(+ maxilia) three words, eight letters: i miss you

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ maximilian)

J'attendais à ce qu'il s'avoue enfin vaincu. Bon, j'avoue avoir un peu triché en posant mes lèvres sur son corps, mais personne n'a dit que c'était un jeu équitable. Après tout, un défi, c'est fait pour le gagner. Bon, je n'avais pas utiliser de coup bas non plus, faut pas exagérer. Mais je l'avais senti frissonner sous ma bouche et je ne cachais pas le sourire satisfait que j'affichais maintenant. Soudain, sans comprendre grand chose, je me retrouvais étalée sur le lit, Maximilian au dessus de moi. Cette position me fit alors rougir lamentablement. Putain, c'est pas la première fois que je me retrouve ainsi avec un gars, alors pourquoi fallait-il que je réagisse aussi violemment? J'essayais alors vainement de reprendre mon calme, me mordant la lèvre. Merde... « T'es la meilleure, je te laisse le titre, je suis encore un homme il me semble, j'aurais du mal à te battre au féminin.. » Je clignais alors des yeux rapidement. Et bien, je ne m'attendais pas vraiment à cette réponse, mais pourquoi pas. Il avait raison d'un côté. Voilà, je m'étais faite avoir comme un bleu -haha. Je le regardais alors se pencher, le coeur battant, avant de fermer les yeux. Sauf que ses lèvres ne firent qu'effleurer les miennes. Ses caresses me firent frémirent et je plongeais mon regard dans le sien. « Mais je soutiens que je suis le meilleur.. » Je soupirais doucement tandis qu'il éloignait à nouveau sa bouche de la mienne; soupir de frustration mais aussi de plaisir. « Comme tu veux... » Je venais de céder tandis que je relevais légèrement la tête, approchant mon visage du sien. De mes doigts, j'effleurais son torse, traçant un chemin de mes deux mains jusqu'à son cou, sa nuque que j'attrapais finalement, scellant nos lèvres dans un baiser plus intense. Vile tentation qu'il était...

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ Elysia)

Elysia était terriblement douée pour les massages. Peut-être que mon jugement était altéré par le fait qu'elle soit venu embrasser mon épaule et mon cou du bout des lèvres, mais pour une fois je ne voulais pas être objectif, et juste profiter encore et encore de ses lèvres. Et pour cela, si je voulais que ce soit autre chose que mon dos qui puisse profiter d'elle, je la fis basculer doucement sur le lit, pour me mettre au dessus d'elle à quatre pattes, prenant soin de ne pas la toucher, pour créer du contact juste là où je le désirais. Toujours au dessus d'elle, je vin effleurer ses lèvres, le coeur battant à toute allure, mais sans céder à la tentation de l'embrasser. Ma main glissant sur sa hanche, je continuais mon petit jeu avec mes lèvres, effleurant les siennes, mais aussi son nez, sa joue, sa mâchoire, jusqu'à ce qu'elle confirme que j'étais le meilleur, ou du moins lorsqu'elle céda. « Comme tu veux... » Surpris qu'elle cède ainsi, je ne bougeais plus, et ce fut elle qui prit les devants, venant caresser mon torse, me tirant des longs frissons partout où ses doigts passaient, et enfin lorsque ses mains atteignirent ma nuque et qu'elle m'attira contre elle, je m'autorisais de re-goûter de nouveau au gout de ses lèvres et de sa bouche. J'avais la tête qui tournait tellement j'avais envie de la posséder, de l'avoir pour moi, de profiter de son odeur, d'elle toute entière. Une main se glissant dans son dos pour la coller contre, l'autre glissant sur son bras, jusqu'à venir glisser entre ses deux seins, je m'enivrais d'elle et de ses lèvres. Je te veux Elysia, je ne veux plus aucune nuit loin de toi.. Fichu sort que tu m'a jeté, j'suis tombé amoureux, carrément raide dingue de toi. Jouant avec le milieu de son soutiens-gorge, je me redressais, cherchant ma respiration, la fixant. Je ne savais pas si je pouvais continuer, si elle désirait aller plus loin, mais moi j'en mourrais d'envie et si elle ne m’arrêtait pas j'allais la bouffer. Et lui faire l'amour jusqu'à supplication.. " Reste ici cette nuit "

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ maximilian)

Ses lèvres, ces douces caresses, son corps contre le mien, mon coeur qui bat, tout me faisait perdre la tête. J'avais perdu toute notion, je ne sentais que ses mains sur moi, sa bouche conte la mienne, et son parfum enivrant qui ne faisait rien pour arranger les choses. Je me fichais de toutes les promesses que je me suis faite, je me fichais de cette voix qui me demandait d'arrêter, que j'allais le regretter; je n'écoutais que ce coeur qui voulait plus, encore plus, toujours plus; ce coeur qui lui appartenait depuis bien longtemps, et qui restera sans doute le sien à jamais. Un premier amour, à sens unique certes, mais... En fait non, il restait toujours à sens unique. Mais je m'en fichais maintenant. Tant pis s'il m'utilisait pour s'assouvir, je me contenterais juste du peu qu'il pourrait m'offrir. Et puis, de toute façon, il m'a avoué s'être attaché à moi donc... Mais ça ne voulait pas tout dire non plus. Sauf que je m'en fichais maintenant. Je me fichais de tout, tant que je pourrais l'avoir pour moi, même juste pour une minute, une heure, une nuit. Ses doigts chipotant le milieu de mon soutient-gorge, j'éloignais mon visage, reprenant ma respiration. Yeux dans les yeux, je pouvais y déceler du désir; ce voile qui me disait qu'il avait envie de moi. De moi, pas une autre, mais moi. Et je ne le repousserais pas. Je n'en avais ni la force, ni l'envie. Juste une fois, juste une nuit. Et je me contenterais de ce qu'il me donnera par la suite. Tant pis si je finis par souffrir, du moment qu'il me voyait, ça me suffisait. « Reste ici cette nuit » Un léger sourire s'afficha sur mes lèvres. Doucement, je glissais une main sur son épaule, son torse, son cou, pour finir par caresser sa joue, ses cheveux, rejetant une mèche qui barrait sa vision. Et dans un souffle, je lui répondis. « Je n'avais pas l'intention de partir... » À nouveau, je vins poser mes lèvres sur les siennes, descendant à nouveau mes doigts, tandis que ma bouche venait caresser sa mâchoire, le lobe de son oreille, pour finir dans son cou; et remonter une nouvelle fois.

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ Elysia)

Je pensais sincèrement avoir fait tout les genres des filles possible. J'avais couché avec des brunes, des blondes, des rousses, des bleues, tout ce que l'on veut. J'avais testé tout les endroits possible et inimaginable, toutes les positions, je pensais que plus rien ne m'étonnerais et pourtant avec Elysia tout était nouveau. J'avais l'impression de revire carrément, de ressentir de nouveau les sensations oubliées depuis longtemps : l'attente, l'envie, le désir.. J'avais envie de la garder contre moi, pour moi, rien de tout les deux en la sentant collée contre moi comme ça. C'était carrément nouveau pour moi, ces sensations de nouveau d'actualité, j'étais même surpris de me voir un peu hésitant, n'osant pas aller trop vite. Je venais même lui demander de rester pour la nuit. Parce que je ne voulais tout simplement pas qu'elle me laisse seul, je ne voulais pas la voir partir, et je voulais encore et encore profiter d'elle. « Je n'avais pas l'intention de partir... » Je fis un sourire dans l'obscurité de ma chambre, si bien que je ne sus pas si elle l'avait, vu, et je me remis à l'embrasser. Gosh, ses lèvres... Mon dieu. Comment avais-je put être aussi con pour ne par vouloir en profiter plus tôt? Pourquoi ne l'ai-je pas soutenu après la mort de sa jumelle..? Je grognais doucement en glissant une main dans son dos, pour défaire l’agrafe de son soutiens-gorge, sans pour autant lui enlever. Je me contentais de l'embrasser encore avec plus de passion, caressant son bras, son cou, son ventre. Ne pouvant me résoudre à enlever le tissu, pas encore.. Parce que je voulais profiter, réaliser ce qui était en train de m'arriver. Et je voulais savourer chaque morceau de la peau de son corps.

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ maximilian)

Voilà, maintenant c'était dit, je ne pouvais plus faire marche arrière. Je ne pouvais plus depuis que j'étais entrée dans son appartement, depuis que j'ai à nouveau posé mes lèvres sur les siennes. J'suis condamnée à l'aimer pour toujours et là, j'étais certaine que c'est lui, l'homme de ma vie. Et sur le coup, je n'étais même pas sûre de pouvoir vivre sans lui, encore moins quand j'aurais goûté à son corps sur le mien. Déjà que là, ces deux semaines séparés de lui ont été un véritable enfer alors... Je ne savais pas ce qui pourrait advenir de nous plus tard, après cette nuit, mais je ne voulais pas y penser encore. Pas maintenant alors qu'il avait sa bouche sur la mienne, alors qu'il venait de défaire l'agrafe de mon soutient. Sous ses caresses, je frémissais. J'avais envie de lui, de ses mains sur moi, qu'ils ne me quittent plus jamais. Je m'enivrais de tout de lui. Ma bouche toujours collée contre la sienne, je ne voulais plus m'en défaire. Mes mains avaient trouvé refuge dans ses cheveux, descendant ensuite dans sa nuque, dans son dos, comme pour l'attirer encore plus comme moi; puis devant, du bout des doigts, traçant un chemin, découvrant les muscles de son torse. Ce soir, rien que pour ce soir, il était à moi seule.

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ Elysia)

J'étais en train de me consumer de désir pour la brune que j'avais à mes côtés, collée contre mon corps. J'avais défait l'agrafe de son soutiens gorge avec un peu d'hésitation. Parce que cette fille, je la désirais, elle me rendait complètement fou, mais j'avais peur de faire une bêtise avec elle, et qu'elle se sauve. Qu'elle disparaisse. Je continuais à l'embrasser, ne pouvant plus me passer de ses lèvres, l'embrassant comme si elle était devenue mon oxygène et ma source vitale d'énergie. J'avais jamais pensé qu'on en arriverait là tout les deux, encore moins depuis que j'étais revenu : elle m'avait clairement envoyé balader de nombreuses fois. Chaque fois je m'étais senti idiot, perdu, et là tout prenait forme. Elysia, c'est toi la fille que je veux, tu es celle qui me hante depuis des mois.. et aujourd'hui je me dis que mon départ de New York était une bonne pour la première fois depuis des mois. Je frémis en sentant qu'elle caressais mon torse, adorant le contact des ses doigts sur ma nuque et mon cou. Je vint embrasser ses épaules doucement, avant de faire glisser son soutiens-gorge tout doucement, embrassant la peau découverte, jusqu'à son téton, l'effleurant à peine, avant de glisser une main dans son dos pour la coller plus contre moi avant de l'embrasser à perdre haleine de nouveau. Je veux vivre toutes les sensations du monde avec cette fille, j'vais jamais réussir à me contrôler tellement elle m'électrise.

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ maximilian)

Le désir, l'envie et même le plaisir montait graduellement, de plus en plus. Je sentais mon corps s'enflammer sous ses doigts, ses douces caresses qui me faisaient perdre la tête. Et il ne m'avait encore rien fait, il n'avait fait que passer ses mains sur mes formes, à m'embrasser comme jamais on ne l'avait fait. Je sentais la chaleur de son corps contre le mien, mes doigts baladeuses qui traçaient tous ses muscles, comme pour les retenir à jamais, les graver dans ma peau à moi. Les yeux fermés, je profitais de ses lèvres sur mes épaules, la naissance de ma poitrine. J'étais maintenant comme lui, en jeans et rien de plus. Son frôlement de la bouche me fit soupirer de contentement, mais trop tard, à nouveau, elle se trouvait sur la mienne tandis que je me collais à lui, nos torses nus l'un contre l'autre. J'avais envie de plus, j'avais envie de lui, et qu'il arrête de me traiter comme une poupée sensible, fragile. Mais j'avais aussi peur d'aller trop vite. Peur de le faire fuir alors qu'enfin, il était là, contre moi. Alors je me contentais juste de rompre notre baiser pour reprendre ma respiration, et dévier mes lèvres vers le lobe de son oreille, son cou, ses épaules, son torse. Et je traçais un chemin d'infimes baisers, mes mains caressant son dos.

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