Invité
est en ligne
Invité
once again you're back in my mind. A&A
Un texto de mon père est arrivé ce matin, tandis je baignais dans le bain de l’appartement que je partage avec Olympe. Il me demandait de l’appeler au plus vite. J’ai beaucoup hésité avant d’appuyer sur le bouton d’appel. Mon cœur battait la chamade. Depuis la mort de mon frère, je refuse de lui parler comme deux adultes responsables. J’ai trop peur. C’est tout de même à cause de lui qu’on s’est retrouvé dans cette université, et que la bombe à explosé dans la gueule de mon frère! De plus, depuis sa mort, quand on se parle c’est pour s’engueuler. Alors non merci, mais je veux passer une bonne journée, alors pas cette fois. Je commençais les cours un peu plus tard, et dans l’après-midi j’avais un long moment de creux, alors papa, ne me gâche pas ma journée sil-te-plait.
Cette après-midi, le temps est à l’étude. J’ai un horrible dossier à rendre pour demain, et je ne peux pas me permettre de faire les choses à la légère. J’ai un objectif dans la vie. Et même si j’ai tendance à penser à autre chose ces derniers temps, je ne dois rien laissé au hasard. Mais si on m’avait dit qu’une personne allait réussir à me faire sortir la tête de mes bouquins, je ne l’aurais pas cru. C’est pourtant ce qui est arrivé.
La tête plongée dans un livre d’une centaine page, mes boucles en bataille, je commençais légèrement à avoir le cerveau qui chauffait. Alors tout mon corps c’est mis à être pris d’une forte chaleur, le moment étant venu de retiré mon pull. Quelques regards masculins se sont jetés sur moi, je ne le cache pas, ce qui m’a bien fait sourire. Mais l’heure n’est pas venu à faire mumuse Abigael, tu dois bosser poulette. Enfin je pense ça, mais quand je l’ai vu lui, je n’ai pas pu le lâcher des yeux. J’ai été prise d’une envie soudaine d’aller lui parler. Et puis je sais parfaitement que je n’suis pas une si mauvaise compagnie au fond. Austin était quelques pas plus loin, à feuilleté un bouquin, debout devant des étagères. Tiens, il va à la bibliothèque lui ? Je le regarde rapidement de la tête au pied, sans épargner un seul de ses détails. J’ai dis regarde ? Je pensais plutôt à admirer, en réalité. J’avais déjà tout remarqué auparavant bien sûre, la première fois que je l’ai vu pour être exacte. Mais c’est toujours un malin plaisir de le regarder, lui, sa carrure, ses boucles, et son doux visage. Je sors enfin de ce petit moment de solitude, que je jugerais même ridicule, et décide de foncer. Je n’suis pas timide, au contraire. Ce ne sont pas de toutes petites fossettes qui me font peur. Je ferme mon bouquin, et lève enfin mes jolis petites fesses de la chaise pour me diriger vers lui, toujours à feuilleté un petit livre. Je m’avance doucement, pour ne pas paraître trop précipité, quand enfin je m’adosse à l’étagère, histoire de me trouver bloqué entre lui et les livres. Je me rends compte que j’ai emmené le livre de 100 pages avec moi, et même, que je le colle fermé contre ma poitrine. What the fuck Abi ? « Toi, ici ? Je n’aurais jamais pensé ça d'toi ! » Dis-je un air charmeur au visage. Je n’ai pas oublié d'ajouter le sourire en coin, et surtout de lever un sourcil. C'est comme ça avec lui, je ne peux pas m'empêcher de le charrier. Il y'a des gens avec qui ça marche, et ils me le rendent bien. Il me regard alors de ses grands yeux émeraudes, qui me font légèrement craqués.
Cette après-midi, le temps est à l’étude. J’ai un horrible dossier à rendre pour demain, et je ne peux pas me permettre de faire les choses à la légère. J’ai un objectif dans la vie. Et même si j’ai tendance à penser à autre chose ces derniers temps, je ne dois rien laissé au hasard. Mais si on m’avait dit qu’une personne allait réussir à me faire sortir la tête de mes bouquins, je ne l’aurais pas cru. C’est pourtant ce qui est arrivé.
La tête plongée dans un livre d’une centaine page, mes boucles en bataille, je commençais légèrement à avoir le cerveau qui chauffait. Alors tout mon corps c’est mis à être pris d’une forte chaleur, le moment étant venu de retiré mon pull. Quelques regards masculins se sont jetés sur moi, je ne le cache pas, ce qui m’a bien fait sourire. Mais l’heure n’est pas venu à faire mumuse Abigael, tu dois bosser poulette. Enfin je pense ça, mais quand je l’ai vu lui, je n’ai pas pu le lâcher des yeux. J’ai été prise d’une envie soudaine d’aller lui parler. Et puis je sais parfaitement que je n’suis pas une si mauvaise compagnie au fond. Austin était quelques pas plus loin, à feuilleté un bouquin, debout devant des étagères. Tiens, il va à la bibliothèque lui ? Je le regarde rapidement de la tête au pied, sans épargner un seul de ses détails. J’ai dis regarde ? Je pensais plutôt à admirer, en réalité. J’avais déjà tout remarqué auparavant bien sûre, la première fois que je l’ai vu pour être exacte. Mais c’est toujours un malin plaisir de le regarder, lui, sa carrure, ses boucles, et son doux visage. Je sors enfin de ce petit moment de solitude, que je jugerais même ridicule, et décide de foncer. Je n’suis pas timide, au contraire. Ce ne sont pas de toutes petites fossettes qui me font peur. Je ferme mon bouquin, et lève enfin mes jolis petites fesses de la chaise pour me diriger vers lui, toujours à feuilleté un petit livre. Je m’avance doucement, pour ne pas paraître trop précipité, quand enfin je m’adosse à l’étagère, histoire de me trouver bloqué entre lui et les livres. Je me rends compte que j’ai emmené le livre de 100 pages avec moi, et même, que je le colle fermé contre ma poitrine. What the fuck Abi ? « Toi, ici ? Je n’aurais jamais pensé ça d'toi ! » Dis-je un air charmeur au visage. Je n’ai pas oublié d'ajouter le sourire en coin, et surtout de lever un sourcil. C'est comme ça avec lui, je ne peux pas m'empêcher de le charrier. Il y'a des gens avec qui ça marche, et ils me le rendent bien. Il me regard alors de ses grands yeux émeraudes, qui me font légèrement craqués.
made by pandora.
(Invité)