ELITE — Une rencontre inattendu

Tu viens de vider ton sac à un mec que tu connais à peine mais bon dieu ce que ça te fait du bien, tu sais que la fin approche au fond de toi, Konrad va finir par te dire qu'il est toujours amoureusx de Grace qu'il tient à toi mais qu'il est désolé, le pilote qu'on sort généralement dans ces moments là. Il te dira que c'est pas ta faute, que tu n'y es pour rien et pourtant tu pourras pas t'empêcher de te demander pourquoi ça a foiré. Tu vois les deux verres arriver alors qu'Elios termine de t'expliquer ce qui lui est arriver et tu le regardes dans les yeux, un sourire sincère. Je crois qu'on fait la paire tous les deux, à vouloir s'accrocher tant bien que mal. Finalement je me rends compte que d'une certaine manière je profite des derniers instant. Je suis désolé que tu es perdue ton grand amour, tu me sembles être pourtant un bel homme, gentil et respectueux je ne suis pas habitué à ça. Félicitation pour la futur naissance. Tu prends ton verre et lui donne le sien. Je propose que l'on trinque à la chance d'un avenir plus serein.

Ce qui est fou c'est que je m'étais confié à une parfaite inconnue, enfin que je ne connaissais que de vue mais wow, sa réponse me rassura plutôt qu'elle se moqua. Parfois je m'emportais quand il s'agissait de parler de Natalya, j'utilisais de grands mots. Mais je dois dire que parler d'elle.. ça faisait longtemps. Je crois qu'on fait la paire tous les deux, à vouloir s'accrocher tant bien que mal. Finalement je me rends compte que d'une certaine manière je profite des derniers instant. Je suis désolé que tu es perdue ton grand amour, tu me sembles être pourtant un bel homme, gentil et respectueux je ne suis pas habitué à ça. Félicitation pour la futur naissance. Je prenais les verres que le serveur venait d'apporter et en posait un face à la jeune femme, et un face à moi. Oh merci pour le compliment et la naissance. Hm parfois je me demande s'il n'est pas préférable que je devienne un salaud. Pourtant c'est pas dans mes principes mais bon.. Et t'as raison de profiter. Profite jusqu'aux derniers instants avec lui, regrette pas. Mais après tout.. on ne peut rien faire à l'amour. Et tu ne pourras jamais empêcher Konrad et Grace de s'aimer. A moins que tu sois une folle. Je finissais ma phrase avec un brin d'humour, en laissant échapper un clin d'oeil à Aphrodite, et levant mon verre à mes lèvres tandis qu'elle proposait qu'on trinque. Alors ça, je suis tout à fait d'accord ! Je levais mon verre près du sien pour y entendre le "tchin" habituel. Je suis d'avoir vidé mon sac ce soir, si tu savais. Merci Aphrodite. Mon remerciement était sincère. Ca pouvait paraitre con, mais j'étais une personne vraiment profonde en sentiment et mon ptit coup de blues ce soir me rendait pas justice je trouve.

Tu le regardes et l'écoute avec attention parce que finalement tu te rends compte que te confier à lui ça te fait vraiment du bien et tu te sens comprise en écoutant à ton tour. Tu le regardes et tu trouves dommage que cette jeune femme n'es pas dénié se remettre avec lui parce qu'il est vraiment gentil, beau garçon, il semblait avoir du respect et de l'écoute ça se trouvait pas à tous les coin de rue des hommes comme lui. Il méritait de trouver quelqu'un de bien. De rien, vraiment. Tu sais j'ai décidé de ne plus être moi même depuis que je suis à Harvard, je suis dévenu ce que je détestais le plus au monde, parfois je voudrais redevenir celle que je suis lorsque je retourne chez moi, en Australie.. Tu as la chance d'être encore toi même et moi il me plaie bien ce gars là. Au moin ça remonte le moral de voir qu'il y a encore des mecs qui ont du coeur. De toute manière, je ne compte pas les empêcher, si ils sont heureux ensemble que grand bien leur face j'irais me consoler en buvant quelques verres.. C'était simple à dire comme ça pourtant tu ne pouvais pas t'empêcher de pensé que tu voulais aussi avoir ta part de bonheur trouver un homme bien, qui t'aime et que tu n'aurais pas peur d'aimer en retour, enfin c'est ce que voudrait l'Australienne qui est en toi. Tu finis par trinquer et boit quelques gorgées.Ne me remercie pas ça me fait du bien d'en parler à quelqu'un aussi. Je ravie surtout de pouvoir apprendre à te connaître. Tu étais toi aussi sincère, tu le pensais vraiment, sa compagnie t'étais forte agréable.

De rien, vraiment. Tu sais j'ai décidé de ne plus être moi même depuis que je suis à Harvard, je suis dévenu ce que je détestais le plus au monde, parfois je voudrais redevenir celle que je suis lorsque je retourne chez moi, en Australie.. Tu as la chance d'être encore toi même et moi il me plaie bien ce gars là. Au moin ça remonte le moral de voir qu'il y a encore des mecs qui ont du coeur. De toute manière, je ne compte pas les empêcher, si ils sont heureux ensemble que grand bien leur face j'irais me consoler en buvant quelques verres.. Je fis une moue étonné. A mon avis une fille comme elle ne devrait pas rester seule longtemps. Surtout qu'elle avait beau être charmante, elle avait un grand coeur et ça j'en étais sûr et certain. Sinon elle ne m'aurait pas écouté avec tant d'attention, ne se serait pas confiée comme ça. Y en a encore, faut juste chercher et être patiente. Après y a ce genre de filles qui ne sont attirées que par les muscles, les gars superficiels etc. Toutes les filles méritaient d'avoir un homme qui l'aime profondément, tout comme Aphrodite. Ne me remercie pas ça me fait du bien d'en parler à quelqu'un aussi. Je ravie surtout de pouvoir apprendre à te connaître. Je souriais, ça me faisait plaisir parce que moi aussi ça me faisait tout autant de bien d'en parler. Et comprendre que finalement, c'était une fille superbe. Je m'en doutais déjà, mais ça ne faisait que confirmer. Je voulais en savoir davantage sur elle. Et sinon tu viens d'où et depuis combien de temps tu es là ? J'avais remarqué Aphrodite depuis quelques mois seulement et cette fille, je dois dire, m'intriguait.

Tu finis par te rendre comptes que tu n'as été en couple trois fois et qu'à chaques fois tu te retrouves obligé d'abandonnée la partie, tu n'es pourtant pas du genre à renoncer mais la première fut ton retour en Australie et tes adieux à Maximilian. Il y a eu Sancho mais il ne voulait pas s'engager plus alors tu avais décidé de tout arrêter avant de souffrir d'avantage. Maintenant Konrad et Grace, tu allais devoir à nouveau te rendre compte que tu ne serais pas à la hauteur malheureusement. Tu regardes alors Elios dans les yeux, pinçant légèrement les lèvres. Je ne sais pas si c'est réellement une question de patience tu sais, je pense simplement que ça nous tombe dessus généralement sans qu'on s'y attende. C'est vraie après tout l'amour c'était innévitablement qu'une histoire de destiné, Tu n'étais même pas sure de trouver un jour un homme qui saurait t'aimer comme tu l'aimerais, tu fais toujours cette erreur d'être entière et cette douleur fini toujours par revenir. Plus tu parlais avec lui et plus tu appréçiais d'être ici avec lui il était si agréable, tu étais surprise que vous n'ayez jamais discuté avant ça. Tu sourie à sa question. Je suis Australienne, l'ainée d'une famille de quatre enfants que des filles, je suis venue il y cinq ans ici pour étudier, j'ai eus une bourse. J'aime beaucoup mon pays il me manque souvent, chez moi je suis une fille douce, agréable, fragile aussi je laisse tomber toutes ses barrières que je me mets ici. Et toi qui es tu vraiment ? dis tu en buvant quelques gorgée.

C'était agréable de parler comme ça avec elle. Simplement, se confier, s'ouvrir à quelqu'un. Ce soir, si je n'aurais pas rencontré Aphrodite, j'aurais surement bu toute la soirée, je serais rentrer à la maison complètement sonné sans non plus être inconscient. Mais maintenant que je discutais avec la demoiselle, je modérais mes verres. Le fait que je lui parle m'arrêtais de prendre verre par verre, mais gorgée par gorgée. Je suis Australienne, l'ainée d'une famille de quatre enfants que des filles, je suis venue il y cinq ans ici pour étudier, j'ai eus une bourse. J'aime beaucoup mon pays il me manque souvent, chez moi je suis une fille douce, agréable, fragile aussi je laisse tomber toutes ses barrières que je me mets ici. Et toi qui es tu vraiment ? C'était fort intéressant. Et bien, qui l'aurait pensé ? Mais je trouvais ça bête qu'elle mette des barrières ici.. J'adore l'Australie et tu peux être fiere de ton pays. J'y suis passé deux fois, pour "affaires". Je me présente, Elios Di Fabio, prince héritier au trône d'Italie. Bien que la royauté ne fait plus partit intégrante du système italien, on a une certaine réputation là-bas. Je suis fils unique, malheureusement mais il se trouve que j'ai un tas de cousins et de cousines. Ma famille se compose de gens connus et à leur aise. Je suis arrivé à Cambridge il y a 4 ans, la famille royale est constamment derrière moi : gardes du corps, majordomes... Etant adolescent j'étais.. rebelle. Je n'acceptais pas mon statut de prince alors je faisais que des conneries : fêtes bondées etc. Je me suis calmée et je reste pas moins un gentleman, j'ai un grand respect pour autrui et j'ai jamais réussi à être un connard. C'est grave d'après toi ? J'avais un grand sourire quand je lui contais ma vie et qui j'étais. L'Italie me manquait et d'ailleurs j'irais sûrement y faire un tour bientôt.

Tu n'en reviens pas d'avoir un price devant toi, il semblait si naturelle, si simple toi et ton image toute faite de la royauté. Pourtant tu restais surprise par temps de simplicité. Tu l'écoutes très attentivement et tu sourie en sachant que tous les deux vos pays vous manque. Tu lui offre un sourire sincère ravie d'en savoir encore d'avantage sur lui, il semble très bien vraiment, il aurait pu te corresponde, toi la petite Australienne. Je suis flatté d'avoir un prince à mes côtés. D'ailleurs tu rayonnes de simplicité ça me semble très étrange, alors là c'est moi qui devrait me demander ce que tu fais dans un tel endroit mais tu m'as déjà répondu. Je comprends que ce ne doit pas être facile de venir au monde en sachant qu'on a dejà les yeux braqué sur soit. J'ai toujours rêvé d'aller en Italie. dis tu en le regardant toujours un sourire aux lèvres

Aprodite n'en revenait pas d'avoir devant ses yeux un prince. Enfin bon il ne fallait pas le prendre comme ça mais j'avais souvent eus affaire à ce genre de réaction. J'avais essayé d'être le plus sobre possible en lui racontant, je voulais pas qu'elle me prenne pour un gars avec un égo surdimensionné et qui profitait de son statut pour impressionner les filles. Je suis flatté d'avoir un prince à mes côtés. D'ailleurs tu rayonnes de simplicité ça me semble très étrange, alors là c'est moi qui devrait me demander ce que tu fais dans un tel endroit mais tu m'as déjà répondu. Je comprends que ce ne doit pas être facile de venir au monde en sachant qu'on a dejà les yeux braqué sur soit. J'ai toujours rêvé d'aller en Italie. Je faisais valser mon bras, comme pour tirer une révérence, histoire de blaguer. Aphrodite avait un grand sourire aux lèvres et j'étais plutôt content de l'avoir fait sourire étant donné qu'elle n'allait pas si fort quelques minutes plus tot. Je te le fais pas dire.. Je l'ai très mal pris et j'ai mis du temps. Et tu te rappelles la fille dont j'ai toujours été amoureux ? Et bien c'est elle qui m'a permit d'accepter mon statut, de me stabiliser. J'essaie d'être un homme normal, quelqu'un d'ordinaire même si je sais que c'est impossible. Je finissais mon verre de whisky et regardant la jeune femme droit dans les yeux. Et bien si tu veux je peux t'y amener ? Je pourrais te faire visiter et si t'es pas d'accord, je pourrais très bien t'emmener sans pour autant qu'on reste ensemble ? Je voulais rendre service à la demoiselle. Bien sûr si elle était d'accord cela ne se ferait pas avant un mois étant donné que Feldt allait bientôt accouchée et que je devais être présent pour elle..

Tu le vois faire la révérence et tu décides alors de le saluer comme une princesse te prenant au jeu en souriant, ça faisait du bien de sourire comme ça, de passer un bon moment et en charmante compagnie en plus. Elios semblait lui aussi passer un bon moment et ça te faisait plaisir qu'il oublie lui aussi ses soucies. Je crois que tu t'en sors admirablement bien, tu sembles avoir trouvé la vraie personne que tu es entre ses deux mondes bien différents, la royauté ainsi qu'une vie ordinaire. Rassure toi tu me sembles tout à fait normal enfin là comme ça oui à moins que je dois m'attendre au pire. Tu ris doucement en le taquinant, je terminais mon verre à mon tour puis je l'écoute attentivement agréablement surprise par sa proposition. Je serais ravie de t'accompagner, tu pourrais me faire découvrir tes endroits favorie, ou tu te planquais quand tu étais gosse, enfin me faire découvrir ce beau pays. Par contre, il faudra que tu me laisses t'emmener en Australie ! Tu était touchée par sa proposition car il te connaissait depuis peu mais il semblait t'apprécié tout comme toi tu l'apprécie de plus en plus.

Quand la jeune femme tira sa révérence, je ne pus m'empêcher de rire. Elle le faisait très bien, on aurait cru une vraie princesse. Je crois que tu t'en sors admirablement bien, tu sembles avoir trouvé la vraie personne que tu es entre ses deux mondes bien différents, la royauté ainsi qu'une vie ordinaire. Rassure toi tu me sembles tout à fait normal enfin là comme ça oui à moins que je dois m'attendre au pire. J'en revenais à un autre verre de whisky et la remerciait chaleureusement avec un grand sourire. Elle me rassurait quand elle me disait ça et, j'avais comme l'impression d'avoir réussi mon coup. Il y a quelques minutes de cela, je n'étais qu'un gars ordinaire pour elle, je pouvais donc paraître être un parfait homme ordinaire ? Je serais ravie de t'accompagner, tu pourrais me faire découvrir tes endroits favorie, ou tu te planquais quand tu étais gosse, enfin me faire découvrir ce beau pays. Par contre, il faudra que tu me laisses t'emmener en Australie ! Je tapais légérement mon poing sur la table, souriant resplendissement. Alors c'est d'accord ! Je te montrerais tout et je te montrerais de loin mon incroyable demeure en Italie où résident ma famille. J'essayerais de t'y faire rentrer si tu veux, mais c'est pas garantis. Et pour l'Australie, je suis partant ! Je veux que tu me montres l'endroit où t'habitais, tout ! Je lui demandais tout ça avec entrain. J'avais l'impression qu'on parlait et qu'on rêvait de voyages lointains tels des enfants qui veulent s'échapper loin.