Un gala passant de l'ennui à l'envie. - Avec Pryam. ♥

CHUCK A. DAVIS & A. PRYAM EASTWOOD

LaTenueDeSoirée:

HJ : Je suis pas une adepte des long poste mais tu m'as assez inspiré :)


Le nom Eastwood pesait lourd en Europe et dans toute l'occident. En effet, ils étaient beaucoup et la plupart appartenait à la haute aristocratie anglaise, ce qui était le cas de Pryam en l'occurrence. Du coup, quand il arriva à Cambridge, il ne fut pas dépaysé car à la minute même où son nom apparaissait sur les listes des personnes qui avaient eu un visa étudiant aux Etats-Unis, il fut de suite contacté par les hauts représentant de la ville de Cambridge. Pourquoi ? Pour qu'il se rendre aux réceptions organiser par la ville, réceptions privé pour la plupart, il y était toujours invité. Tout cela n'avait qu'un but politique. En ce présentant à ses réceptions, Pryam montrait alors son soutient au maire de la ville et par sa seule présence il montrait le soutient des aristocrates européens par la même occasion. Quel avantage ça lui procurait à lui ? Et bien, des rencontres, les plus intéressantes de la ville mais surtout il représentait et perpétuait le nom Eastwood de plus en plus dénigré au Royaume-Unis et quelque peu en péril dans la haute aristocratie européenne.

Aujourd'hui il se rendit au gala, costume noir, chemise blanche et cravate rayé. Il était très propre sur lui, comme toujours. Qui a déjà vu Pryam en jean ? Personne, il faut bien l'avouer. A peine arrivé, il salua quelques personnalités qu'il avait l'habitude de croisé lors de ces réceptions annuelles depuis son arrivé en Amérique puis il se dirigea vers les amuses bouches et alors qu'il essayait de choisir scrupuleusement le meilleur d'entre eux, il entendit une douce voix lui murmurer à l'oreille. Il se retourna, c'est Chuck ! Elle était éblouissante dans sa robe, il faut dire qu'avec le corps qu'elle avait ce qui lui allait le mieux c'était surement les longues robes qui lui tombait parfaitement sur ces courbes, il pensa alors qu'elle ne devait rien avoir en dessous de celle-ci et une étrange sensation le brûla dans tout son corps.

« Chuck...tes formes me frustre »

Il la regarda encore de haut en bas, puis jeta un coup d'oeil aux invités, tout le monde avait les yeux rivés sur elle. Les conversations s'arrêtait à la seule vue de la jeune fille. En effet, dès qu'elle était dans votre champs de vision, soudain vous oubliez ce que vous avez à dire et vous la regardez comme si plus rien n'avait d'importance.

« Tu sais que tout le monde essaye de t'imaginer nue »

CHUCK A. DAVIS & A. PRYAM EASTWOOD

Ne te forces pas non plus tu sais<3

CHUCK A. DAVIS & A. PRYAM EASTWOOD

CHUCK A. DAVIS & A. PRYAM EASTWOOD

Je ne savais pas si je devais chercher à coucher avec, je n'avais pas vraiment la tête à décider si j'en avais envie ou non, mais surtout à avoir une agréable compagnie comme Pryam, surtout un homme qui arrivait à prendre possession de mon corps et mon âme à chaque fois que nous étions seuls. J'étais déjà emprisonné, même si je me montrais entreprenante, j'étais qu'un petit mouton qui se laissait manger par ce loup. Il me confia qu'il n'aimait pas qu'on le touche, pourtant, je savais comment lui faire lui faire plaisir, je trouvais toujours. « j'ai une meilleur idée » Je regardais alors dans ses yeux, et je frissonnais lorsque je sentis ses mains dans mon cou, un frisson qui descendit tout le long de mon échine. Je le regardais encore plus dans les yeux, étant hypnotisé par cet homme, son charisme me touchait. Je ne pouvais détacher mon regard du sien, il pouvait m'étrangler, me tuer, je n'aurais rien dis, je ne me serais même pas battue pour me défendre. Je sentis sa main le long de mes épaules, insistant sur mes bras pour finalement enlever ma robe qui tombait au sol. Je frissonnais, j'avais un peu froid, je posais alors mes mains sur le torse de Pryam, me blottissant contre lui. « laisse moi le faire » Je lui souris, et je glissais mes mains entre sa chemise et sa veste pour la lui retirer, la posant sur le transat qui était à coté de nous. Je remontais mes mains sur son cou, puis redescendant sur ses pectoraux. « D'accord, je te fais confiance. » Je descendais ma main droite le long de son bras, jusqu'à glisser mes doigts entre les siens, pour l'emmener près de la table de massage. Je lâchais ensuite sa main, m'asseyant alors sur la table, écartant légèrement les cuisses. J'étais en sous vêtement, j'avais un peu froid mais dès le moment où il poserait ses mains sur mon corps, je savais que je reprendrais un peu de chaleur. « Si tu veux, il y a des huiles sous la table. Je m'allonge sur le ventre... ou sur le dos ? » je me pinçais la lèvre inférieure, en le regardant, avant de défaire les boutons de chemise qui étaient à ses poignets, pour les remonter. J'avais envie de l'embrasser, toucher ses lèvres, je fixais cette partie de chair, me retenant, je n'osais pas, avec lui, je n'osais rien...