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THEORYS ◭ « Livin La Vida Loca »

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Collé contre cette vitre, glacé, les mains posées sur elle. Je regardais telle une momie les immeubles d'en face paumé dans mon état étrange du surement à l'alcool que j'avais dans le sang. D'abord, je restais seule contre cette vitre froide puis soudain, la chaleur d'un corps se rapprocha peu à peu de moi et je sentis qu'elle se répandait dans mon corps, non que la source de cette chaleur me touchait réellement mais juste le simple ressenti d'une approche soudaine rendait mon corps refroidi par la vitre, prendre à nouveau plus de chaleur ambiante. « Tu as besoin de réconfort ? » Mon ami que j'avais précédemment abandonné sur le canapé m'avait rejoint. Je ne répondais pas tout de suite, je me contentais de tourner la tète et de sourire bêtement tandis qu'il repartait quelques instants, je me tournais collant cette fois mon dos contre la vitre. Ensuite, la musique changea en une chanson étrange mais sympathique. Il vint me secouer en criant : « He's so incredible ! » J'eus un petit rire faisant ma petite tête en disant d'une voix calme ; du réconfort c'est toujours bien Et je terminais par un clin d’œil. Il me pointait du doigt continuant sa danse, me provoquant presque ce qui me surprenait de plus en plus. Là, il se rapprochait dangereusement dans un grand élan et m'embrassa très chastement, presque d'un coup rapide. J'ouvrais les yeux ébahis, choqué presque et étonné qu'il l'ai fait mais déçu de cet effleurage et voulant jouer, je me moquais en riant de lui, arrogant : Quel débutant, tous comme ça c'est hétéro coincé ... Je restais toujours collé, appuyé vulgairement contre la vitre glacé, réchauffé par l'alcool et ce qu'elle provoquait sur moi à l'approche d'un homme.
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« Du réconfort c'est toujours bien. » J'eus une expression presque intriguée alors qu'il se tenait toujours devant les vitres et qu'il m'observait presque danser comme un dégénéré. Il me fit un clin d’œil et je le pointais du doigt, modifiant quelques peu les paroles que nous étions en train d'écouter, attendant pertinemment le bon moment afin de pouvoir relever son défi. Et c'est ce que je fis lorsque je jugeais le moment opportun.  Néanmoins, je venais juste déposer mes lèvres très chastement sur les siennes. Ça en devenait presque bizarre pour tout admettre. Bordel j'étais en train d'embrasser un mec ! Le premier mec que j'embrassais et il fallait que ce soit mon colocataire, ce type que j'appréciais énormément. Lorsque je me reculais un peu choqué par ma propre audace, et je pus constater qu'il avait les yeux grands ouverts, apparemment assez surpris. Je reculais de quelques pas, ébahit. Était-ce trompé d'avoir fait ça ? Non, nos lèvres s'étaient à peine touchées. C'était même plutôt bizarre. « Quel débutant, tous comme ça c'est hétéro coincé. » Il était toujours appuyé contre la vitre et je ne pus que le fixer durant un instant, me demandant ce que je ressentais en cet instant même. C'était vraiment très étrange mais en même temps très plaisant.  « Serais-tu en train de me faire passer un message ? » En voulait-il plus ou voulait-il au contraire que j'aille voir ailleurs ? Je devais admettre que je lui laissais entrevoir mes piètres talents pour embrasser. Il fallait que je lui prouve ce que je savais faire. Je me rapprochais de lui très lentement tel un félin...  « Mais si tu veux en voir plus que ça et si tu veux que je te prouve que je ne suis pas coincé...il te suffit de demander. » Je me dirigeais donc plus précipitamment vers lui et plaquais avec force mes lèvres sur les siennes, l'attrapant par la taille afin de plus l'attirer vers moi. Je plaçais une de mes mains derrière sa nuque et l'empêchais en quelque sorte de reculer. Puis je franchissais le barrage de ses lèves et mêlais ma langue à la sienne. Je remontais aussi preogressivement ma main de sa taille à son dos. J'avais fermé les yeux alors fille ou garçon je n'avais que faire. Là j'étais en train de lui donner le baiser de sa vie, il ne pouvait pas le nier. Puis je me reculais hochant la tête, plutôt fier de moi et retournais m'approprier la bouteille d'alcool, pointant un doigt vers lui.  « Mais toi, toi t'es pas capable de filer des baisers comme celui que tu viens de recevoir, c'est la loi du plus fort. » Je lui fis un clin d’œil.
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Chaleur dans tous mon corps, je ne pus m’empêcher de tirer de tous ça un petit sourire limite pervers tout en parlant de son incapacité à me faire monter plus haut que ça niveau désir et chaleur enfin je le provoquais surtout. Il me regardait avec étonnement et je souriais plus encore face à son incrédulité tandis qu'il reprenait de l'assurance en me disant : « Serais-tu en train de me faire passer un message ? » Il se rapprochait doucement et je levais un sourcil, inquiet mais mort de rire en meme temps tandis qu'il poursuivait son monologue : « Mais si tu veux en voir plus que ça et si tu veux que je te prouve que je ne suis pas coincé...il te suffit de demander. » Je lui fis un clin d'oeil alors que je le voyais se précipiter vers moi et m'attraper directement sans discussion aucune. Il posa ses mains dans le bas de mon dos, manquant de me griffer un instant et posa ses lèvres sur les miennes avec rage. Je ne le connaissais pas ainsi. Il remonta ses mains dans mon dos tout en osant forcer le barrage de mes lèvres pour que nos langues se retrouvent dans une valse frémissante. Je sentais le désir monter en moi bien qu'un instant, mes pensées étaient vers sa copine mais l'alcool m'interdisait de me contrôler et alors que je voulais le repousser, je le laissais continuer jusqu'à ce qu'il se recule en me disant, fier de lui ; « Mais toi, toi t'es pas capable de filer des baisers comme celui que tu viens de recevoir, c'est la loi du plus fort. » Il me pointait du doigt et me provoquait encore. Je tentais de reprendre mon souffle, collé contre la vitre, je me sentais étrange et ma tete tournait mais je semblais en dehors des réalités totalement. Rien ne semblait plus réel. Je me rapprochais cette fois à mon tour de lui, un peu chancelant à cause de la dose d'alcool dans mon sang et pointant mon doigt directement sur son torse, je lui dis dans un air de défi ; Ah ouais, pas capable ? Je me sentais capable de controler de ne pas aller plus loin qu'un chaud baiser mais de ne pas profiter de l'embrasser alors que je savais que je ne ressentais rien pour lui et que c'était que pour le jeu et le plaisir : je comptais pas m'en priver alors. Je l'attrapais par le bras, le plaquant contre moi puis je retournais le tout pour qu'il se retrouve contre la vitre ; le bloquant donc contre celle-ci. Je le regardais en disant d'un air sur, tentant de garder mes yeux ancrés dans les siens : Tu vas voir de quoi un Zacharias est capable ... mon p'tit batman ! Et sans attendre, mes mains glissèrent sous ses fesses, osant les toucher, mes lèvres touchèrent les siennes, mon corps frottant énergiquement contre le sien. Mes lèvres posaient sur les siennes, c'était cette fois ma langue qui perça la sécurité pour partir à la rencontre de la sienne à la recherche d'un plaisir infini sans dépasser les extremes limites. Nos corps collés, mes mains sous ses fesses les malaxant quelque peu, ma langue jouant avec la sienne ; j'osais le tout pour le tout, terminer en continuant le tout, jouant juste à descendre mes lèvres dans son cou pour entamer de lui faire un suçon. Je suçais généreusement sa peau avant de me reculer et de lui dire : Comme ça, tu te souviendras du jour où tu as voulu jouer au plus fort avec Emrys Zacharias, mon petit cochon ... Et je riais de plus belle, ayant quelque peu le hoquet : que c'est sexy ! Heureusement, ce petit suçon devait etre raté vu le peu de temps mais à mon avis, il aurait un petit temps de frayeur.
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OMG ! Dans ma tête sa partait en cacahuète, bordel. C'était pas possible, ce n'était pas ce que nous étions de faire, je ne l'avais pas embrasser, il ne m'avait pas provoqué et je ne lui avait pas rendu ses provocations en retour. Mais si, c'était ce qu'il s'était passé, je l'avais embrassé et de nouveau provoquer, sous-entendant qu'il ne pourrait jamais m'embrasser de la sorte. Grossière erreur. J'observais silencieusement sa réaction, m'attendant à ce qu'il ne me reproche quelque chose mais au contraire, je pus l'observais tituber, s'avançant vers moi. «  Ah ouais, pas capable ? » Euh ben ça je sais pas. J'hochais des épaules sentant quelque peu la chaleur de l'alcool faire place à l'excitation et à la peur. Oh oui, je flippais un peu de savoir ce que je gentil jeune homme était en train de mijoter dans son crâne. Soudain, il m'attrapa par le bras et échangea nos places de sorte que je me retrouve plaquer contre la vitre. J'étouffais un cri de douleur car il n'y avait pas été de main morte et la froideur de la vitre contre mon dos bien embué de chaleur me fit presque frisonner. C'était bon et à la fois angoissant. Puis il me regarda un instant et je retins mon souffle, m'attendant au pire ou au meilleur. « Tu vas voir de quoi un Zacharias est capable ... mon p'tit batman ! » Et un grand sourire apparut sur mon visage alors que j'entendais ses derniers mots. Oh je kiffais le surnom, y'avait aucun doutes. Et là, je pus sentir ses mains glisser sur mes fesses en une audace qui m'étonna au plus haut point. Mais c'est qu'il mettait la barre haute le chaud lapin ! (a) Il plaqua ses lèvres contre les miennes et je réprimais un gémissement. Ma tête tournait à l'envers. Euh là, je n'avais plus aucune parole possible ni aucune pensée rationnelle pour le coup. Gros trou noir. Puis il termina sa torture par quelques baisers dans le coup et je dus me retenir de le repousser comme pas possible parce que ça sa me faisait vraiment de l'effet, c'était carrément flippant. «  Comme ça, tu te souviendras du jour où tu as voulu jouer au plus fort avec Emrys Zacharias, mon petit cochon ... » Il s'était reculé et s'était mis à rire et moi je voyais rouge et j'avais chaud. Je croyais bien pour le coup qu'on ne m'avait jamais embrassé ainsi. Ça avait été du plaisir à l'état brute. Mon cœur battait presque la chamade. Je levais les mains en signe de paix. « Okay Robin, j’admets tu as gagné. Tu me bat à plate couture. » Je le contournais et lui donna une tape sur les fesses. « Promets-moi de m'embrasser ainsi pour me redonner du punch si jamais un jour tu vois pas j'ai la tête au fond du trou. » Je venais m'allonger comme une merde sur le canapé en riant, me remettant quelque peu de mes émotions. Waaaou. Il m'avait vider le coquin, c'était un vrai Dieu, y'avait rien à dire. Des baisers comme ça ? J'en voudrais bien tous les jours.
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Un petit coup sympathique de frayeur meme si c'était un bon petit amusement sans conséquences parce que c'était clairement sans lendemain et qu'un baiser qui ne voulait que de l'amusement. Je le sentais perturbé et ça termina de me faire clairement trop rire, j'en pouvais plus, je devenais rouge de rire tandis que lui semblait devenir rouge ... de surprise, d'excitation voir de désir. Ça lui avait donc plu ? le petit cochon à son tonton Emrys, je riais plus encore à cette pensée. Je ne 'attendais pas à ce qu'il réagisse comme ça et lorsqu'il parle, je grimace de peur qu'il m'étonne encore ; « Okay Robin, j’admets tu as gagné. Tu me bat à plate couture. » Et là, il me contourne tranquillement et je sens à son regard et son petit sourire qu'il va faire quelques choses. ça ne manque pas, une petite tape sur mes fesses et hop, ils s'éloignent en riant doucement avant de reprendre : « Okay Robin, j’admets tu as gagné. Tu me bat à plate couture. » Mon ami va alors s'écrouler sur notre grand canapé en se mettant à rire, je le rejoins donc. Je m'assoie à ses cotés, me grillant alors une clope, fumant tranquillement, jouant le branleur numéro un. Je le regarde en me contorsionnant et lui dit en riant ; Quelle soirée ! Je me roule de rire comme un abruti.


FIN DE SCENE.
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