Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPas besoin de feu pour t'allumer. - Aleks & Ariane - hot
Le Deal du moment :
Pokémon Évolutions Prismatiques : ...
Voir le deal
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal


Pas besoin de feu pour t'allumer. - Aleks & Ariane - hot

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
pas besoin de feu pour t'allumer...
Alekseï est revenu. Cette phrase résonne dans ma tête, depuis hier soir. Anya m’a informé de son retour et je dois dire que j’en suis plutôt surprise, j’aurai pensé qu’il disparaîtrait définitivement, que ses grands yeux ne viendraient plus tourmenter mon esprit, que le son de sa voix ne me ferait pas frémir de nouveau. Rien qu’à l’idée de savoir qu’il est là, tout près, dans une des chambres voisines, je retrouve ce sentiment d’excitation qu’il a toujours déclenché chez moi, depuis que nos regards se sont croisés. Je souffle sur mes ongles pour les aider à sécher plus rapidement avant de tendre la main en l’air afin d’observer ma manucure fraîchement refaite. Je détaille chaque ongle afin d’en vérifier la perfection lorsque la flamme de ma bougie s’éteint brutalement. Poser du vernis dans de telles conditions n’était déjà pas une tâche facile mais à présent que ma chambre est plongée dans une obscurité totale je ne peux retenir un soupire de mécontentement. Il ne manquait plus que ça ! Je me relève de ma chaise, cherchant à tâtons dans la pièce la boîte d’allumette qui ne me quitte pas depuis que ce fichu avion est venu s’écraser sur une centrale électrique. Si ce n’est pas un manque de chance total tout de même ! Plus rapidement que je ne l’aurai imaginé mes doigts s’emparent de la petite boîte cartonnée et alors à la lumière du clair de lune, je l’ouvre. Vide. Un petit cri d’agacement s’envole du bout de mes lèvres. Cette fichue histoire va finir par me rendre dingue ! J’aurai mieux fait de prendre mes valises pour quitter Harvard pendant les vacances. Rejoindre New York et la lumière, New York et les portables avec de la batterie. Ça m’aurait surtout évité de mettre en péril mon amitié avec Avery la veille. Je peste contre moi-même de penser encore à cette histoire et je repousse toutes ces pensées de mon esprit pour me concentrer sur une solution. Il me faut du feu. Sauf qu’aller en demander à Walter est au-dessus de mes forces. L’idée de pouvoir entrer dans sa chambre et le surprendre avec son idiote de petite amie me répugne au plus haut point. Je cherche un jean à enfiler, tout en me demandant qui pourrait bien être à la résidence à cette heure-ci. Alors que je m’apprête à remonter la braguette de mon jean, je me stoppe net dans ma lancée. Et au contraire, je laisse le tissus glisser sur mes hanches pour se retrouver au sol. A la place, je m’empare d’une nuisette noire, transparente et sacrément moulante dans le dressing. Heureusement, même sans lumière, je connais mes vêtements et leur emplacement comme ma poche. Je retire mes sous-vêtements, enfile ma nouvelle tenue, assortie à un petit shorty moulant parfaitement la forme de mes fesses. Je détache mes cheveux, les laissant onduler sur mes épaules et je me hisse hors de ma chambre, sur la pointe des pieds. Je n’ai plus qu’à espérer que ma proie soit bien dans sa chambre et qu’aucun autre Eliot ne traversa le couloir à ce moment-là. J’ose espérer qu’il soit toujours dans son ancienne chambre et timidement, je frappe quelques coups contre la porte. Je m'impatiente rapidement. Pourvu qu'il soit là. Et qu'il soit seul.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

arileks

♕ Pas besoin de feu pour t'allumer. ♕

J'aurais pensé que cette soirée de la veille se finisse bien plus en douceur, mais le fait de rentrer en face à face avec Georgia sur le chemin du retour, c'était la chose que je voulais le moins et pourtant ce fut bel et bien le cas. Elle m'avait jeté toute sa rage à la gueule, je récoltais la tempête pour ce que j'avais semé, un départ en douce, un simple courant d'air qui lui a brisé le cœur alors qu'on pouvaient s’apprêter à s'avouer nos sentiments et se mettre en couple mais non, j’étais déjà parti avant que ça puisse se faire et hier soir, je fus l'homme le plus coupable du monde à ses yeux, je m'étais rendu compte de la douleur que je lui avais infligé, pourtant j'étais parti pour changer, réfléchir sur le connard que j'avais été, sur le mal que j'avais pu faire et voilà que deux mois après je reviens et je fais toujours autant de mal. J'étais presque pas sortis de ma chambre aujourd'hui, je me sentais mal, mal pour Georgia pour lui avoir fait rouvrir cette cicatrice qui pendant deux mois avait tenu bon, et j'étais mal pour moi-même, me rendre compte que mes sentiments pour elle s'était égarés, que je lui avais fais mal, que je n'avais pas pensé aux conséquences de mon départ, j'avais espérer mieux comme retour. Le soir est de nouveau là, j'ai passé ma journée à fumer des clopes, écouter de la musique sur ce vieux baladeur mp3 en attendant que le courant revienne pour charger mon ordinateur et avoir du bon son ou encore j'ai revu mes cours, j'avais mieux à faire c'est vrai mais j'avais la tête ailleurs donc rester cloitré ici au lieu d'être je ne sais où à être de mauvais poil parce qu'une fille me perturbe, je préfère ça quoi. Et là je sors de la douche j'en avais bien besoin, juste le temps d'enrouler une serviette autour de la taille et de sortir de la salle de bain qu'on venait toquer à la porte de ma chambre, c'était pas pour me déranger mais je me demandais vraiment qui avait son temps à perdre à venir me voir et finalement en ouvrant la porte, je remarquais qu'Adriana avait du temps à perdre avec moi. Je souriais en la voyant, surtout habillée dans cette tenue, elle a toujours su me taper dans l’œil, dès le premier instant où je l'ai vu elle m'a attiré Ariane, t'es venu me gifler pour être parti deux mois ou tu veux autre chose ? j'avais déjà reçu une gifle de Gia alors pourquoi pas d'elle.

Code by Cookies., don't give it without permission.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
pas besoin de feu pour t'allumer...
La porte s’ouvre sur un garçon particulièrement peu vêtu. Une simple serviette est enroulée autour de sa taille tandis que des gouttes d’eau perlent encore le long de son cou. Je mordille ma lèvre inférieure tout en scrutant une glisser le long de son torse pour s’abattre violemment sur la serviette et disparaître dans le tissus. Ce n’est qu’à ce moment-là que je reporte mon regard sur son visage, surpris. « Ariane, t'es venu me gifler pour être parti deux mois ou tu veux autre chose ? » J’écarquille les yeux. Il est partit, sans la moindre explication, mais je m’en fiche totalement. Je n’ai en aucun cas besoin de savoir où il est partit ou même pourquoi. Je ne suis pas de celles-là. Rattraper le temps perdu est la seule chose qui me vient en tête tandis que je reste stoïque un instant sur le pas de la porte. « En réalité, je venais chercher du feu mais si tu tiens vraiment à ce que je te gifle… » Dis-je sur un petit ton espiègle avant de me glisser contre lui pour entrer dans la chambre. Je le frôle à peine, délivrant une effluve de mon parfum près de lui, et j’observe la pièce. Avant son départ, j’essayais tant bien que mal de mettre la main dessus, d’assouvir mes désirs en le faisant craquer, et j’ai pourtant peu mis les pieds dans sa chambre. Ça aurait été signe que nous aurions conclus et ce n’est pas ce que je désirais à l’époque. Je voulais simplement éveiller son intérêt, le séduire et lui faire oublier toutes les autres. La décoration est plutôt minimaliste mais il vient de revenir c’est sans doute pour cela. La pièce est peu éclairée, mais cela donne un ton beaucoup plus agréable à l’ambiance. Nous nous devinons par la lueur des bougies, je peux du regard dessiné les courbes de son torse musclé mais c’est tout. C’est bien suffisant. « Je suppose que tout le monde a du te demander où tu étais passé. » Dis-je d’un air faussement désintéressé avant de porter mes yeux de nouveau sur lui. « En réalité, je n’ai pas vraiment envie de le savoir moi… » Ajoutais-je avant de lui faire l’un de mes plus charmants sourire. Et je ne mens pas, je me fiche totalement de connaître son emploi du temps de ces derniers moi. Je ne suis pas à lui, il n’est pas à moi. Pas encore. « Tu peux m’aider, j’ai plus du tout de lumière dans ma chambre, et je n’aime pas vraiment l’obscurité… Toute seule. » J’insiste sur ces derniers mots comme pour lui suggérer de me tenir compagnie.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

arileks

♕ Pas besoin de feu pour t'allumer. ♕

Juste le temps d'enfiler cette serviette autour de la taille qu'on toque à la porte de ma chambre, et j'allais ouvrir encore trempé, j'avais la belle surprise d'une Ariane en tenue légère très agréable à la vue, c'était très plaisant. Je sais qu'elle s'en fou que je sois parti deux mois, pour tout dire elle et moi c'était presque rien juste des regards, elle m'a tapée dans l’œil, je lui ai tapé dans l’œil, ça s'arrête là T'en donne pas la peine, ça ira. lui répondais-je en souriant légèrement, me décalant pour la laisser entrer mais elle ne se gêne pas pour continuer son charme à faire effet à entrer en me frôlant presque me laissant le plaisir de sentir son parfum, je souriais refermant la porte, celui qui n'y voyait rien dans son jeu serait vraiment gay. Je devrais peut-être aller dans la salle de bain me changer mais avant que je puisse y aller la voilà à me demander si quelqu'un s'était préoccupé de mon départ, et je voyais dans les secondes qui suivirent, ses lèvres s'étirer dans un sourire m’affirmant qu'elle ne voulait rien savoir Tu sauras rien alors. Je vais enfiler quelque chose de plus convenable. je souriais aussi me dirigeant dans la salle de bain tirant la porte légèrement, histoire d'avoir un peu d'intimité et une fois essuyer avec la serviette, j'enfilais un boxer et short et marcel avant de sortir pour la rejoindre tout en répondant à sa petite remarque Je peux t'aider je pense, ce serait mal vu de ma part te te renvoyer dans ta chambre.. Me voilà à aller voir sur la table basse et sourire en voyant le briquet, je le prenais et le lui tenait revenant vers elle Tiens..

Code by Cookies., don't give it without permission.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
pas besoin de feu pour t'allumer...
Alekseï s’éclipse dans la salle de bain un instant pour enfiler une tenue plus appropriée. Celle-ci m’allait parfaitement, mais je ne fais pas de commentaire là-dessus. Je sais combien les hommes peuvent se montrer rapidement égocentrique si l’on commence à les complimenter. Et même si dans ce cas-là, il y a d quoi le complimenter. Je me contente de parcourir sa chambre sans bouger de là où je suis. Une chambre d’homme, où l’odeur viril d’un après rasage trône, et où des vêtements traînent un peu partout. Pourtant il manque quelque chose de précieux à la chambre du célibataire parfait, un sous vêtement féminin oublié dans un coin. Je suis amusée par cette pensée lorsqu’il réapparait, s’empare d’un objet sur la petite table de nuit et revient vers moi pour me le tendre. « Tiens. » Je n’arrive pas vraiment à déterminer s’il compte m’inviter ici, mais lorsque l’objet glisse dans ma paume je comprends qu’il m’offre la possibilité de retourner jusqu’à la pièce qui m’est réservée à l’Eliot House. Pourtant, je me sens d’humeur sacrément joueuse, j’ai envie d’oublier les tracas que me réserve la vie en ce moment, et Alekseï semble m’être offert sur un plateau d’argent pour cela. D’une pas gracieux, je me rapproche de lui, assez près pour pouvoir humer son parfum. « Et si je te dis que j’ai peur du feu ? » Demandais-je sur un ton provocant tout en le fixant intensément. Je mordille ma lèvre inférieure, bat des cils quelques secondes et tourne les talons pour retourner vers la porte. Se rapprocher pour lui filer entre les mains, voilà ce que j’avais dans l’idée. De mon sourire le plus innocent, je rajoute. « Est-ce que tu penses pouvoir venir allumer les bougies pour moi ? Ou bien vas-tu prétexter ne pas pouvoir pour que je sois obligée de rester confinée ici avec toi ? » Il a été absent durant deux longs mois et pourtant j’ai l’impression que ce petit jeu entre nous n’a pas perdu de son intérêt. Je le fixe, attendant sa réponse…
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

arileks

♕ Pas besoin de feu pour t'allumer. ♕

J'aurais très bien pu garder cette serviette sur le corps pour satisfaire sa vue mais c'était tout de même plus présentable d'accueillir quelqu'un habillé, j'allais dans la salle de bain quelques instants enfilé boxer, short et marcel pour venir la rejoindre. Je ne tarde pas à trouver le briquet sur ma table de nuit et je viens le lui tendre pour qu'il vienne s'y glisser dans la paume de sa main, je la regarde quelque secondes, je ne sais pas comment l'expliquer mais elle a ce truc qui agit sur moi, c'est différent de toutes les autres, même du temps de Solweig, je peux pas l'expliquer mais juste à fondre mon regard dans le sien, j'en ai des frissons. Elle vient se rapprocher de moi pour me dire qu'elle avait peur du feu, je discernais très bien de la provocation dans le timbre de sa voix et l'expression sur son visage mais étant joueur j'allais jouer moi aussi Et bien je te dis de faire attention. ce petit sourire aux lèvres je la vois tourner le dos pour se diriger vers la porte de ma chambre et ses questions sortantes d'entre ses lèvre svnait lâcher chez moi un léger petit rire Je peux prétexter te garder ici mais je peux aussi venir allumer tes bougies pour éviter que tu te brûle. je m'approche d'elle, la frôlant pour venir ouvrir la porte Tu m'as bien dis que tu avais peur du feu ? j'allais un peu plus loin dans son jeu, ça me changeait les idées après mon face à face de la veille avec Gia, Ariane savait m'occuper. J'attendais qu'elle passe pour refermer la porte derrière moi et la suivre jusqu'à la porte de sa chambre.

Code by Cookies., don't give it without permission.
]
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
pas besoin de feu pour t'allumer...
« Je peux prétexter te garder ici mais je peux aussi venir allumer tes bougies pour éviter que tu te brûles. Tu m'as bien dis que tu avais peur du feu ? » Mes lèvres s’élargissent en un sourire révélant ma dentition parfaite tandis que je passe une main sur mon décolleté, l’air de rien, caressant du bout des doigts ma peau laiteuse au passage. « Ce serait galant de ta part. » Il me frôle pour ouvrir la porte, et ce contact me fait frissonner, pourtant, je le suis sans rien laisser paraitre, sortant de la pièce la première pour le guider jusqu’à ma chambre. Ma démarche est gracieuse, et lente, lui laissant ainsi tout le loisir d’admirer mon corps si peu vêtue. Je m’empare de la poignée avant de me retourner vers lui. Il s’arrête devant moi à quelques centimètres à peine et mon regard espiègle se pose sur lui. « Je te laisse entrer mais n’y prend pas trop goût… » Dis-je tout en lui ouvrant la porte, l’invitant d’un geste à entrer à l’intérieur. « Il y a des bougies un petit peu partout… Mais tu n’es pas obligé de toutes les allumer… Ca donnera un côté plus romantique à la pièce si seulement quelques-unes brillent dans l’obscurité. » Je m’assois sur le lit et le contemple à l’œuvre. Il est particulièrement séduisant, dans le clair de lune. Et bientôt à la lueur des flammes qui se dispersent dans la pièce à une vitesse considérable. Alekseï n’a pas peur du feu et je suis presque certaine que cette affirmation marche aussi pour son sens imagé. Puisqu’il ne semble pas très loquace, je me charge de briser le silence. « Tu as quitté Harvard pour pouvoir agrandir ton tableau de chasse ou bien tu as eu d’autres préoccupations plus importantes et de ce fait, tu as besoin d’une présence féminine qui t’a tant manqué ces deux derniers mois ? » Demandais-je d’un ton presque innocent. « C’est simplement une question comme ça, ne t’imagine pas que je me proposerai pour être cette présence féminine. » Lançais-je, et ce même si je compte bien l’être en réalité.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

arileks

♕ Pas besoin de feu pour t'allumer. ♕

Me voilà à ne pas quitter son regard, me voilà à regarder discrètement cette beauté parfaite glisser ses doigts dans son décolleté, ma réponse semble être à son goût, Je pense aussi oui. galant de ma part c'est sur. Je continue d'être dans son jeu en venant la frôler pour ouvrir la porte et je sais que ça ne lui est pas rester indifférente, je suis même certain que quelques frissons ont parcourut son corps et je la laisse passant devant, admirant tout le temps de ce court trajet les courbes si parfaites de son corps, d'un œil discret bien entendu même si c'était un peu intentionnel de sa part de marcher de cette façon, diablement sexy. Jamais.. répondais-je à sa question, moi prendre trop de gout à chaque fois ? C'est mal me connaitre, ironiquement parlant bien entendu, elle me laisse entrer puis après avoir refermer la porte derrière moi, elle s'invite à s'asseoir sur le lit et ouvrir ses lèvres sur les quelques bougies et l'effet qu'elles donnent A vos ordres. glissais-je d'une voix qui ne serait pas sans effet pour elle, j'allumais quelques bougies avec le briquet, peu comme elle venait de le proposer pour rendre la chambre plus romantique. Quelques instants après elle brise ce silence que je me suis amusé à tenir, et sa question me rend très intrigué même si elle prêtant ne pas vouloir être cette présence féminine, je me redresse après avoir allumé la dernière bougie qui je dois dire, avec les autres, rend l'aspect de la pièce bien romantique, je tourne mon regard sur elle Je ne m'imagine rien du tout voyons. mais si tellement en fin de compte J'ai été occupé durant ces deux mois et c’est vrai que sentir le parfum d'une femme à côté de moi fut un manque si ta curiosité veut s'étendre. mon sourire fut provocateur et aguicheur, je continuais de jouer à son petit jeu en venant me diriger vers elle et une fois à sa hauteur lui tendre le briquet en plongeant mon regard dans le sien Je ne m'imagine toujours rien bien entendu. histoire que si elle réfléchisse elle comprenne bien que c'était tout le contraire.

Code by Cookies., don't give it without permission.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
pas besoin de feu pour t'allumer...
Ce petit jeu avec Alekseï me fait oublier pendant quelques instants que j’ai agis plutôt stupidement ces derniers temps. Me laisser séduire par des hommes qui au final n’en valaient pas la peine, coucher avec l’un de mes amis dans une ruelle déserte, et tout un tas d’autres choses que je voudrais sortir de mon esprit l’espace d’une nuit. Et Alekseï semble être plutôt doué pour ce jeu-là. Il est divertissant bien qu’il soit clair que nous n’ayons rien à faire ensemble. C’est d’ailleurs là un sacré paradoxe. Il me plaît, il m’attire, il m’a rendu folle un temps devrais-je ajouter mais dans le fond, je sais bien qu’une relation avec lui me mènerait à ma perte. Avec son départ, je m’étais renseignée sur lui tant j’avais ce besoin de le faire mien. Mais ses diverses aventures avec la moitié des filles d’Harvard m’a refroidi. Ce n’est pas ce genre d’homme que je souhaite à mes côtés et même si j’aurai voulu faire changer Alekseï pour l’emprisonner sous mon unique charme, j’y ai renoncé. Je ne veux pas baser un couple sur de la manipulation, j’aimerai un homme qui m’aime passionnément, qui m’aime sans jamais avoir envie de me tromper, un homme pour qui je serai tout. Est-ce que cela existe encore ? Je garde espoir, mais en attendant cet homme, je me perds dans la contemplation des charmes divers d’Alekseï. Ma chambre devient rapidement illuminée de toute part, et nous baignons dans une atmosphère chaleureuse. « Je ne m'imagine rien du tout voyons. J'ai été occupé durant ces deux mois et c’est vrai que sentir le parfum d'une femme à côté de moi fut un manque si ta curiosité veut s'étendre. » Je souris, tout en me redressant sur le lit. A présent, je ne suis plus assise dessus, mais je suis à genoux lorsqu’il me tend le briquet. « Je ne m'imagine toujours rien bien entendu. » Mes doigts habiles s’emparent de sa main et l’attire vers moi. Le briquet n’a aucune fichue importance en réalité. Son corps se rapproche, ne laissant entre nous deux qu’un infime espace. Je peux sentir son souffle sur ma peau tandis que nos yeux ne se quittent pas. « Je suppose que ça a dû être compliqué pour un séducteur comme toi… » Murmurais-je sans détacher mes yeux des siens. Ma main vient se poser entre nous, sur son torse bombé et je mordille ma lèvre inférieure. « Est-ce qu’au moins tes anciennes conquêtes d’Harvard t’ont accueillis comme il se doit pour compenser ces deux longs mois ? » Demandais-je dans un souffle.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

arileks

♕ pas besoin de feu pour t'allumer... ♕

Avant de partir, c'est vrai qu'Ariane m'a vraiment tapé dans l'oeil, même quand j'étais très proche de Georgia, ce moment où quelque chose de vraiment intense et fort pouvait se produire entre nous. Cette fille à réussit à me faire plus penser à elle qu'à mon ancienne meilleure amie, c'est pour dire, juste par des regards, des sourires, il n'y a jamais eu de rapprochement comme là, et je me sentais bizarre, c'était pas le coup de foudre avec Ariane, non mon cœur ne s'était pas emballé au point de me faire sentir je ne sais comment mais elle me rendait dingue d'elle simplement et je me rend compte que même après ces deux mois loin de tout, c'est toujours le cas. J'ai rendu le cadre de sa chambre plus romantique par ces bougies allumées, lui en apprenant aussi plus sur les manques que j'ai pu ressentir, sa curiosité avait dans ce cas de quoi se satisfaire mais je savais bien qu'il ne s'agissait pas que de ça, elle me tendait aussi des perches, faire croire à son trait de caractère, sa curiosité, pour cacher en fin de compte une pulsion bien présente. Et me plaisant vraiment, je ne résiste évidemment pas, allant plus en profondeur dans son jeu, je me dirige vers elle, non plus assise, mais à genoux sur son lit et lorsque je lui tends le briquet, ses doigts glissent sur mon poignet pour m'attirer vers elle, refermant cette proximité distancée, la faisant devenir plutôt proche, trop proche même. Je ne quitte pas son regard des yeux, ce regard qui arrive à me déstabilisé Tu devines bien.. sa main se pose sur mon torse dès lors des frissons me prennent de court, la voir se mordiller la lèvre, un rictus étire mes lèvres en plus de l'entente de sa question, je viens sentir quelques fleurs de son parfum dans le creux de son cou, expirant et inspirant une très légère brise de mon souffle, lui répondant par la même occasion Aucune.. je venais poser ma main sur la sienne toujours au contact de mon torse, je me sentais vraiment bizarre, c'était différent de toutes les autres filles, de toutes ces anciennes conquêtes.

Code by Cookies., don't give it without permission.
[/quote]
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)