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« Et ta mère elle est amoureuse c'est pour ça qu'elle ne voit rien. » Comme quoi l'amour faisait des ravages partout. On était toujours amoureux de la mauvaise personne ou alors on faisait souffrir celui ou celle qu'on aimé sans le savoir. Personnellement, tu pensais que la mère de Jeno souffrait beaucoup de tout ceci et qu'elle cherchait un moyen pour garder est son fils et son nouveau mari mais, malheureusement, il faudra faire un choix et en laissant le fameux Ted payait les études de Jeno à Harvard, elle a fait un choix. Inconscient mais, elle l'a fait. Mais ça tu ne le dirais pas à Jeno qui enchaînait sur ta relation avec Konrad. Il était de son côté et tu ne pouvais rien dire a pars soupirer longuement. Tu le savais tout ça, tout le monde te le disait mais au fond ce n'est plus vraiment ce que tu voulais entendre et pour cela il faudrait que tu changes et tu allais changer. « Je sais que tu consommes plus que Konrad mais, je ne te dis rien, car c'est un coup à ce que tu me files entre les doigts. Donc je ferme ma gueule mais crois-moi qu'à l'intérieur je te mets des claques ! » Tu le regardais sérieusement, pas même un sourire venait passé sur tes lèvres. « Voilà toujours pareil ! » Tu te redressais, laissant retomber la main de Jeno sur le lit. « Je ne me déshabille pas ! Ce n'est pas du strip-tease que je fais mais du pôle dance c'est à dire que je suis à trois mètres de hauteur sur une barre a danser, faire des figures. Je suis gogo danseuse si tu veux mais pas strip-teaseuse. » Konrad n'avait pas compris non plus que tu ne te foutais pas à poil devant un parterre de mecs avec la langue qui pende. Et puis, toi tu n'en avais rien à foutre de ce qu'il pouvait penser. Tu t'éclatais juste autour de cette barre. « Et puis, je ne compare pas. J'ai arrêter de me piquer aussi parce que monsieur me menaçait de me quitter. Je veux bien faire des concessions mais, je veux pas être toute seule. De toute façon, Konrad ce n'était pas une fille comme moi qui lui fallait c'était une fille comme l'autre rose de mes deux. Elle est bien, elle fume pas, se drogue pas, n'a pas une réputation de pute et personne ne lui dit qu'elle finira par le trompé. » Tu levais doucement les yeux au ciel mais, cette réputation tu te l'étais forgé un minimum aussi. Même si dieu que sait que à Harvard dès que t'as eu trois mecs différents dans ton pieu, ça y est tu es une pute ! Enfin bref, tu prenais une cigarette que tu t'allumais parce que tu en avais légèrement besoin. « Non. On est plus ensemble. Je ne m'attendais pas à ce qu'il m'attende mais, je pensais juste qu'il comprendrait que si j'ai fait ça c'est par lâcheté mais surtout parce que je ne voulais pas qu'il me voit pesé trente-cinq kilos, sans cheveux, à vomir toute la journée. Et puis, si je lui avais dit quoi que ce soit, il m'aurait retenue ou alors il serait venu à ma recherche. Je le connais. » Jeno te disait de l'oublier c'était le mieux pour lui, pour toi, pour vous. Tirant sur ta cigarette, tu ne disais rien. D'ailleurs, tu ne le regardais même plus. Tu fixais le vide ou quelque chose d'autre mais pas Jeno.
Explosif. Explosif était vos caractères et même si Jeno avait pour habitude de calmer vos pseudos disputes ce n'était plus le cas désormais. Il s'était endurci. Son calme habituel avait laissé place à la rage. Et toi. Oh toi Grace St-James, tu t'étais toujours promis à ne jamais te rabaisser à quoi que ce soit a pars pour te mettre à genoux pour faire une pipe à un mec. Oui, c'était comme ça mais ta maladie t'avait rendue fragile physiquement mais mentalement. Ta si grande sûreté en toi venait en grande partie de ton physique qui était désirable. Sachant pertinemment que ce dernier à changé, tu étais moins sûre de toi et tu doutais. Tu avais essayé d'en parler à Jeno mais, il n'était absolument pas d'accord et il te le faisait bien comprendre en te découvrant, en te parlant des sentiments de Konrad, en t'engueulant limite. Tu lui faisais sans rien dire, tu gardais la tête haute et restée de marbre. « Oui, je complexe. Et je complexe parce que mon corps c'était l'objet du désir, l'objet des convoitises. Tu regardais mon corps, tu couchais avec moi et après c'était basta. Sauf qu'il a changeait donc la confiance que j'ai en moi aussi. Tout ça ne tient qu'à un fil. Mais, je suis bien plus forte que n'importe qui pourrait le penser. Alors, c'est reparti. Je refait tout comme avant. Grace St-James la garce, la salope est de retour. C'est fini Jeno. Toute ses conneries d'amour, de sentiments, de je ne sais quoi c'est fini. Je ne me fait plus avoir. » Tu te levais du lit pour aller enfiler un string et un débardeur tout simple. Tu t'attachais les cheveux. « Ce soir, on sort ? » Il fallait que tu te trouves de nouvel proie. C'était toi ça. Tu regardais, tu souriais, tu charmais, tu couchais et fin. Fin de l'histoire, il n'y avait d'ailleurs aucune histoire qui commençait. Harvard va pouvoir craché sur ton dos mais, tu n'en avais plus rien à foutre. Tu voulais juste t'amuser. Le seul qui pourrait faire changer la donne ça serait Jeno peut-être c'était le seul qui pourrait te stoppé. Ou Konrad peut-être s'il t'entendait, s'il te voyait, il te cracherait dessus. Tu secouais doucement la tête et te regardais dans la glace en souriant. C'était reparti, Harvard Grace est de retour, vos mecs seront miens bientôt.
Jeno était parti à la fenêtre afin de finir son joint pendant que toi, devant ta glace tu pensais déjà a quelle robe tu mettrais ce soir. Oui, car même si Jeno ne voulait pas sortir, tu finirais par y arrivais à le traîner là où tu souhaitais. « Au Bukowski Tavern. Ils font une soirée spéciale Halloween et y'a plein de monde qui de prévu alors let's go ! » Tu souriais doucement, sortant tes robes les plus courtes, car ce soir tu n'avais pas envie de faire dans la dentelle. Tu avais envie de faire comme avant de charmer, de draguer, d'embrasser et puis de ne pas rentrer seule ce soir. Mais lorsque Jeno te dit qu'il avait des mois de baise à rattraper, tu te tournais vers lui avec un regard un peu blasé qui montrait légèrement ta jalousie. « Je ne te conviens pas ? » Tu t'approchais un peu de lui, pour venir t'asseoir sur le rebord de la fenêtre. « Mais tu as raison, baise les mais fais-moi l'amour par contre! » Tu lui faisais un petit clin d’œil avant de lui prendre le joint des mains pour tirer un peu dessus, avant de lui remettre entre les lèvres et d'embrasser ses lèvres. Oui, pourquoi forcément la joue alors que tu pouvais faire plus ? Retournant à ton armoire, tu enfilais une robe assez courte et moulante rouge passion. Tes fesses ressortaient à merveille dedans et ton teint un peu nacré ressortait aussi. C'était l'une de tes robes préférer c'était certain. Te retournant vers Jeno tu le regardais. « Alors, tu en penses quoi ? » Tu tournais sur toi-même avant de lui faire face.
Et même si personne ne voudrais de toi ce soir, tu savais que tu rentrerais avec Jeno a moins que lui se trouve une pouffe avec qui il va passer la nuit. Rien que d'y penser ça te donnait la chaire de poule. Tu n'aimais pas le savoir dans les bras d'une autre, dans le lit d'une autre tout simplement partager des choses qu'il pourrait partager avec toi avec une autre. T'approchant de lui, tu avais pris son joint, fumer dessus, déposer un baiser sur ses lèvres pour ensuite lui redonner le joint alors qu'il disait que tu étais jalouse. « Jalouse moi ? Jalouse de qui ? De toutes ces petites pouffes qui te tournent autour ? Absolument, pas elles font bien ce qu'elles veulent mais, elle font pitié. » Tu avais un petit sourire en coin, car même si tu niais le fait d'être jalouse cela était complètement rater, parce que tu insultais ces filles qui ne t'avaient rien fait du tout enfin bref. Retournant à tes essayages, tu avais enfilé une robe qui faisait de l'effet à Jeno et ça, ça te plaisait. Tu souriais alors qu'il te regardait, puis tu l'as retiré pour te retrouver en string et en soutien-gorge. « Je mettrais ça ce soir alors ! » Tu te jetais sur ton téléphone pour le prendre et regarder l'heure. Wow déjà ? Tu regardais Jeno et allait le prendre par la main. « Tu vas te dépêcher de te faire beau hein parce que là ça va être l'heure ! » Tu souriais en le mettant quasiment dehors, jusqu'à ce que tu te rende compte qu'il n'est qu'en caleçon. « Wow, noooon ! » Tu le faisais rentrer immédiatement dans la chambre. « Tu sors pas tout nue hein ! » Tu étais un peu tarée quand même de le laisser dans les couloirs de la mather house quasiment tout nu.