(+ maxilia) three words, eight letters: i miss you

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ maximilian)

Je savais que, maintenant, il allait me poser des tonnes de question. Bon, il savait sûrement que je dansais aussi, comme ma soeur, mais je n'étais pas aussi talentueuse qu'elle dans ce domaine. Mon truc à moi, c'était le chant et j'avais toujours rêvé de vivre de ma passion. Sauf que tous mes plans ont été chamboulé le jour où elle m'a quitté. J'ai préféré me consacrer à ses rêves à elle plutôt qu'au mien. Parce que je voulais réaliser ce qu'elle ne pourra jamais faire. Sauf que maintenant, ce n'était plus possible à cause de cette vilaine cicatrice sur le talon, résultat de l'attentat de janvier. Bref. Je l'embrassais donc, doucement, profitant de sa présence à mes côtés. Je n'aurais jamais cru se jour possible; je n'avais fait qu'imaginer une image pareille, dans ma tête. Et là, je la vivais. J'étais bien, tout simplement. Une fois que mes lèvres quittèrent les siennes, je lui demandais s'il avait des talents particuliers. C'est alors qu'il se mit à me masser lentement le dos. « Je ne chante pas bien, je danse très mal. Je ne sais pas dessiner, et je nul pour plein de choses. Mais je masse bien. » Un sourire aux lèvres, je fermais les yeux, enfouissant mon visage dans son cou pour en profiter légèrement. Finalement, je décidais de me lever de mon canapé personnel. « Et bien, tu me fais profiter alors? Je vais voir si tes massages sont aussi bien que tu le dis. »

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ Elysia)

L'entendre chanter avait été étrange pour moi. Parce que elle avait une voix très proche de mon ancienne meilleure amie. Tellement proche, mais pas exactement similaire : il y avait une légère nuance, qui au début ne m'avait jamais parut énorme, mais là en l'écoutant, cette différence me parut incroyable. Parce que je n'avais plus peur de me dire que j'avais Elysia à part entière devant moi, et que la voir ne me ramènerais jamais mon amie. J'avais peur de tout mélanger au début, c'est pour ça que j'avais fui mes sentiments : mais maintenant j'étais sûr de mes choix. En souriant je lui avouais que je n'étais pas très doué dans beaucoup de domaine. Je dessinais réellement comme un pied, j'avais deux mains gauches quand il s'agissait de peindre quelque chose. Je chantais terriblement mal et je n'avais pas du tout l'oreille musicale malgré les cours de musique que ma mère me faisait prendre. Je n'avais jamais été très doué dans le domaine artistique, mais j'étais malgré tout doué pour quelque chose, et en glissant mes mains dans son dos je lui avouais dans un sourire. Je savais me servir de mes mains sur un corps, même sans connotation sexuelle.. Mais je ne pensais que la belle demoiselle allait se lever en me disant que lui montrer de quoi j'étais capable. « Et bien, tu me fais profiter alors? Je vais voir si tes massages sont aussi bien que tu le dis. » Je ris, et la pris dans mes bras comme une princesse, pour l'amener vers la chambre. " Si c'est un défi, sache que je ne perds jamais. " Je poussais la porte de mon antre du pied, tout était sobre, simple, épuré. Même pas très personnel à vrai dire.. C'était un peu froid, j'aurais aimé quelque chose de plus "cocon", mais je n'avais jamais pris le temps de m'en occuper, et la décoration intérieure c'est pas mon rayon. J'adore le luxe, mais faire les magasins, boarf. Et payer un architecte juste pour ma chambre ne me plait pas. Je l'allongeais sur mon lit, sur le dos, et m'assis à ses côté. " Mets toi sur le ventre. Et euh.. tu peux soulever ton Tshirt? " C'était étrange de lui demander comme ça mais même si je ne comptais pas utiliser des huiles, maser du tissus m'attirait pas trop.

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Alors là, sur le coup, je n'aurais jamais cru que je serais capable de lui demander une chose pareille. Enfin bon, d'un côté, ce n'est qu'un petit massage, ça ne voulait rien dire; mais penser qu'il allait poser ses mains sur mon corps, je ne sais pas pourquoi, mais ça me donnait envie de rougir atrocement. J'étais certaine qu'il allait refuser. Je veux dire, c'est son anniversaire aujourd'hui -bon, hier techniquement- du coup, c'est lui le roi; et ça devrait donc être à moi de lui procurer un massage. Au lieu de ça, je le lui demandais... Mais vu qu'il se disait être bon dans ce domaine, j'avais juste envie de confirmer -ou non- ses dires. Maximilian rit à ma question, ce qui me soulagea largement. Au moins, il ne le prenait pas mal, mon ordre -parce que bon, c'était quand même plus un ordre qu'une demande. Et quand il me porta dans ses bras, je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri de surprise. Voilà que je me retrouvais en mode princesse. Et toute princesse avait besoin d'un prince charmant. Je rougis alors, face à cette idée et à ma position. Mais je me laissais faire, avec plaisir. « Si c'est un défi, sache que je ne perds jamais. » À ses mots, je souris alors, amusée. C'est ce qu'on verra mon beau. Je remarquais rapidement qu'on se trouvait dans sa chambre quand il passa la porte. Elle était bien sobre, trop à mon goût d'ailleurs, et l'idée de la décorer un peu effleura mon esprit. Sauf que ce n'était sûrement pas à moi de le faire... Il me posa ensuite sur le lit et directement, je m'allongeais sur le ventre. Ben oui, un massage, c'est principalement sur le dos même si... Bref! « Mets toi sur le ventre. Et euh.. tu peux soulever ton Tshirt? » Première partie, déjà faite. Pour le t-shirt. Je décidais de faire mieux en l'enlevant carrément. De toute façon, il faisait sombre -la lumière était toujours éteinte- et puis, je suis certaine que je ne suis pas la première fille qu'il voit en sous-vêtement. « C'est plus facile comme ça... » Et je me recouchais, fermant les yeux, les joues légèrement rosées.

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ Elysia)

J'étais pas sûr qu'accepter de lui faire un massage était un bonne idée parce que j'allais devoir poser mes mains sur elle, mais je n'avais pas le cœur à lui dire non. Puis d'abord, elle ne m'avait pas demandé mais me l'avait ordonné... je ne pouvais pas refuser, et ça m'arrangeais bien de ne pas avoir le choix parce que sinon j'aurais peut-être refusé. J'acceptais donc, l'attrapant pour la porter dans mes bras jusqu'à ma chambre. Et je n'avais même pas la sensation de faire un effort, Elysia était un vrai poids plume... Poussant la porte de ma chambre du pied, je regrettais un instant de ne pas avoir pris le temps de mieux la décorer. Parce que j'avais presque honte de faire entrer la Mather que je portais dans mes bras dans cette pièce totalement impersonnelle. Heureusement elle ne fit aucune remarque, et je la déposais sur le lit en lui demandant de se mettre sur le ventre. Parce que oui, j'allais limiter les dégâts pour mon désir et me contenter de masser son dos. Je lui demandais ensuite de soulever son T-shirt, détournant les yeux par pudeur, par gêne, ou parce que je ne voulais pas paraître malpoli en la fixant. Et je savais que si je commençais à laisser mon regard glisser sur elle, je ne pourrais m'en défaire. « C'est plus facile comme ça... » Je levais de nouveau les yeux vers elle, et souris en la voyant sans son T-shirt. Au moins, c'est radical et je ne serais pas gêné.. Je pourrais même lui demander d'enlever son soutiens-gorge. Quoique non mauvais idée parce que je ne serais pas concentré pour la masser, mon attention sera bien trop déviée. M'approchant d'elle, je me mis à genoux au bord du lit pour me pencher vers elle, et poser mes deux mains sur ses épaules. Ignorant la sensation de sa peau douce, je me concentrais sur l'art des massages que j'avais appris à maîtriser, avec plusieurs de mes amantes. C'était pas inné, j'avais appris, et j'étais sortie avec une fille aux doigts de fée qui m'avait enseigné pas mal de truc. C'est donc avec application que je la massais, alternant les massages avec les doigts, par point précis, ou avec les paumes, plus large. Je glissais des épaules jusqu'en bas du dos, doucement, toujours dans la pénombre. Puis je levais les yeux vers elle. " .. alors..? " Si elle me sort qu'elle n'aime pas du tout, je me trouve des cours dès demain pour avoir le droit de reposer mes mains sur son corps et lui prouver que je sais y faire.

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ maximilian)

J'avais carrément enlever mon t-shirt devant lui... Franchement, cette soirée réservait bien des surprises, et réalisait à peu près toutes les choses que je n'aurais jamais cru possible avec lui. Enfin pas toutes mais, une grande partie. Et moi qui, d'habitude, est plus joueuse, je lui aurais dit qu'il devait lui aussi enlever son haut parce que c'était injuste que je sois la seule à me montrer ainsi. Sauf qu'avec Max, je n'en avais pas le courage -même si je ne dirais pas non s'il le faisait. Je me contentais donc de me mettre sur le ventre, croisant mes bras sous mon visage. J'attendais alors avec impatiente qu'il me montre de quoi il était capable. Quand je sentis ses doigts se poser sur moi, je réprimais immédiatement un frisson. Non, ne pense pas à autre chose, ce n'est qu'un massage. Je fermais alors les yeux, demandant à mon stupide cerveau d'arrêter de se faire des idées, et d'en profiter le plus possible. Ses doigts venaient caresser mes épaules, mon dos, le bas, mes hanches; parfois la paume de ses mains les remplaçaient. Ça faisait vraiment du bien et dire qu'il était nul aurait été un mensonge. « .. alors..? » J'avais pourtant envie de le taquiner un peu. Réprimant un soupir de plaisir, je lui répondais, les yeux toujours fermés. « Mouais, j'ai connu mieux... Mais c'est quand même pas mal pour un débutant. » Je tournais alors mon visage vers lui et souris innocemment tandis que je rouvrais les yeux.

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ Elysia)

Je devais encore être en train de rêver. J'avais dût m'assoupir en rangeant mon appartement, le nez dans la poubelle que j'étais en train de remplir, et j'avais rêvé son arrivée. Elle ne m'avait pas réellement sourit, elle ne m'avait pas réellement embrassé, ni chanter joyeux anniversaire, tout cela n'était que le fruit de mon imagination. Parce que je n'arrivais pas à me dire que c'était bien elle allongée sur mon lit, en soutiens-gorge. Mais visiblement c'était un rêve qui voulait durer parce que en posant mes mains sur son dos, elle ne s'était pas évaporée dans une nuage de fumée. J'avais donc commencé à al masser doucement, au début un peu hésitant, de peur qu'elle prenne mal si un geste était un peu trop appuyé, mais comme elle n'avait pas l'air de trop réagir, je me détendis légèrement, continuant, appliqué et concentré. Je me contentais de faire ce que je savais faire, oubliant qui était la personne que je massais parce que je savais que sinon je n'arriverais pas à faire quelque chose de correct. Au bon d'un bon moment, quand j'avais massé chaque partie de son dos, je me redressais légèrement pour lui demander ce qu'elle en pensait. Elle n'ouvrit même pas les yeux pour répondre: « Mouais, j'ai connu mieux... Mais c'est quand même pas mal pour un débutant. » Elle tourna ensuite la tête vers moi, et elle dût me voir bouche bée. Comment ça, pas trop mal pour un débutant? Je fronçais les sourcils, avant de m'allonger sur le lit, à côté d'elle mais moi sur le dos, la tête tournée vers elle. " Alors tu n'en aura plus. Mais je suis sûre que tu ne sais pas mieux faire, mademoiselle la compliquée.. " Je croisais les bras sur mon torse, fixant le plafond après lui avoir dit ça. Puis je fermais les yeux. Elysia était là, ma torture était finie, j'étais tellement soulagé..

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En voyant sa réaction à mes propos, je ne pus m'empêcher de lâcher un petit rire. Genre, il le prenait vraiment mal? Mais je rigolais voyons, c'était vraiment bien. Enfin, il avait un niveau supérieur à celui d'un débutant, et c'est déjà ça non? Et puis, je ne me suis pas plainte d'avoir mal parce qu'il aurait trop forcé ou qu'est-ce. Mais non, monsieur aurait voulu que je le complimente un peu plus pour valoriser son égo. J'aurais pu le faire hein, sauf que je voulais juste voir sa réaction en disant que c'était bien mais sans plus. Là, je l'avais sa réaction. Il avait tout de suite arrêté et s'était laissé tomber sur le lit, à mes côtés. « Alors tu n'en aura plus. Mais je suis sûre que tu ne sais pas mieux faire, mademoiselle la compliquée.. » Là, je pris une mine faussement offusquée tandis qu'il tournait son visage vers le plafond, sans plus me regarder. Son comportement me fit lever les yeux au ciel, mais je souriais quand même. Peu importe dans quel état il pouvait se mettre, j'accepterais tout. Parce que c'était lui, l'homme que j'aime, et qu'il était là, à mes côtés. Je me rapprochais alors de lui, croisai mes bras sur son torse et posa mon menton sur mes mains. « Tu paries? Je suis sûre que j'ai un meilleur doigté que toi. » Et sans arrière pensée, s'il-vous-plait.

three words, eight letters, say it and i'm yours (+ Elysia)

J'étais du genre assez facilement vexable.Il suffisait d'une remarque un peu ambiguë pour que je le prenne mal. Là, du coup je m'étais un peu vexé, mais comme ça venait d'Elysia, j'arrivais vraiment pas à lui en vouloir. Terriblement frustrant comme sensation, mais tellement merveilleux aussi.. malgré tout, je voulais lui montrer que je n'étais pas content de ne pas avoir de compliment, et je me posais sur le dos, à côté d'elle. Je souris en la sentant contre moi, et lorsqu'elle posa son menton sur mes mains, je me promis que je ferais tout ce qui était en mon possible pour pouvoir revivre des instants comme celui-là avec elle. « Tu paries? Je suis sûre que j'ai un meilleur doigté que toi. » Elle me défiait là? Je fis mine de réfléchir, avant de redresser un peu le cou et de l'embrasser doucement sur le nez. " Pari tenu. " Je le repoussais un peu pour pouvoir m'asseoir sur mon lit, enlevant ma chemise à tour, bouton par bouton, espérant qu'elle regarde. Parce que oui, j'avais envie de la provoquer un petit peu, mine de rien.. Une fois torse nu, je m'allongeais sur le ventre, la tête dans l'oreiller, les bras de chaque côté de l'oreiller. Voyons voir si elle est si forte que ça en massage : " Allez, vas-y, épate moi. "

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En fait, je n'en étais vraiment pas sûre. Je veux dire, oui, j'en ai fait des massages, mais c'est pas pour autant que je suis une experte. Bon, je recevais des compliments à chaque fois, mais je ne valais sûrement pas ces masseuses professionnelles. Et sur le coup, je savais que je jouais à un jeu dangereux en lui pariant que j'avais plus de talents que lui dans ce domaine-là. Je n'étais certainement pas la meilleure dans tout, et encore moins de ce côté-là. Zut, pourquoi avait-il fallu que je l'ouvre? J'avais envie de revenir sur mes mots, mais trop tard. « Pari tenu. » Et merde... Je me dégageais donc, retournant m'allonger sur le lit, tandis que Max s'entreprit de se déshabiller. Un peu trop lentement à mon goût. Je déglutis alors avant de baisser rapidement les yeux quand son torse nu commençait à se dévoiler sous mes yeux. Oui non, c'était vraiment un très -très très très...- mauvaise idée. Et quand, enfin, il se retourna sur le ventre, je me permis de le regarder. Maintenant, j'avais son dos face à moi, et mes yeux le déshabillèrent du regard. Il était carré, sans trop l'être non plus. Bref, il était parfait. « Allez, vas-y, épate moi. » Je m'approchais alors doucement de lui, avant de finir par m'asseoir sur ses fesses -ben ouais, c'est plus simple quand même... Et lentement, j'aventurais mes doigts sur sa peau, la caressant de tout son long d'abord, avant d'y mettre plus de pression. J'essayais vainement de calmer les battements de mon coeur, sauf que chaque caresse ne le faisait qu'accélérer un peu plus. Mes mains sur ses épaules, je les descendais plus bas, avant de remonter, utilisant mes paumes, mes doigts, mes poings. Sa peau était douce, agréable au toucher. Finalement, après plusieurs minutes, je n'y tins plus. Je me rapprochais alors doucement, et posai mes lèvres sur son épaule avant de souffler dans son oreille, un léger murmure. « Alors, qui est la meilleure hein? » Et une nouvelle fois, je venais déposer un baiser, dans le creux de son cou cette fois-ci.

Maximilian J. Woodworth a écrit:
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Je voulais la provoquer un petit peu, et comme j'espérais fortement que je ne la laissais pas indifférente, je pris tout mon temps pour enlever ma chemise. Elle me rendait fou dès qu'elle dévoilait un petit bout de peau, alors à mon tour un peu de me faire plaisir en la provoquant. Après avoir défait les boutons un à uns, je m'étais allongé, et l'oreiller cacha le grand sourire que je fis en sentant que la belle demoiselle avait décidé de s'asseoir là où c'était bien confortable : sur mes fesses. Et bah, elle ne se gênait pas dit donc.. Je fermais les yeux ensuite, pour profiter du massage. Je ne pouvais qu'avouer qu'elle était douée, et en plus elle s'appliquait. Après quelques minutes, je la sentis se pencher plus en avant, pour embrasser mon épaule, et les muscles de cette dernière se contractèrent malgré moi. J'étais grillé, elle allait comprendre que j'étais totalement à sa merci.. Je frémis en sentant ses lèvres s'approcher de mon oreiller pour m'y souffler qu'elle était la meilleur, et lorsque ses lèvres revinrent embrasser mon cou. Puis je glissais ma main dans mon dos, pour la tirer doucement et la faire basculer à mes côtés, libérant mon corps de son poids. Et je profitais de cette liberté pour me hisser au dessus d'elle, à quatre patte, sans aucun sourire, juste les yeux pétillants. " T'es la meilleure, je te laisse le titre, je suis encore un homme il me semble, j'aurais du mal à te battre au féminin.. " Je me penchais doucement pour effleurer ses lèvres, une main glissant de sa main à son épaule, glissant sur sa clavicule comme une douce caresse, avant de glisser vers son flanc, pour se stopper sur sa hanche. " Mais je soutiens que je suis le meilleur.. " dis-je en mordillant sa lèvre inférieur, fuyant un réel baiser, joueur.

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