jeune femme pour se pencher sur le côté, il attrapa alors la bougie qu'il avait allumer auparavant. La bougie était de couleur rouge vif, et, elle avait déjà bien fondu et la cire liquide remplissait quasiment tout le pot de verre qui l'entourait. « Tu sais ce que ça signifie...Une bougie de couleur rouge intense ? » . Pryam pencha la bougie au dessus de l'épaule de chuck et tout en la versant sur son épaule, il ajouta : « Elles ont la faculté de renforcer la passion de jeunes êtres ardent... ». Il déposa ensuite l'autre moitié de la cire sur l'autre épaule continuant son monologue « ...mais aussi la force physique qui fait des jeunes gens des vainqueurs ». Il s'approcha encore plus près d'elle, lui dégrafant son soutien-gorge tout en reposant la bougie sur le coté « et surement le plus important le courage... ». Il passa ses mains sur ses épaules et fit glisser la cire brulante sur toute son épaule, puis l'étalant sur la nuque... « ...la volonté... »...puis vers la poitrine qu'il caressa et massa délicatement avec la douceur de la cire coulant sur sa peau. « Elles sont là, deux qualités d'élévation de soi ».

    Il l'embrassa alors délicatement tel un homme timide et inexpérimentée, ses lèvres avait effleurer les siennes comme une plume effleure un cou. Il retira ses lèvres des siennes et la regarda fixement afin de répondre à sa question pausé précédemment « Fait moi oublier le quotidien Chuck... »
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    Lorsqu'elle prit les mains de Pryam elle pouvait sentir les mains d'un homme, il avait de grande main, bien plus grande que les siennes, elles étaient sinueuse, comme couvert de symbole mais c'était simplement les mains d'un homme comme on en voyait peu : protectrices, intrigantes, vigoureuses, fortes et sexuelles.
    Le proche d'un homme et du contact humain était le touché. Il n'y avait rien de telle que d'être touché et de touché en retour, partout et par tous moyens. Toucher, entrer en contact de corps à corps, alors il se laissa guider par la jeune femme vers le dernier vêtement qui lui restait, il passa ses mains à l'extérieur de celui-ci, la caressant sans vraiment la toucher; et, avant qu'elle ne se baisse, il attrapa d'une délicatesse inouïe les deux extrémité de son sous-vêtement pour le faire glisser le long de ses sculpturales jambes dont lui avaient doté Adam et Eve, bien sur, ces merveilles ne pouvaient être que l'oeuvre du plus pur des amours.
    Puis, il la laissa faire, il la laissa abusé de son corps, le prendre, posséder et en retirer les fruits les plus subtiles. Plaisir, plaisir, plaisir, voilà alors le seul mot qui les animait. Pryam ne pu s'empêcher de soupirer, de plus en plus fort, des souffles par saccades qui reflétait bien l'état de transe dans lequel il était, dans lequel elle le mettait. Avec sa main gauche il attrapa le haute de sa nuque, il levant un peu cheveux et avec la droite il posa doucement sa main sur le haut de sa tête caressant ses cheveux, le pouce sur le front comme pour rappeler qu'il était là. Enfin à l'aide de ses mains avec lesquelles il appuya avec un peu plus de vigueur pour montrer qu'il voulait à son tour jouer à la roue du plaisir, il leva Chuck vers lui. Alors face à face, debout l'un devant l'autre proche, très proche, extrêmement...peu être trop proche. Si bien qu'il l'attrapa avec sa main droit dans le bas du dos, la rapprochant vers lui violemment. Puis, il mis sa main gauche sur sa joue droit afin de l'attraper pour l'embrasser et il ne s'arrêta pas, il l'embrassait encore et encore, il était comme posséder par le dieu du désir...
    Enfin, il descendit ses mains vers les hanches et descendant vers le bas de ses fesses tout en passant sur elle en les attrapant. Il la leva alors, elle était à présent sur lui, ses jambes entourant son corps qu'il avait brûlant alors qu'il faisait pourtant si froid. Il l'avait porté haut, très haut de manière à avoir son visage aussi de sa tête et alors qu'il attrapa ses lèvres avec les siennes, il l'a fit descendre doucement, tout doucement, de plus en plus délicatement, jusqu'à ce que les deux corps ne fasse plus qu'un...ils s'étaient emboités de telle manière qu'ils formaient à eux deux comme une fleur : les jambes robuste de Pryam en était la tige et le corps de Chuck enrouler autour du sien y jouant alors les pétales, et quelles belles pétales. Lorsqu'il la pénétra, il ouvrit la bouche comme pour montrer un plaisir intense.
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    Alors qu'il l'a portait sur lui, il donnait des petits coups de plaisir à la jeune femme mais soudain elle s'exclama d'une voie qui lui était bien à elle : « Ne m'épargnes pas, Pryam. Fais moi l'amour ». Il n'en fallait pas plus à pryam pour accélérer les choses. Il regarda chuck de son regard profond qui voulait dire « je vais te faire plaisir » puis il se retourna, la posa délicatement sur la table. Il mit sa main gauche derrière le dos de la jeune femme la pencha quelque peu en arrière et quand il sentit qu'il la tenait bien, il devint alors beaucoup plus ferme et les coups de plus en plus rapide et de plus en plus fort. Il la tenait d'une telle façon qu'il tenait les reines de cette folle nuit. Il l'a laisse-a un moment se couché sur la table puis il se redressa et de manière complètement perpendiculaire au corps de la jeune femme, il savait que de cette manière il allait lui donner un maximum de plaisir. Il mis ses mains sur le bassin de la jeune femme et continua ses va et vient si intense qu'il ressentait au plus profond de lui. Cette position lui donnait une telle sensation qu'il sentait chaque mouvement de ses pénétrations. De coup en coup, il sentait enfin un plaisir fou l'envahir, il sentait le plaisir suprême arriver. Il passa alors sa main sur le bas ventre de la jeune femme la glissant sur le long de son ventre, puis sa poitrine jusqu'à son coup qu'il attrapa délicatement. Il l'avait toute à lui et un coup, deux coup, trois coup et enfin le dernier.....trois soupirs et le plaisir était monté, monté jusqu'au cieux.
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Je l'avais supplié, j'avais envie de passer à une étape supérieure avec lui. Mes yeux se fondaient dans les yeux, et lorsqu'il répondit, je n'avais pas eu besoin de mots, ni même de gestes pour le comprendre. J'eus le temps de déposer un baiser sur ses lèvres, avant de me sentir poser sur la table de massage, je me laissais faire. Je posais mes deux mains sur la table pour me maintenir, avant de sentir le plaisir m'envahir encore plus ardemment que lorsque j'étais entièrement dans ses bras. Je fermais les yeux, et profitais des mouvements de bassins qu'il m'offrait. Je ne pouvais cacher le plaisir que je prenais à sentir ses mouvements, c'était simplement divin, j'en gémissais sur une tonalité presque déconcertante, je me plaisais. Pryam savait comment me faire du bien, me faire oublier le mal être que je vivais en ce moment, j'étais heureuse. Allongée à présent entièrement sur la table, je sentais encore plus ses mouvements, je me cambrai alors que ma main se posait sur le poignet de Pryam, alors qu'il me faisait plaisir, atteignant bientôt le paroxysme de cette soirée. Je n'en pouvais plus, j'avais le plaisir en moi qui s'accumulait, augmentait, me rendait folle, j'étais détendue et heureuse. Je sentais sa main sur mon cou, pas assez fort pour que je m'en inquiète et puis, j'étais trop bien pour me préoccuper de quoi que ce soit d'autre que mon plaisir personnel, qui allait de paire avec celui de Pryam. Je remontais mes mains jusqu'à celle qui tenait mon cou, et de ma petite force, je prenais sa main pour glisser ses doigts entre mes lèvres, ma langue caressant sa peau dans une douceur suprême, parfois saccadée par mes gémissements. Soudainement, je relevais mon buste, posant ma main sur son bas ventre. Je le poussais un peu pour le faire sortir de mon corps, échappant un petit soupir sous le plaisir de cette caresse. Je le regardais fixement, j'allais lui continuer cette partie de plaisir. Je contournais mon amant, et l'amena à un transat où je le fis asseoir doucement en le poussant. Puis je me positionnais au dessus de lui, du moins, à genoux sur le transat, je pris soin de m'amuser avec cette partie dure de son corps, vérifiant s'il s'amusait encore. Je souris avant de me mettre à califourchon sur le bassin de Pryam, guidant alors mon membre avec ma main pour descendre mon bassin et sentir cette nouvelle union, tout aussi parfaite que la précédente. Je pris son visage entre mes mains pour l'approcher du mien et l'embrasser langoureusement; pendant que je me mettais à faire des mouvements de bassins réguliers, plutôt rapide, alternant parfois avec un peu de douceur. J'espérais qu'il aimerait cette initiative...
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