THEORYS ◭ « Livin La Vida Loca »

FOLIE PASSAGÈRE. On se regarde dans le miroir et ouais, c'est ça de se trouver craquant. Je ne suis pourtant pas bourré mais j'ai déjà envie de m'admirer ; ce soir, je veux plus du tout me lamenter sur ce que je suis, je veux voir la vie en couleur parce qu'après tout, on dit que c'est le secret du bonheur. Je veux sauter à pieds joint dans une marre de chocolat, danser sur "la vida loca" en mode Âne et chat potté dans Skrek, roter à m'en faire péter les cordes vocales, faire de la merde à n'en plus finir pour enfin faire ce que je ne m'autorise jamais parce que je crois qu'en me privant ; j'améliore mon image. Tout était prévu ; on se l'était dit avec Théo à la fin de la nuit d'halloween, le soir prochain ou le second, ce serait notre fiesta ! Oui, une fiesta en duo mais la meilleure qui soit car on savait au moins qu'on ne se prendrait pas la tête pour rien.  Je prends la radio cassette, recharge de pile à fond posés sur le bureau et hop, je fous de la musique dans tout l'appartement ; que des conneries et je me met à faire le dingo comme je ne l'ai jamais fait enfin devant quelqu'un et pourtant, je sais que surement dans quelques instants, il va apparaitre dans la salon, rentrant de sa journée. Je ris tout seul, respirant enfin tranquillement : She'll make you take your clothes off and go dancing in the rain. Et voilà que je bouge mon popotin me servant du canapé comme scène et puis, je saute dessus pour me laisser tomber dessus et m'assoir au moment où la porte s'ouvre et j'éclate de rire en m'écriant à l'adresse de l'unique personne pouvant rentrer ici ; Tous ce qui se passe à partir de maintenant sera notre secret, promis ? Je me roule sur le coté en riant. Je me retourne enfin vers lui, sautant par dessus le canapé en manquant de me ramasser et lui dit : Enfin ... Bonsoir mon théo !

 Les portes de l'ascenseur se fermèrent après mon passage, me laissant seul dans cet habitacle en fer. J'appuyais sur le bouton de mon étage en soupirant. J'étais lessivé et je savais en plus que les jours qui allaient suivre allaient être encore plus chiants et horribles. Me jetant un rapide coup d’œil contre l'une des parois qui fessait aussi office de miroir, je pus constater que je possédais des cernes sous mon regard vert, ce qui me fit hocher la tête. Néanmoins, mon rêve de trouver un lit et de m'y glisser dedans s'achevait avant même d'avoir commencer, car j'avais promis à Emrys une soirée spéciale avec lui. Il n'avait pas eu le moral ces derniers temps et quoi de mieux qu'une soirée entre mecs afin de se ravitailler à fond. Mais là je devais reconnaître que j'avais du mal, je me demandais même si Emrys allait m'en vouloir de me coucher et de reporter notre soirée après mon retour d'Italie. Au pire, je pouvais toujours lui demander de se coucher avec moi, comme ça nous passerions vraiment la soirée ensemble (a) Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et je me dirigeais vers la porte de l'entrée, porte dans laquelle j'enfonçais les clés qui permettaient de l'ouvrir. Mais à peine eus-je poussé la porte que je pus entendre de la musique ainsi qu'une voix: « Tous ce qui se passe à partir de maintenant sera notre secret, promis ? » Il sauta par-dessus le canapé m’arrachant une mine expressive qui voulait amplement dire « What the fuck ? » Puis un sourire. « Enfin ... Bonsoir mon Théo ! » Bonsoir mon Théo ? J'avais l'impression de me trouver dans un soap-opéra américain ou l'homme accueille sa femme « Honey, I'm home ! » « Oh yes you are, come here sexy thing ! »  Je passais la porte et la refermais avec un grand sourire tout en secouant la tête. « Bonsoir mon chéri, je vois qu'on est joyeux ce soir, t'ai-je manqué ? » Je me mis ensuite à rire, parce que c'était trop comique. Évidemment, la soirée risquait d'être prometteuse.

Je ris tout seul tant son expression me fait rire : je vois qu'il comprend mon jeu mais que ça le fait rire et heureusement, parce que c'était le but et j'aurai eu l'air con si il avait pas joué le jeu pourtant très vite son expression devient encore plus marrante et je comprends qu'il veut jouer le jeu et hop, une phrase toute prête sort de sa bouche dans un ton ironiquement formidable : « Bonsoir mon chéri, je vois qu'on est joyeux ce soir, t'ai-je manqué ? » Et il se décoince plus encore en riant à pleine dent, ça me fait trop rire et je rigole avec lui, le prenant par l'épaule lui donnant d'abord une tape puis je l'entraine vers le salon, attrapant ses petites affaires telle une gentille femme au foyer et lui faisant signe d'aller s'assoir. Je prends une voix féminine et lui dit en manquant de m'étouffer de rire : Chérie, il faut que tu te reposes, ginette s'occupe de tout m'amour ! Je pose ses affaires dans sa chambre, les lançant presque en riant et retourne derrière le bar séparant notre cuisine américaine et attrape au sol caché derrière des bouteilles d'alcool et je retourne vers lui dans le salon, au niveau du canapé où il se trouve et lui dit dans une voix normale : Surprise ! Et je pose les bouteilles sur la table basse, change de musique, foutant la chanson suivante de ma compilation : Party Rock Anthem ! DUUUUCK FACE et je commence à gueuler : Party rock is in the house tonight, Everybody just have a good time ... et je fais mon chaud montant sur le pouf assez solide qui se trouve en face de Théo.

Bon et bien apparemment mon colocataire se trouvait être de très bonne humeur ce soir. Et moi qui était crevé, je ne pouvais que me laisser aller à sa joie. Finalement, elle était contagieuse et sa me faisait extrêmement plaisir de le voir ainsi, plutôt que triste. Il m'avait accueillit avec un grand sourire et de grandes paroles (a) Puis je lui avais souris, jouant le jeu. Il se mit à rire avec moi avant de me filer une tape et de m’entraîner vers le salon, me prenant au passage mes affaires afin de les déposer dans ma chambre. Je ne pus qu’esquisser une moue, l'observant faire. « Oh merci mon lapin. » Il était revenu ensuite dans le salon avec cette espèce d'expression comique qui me faisait mourir de rire. « Chérie, il faut que tu te reposes, ginette s'occupe de tout m'amour ! » Ginette ? Y'avait pas plus tue l'amour, si bien que sa me fait doublement rire, en plus de l'espèce de voix féminine qu'il avait employé pour me parler. Puis je me fis tomber dans le canapé, ivre mort, résistant à l'envie de fermer les yeux. Je pus quand même sentir mon coloc' partir dans la cuisine afin d'aller chercher quelque chose. « Surprise ! » Dans une de ses mains se trouvait plusieurs bouteilles d'alcool, si bien que je le remerciais d'un signe de tête. « Oh putain mec tu gères ! » Il les déposa sur la table basse, et je m'en emparais d'une. Ayant la flemme d'aller chercher un quelconque verre, je la débouchais et en bus une gorgée à même la bouteille. L'alcool glissa le long de ma gorge, me faisant sentir comme-ci elle était en feu. «  Party rock is in the house tonight, Everybody just have a good time ... » Et là j'explosais de rire parce qu'il fallait le voir c'était très comique alors que la musique qui résonnait faisait presque ridicule à côté de lui. Il était monté sur un pouf face à moi et je rebus une autre gorgé toujours installé dans le canapé, les jambes écartées, l'observant. « Tu comptes me faire un strip-tease ? Ce serait carrément l'élément qui achèverait à la perfection ma journée ! » Je me mis à pouffer alors qu'il était en hauteur et que j'étais crevé.

Et oui, je fais l'abruti, celui qui n'a pas de soucis en ce moment ce qui est totalement faux et me la joue grand maitre du jeu, danseur de folie et ça fait plutôt dépressif qui tente de ne plus l’être. Direct, il est content des bouteilles achetés si bien qu'il l'ouvre direct et commence à boire ; s'te fou. Je me gausse de rire sans soucis continuant à faire la java en changeant de musique et dansant sur le pouf et là, ni une ni deux alors que je chante comme un ouf; théo me dit d'un air provocateur : « Tu comptes me faire un strip-tease ? Ce serait carrément l'élément qui achèverait à la perfection ma journée ! » Il était a ce moment là assis sur le canapé, les jambes écartés totalement mec et ça me faisait tout autant grave rire que mon cas à moi, que la situation en elle-même et faisant la Madame, je lui dis : c'est comme tu veux chéri ! Dis moi tes souhaaaits et j'les réaliserais bébé .... Je le rejoins dans sa rigolade, qu'est-ce qu'on peut faire les cons quand on veut et je tend ma main, signe que je veux une bouteille. Il me la passe et je bois un bon petit coup, sentant alors l'alcool coulait dans ma gorge, la piquant un peu mais me faisant un grand bien et en rigolant, vu la chaleur qui monte déjà, j'enlève d'une manière sexy mon t-shirt et lui envoie dans la tête avant de descendre du pouf et m'assoir à ses cotés en riant : On est con !

Je m'étais donc assit sur le canapé, les jambes écartées, je l'observais danser sur ce pouf tout en buvant d'une des bouteilles d'alcool. Je lui avais demandé d'une voix suggestive de me faire un strip-tease et je me mis à rire face à ma blague ridicule. Grâce au ciel, il ria aussi à ma blague puis il prit une voix féminine qui me fit doublement rire.  « C'est comme tu veux chéri ! Dis moi tes souhaaaits et j'les réaliserais bébé ....  » Oh non, c'était vraiment trop comique, de la voir là-haut se déhancher ainsi, j'avais presque envie de le filmer pour ensuite le menacer lors de moment spécifiques. Mais non, je n'allais pas faire ça, j'étais digne d'être un coloc' formidable. Puis il me tendit la main, attendant sûrement à ce que je lui passe une des bouteilles présentes sur la table basse. Je la lui tendis alors que moi-même je rebus une gorgée de ma propre bouteille. Puis il retira soudainement son tee-shirt d'une manière sexy et provocatrice qui m'arracha un grand: Ouaaaaaiiis ! Histoire de l'encourager, puis il vint s'asseoir à mes côtés alors que je riais toujours. « On est con ! » Je te le fais pas dire, j'acquiesçai alors que ma tête bougeait au rythme de la musique. Puis, je décidais de changer de position et vint sortir mes jambes du canapé et poser ma tête sur les jambes D'Emrys.  « Ça fait du bien de te voir comme ça tu sais ? » Plutôt que de le voir triste. Qu'il fasse semblant ou pas, c'était toujours mieux que rien. Puis je me mis à imaginer la tronche de nos copines respectives si jamais elles nous voyaient assit dans cette position et ça me fit encore plus rire alors que je rebus une gorgée d'alcool, alcool qui commençait déjà à me monter à la tête.

Il acquiesçait face à mes dires; oui, nous étions cons ; c'est véritablement vrai. Je souris tandis que Théophyl bouge la tête au fil du son. d'un coup, sans savoir, il posa sa tête sur mes genoux comme si nous étions un jeune couple. Je grimaçais en ne comprenant rien à ce qu'il tentait de faire. Je bus directement un coup dans la bouteille que j'avais commencé ; je sentais qu'on allait être grave ce soir et cette nuit surtout niveau alcool. J'adorais la sensation que me procurait l'alcool quand il coulait doucement dans ma gorge, la brulant légèrement avant de le sentir me monter à la tête comme une douce frénésie. « Ça fait du bien de te voir comme ça tu sais ? » Je souriais, ne voulant pas relever pour rester souriant justement. Je caressais sa tête en rigolant ; on n'avait vraiment des jeux étranges, non ? Je me dégageais ensuite et me levais, tirant sa main pour qu'il se lève et commençais à le faire danser ; Ne parle pas de tristesse ou quoi ! Je dansais avant de re-boire à nouveau une grande gorgée, levant haut la bouteille tant j'en buvais en un seul coup et ça montait presque instantanément à la tête, montant bien et me rendant déjà presque trop perturbé. Je continuais à bouger mon corps, montrant a quel point j'étais virile mais que j'étais capable de me lacher puis en rigolant toujours meme si ça devenait parfois trop ambiguë, je lui disais : J'ai besoin de me détendre, de plus penser, juste m'éclater ... Babyyyy ! Un instant, je venais me coller à lui et danser lascivement contre lui avant de me reculer à nouveau pour ne pas plus le gêner, juste rire un instant. Oui, j'avais besoin d'oublier mon froid avec Eliah, notre pseudo séparation alors qu'on était peut etre en couple, besoin de changer d'air sans pour autant faire n'importe quoi mais l'alcool semblait me jouer des tours.

 Je pense que j'avais amplement besoin de réconfort. Suite au décès de mon grand-père, à ce départ programmé pour l'Italie et cette succession de bien dont je devais m'occuper, savoir qu'un pote se trouvait juste à côté de moi, me procurait un bien fou. C'était comme-ci je je comblais autant que je pouvais la solitude qui allait bientôt s'installer en moi pour les prochains jours à venir. J'avais poser innocemment ma tête sur les genoux d'Emrys alors que nous continuons chacun à boire de notre côté. Il se mit à me caresser la tête alors que je souriais, j'aimais c'était comme une sorte de réconfort sans arrières-pensées. Il ne répondit pas à ma remarque et se dégagea, se relevant, provoquant la chute de ma tête sur le canapé, ce qui m'arracha un cri ainsi qu'un éclat de rire. Soudain, il tira sur ma main me remettant en position debout -mais c'est qu'il avait de la force le petit Emrys (a)- afin de me faire danser. « Ne parle pas de tristesse ou quoi ! » J'hochais des épaules me laissant aller contre lui, j'étais tellement crevé que je me demandais si j'allais pas m'écrouler. « J'ai besoin de me détendre, de plus penser, juste m'éclater ... Babyyyy ! » Il venait se coller à moi pour danser me faisant parfois oublier de comprendre le sens de la réalité dans laquelle nous nous trouvions. La scène était assez comique et je n'avais pas force de repousser un ami qui faisait des conneries. Moi même à cause de l'alcool que j'avais ingéré, j'étais apte à en faire. J'arrivais pas à bouger si bien que je ne faisais que boire encore et encore, tentant de tout oublier. La présence d'Emrys me perturbait quelque peu, je devais le reconnaître aussi.  « Tu as faim ? Je peux nous préparer quelque chose s'tu veux ? » Je décidais d'enlever ma veste, puis de déboutonner ma chemise bleu que je retirais d'un mouvement d'épaule. Jetant le tout par terre, je me retrouvais en marcel et me dirigeais vers la cuisine non sans bouger mon postérieur au rythme de la musique.  « Bon alors que veux-tu mon ange ? Ginette numéro 2 va s'occuper de ton petit ventre. » Je me mis à pouffer, c'était carrément ridicule.

Je me déhanche comme une tapette ; je crois. Je le sens perturbé mais ça me dérange pas parce que je sais que je suis pas mieux. Honnêtement, ça me fait rire quoi. Je le regarde se lever puis me parler sans réfléchir vraiment à ses mots pourtant tout ce qui sort, reste correct ; « Tu as faim ? Je peux nous préparer quelque chose s'tu veux ? » Rien que pour le voir cuisiner, j'ai envie de dire oui alors que je veux qu'une chose boire alors je le regarde, déboutonner sa chemise après avoir enlever enfin sa veste et aller vers la cuisine avant meme que j'ai répondu et je lui dis : j'ai pas dit oui mais ça m'existe de te voir t'occuper de moi alors OUIII ! Je le cris carrément et ris de plus belle, je me rends pas compte vraiment de ce que je dis et comprend que ça commence, que ma folie débute. « Bon alors que veux-tu mon ange ? Ginette numéro 2 va s'occuper de ton petit ventre. » Il se mit alors à pouffer et je me roulais presque à rire sur le canapé avant de me décider à prendre ma respiration, avaler une nouvelle gorgée du doux breuvage alcoolisé dans ma bouteille et hop, je courrais torse nu vers la cuisine, me collant à son dos pendant qu'il cuisinait. Ma tête posait sur son épaule, je bougeais par instant les hanches contre ses fesses comme un réflexe, en mode petit pervers qui s'amuse et surtout, s'amuse à danser, mais tellement perché qu'il se rend pas compte de ce qu'il fait là. T'es bonne en cuisinière ma Ginette ! Je fais un petit sourire carnassier et lui dépose un baiser sur la joue.

 Me voilà donc derrière les fourneaux afin de préparer un bon petit repas à mon petit homme (a) Non mais, on était beau là tous les deux, à ce comporter comme un petit couple, pour rire ou pas, moi je prenais mon pied. Je riais tellement que ça compensait largement une bonne séance d'abdos. J'avais retirer mes vêtements supérieurs, ne conservant qu'un débardeur, puis je m'étais diriger dans la cuisine demandant à mon coloc' ce qu'il souhaitait manger et enfin, s'il avait faim quoi. La réponse ne se fit pas attendre: « J'ai pas dit oui mais ça m'existe de te voir t'occuper de moi alors OUIII ! » Je relevais la tête vers lui avec un grand sourire. Tiens, il aimait que je m'occupe de lui, c'était tout à fait amusant. D'ailleurs qu'est-ce que j'allais bien pouvoir lui faire. Je savais à peine faire une omelette...Mais c'est pas grave, j'allais improviser la chose. Au pire, ce n'était pas très grave on pouvait toujours se faire livrer un truc, mais j'allais tout de même essayer. Je le vis donc courir torse nu dans l'appart alors que prenais une casserole. Il vint se glisse derrière moi, se collant carrément derrière mon dos, ce qui me fit secouer la tête avec un grand sourire, sa tête reposant contre mon épaule. Remuant de temps en temps les hanches contre mon postérieur alors que j'étais véritablement concentré dans ma tâche. Je me retournais un tant soit peu et l’assignais d'une minuscule tape sur le bras.  « Arrêtes donc ça, tu me déconcentres ! Je ne voudrais pas non plus t’empoissonner. » Je me mis à rire alors que j'avais attraper un sachet de pâtes et que j'en avais versé dans de l'eau déjà bouillante.  « T'es bonne en cuisinière ma Ginette ! » La grosse blague, je me mis une nouvelle fois à rire alors qu'il déposait un baiser sur ma joue.  « Merci pour le compliment ! Mais attends de goûter avant de dire cela. » Je m'emparais d'une fourchette et piquait une pâte avec, puis je me tournai carrément vers lui, soufflant sur la fourchette et collant mon corps au sien.  « Allez on ouvre la bouche, bien en grand, l'avion va atterrir. » Puis je lui collais presque de force la pâte dans la bouche en riant toujours. Je me mis à l'observer en reculant ma tête.  « Ttt ttt, j'en étais sur, c'est pas assez cuit n'est-ce pas ? » Puis je me mis a le griffer avec la fourchette tout doucement. On offrait un charmant tableau de personnes qui ne faisaient que des conneries.