Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTHEOPHYL ∆ j'ai jamais tort, j'suis eliot ! - Page 3
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THEOPHYL ∆ j'ai jamais tort, j'suis eliot !

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J'ai jamais tort j'suis eliot !
w/ Théophyl & Walter
"Figures-toi, que je n'ai rien ni contre la Mather House ni contre les Eliots. Je proviens d'une maison neutre qui ne forme pas parti d'un conflit, non, je t'arrêtes ne songes pas à la Quincy House." Je l'écoutais en essayant d'avoir l'air intéressé. J'lui devais bien ça après l'avoir renversé. Et quand j'entendis Quincy j'éclatais de rire. Au moins, il semblait qu'on avait tous les deux la même vision de la confrérie. Sérieux, elle sert à rien. Au moins, il arrivait un peu à détendre l'atmosphère assez tendue. "Je fais parti des Winthrop." J'esquissais un sourire. Ce mec n'était peut-être pas si con et inutile que ça. J'avais aussi postulé pour cette confrérie en deuxième choix, mais ce n'était que formel, je savais pertinnement que j'allais etre accepté chez les eliots. "Bon et bien tu remontes dans mon estime." dis-je en essayant de paraitre un peu amical. "Désolé pour l'accident" dis-je. Ca m'écorchait presque la langue.
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Il avait donc fallut que j'explique à mon cher raviseur qui venait de me cassé, implicitement à l'aide de sa mobylette, le poignet, que je ne faisais pas parti de la Mather House, ni d'ailleurs de la Quincy House, ce qui le fit rire lorsque je commentais ce point. Je lui révélais donc que je faisais parti de la Winthrop House. « Bon et bien tu remontes dans mon estime. » Ah d'accord, parce qu'avant je n'avais pas ma place dans son estime. Ça phrase me fit sourire alors qu'il continuait. « Désolé pour l'accident. » Ok, là il allait pleuvoir de la merde. Ah moins que les infirmiers lui aient filé un truc qui le dopait un max', au point qu'il ne sache plus ce qu'il raconte, j'étais assez perplexe. On allait pas non plus se quitter dans de si mauvais termes. « Ok, et moi désolé d'avoir traverser devant ta bécane. » Je ne reconnaissais pas que j'avais traverser sans regarder, je reconnaissais simplement que j'avais traversé devant sa bécane. Je me décidais donc à lui tendre la main. « Sans rancune ? » J'allais pas non plus passer toute la sainte journée ici près de cette route.

HJ:
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