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Pas besoin de feu pour t'allumer. - Aleks & Ariane - hot

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pas besoin de feu pour t'allumer...
Sa main se pose sur la mienne, nos regards ne se quittent plus. Mon cœur s’emballe dans ma poitrine, des frissons parcourent ma colonne vertébrale tandis que sa voix rauque résonne dans la pièce. Je peux sentir sa respiration caresser la peau de mon visage, et je n’ai qu’une envie, l’attirer à moi, renverser nos deux corps sur le lit et explorer du bout de mes lèvres sa joue mal rasée. Mais je reste stoïque au milieu du lit. Seule ma main libre se pose sur son visage, enfermant dans ma paume sa mâchoire carrée. De mon index, je caresse sa peau, sa barbe naissante. Ce contact amplifie encore un peu plus le désir qu’il réveille en moi en étant si près. Embrasse-moi, ai-je envie de susurrer dans le creux de son oreille, sans pour autant oser le dire. Je ne suis certainement pas en état de prendre ce genre de décision, sinon, je le repousserai sans nul doute. Pas parce qu’il ne m’attire pas, pas parce que je n’ai pas envie depuis des mois de sentir sa peau brûlante se plaquer contre la mienne, mais plutôt pour ce qu’on en dira, ce qu’on en pensera. Comme si c’était suffisant d’avoir perdu pied dans les bras d’Avery quelques heures à peine auparavant… J’approche mes lèvres délicatement de son oreille et au creux de celle-ci, d’une voix sensuelle j’abandonne quelques mots. « C’est vraiment dommage que tu aies pour habitude de multiplier tes conquêtes… Je n’ai pas envie d’être seulement une de plus sur la liste… » Déclarais-je avant de me reculer de nouveau, pour observer son visage dans la lumière atténuée des bougies.
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La chaleur de la pièce à prend de l'ampleur de part ces bougies que je viens d'allumer mais aussi par cette proximité plus que proche et présente entre moi et Ariane, seulement quelques centimètre de nos corps sont encore visible. Sa main s'est posée sur mon torse et je suis venu déposer mon souffle dans le creux de son cou en posant également ma main sur la sienne collée contre mon marcel, ce tact me donne des frissons, encore plus que part tous ces regards et ces sourires qu'on a pu se partager avant que je parte, elle me rendait dingue mais là c'est quelque chose d'autre, plus intense. Sa main libre se pose sur ma mâchoire et de son index elle caresse ma joue, je ne souris même pas, comme envouté dans son regard et part ses actions, je ne sais plus comment me comporter, c'est bien différent des autres, de ces filles que j'ai pu attiré dans mon lit, j'ai envie de l'embrasser, d'oublier la soirée de la veille, je sens que c'est également réciproque pour elle mais ses lèvres dérapent de cette proximité avec mes lèvres pour l'une de mes oreilles et y glisser quelques mots d'une voix sensuelle, me faire savoir qu'elle ne veut pas être une de plus, et lâcher ma mâchoire comme mon torse de sa main pour se reculer et toujours garder ce regard qui me perturbe sur moi. Ma main quitte la sienne par la même occasion et je viens lui répondre J'ai jamais sentis que tu étais une de plus.. oh non, pas avec cette sensation que j'ai en étant en sa présence Au contraire, c'est différent de toutes les autres et tu peux penser que ce sont des paroles pour arriver à mes fins, pense ce que tu veux mais je suis sincère quand je dis que tu es loin d'être l'une d'entre elle, pas avec ces regards et ces sourires, c'est pas possible. mes doigts s'étaient glissés délicatement sur le bout des siens de sa main posée à plat sur le lit, comme si ça semblait naturel.

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Ce soir, j’ai la certitude de comprendre enfin ce que veut dire résister à la tentation. Le corps entier d’Alekseï est un appel au péché, et je devine aisément comment les femmes se laissent séduire par son charme, son charisme, ses atouts divers. Ses grands yeux perçants me déstabilise, et je rêve de pouvoir frôler la peau brûlante de son torse du bout de ma langue. J’ai simplement envie de laisser ma raison de côté, pour une nuit encore. Mais je sais que je regretterais de m’être laissée avoir demain matin, quand je le croiserai en compagnie d’une somptueuse blonde. J’aurai l’impression d’avoir été bernée. Et ce même si d’un ton posé il me confie que je suis différente des autres. Que je ne serai pas un trophée à ajouter à sa longue liste. J’en doute cependant, et je me détache de lui pour lire le mensonge sur son visage. Il semble savoir cacher ses émotions presque autant que les miennes, mis à part le désir qu’il nourrit à mon égard peut-être. Ses doigts frôlent ma main posée sur le lit. Je le quitte des yeux un instant pour observer nos doigts s’entrelaçant le plus naturellement du monde. Je ne saurai réellement expliquer ce que cela provoque en moi, un feu d’artifice explosant dans le creux de mon abdomen, ou bien un lâcher de papillons excités. Je n’ose plus le regarder, j’ai peur que la lueur de mon regard ne trahisse mon envie de lui sauter au cou. « Je n’ai pas l’habitude de faire confiance aux hommes. » Je me sens presque vulnérable, là, si près de lui. Comme si je perdais le contrôle de la situation, définitivement. Je le regarde discrètement du coin de l’œil. « Qu’attends-tu de moi exactement ? » Demandais-je afin de pouvoir enfin comprendre ce qu'il désire en étant là, postée à quelques centimètres de moi, créant un contact physique entre nos deux silhouettes pleines de désir.
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Je la vois résister, oui j'aimerais la voir céder, que nos lèvres s'embrassent dans un baiser endiablé, que nos corps se trouvent pour un moment charnel mais même si ces pulsions en moi le veulent, je ne fais rien d'insistant pour qu'elle cède. Alors qu'elle me fait savoir qu'elle ne veut pas être une de mes conquêtes, du moins, traitée comme l'une d'entre elle, je lui dis qu'avec elle s'est différent, avec elle je ne cherche pas à trouver les mots qu'il faut pour l'avoir dans mon lit ou à sourire d'une certaine façon pour qu'elle craque, je l'ai tellement fait avec je ne sais combien de filles mais avec elle, Ariane, ce fut elle qui a réussit à me faire craquer, j'ai céder, elle me fait me sentir différent, et je ne suis pas amoureux, juste dingue, dingue d'elle. Elle se recule légèrement après m'avoir entendu, nos yeux se plongeaient toujours l'un dans l'autre et je voyais très bien qu'elle voyait que je mentais, mais à croire que je cache tellement ce que je ressens, que le contraire s'en fait paraitre, pourtant j'ai été sincère dans chacune de mes paroles, si sincère, que comme si ça devait être naturel, mes doigts venait s'entrelacer aux siens Ne me fais pas confiance alors. pour une fois j'allais pas manipuler, c'est à elle de voir si elle veut me faire confiance mais elle peut, je n'attends rien d'elle, enfin si j'attends son corps, ce contact qui me rend dingue mais je ne ferais rien pour la forcer à ne plus attendre. Levant ce regard discrètement qu'elle avait baissé, perturbée je pense, elle me demandait ce que j'attendais d'elle, de mon autre main libre, j'appuyais mon index sur son menton pour relever son visage vers le mien Toi qu'attends-tu de moi ? lui répondais-je en lui retournant sa question, c'est elle qui a commencé ce jeu, je n'ai fais que jouer avec elle même si la sincérité à prit le dessus sur l'amusement pour moi, cette fille me rend concrètement différent.

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Mes pulsions n’ont encore jamais pris le pas sur ma raison avant ces derniers jours et j’ai comme l’impression que je perds totalement le contrôle ces derniers jours et en réalité, j’apprécie presque. Je ne sais pas ce qui rend Alekseï si charmant, est ce sourire ravageur à demi dessiné sur sa bouche pulpeuse, ou bien le fait qu’il puisse me faire oublier Avery, Walter et tout ce qui semble être en ce moment compliqué dans ma petite vie. J’ai envie de céder, de m’abandonner entre ses mains expertes et pourtant je ne parviens pas à baisser les barrières. Son doigt se pose sur mon menton et il me fait ainsi d’un geste délicat relever les yeux vers lui. « Toi qu’attends-tu de moi ? » Me demande-t-il en me déstabilisant encore un peu plus avec son regard pénétrant. Rien, je n’attends rien de lui. J’attends d’Avery qu’il me donne des nouvelles afin de savoir si notre amitié a toujours une valeur à ses yeux, j’attends de Walter qu’il quitte cette idiote qui l’éloigne de moi, j’attends de ma mère qu’elle soit capable de me dire la vérité sur ma demi sœur, mais d’Alekseï, je n’attends rien, si ce n’est qu’il m’embrasse. J’affronte son regard plein de questions, je passe une main dans sa nuque, caressant au passage le creux de celle-ci. « Rien. » Prononçais-je enfin en rapprochant mes lèvres des siennes, effleurant le coin de celles-ci. Délicatement, je dépose un baiser sur le coin de sa bouche, et puis, avec plus d’assurance je capture ses lèvres un instant. Je vacille de l’intérieur. Ce baiser est très certainement une erreur, je risque de perdre le contrôle définitivement, mais il est tellement agréable que je me laisse simplement envahir par le désir, pour le prolonger encore un instant…
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Que m'arrive t-il ? D'habitude, je n'ai pas peur, je ne suis pas perdu ou déstabilisé, je tire profit de la situation pour la mettre à mon avantage mais là c'est elle qui l'avait, complètement. La tentation de l'embrasser, de m'unir à elle pour un moment charnel, j'en ai envie, je veux qu'elle me fasse oublier Georgia et tout le mal que j'ai ressentis pour moi et pour elle hier soir, je veux tout oublier et ne profiter que d'elle mais je ne fais rien pour que ça tourne à mon avantage, je n'y arriverais pas. Elle a ce pouvoir sur moi, je n'y comprend strictement rien, je ne suis pourtant pas amoureux, j'ai cessé de l'être depuis Solweig, il y a presque un an de ça, avec Georgia avant que je parte, ces sentiments refaisaient sur face mais depuis hier soir, même si ils sont toujours là quelque part, j'ai l'impression qu'ils sont là dans le vent, qu'ils ne servent à rien, pour Ariane je ne ressens rien, juste ce truc en moi qui me fait comprendre qu'elle me fait frissonner de partout avec son regard si perturbant, son sourire enivrant et je sais qu'elle à du mal à croire aux paroles que je lui dis pourtant elles sont plus que sincère et je ne lui demande même pas de me faire confiance. J'attends tout d'elle, qu'elle m'embrasse, qu'elle cède pour s'unir à moi pour un moment intime, mais encore une fois je ne ferais rien qui provoquerait cette fin d'attente, tout se fera par elle, par sa volonté, son choix, je ne ferais qu'agit en conséquence de cause. Elle n'attend rien de moi, c'est ce qu'elle répond à ma question que je lui ai posé en relevant du bout de mon index, son visage semblé perturbé mais il se rapprochait du mien pour que ses lèvres effleurent un court instant mes lèvres et s'y dépose au coin, ce tact me fit frissonner dans la colonne vertébrale et la voilà quelques secondes après à les porter sur les miennes pour un baiser doux et passionné pas un de ces baisers sauvages et fougueux d'une fille complètement folle qu n'attend qu'une chose, prendre son pied, là c'était différent, j'arrivais à le sentir par ce baiser, elle le regrettait surement, je pouvais pas savoir mais j'allais lui faire apprécier cette erreur, je pose ma main libre sur sa joue alors que je sens son autre main n'entrelaçant pas mes doigts caresser ma nuque, je prolonge tout elle prolonge ce baiser, il dure quelques minutes où nos langues dansent un slow, pas une danse endiablé, non une danse douce et délicate, un genre de baiser que je n'ai quasiment jamais partagé avec une file sauf Solweig mais j'étais amoureux, là c'est avec Ariane, je n'en suis pas amoureux, ce qui rend la chose différent des autres filles et de mes sentiments.

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Nos lèvres se découvrent pour la première fois, c’est sacrément excitant. Je frémis tandis qu’avec douceur et délicatesse nous nous embrassons durant de longues secondes. Sans aucune précipitation, nos langues s’enroulent, se découvrent, se cherchent… Ce baiser langoureux est particulièrement agréable, à tel point que je presse son visage contre le mien à l'aide de la main qui se place dans sa nuque. Nous sommes là, deux amants sur le point de se laisser guider par leurs pulsions, nous sommes fins prêt à se livrer à ce genre de plaisirs charnels dont nous semblons tout deux avoir envie. Mais il ne m’embrasse pas sauvagement, bien au contraire, nous nous découvrons lentement, sensuellement. Je n’aurai jamais pu imaginer qu’il puisse être aussi doux, aussi délicat. Ses lèvres me rendent dingue. Il me rend dingue, et alors que nos visages se détachent, que mes lèvres encore humides brûlent d’envie de continuer ce baiser, je plonge mes yeux dans les siens. Je peux y lire la sincérité dont j’aurai pu douter quelques secondes auparavant. Et cela provoque en moi une décharge de bien-être. J’ai envie de m’enrouler autour de sa silhouette, de ne plus faire qu’une avec lui si cela me permet de prolonger cette sensation euphorique. Mais je me sens vulnérable ce soir plus que jamais, après tout ce qu’il a pu se dérouler dans ma vie ces derniers temps… Mes doigts caressent sa peau, et ma main finit par glisser sur son torse, se frayant un chemin jusqu’à son dos, que je rapproche de moi. Ma poitrine se plaque contre son torse. Quelques secondes encore, je frissonnais à chaque petite brise dans l’air, si peu vêtue, maintenant, mon corps bouillonne réellement. « On ne devrait pas faire ça… » Dis-je en plantant mes prunelles dans les siennes. Je le pense, à moitié seulement. Après tout cela pourrait rester notre petit secret n’est-ce pas ? J’en doute fort cependant, tout se sait à Harvard et je vois déjà le visage plein d’amertume de deux de mes plus proches amis s’ils l’apprenaient. Si Walter mériterait de subir ce que je vis en le voyant accroché sans cesse à sa nouvelle petit amie, j’ai plus de mal à imaginer blesser Ricardo. « Tu me rends dingue Ivanovitch. » Murmurais-je tout en le fixant intensément.
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Ce baiser est très différent des autres fois, contrairement à ce que j'ai tout le temps fais, je prend mon temps, je découvre ses lèvres pulpeuses, leurs saveurs, je cherche délicatement sa langue pour l'enrouler autour comme si je dansais un slow avec Ariane, pas de sauvagerie, nu de brutalité, c'est de la sensualité, de la passion, de la douceur. Je découvre Ariane et elle apaise ma pulsion en la rendant également plus intense ce qui me pousse à prolonger ce baiser avec son aide pour quelques secondes de plus. Je ne cherche pas à coucher avec elle et après avoir eu ce que je voulais, fuir comme un voleur et en trouver une autre, certaines choses avaient changées, j'allais plus considérer les femmes comme des moins que rien, bonnes à se faire prendre, bonne à ne pas me résister, Ariane sait me résister, elle sait me tenir tête comme elle sait me rendre dingue d'elle et c'est pour ça que c'est différent avec elle, c’est pour ça qu'avec elle, rien n’est pareil, je la découvre et me découvre une nouvelle facette, il n'y a pas de ce russe imbu de lui-même qui aime dominer le moment, on le domine tous les deux ici, elle autant que moi, il n'y a plus cette sauvagerie en moi, plus cette soif de vouloir absolument coucher, je suis parti aussi pour changer ça de moi, je sais que c'est toujours là tout au fond de moi mais j'ai réussis à me canaliser et apprécier chaque secondes de cet instant, apprécier et savourer en douceur, passion et sensualité. Nos lèvres se quittent enfin, elles sont encore tout humides, à cet instant même ses lèvres sont comme une drogue, je ressens déjà ce manque d'y goûter, une de ses mains glisses sous mon marcel prenant contact avec mon torse et elle fait glisser ses doigts délicatement dans mon dos pour me rapprocher d'elle, et sentir sa poitrine se coller à mon torse. La chaleur n'a fait que s'intensifier et elle a raison, on ne devrait pas mais pourtant on en a envie, c'est comme cet ange et ce démon sur chacune de nos épaules, l'ange me dirait d'arrêter, de résister à mes pulsions, de me faire la morale, j'ai changer pour éviter de céder à chaque fois à chaque femme mais justement ce n'est pas une femme ordinaire pour moi, il y a quelque chose de spécial que je ne saurais expliquer. Puis il y aurait sur l'autre épaule, le démon me disant d'y aller, c'est une bombe sexuelle, une déesse de la nature, un physiquement qui me rend dingue, je dois faire avec ces pulsions et en profiter un maximum, dans ma tête c'est cet effet là, ce petit mélange Je sais.. nos regards ne se quittent plus et je lis sur ses lèvres même si j'entends sa voix me murmurer que je la rends dingue, je viens passer une main sur sa joue Pas autant que toi tu me rend dingue Kennedy. je viens alors glisser mes lèvres de nouveau sur les siennes, toujours dans ce baiser sensuel et ma main quitte sa joue pour venir aider mon autre main à venir remonter sa nuisette qui la rendait terriblement à croquer et totalement à mon gout, nos lèvres se quittent quelques secondes le temps que sa nuisette s'enlève et j'ai le droit à la vue parfaite pour ce moment parfait, en sous-vêtements avec une poitrine parfaite, des formes de rêves. Je viens quitter ses lèvres pour venir les déposer sur sa poitrine, plus ce contact est permanent plus je frissonne et plus ma passion pour elle s'intensifie.

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« Pas autant que toi tu me rends dingue Kennedy. » J’ai soudain tellement chaud. Sa main se pose sur ma joue, et c’est comme une sensation de brûlure que cela provoque contre ma peau. Une brûlure inexplicablement agréable. Je ferme les yeux une seconde pour savourer ces sensations nouvelles qu’il provoque en moi. Alekseï n’est pas celui pour qui mon cœur va se mettre à battre à un rythme effréné, il me plaît, il me rend dingue, mais il n’y aucun sentiment amoureux entre nous. Pourtant, c’est électrique entre nous, passionnel et sensuel. Je n’ai échangé de tels baisers avec aucun autre, et je découvre de nouvelles émotions qui me submergent. J’embrasse sa main, sans le quitter des yeux. La lueur de mon regard lui indique à quel point j’ai envie de lui, là, maintenant, tout de suite. Peu importe ce qu’il adviendra de nous, j’ai envie d’oublier entre ses bras que je viens sûrement de gâcher mon amitié avec Avery, Walter et que Ricardo finira lui aussi par s’éloigner s’il apprend pour Alekseï. Mais tous ces soucis ne doivent pas être affrontés ce soir, je veux m’abandonner au péché charnel. Nos corps sont n’ont jamais été si proches. Ses mains glissent mes cuisses pour remonter délicatement la nuisette transparente qui couvre encore ma silhouette. J’ai l’impression que ce geste sera l’ultime délivrance tant la chaleur m’étouffe. Je me cambre sous la caresse que provoque ce geste, des frissons me parcourent, et ses lèvres retrouvent les miennes pour un baiser plus passionné encore. Je sens ses doigts parcourir ma taille, et bientôt m’aider à retirer le bout de tissus noir. Je m’en débarrasse, l’envoyant valser dans la fond de la pièce, tandis que je m’offre à son regard désireux. Seuls mes sous-vêtements me prive encore de la nudité. J’attrape son visage entre mes deux mains, déposent avec fougue mes lèvres sur les siennes et m’amuse avec sa langue, toujours plus sensuellement. Je n’ai plus aucune envie de m’arrêter, je n’ai nullement envie d’être ailleurs qu’ici ce soir. Ses lèvres quittent mon visage, parcours mon cou pour atteindre la naissance de ma poitrine. Je laisse ma tête vaciller en arrière, prenant plaisir à chaque fois que ses lèvres insistent sur ma peau. Mes cheveux tombent en cascade sur le lit, tandis que le désir s’élève à un point de non-retour. Le repousser semble à présent impossible. Une main contre le lit, l’autre se perdant dans ses cheveux, accompagnant ses baisers, je profite simplement du plaisir qui m’envahit déjà… Alekseï. Seul ce prénom résonne dans mon esprit, il éclipse tout le reste… Et à peine ai-je le temps de m’en rendre compte que ma main glisse sous son haut, le relevant doucement pour découvrir ce torse qui m’a déjà fait tressaillir quelques temps auparavant. Tout en le remontant doucement, mes lèvres explorent celui-ci. Je titille du bout de ma langue sa peau douce… Le goût de sa peau n’est plus un mystère mais deviendra sans nulle doute une addiction…
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