Invité
est en ligne
Invité
∞ Certaines relation sont innexplicables. feat. Walter & Ariane |
c'est pas mon petit ami, c'est l'homme de ma vie ♡
« Vous pensez sincèrement que je n’ai rien de mieux à faire que d’attendre que vous ayez réparé votre propres erreurs ? » Lançais-je sur un ton agacé à la grande blonde, assise derrière le bureau d’accueil de l’administration de l’université. Cela fait maintenant plus d’une trentaine de minutes qu’elle tente de rectifier l’erreur administrative qui me place dans le cours d’un professeur que je n’apprécie guère. Son regard implore un minimum de compréhension de ma part, et en retour je la fusille de mes grands yeux clairs. Elle finit par imprimer un document qu’elle me tend. Je m’en empare non sans hâte pour y déposer ma signature. Kennedy. Rien que ce nom devrait pouvoir m’éviter ce genre de situation, et à l’idée d’avoir perdu une demi-heure de ma journée avec des incapables, je soupire de lassitude, avant de lui jeter un sourire des plus hypocrites et de me ruer vers la sortie. J’entends à peine le son de sa voix qui me souhaite une bonne après-midi, tandis que la porte se referme derrière moi. J’ai la fâcheuse impression que l’ironie dans sa voix pourrait me faire sortir de mes gonds, me pousser à faire demi-tour et à exiger des excuses, mais à quoi bon ? D’autant plus que Walter m’attend depuis maintenant un bon quart d’heure, à l’autre bout du campus. J’inspire profondément, tandis que d’une démarche gracieuse je me fraie un chemin parmi la foule, rejoignant mon véhicule et m’y engouffrant sans tarder. Je dépose mon sac à main sur le siège passager, met le contact et démarre en trombe, en direction de l’immense résidence Eliot.
C’est dans la matinée que j’ai envoyé un message à Walter, lui confirmant notre petite entrevue dans sa chambre, dans les environs de quinze heures. Mes grands yeux scrutent la route, tandis que mon téléphone sonne dans le fond de mon sac. C’est très certainement lui, mais je ne prends pas la peine de décrocher, je serai là dans quelques minutes à peine de toute façon. D’autant plus que ma très chère mère, malgré ses conseils parfois douteux, m’en a donné un excellent, toujours se faire désirer par la gente masculine. Et qui représente mieux la gente masculine que Walter ? L’homme dans toute sa splendeur. Un corps somptueusement sculpté, un regard viril, une voix rauque à souhait, et surtout un caractère prononcé. C’est sans nul doute ce dernier point qui a fait virer notre relation d’une attirance certaine à une amitié particulière. Nos deux caractères se ressemblent dans le fond et aucun de nous n’aime se faire marcher sur les pieds. Je prends le virage et me gare finalement sur l’immense parking où des voitures diverses, mais toutes monstrueusement chères attendent leur propriétaire. Je replace rapidement la petite robe blanche qui dessine mes courbes généreuses à la perfection en descendant du véhicule et je me rue à l’intérieur, passant une main dans ma chevelure brune. J’escalade les escaliers du haut de mes talons et ne prend pas la peine de frapper avant de m’engouffrer dans sa chambre. Un endroit particulièrement spacieux, lumineux et merveilleusement décoré que je connais par cœur. Walter est debout devant la fenêtre, et je m’approche de lui, alors qu’il me tourne le dos. Ma main effleure son bras et je me glisse entre la fenêtre et sa silhouette élancée. « J’ai une excellente excuse pour mon retard. Une secrétaire sacrément idiote m’a retenue, il y avait une erreur dans mon inscription à l’université… » Mes grands yeux plongent dans les siens, et je mordille ma lèvre inférieure pour l’attendrir.
C’est dans la matinée que j’ai envoyé un message à Walter, lui confirmant notre petite entrevue dans sa chambre, dans les environs de quinze heures. Mes grands yeux scrutent la route, tandis que mon téléphone sonne dans le fond de mon sac. C’est très certainement lui, mais je ne prends pas la peine de décrocher, je serai là dans quelques minutes à peine de toute façon. D’autant plus que ma très chère mère, malgré ses conseils parfois douteux, m’en a donné un excellent, toujours se faire désirer par la gente masculine. Et qui représente mieux la gente masculine que Walter ? L’homme dans toute sa splendeur. Un corps somptueusement sculpté, un regard viril, une voix rauque à souhait, et surtout un caractère prononcé. C’est sans nul doute ce dernier point qui a fait virer notre relation d’une attirance certaine à une amitié particulière. Nos deux caractères se ressemblent dans le fond et aucun de nous n’aime se faire marcher sur les pieds. Je prends le virage et me gare finalement sur l’immense parking où des voitures diverses, mais toutes monstrueusement chères attendent leur propriétaire. Je replace rapidement la petite robe blanche qui dessine mes courbes généreuses à la perfection en descendant du véhicule et je me rue à l’intérieur, passant une main dans ma chevelure brune. J’escalade les escaliers du haut de mes talons et ne prend pas la peine de frapper avant de m’engouffrer dans sa chambre. Un endroit particulièrement spacieux, lumineux et merveilleusement décoré que je connais par cœur. Walter est debout devant la fenêtre, et je m’approche de lui, alors qu’il me tourne le dos. Ma main effleure son bras et je me glisse entre la fenêtre et sa silhouette élancée. « J’ai une excellente excuse pour mon retard. Une secrétaire sacrément idiote m’a retenue, il y avait une erreur dans mon inscription à l’université… » Mes grands yeux plongent dans les siens, et je mordille ma lèvre inférieure pour l’attendrir.
(Invité)