Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitywalter et ariane. ♥
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal


walter et ariane. ♥

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Certaines relation sont innexplicables. feat. Walter & Ariane
c'est pas mon petit ami, c'est l'homme de ma vie ♡
« Vous pensez sincèrement que je n’ai rien de mieux à faire que d’attendre que vous ayez réparé votre propres erreurs ? » Lançais-je sur un ton agacé à la grande blonde, assise derrière le bureau d’accueil de l’administration de l’université. Cela fait maintenant plus d’une trentaine de minutes qu’elle tente de rectifier l’erreur administrative qui me place dans le cours d’un professeur que je n’apprécie guère. Son regard implore un minimum de compréhension de ma part, et en retour je la fusille de mes grands yeux clairs. Elle finit par imprimer un document qu’elle me tend. Je m’en empare non sans hâte pour y déposer ma signature. Kennedy. Rien que ce nom devrait pouvoir m’éviter ce genre de situation, et à l’idée d’avoir perdu une demi-heure de ma journée avec des incapables, je soupire de lassitude, avant de lui jeter un sourire des plus hypocrites et de me ruer vers la sortie. J’entends à peine le son de sa voix qui me souhaite une bonne après-midi, tandis que la porte se referme derrière moi. J’ai la fâcheuse impression que l’ironie dans sa voix pourrait me faire sortir de mes gonds, me pousser à faire demi-tour et à exiger des excuses, mais à quoi bon ? D’autant plus que Walter m’attend depuis maintenant un bon quart d’heure, à l’autre bout du campus. J’inspire profondément, tandis que d’une démarche gracieuse je me fraie un chemin parmi la foule, rejoignant mon véhicule et m’y engouffrant sans tarder. Je dépose mon sac à main sur le siège passager, met le contact et démarre en trombe, en direction de l’immense résidence Eliot.

C’est dans la matinée que j’ai envoyé un message à Walter, lui confirmant notre petite entrevue dans sa chambre, dans les environs de quinze heures. Mes grands yeux scrutent la route, tandis que mon téléphone sonne dans le fond de mon sac. C’est très certainement lui, mais je ne prends pas la peine de décrocher, je serai là dans quelques minutes à peine de toute façon. D’autant plus que ma très chère mère, malgré ses conseils parfois douteux, m’en a donné un excellent, toujours se faire désirer par la gente masculine. Et qui représente mieux la gente masculine que Walter ? L’homme dans toute sa splendeur. Un corps somptueusement sculpté, un regard viril, une voix rauque à souhait, et surtout un caractère prononcé. C’est sans nul doute ce dernier point qui a fait virer notre relation d’une attirance certaine à une amitié particulière. Nos deux caractères se ressemblent dans le fond et aucun de nous n’aime se faire marcher sur les pieds. Je prends le virage et me gare finalement sur l’immense parking où des voitures diverses, mais toutes monstrueusement chères attendent leur propriétaire. Je replace rapidement la petite robe blanche qui dessine mes courbes généreuses à la perfection en descendant du véhicule et je me rue à l’intérieur, passant une main dans ma chevelure brune. J’escalade les escaliers du haut de mes talons et ne prend pas la peine de frapper avant de m’engouffrer dans sa chambre. Un endroit particulièrement spacieux, lumineux et merveilleusement décoré que je connais par cœur. Walter est debout devant la fenêtre, et je m’approche de lui, alors qu’il me tourne le dos. Ma main effleure son bras et je me glisse entre la fenêtre et sa silhouette élancée. « J’ai une excellente excuse pour mon retard. Une secrétaire sacrément idiote m’a retenue, il y avait une erreur dans mon inscription à l’université… » Mes grands yeux plongent dans les siens, et je mordille ma lèvre inférieure pour l’attendrir.



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Mordillant ma lèvre inférieure pour faire succomber Walter à mes excuses, je peux observer que son visage passe rapidement d’une froideur prononcée à un sourire amusé. Gagné ! Pensais-je intérieurement, tandis que sa main se plaque contre ma tête et que sa voix rauque résonne dans la pièce. Il ne peut s’empêcher une fois encore de blaguer sur mon appartenance à l’élite sociale, et sur mon point fort à limiter mon entourage aux personnes qui en valent réellement la peine. Je me dégage délicatement de son emprise pour parcourir les quelques mètres qui me sépare de son lit. « Fais attention à toi, tu pourrais rapidement ne plus en avoir le droit, de faire partie de mes fréquentations. C’est jamais vraiment acquis avec moi. » Dis-je sur un ton amusé. Même si cela est vrai pour tout le monde, pour Walter c’est différent. Notre relation est bien plus forte que cela, et je doute qu’il puisse exister une chose sur cette planète ayant le pouvoir de détruire notre amitié. Nous sommes deux parties d’un tout, c’est évident. Et ce depuis les premiers regards échangés. Il est très certainement la personne qui me connait le mieux, et m’accepte telle que je suis réellement. Il n’est pas évident de mettre un mot sur ce que nous sommes, lorsque nous sommes ensemble. C’est bien plus fort qu’une amitié, ou qu’un amour même. Inlassablement attiré l’un vers l’autre, intellectuellement ou physiquement, nous ne pouvons jamais rester éloignés bien longtemps. Sa présence est vitale pour moi, et ce même si je ne lui ferai sans doute jamais le plaisir de le lui avouer.

Je retire ma veste et la dépose sur son lit défait. Je devine qu’il a sans doute du dormir quelques heures avant mon arrivée et je suis d’ailleurs étonnée qu’il soit réveillé pour mon arrivée, mais je ne m’en plains pas au contraire. Je pose mes yeux sur lui de nouveau, l’observant en coin, le détaillant de haut en bas. Je devine que ce n’est pas uniquement mon retard qui lui donne ce petit air maussade qui m’intrigue rapidement. Je me laisse tomber sur son lit, replaçant un coussin derrière mon dos. « D’ailleurs tu as le droit de me dire pourquoi tu sembles de si mauvaise humeur, si tu veux rester mon ami. » Un peu de chantage, rien de plus évident pour moi qui fonctionne de la sorte dans bon nombre de situation. Je lui fais signe de me rejoindre tandis que je me redresse sur le lit. Son regard est à la fois songeur et agacé. Pourtant, Walter n’est pas vraiment le genre de personne à se prendre la tête pour quoi que ce soit. Il vit, profite pleinement de ce que la vie lui offre et ne s’arrête jamais aux défaites, qui avouons-le, sont plutôt rares pour lui. « Et me dis surtout pas qu’une fille est derrière tout ça quand même… » Dis-je en plaisantant. Je connais plutôt bien le grand blond, et je sais combien les femmes peuvent se révéler être son péché mignon. J’ai même été sa proie au début de notre relation. Ma silhouette affriolante a semblé l’attirer quelques temps avant qu’il ne comprenne que je n’étais pas juste un corps splendide, mais aussi une femme particulièrement intéressante. Et que notre amitié se tisse de manière totalement naturelle, malgré une attirance réciproque omniprésente. Après tout, qui résisterait bien longtemps aux charmes de Walter ? Si je le considère comme mon meilleur ami, je ne suis pas insensible à ses atouts divers. Et lorsqu’il se rapproche de moi et que son parfum m’enivre, une délicate sensation de bien-être m’envahit littéralement. De l’amitié, je peux toujours tenter de mettre ces émotions sur le compte de notre amitié, mais je ne fais que nier l’évidence. C’est mon meilleur ami, mais après tout ce n’est pas mon frère. Je me relève d’un bond, je ne tiens pas en place alors qu’une idée déplaisante effleure mon esprit. Faith. Ce prénom a le pouvoir de me crisper. J’espère tant bien que mal qu’elle n’a rien à voir dans cette histoire et pourtant cela sonne comme une évidence. Dernièrement, j’entends un peu moins parler d’elle et cela pour mon plus grand bonheur, mais peut-être qu’il y a anguille sous roche, et que sa disparition de la circulation ne le réjouit pas tant que moi. Mes doigts glissent sur les meubles de sa chambre tandis que je fais les cent pas à travers la pièce, attendant une réponse de sa part. Une réponse que je ne suis malheureusement pas certaine de vouloir connaître. Je ne laisse cependant transparaître aucune émotion, et au contraire, j’orne mes lèvres pulpeuses de mon plus beau sourire avant d’insister. « Aller ne me fais pas languir de la sorte, je sais que tu meures d’envie de tout me raconter… » Je cesse de marcher, et je m’appuie contre le bureau qui occupe un coin de la pièce. Mes yeux ne se détachent pas de lui, et je penche la tête sur le côté, le suppliant presque du regard de se livrer à moi. Après tout je suis sa meilleure amie. Et je me comporte comme tel.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les secondes paraissent être des heures tandis que le silence nous enveloppe. J’ai des dizaines de défauts, mais mon impatience triomphe sur eux. Pourtant, je reste de marbre face à l’hésitation de Walter. Je suis une comédienne hors pair, et mes émotions ne s’affichent sur mes traits que lorsque je le désire réellement. Certains me qualifieraient de froide, voir glaciale, je suis juste maître de mes émotions. Pourtant, auprès de Walter, cette retenue n’est d’habitude pas de mise. Avec lui, je suis naturelle, je suis moi-même, et je ne lui cache pas grand-chose. Mais aujourd’hui, c’est par protection que je redeviens le mur de glace que je suis en public. Je sais bien qu’il s’agit de Faith, au plus profond de moi je le sens. Walter ne peut pas me cacher grand-chose, avec le temps, j’ai appris à le connaître par cœur, et même si aujourd’hui cela me cause plus de mal que de bien. Etrangement, cette fille me pousse à me recroqueviller dans ma bulle de protection, comme si elle était un danger pour moi, ou du moins pour mon amitié avec Walter. Toutes ces pensées se répandent dans mon esprit, tandis qu’il se lance enfin. Sa bouche s’entrouvre tandis que ses yeux perçant me fixent. « C'est pas vraiment un gossip habituel, Ariane, parce qu'en fait, cette fois-ci, c'est moi qu'il concerne. » Il laisse cependant traîner le suspens. Il se passe quelque chose d’impossible à décrire en moi, comme une déchirure. Je ne parviens moi-même pas à comprendre ce qui créé un tel chamboulement dans ma tête, mon cœur et mon estomac, pour la première fois intimement liés. Mes grands yeux bleus le dévorent, je scrute chaque émotion qui pourrait le trahir, chaque geste qu’il produit comme pour évacuer la tension en lui. « Ca commence par un F, ça finit par un H et ça me tourmente BEAUCOUP TROP ! » Finit-il par lâcher sur un ton qui se veut plaisantin mais qui ne l’est pas en réalité. C’est comme si je recevais un coup de massue. Je ne comprends pas ce que cette fille peut bien avoir pour l’accaparer à ce point. Peut-être ne suis-je tout simplement pas objective, mais en réalité, elle n’a rien de plus que les autres, et surtout, elle n’est pas le genre de femme qu’il lui faut. De toute façon, aucuns genres de femme ne convient réellement à Walter, il n’est pas fait pour appartenir à une seule femme. C’est la certitude à laquelle je tente de me rattacher tandis que je comprends dans son comportement que les choses pourraient changer bien plus vite que prévu. Mes doigts tapotent le bord du bureau, alors qu’il est là, posté à quelques mètres de moi, me confiant ce qui le tracasse. « Je deviens sentimental. » Cela sonne totalement faux. Walter n’est pas sentimental. Il ne peut pas le devenir pour une fille comme Faith. C’est absurde. Je refuse catégoriquement cette idée. Je baisse les yeux, fixe le sol un instant, tentant de calmer toutes ces questions qui s’imposent dans mon esprit. La plus importante reste celle-ci. Pourquoi cela me dérange-t-il autant ? Je devrais sans doute l’encourager à se montrer plus affectueux envers elle si elle le rend heureux. Mais je ne peux m’y résigner. Mon amitié est bien trop grande pour l’encourager à se contenter de si peu. A moins que je n’essaie de me cacher à moi-même les réelles raisons pour lesquelles tout cela me dérange à ce point. Walter est à moi. C’est mon meilleur ami, mon allié. Il ne peut pas entretenir avec une autre une relation qui pourrait faire de l’ombre à la nôtre, je m’y refuse, et même si cela sous entends, mener une guerre active à celle qui semble tant le troubler. Pourtant, je sais que je pourrai le blesser si je réagis ainsi. C’est pourquoi, je tente de me raviser, de reprendre contenance face à lui. «  J’avoue avoir du mal à comprendre, cette fille vaut le coup que tu abandonnes ta vie de célibataire ? Je veux dire, tu es tellement jeune et il y a tellement de femmes qui attendent de passer une nuit entre tes bras… Ce serait injuste pour elles… » Dis-je sur le ton de la plaisanterie. Je préfère encore le savoir avec diverses filles chaque nuit plutôt qu’avec une seule. C’est étrange, mais si logique à la fois. Avec ces dizaines de femmes qui partagent une nuit avec lui, ce ne sera jamais sérieux. Elles n’auront jamais d’importance à ses yeux, et c’est rassurant de penser, qu’aucune ne m’égalera dans son cœur. Je relève les yeux vers lui, son visage semble avoir retrouvé toute sa joie de vivre, comme si avoir pu se confier l’avait libéré. Cela me réconforte un tant soit peu. Je suis capable d’égayer son minois en étant juste là, et c’est ce dont j’ai besoin pour ne pas devenir folle. Je m’approche de lui, brisant finalement l’espace qui nous sépare. «   De toute façon maintenant je suis là, et je vais me charger de te tourmenter moi-même afin que tu oublies un peu cette histoire. » Dis-je pour le faire sourire de nouveau. J’aime réellement ses fossettes qui se creusent lorsque ses lèvres se crispent en un sourire à tomber à la renverse. « Que dirais-tu de me faire un massage tiens ? » Proposais-je en rigolant. «   Ou plus sérieusement, tu as besoin d’être détendu, tu es crispé, et ça tombe bien, je connais un spa sympa où des jolies masseuses pourraient s’occuper de toi, tandis qu’on siroterait des coupes de champagne et qu’on échangerait des ragots et des critiques sur le bas peuple d’Harvard. Prêt ? » L’éloigner en pensée de Faith pour le laisser se concentrer sur des masseuses de passage me paraît un bon début. Tout est bon, pour que cette blonde disparaisse de ses pensées et de sa vie au passage…

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Un rire sincère et franc s’échappe de mes lèvres lorsqu’il prévoit la mise en place d’un roulement pour que les femmes puissent tout être contentée d’une nuit au moins dans ses bras. Cela me fait évidemment rire, et je ne suis en rien jalouse de toutes ces filles qu’il oubliera de toute façon en quelques heures seulement. Je veux bien les laisser être son un jeu pour lui, tant qu’au final, c’est moi qu’il serre dans ses bras, même endormi. Et je refuse qu’une autre puisse avoir ce rôle-là, raison pour laquelle je dois trouver une façon de me débarrasser de cette Faith, et rapidement. Bien entendu, avec classe et sans me salir les mains, bien que l’égorger serait finalement une solution plus radicale. Je décide de jouer plus finement, et je l’invite dans un endroit où ses sens seront en éveil. Il m’est arrivé à de nombreuses reprises de fréquenter ce spa, particulièrement luxueux ou les masseurs et masseuses pourraient largement être mannequins professionnels. D’autant plus que ces dernières sont légèrement vêtues d’une blouse à peine moins longue que les genoux. Des longues jambes, des mains délicates et des huiles de massage, si cela ne suffit pas à lui changer les idées, c’est que Walter est sérieusement atteint par cette Faith ! « Toi t'es carrément un amour ! Tu sais toujours ce qu'il me faut au moment qu'il le faut. » Dit-il tout en plongeant ses grands yeux perçants dans les miens. A cet instant précis, c’est comme un choc électrique qui me prend par surprise. Ce que je ressens fait étrangement écho à ce que j’ai déjà pu percevoir en moi, lorsque dans le passé il a pris ma main, ou encore lorsqu’il dépose un baiser tendre sur mon front. Ces petits moments privilégiés me rendent toute chose et je ne sais pas comment interpréter cela, pourtant je me ressaisis, et lui rends son merveilleux sourire. « Tu veux prendre quelle voiture ? Perso, je préfère conduire parc'que femme au volant .. tu sais bien ! » Je suis plutôt contente qu’il brise ce moment étrange, même si j’aime la sensation qu’il me procure. J’hausse les épaules, et attrapes mon sac à main ainsi que ma veste. « Très bien, tu conduiras, comme ça je pourrais avoir le monopole de la radio et te rendre dingue avec des chansons d’amour. Par contre, on prend la tienne, je ne vais pas prendre le risque que tu abimes ma précieuse voiture voyons ! » Ajoutais-je pour le taquiner, tandis que sa main se place sur ma taille et que nous sortons de la résidence sans prêter attention à quoi que ce soit. Lorsque nous sommes tous les deux, c’est comme si rien autour n’existait, et j’aime cette sensation. Comme s’il ne voyait que moi, et que je ne voyais que lui. Comme si le monde s’évanouissait pour nous laisser la place…

En quelques minutes à peine je m’installe dans la voiture et nous démarrons en trombe, le paysage défile à vive allure tandis que je programme le GPS pour nous mener à l’endroit où je prévois de lui faire oublier définitivement, ou momentanément au moins, la blonde qui représente un réel danger pour moi. Comme promis avant de partir, je ne me prive pas d’une station de radio où d’anciennes chansons d’amour se succèdent. J’entame quelques notes, je suis la plus pittoresque des chanteuses c’est certain, mais avec Walter rien n’a d’importance, je suis moi-même et puis c’est tout. « Sérieusement mon grand, imagines toi obligé de supporter tous les jours des chansons comme ça ou pire, d’autres choses que tu n’aimes pas, mais en continu, et en faisant semblant d’aimer ça pour que ton couple ne batte pas de l’aile ! Au moins avec une meilleure amie, pas besoin de faire semblant d’aimer, tu peux râler et tout ! » Plaisantais-je avant de remettre une station de radio qui lui plaît. Dans un endroit si confiné, son parfum effleure mes narines continuellement, et je lui jette des regards furtifs de temps à autre, il est concentré sur la route, et j’aime le voir ainsi. J’aime pouvoir l’observer sans qu’il ne s’en rende compte, juste imprégner dans mon esprit chaque détail de son profil. Il est particulièrement adorable lorsqu’il ne se sait pas observer… Mais pourtant, ma contemplation prend fin quand la voiture ralentit et que le GPS clame que nous sommes arrivés. Devant nous, l’enseigne luxueuse d’un espace de bien-être. Un sourire s’affiche sur mon visage. J’aime ce genre d’endroit, où la détente est le maître mot, où l’on peut se faire chouchouter durant des heures. Mais mieux encore, j’aime passer ces moments avec Walter. Mon visage pivote vers le sien, tandis que la voiture est immobilisée. « Prêt à tout oublier entre les mains d’une masseuse ? » Sauf moi, espérais-je silencieusement.
 

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Je te suis, montre-moi comment tu fais ta vip, chérie. » J’hoche la tête, mon petit air espiègle se peignant sur les traits fins de mon visage, je l’entraîne avec moi, m’accrochant à son bras alors que nos pas nous mènent dans l’immense hall. Nous pénétrons dans un endroit somptueux où des peintures particulièrement onéreuses ornent les murs couleur beige. Un tapis immense trône sous nos pieds tandis qu’une jeune femme blonde se trouve de l’autre côté d’un immense comptoir et relève les yeux dans notre direction. « Bonjour, que puis-je pour vous ? » Mes lèvres s’étendent pour lui rendre son sourire et je fais mine d’hésiter quelques secondes. « Une salle de massage privée, avec deux de vos masseurs, et du champagne. » Elle me répond automatiquement. « Vous avez réservé ? Car nous sommes complets malheureusement si ce n’est pas le cas. » Je pose mon sac à main devant moi, lâche le bras de Walter et d’un regard perçant je la scrute quelques secondes, de haut en bas. Le naturel revient rapidement au galop en public. « Je ne vous ai jamais vu auparavant, je suppose donc que vous êtes nouvelle et c’est la raison pour laquelle je ne vais pas m’offusquer pour si peu, mais je suis Mademoiselle Kennedy. Regardez bien il doit y avoir encore un peu de place pour nous… » Ses cils s’allongent, tandis que son visage semble désemparé. Elle a sans nul doute dû être mise au courant de ma fréquentation régulière dans cet endroit. Il faut dire que je passe le plus clair de mon temps ici ces derniers temps. Parfois pour un massage, souvent pour un soin du visage et encore plus régulièrement pour mes séances de Yoga. Il ne faut lui faut que deux petites minutes avant de passer un coup de téléphone et qu’une charmante blonde aux yeux noisettes et son homologue masculin nous entraîne avec eux dans les couloirs. Doucement, je murmure à l’oreille de Walter. « Alors chéri, convaincu de ma façon de faire ma VIP ? » Je lui souris amusée tandis qu’une immense porte coulissante s’ouvre devant nous. Nous découvrons une salle splendidement décorée, des bougies parfumées sont disposées tout autour de la pièce et deux tables de massage nous ouvrent les bras. Entre elles, une petite table où ont été déposés deux coupes de champagne et des petits amuses bouches français. Les deux masseurs chargés de notre bien-être nous indique deux pièces opposées où nous pouvons déposer nos affaires et nous changer pour le massage. « A tout de suite. » Ajoutais-je à Walter avant d’effleurer une dernière fois sa joue de mes lèvres et m’engouffrer dans l’une d’elles à la hâte. Je fais glisser la fermeture de ma robe, la laisse glisser le long de mes hanches tout en me tortillant pour que cela aille plus vite. Je relève ma longue chevelure brune en un chignon rapide, découvrant ainsi ma nuque. Je scrute ma silhouette dans le miroir une dernière fois, avant d’enfiler le peignoir par-dessus mes sous-vêtements de dentelle noire. Je pousse de nouveau la porte pour réapparaître dans la lumière tamisée. Ni une, ni deux, je me retrouve rapidement étendue sur l’une des tables de massage. Walter n’est pas encore revenu des vestiaires et je m’impatiente presque. Mes yeux rivés sur la porte qui devrait bientôt offrir à mes yeux un spectacle généreux, son corps à demi nu, je patiente tant bien que mal. « Qui a dit que les femmes étaient plus longues à se changer que les hommes ? » Je laisse tomber au sol mon peignoir et relève les yeux sur le masseur qui s’approche de moi. « J’ai une tension particulière sur les cervicales, pourriez-vous insister sur ce point ? » Lui demandais-je alors que des pas captivent mon attention. Walter est de retour et je ne peux qu’être subjugué par son corps qui se dévoile dans son peignoir entre-ouvert. « Tu vas donner chaud à la masseuse ! » Lançais-je sans me préoccuper réellement de la présence de la jeune femme…
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)