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AUSTIN ∞ ça s'en va et ça revient, encore et encore, comme avant.

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Attendant ses suggestions, je ne pouvais que me rappeler des nombreuses fois où nous avions fait ce genre de conneries. Si je me souviens bien, ça remontait à très loin. Quand nous étions encore à la petite école, nous arrivions déjà à nous jouer des gens. Avec une petite fille mignonne et innocente comme moi et un petit garçon malin avec un brin de manipulation aussi charismatique, ça n’avait rien de très compliqué. Au fils des ans, rien n’avait changé. Nous étions juste plus grands en taille, c’est tout. Quand je me rendais que personne ne voyait rien, je trouvais ça absolument fascinant. Comme si l’être humain aimait rester aveugle. Ou étais-ce juste pour que l’on se débarrasse de nous ? Hm, je ne crois pas. Nous avions toujours été doués pour faire ce genre de choses. Et même les gens croyaient gagnés, c’était tout le contraire qui se passait. Austin et Madisson, des inséparables. Autant pour les conneries que pour passer des moments plus calmes, plus gentils. C’était tous ces instants qui me manquaient avec lui. Mais je ne sais pas si avec ma douleur et cette séparation entre nous, nous pourrions reprendre la même amitié qu’avant. Chacun de nous a pris un chemin différent et réunifier tout ça, je n’avais jamais vu ça marché comme avant. Quand il y a une cassure, elle reste pour toujours. Même si on la met de côté, elle revient forcément. Tôt ou tard. Elle fait exploser la situation qu’on a mis tant de temps à bâtir ou bien elle nous hante, sans cesse et finit par nous avoir.

AUSTIN – « Ton plan me va ! »

Revenant sur terre assez brusquement, je lui souris, amusée de pouvoir voir à quel point, ça n’a quand même pas tellement changé et qu’une fois qu’un plan est mis en place, le passé redevient présent. Parant de mon côté, je bousculais un des hommes devant nous, me retenant de rire d’entendre qu’ils ne s’en prendraient pas à une jeune fille. Par contre, la suite me fit me figer un instant.

AUSTIN – « Hey salut les filles »

Mon cœur me fit immédiatement mal. Quel connard. Il ne changerait donc pas ? S’il le faisait derrière mon dos, qu’importe, je n’étais personne pour le suivre à la loupe. Surtout pas pour savoir ce genre de choses. Mais devant moi.. Je soupirais fortement, reprenant ma route pour ne pas y penser. L’homme se prit une gifle de sa petite amie, ce qui me fit sourire de plus belle. Arrivant à côté de la grand-mère, je savais que l’on avait réussi.

AUSTIN – « Hey grand-mère ! Tu veux que je t'aide à choisir ? »

AUSTIN – « On est ensemble »

La grand mère réussit enfin à commander, ainsi que mon ancien meilleur ami et moi aussi. Elle mit tout à ses frais et je lui souris, la remerciant et lui indiquant que l’on devait vite filer. La pauvre, elle croyait vraiment à notre histoire. Mon ex petit ami la remercia aussi et nous partions ensemble du café. Je me sentais mieux dehors et je pouvais goûter mon chocolat bien chaud. Je remarquais, surprise, que j’avais pris le même muffin qu’Austin, mais je ne voulais rien dire là-dessus.

MADISSON – « Ces filles te plaisaient tellement que tu n’as pas osé me dire que tu voulais les draguer, au lieu de les emmerder ? » dis-je, calmement, bien que je bouillonnais de l’intérieur.

Bah quoi ? Il aurait pu me faire part de ça avant que l’on se lance ! A cause de lui, j’aurais pu faire demi-tour et le planter là ! Mais je ne l’ai pas fait. La raison est évidente : c’est un con et je l’aime. Dommage qu’il soit aussi stupide pour se rendre compte des choses. Peut-être est-ce mieux ainsi.. Mais pour combien de temps ? Alors j’essayais de prendre la situation comme lui : sans se soucier de quoique ce soit. Après tout, peu importe ce que je peux faire ou lui dire, il n’en prendra jamais compte. Ça m’épuisera, tôt ou tard. Le plus tôt serait le mieux, mais je pense que ça signerait définitivement la fin de notre amitié, si elle renait.
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Nous avions bien mérité notre dessert et notre boisson après une lutte sans merci pour éviter de faire trente minutes de queue. Nous pouvions être fier de nous. Il avait marché comme sur des roulettes et ça me sidérais toujours autant de savoir que les gens étaient facilement manipulables. Enfin, nous ça nous arrangeait. Nous étions ressortis avec notre muffin et notre boisson chaude seulement cinq minutes après être entré dans la boutique. Je croquais à pleine dents la pâtisserie on ne peut plus délicieuse avant de me stopper et de tourner ma tête vers Madisson. Était-elle en train de me faire une crise de jalousie ou bien c'était moi qui me faisais des films ? Je souriais en m'apercevait que non, ce n'était pas moi et je trouvais ça presque mignon la façon dont-elle était énervée -même si elle ne m'avouera jamais explicitement que oui, elle était jalouse et que oui, ça l'avait énervée- « Non, mais elles avaient l'air tellement d'y mettre du leur tu vois, jn'avais pas envie de tout gâcher ! » Excuse semi-bidon « Après je trouvais ça plus amusant et puis c'est qu'elles n'étaient pas moches faut l'avouer ! » Je buvais dans ma thermo en carton donné par le Starbucks Coffe et souriais en voyant la tête de Madisson. Je ne pouvais m'empêcher de m'approcher d'elle et de passer mon bras droit où je tenais mon café, sur ses épaules afin de la serrer contre moi. « Mais c'est que tu serais jalouse ! » Disais-je en rigolant en lui caressant sa tignasse.
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Le voyant croquer dans sa pâtisserie, j’attendais toujours ses explications. Non, en fait, je n’attendais rien. Je préférais qu’il me mente en me disant que c’était juste pour s’amuser, qu’elles sont laides à mourir et que c’était pour se moquer d’elle. Sauf que s’il me disait ça, là, maintenant, je n’en croirais pas un mot. Parfois, je le déteste de me faire me sentir si faible par rapport à lui. Il fait ce qu’il veut de moi et j’en ai horreur. De temps en temps, je me venais à demander s’il a été sincère, sur certaines paroles que nous avions eu, autant en temps qu’amis que petit ami respectifs. J’avais été rempli de certitudes qui ont fini par des doutes et la fin de notre amitié. Peut-être que si je partais sur des doutes, j’arriverais à des certitudes ? Il fallait être stupide pour croire à ça. Malheureusement, je voulais y croire.

AUSTIN – « Non, mais elles avaient l'air tellement d'y mettre du leur tu vois, j'avais pas envie de tout gâcher ! »

Quelle excuse minable. Soupirant doucement, je me demandais pourquoi je continuais d’espérer à quoique ce soit avec un homme aussi idiot.

AUSTIN – « Après je trouvais ça plus amusant et puis c'est qu'elles n'étaient pas moches faut l'avouer ! »

Un nouveau coup au cœur. Quel petit con. A croire que ça l’amusait de me faire autant de mal. Mon silence devait lui indiquer que ce qu’il disait me déplaisait complètement. Et qu’en plus de ça, ça rajoutait à la souffrance que j’essaye de terre. Mais apparemment, lui le vivait très bien. Pire que ça d’ailleurs, il venait de se rapprocher de moi. Et à peine eus-je le temps de m’en apercevoir qu’il venait de passer un bras autour de moi pour me coller à lui. Mon cœur loupa un battement. Je le hais.

AUSTIN – « Mais c'est que tu serais jalouse ! »

Son rire m’apaisait et ses caresses dans mes cheveux me faisaient fondre. Connard. Parfois, je me dis que le fait qu’il sache ce point faible n’est en aucun cas une bonne idée. Vraiment pas. Cependant, je ne comptais pas me laisser avoir aussi facilement dans ses bras. Bien que j’y restais. Après tout, pourquoi ne pas en profiter ? C’est si gentiment donner, hein.

MADISSON – « Jalouse ? Si tu aimes les filles qui mettent quatre couches de maquillage pour être à peu près potable, c’est ton choix. Imagine les sans maquillage ! » riais-je en imaginant le désastre. « Et puis … » Je souriais. « … Je sais que je suis plus belle qu’elles, parce que je suis naturelle » murmurais-je doucement.

Ce n’était en rien de me surestimer que de dire ça. Juste que je savais que j’étais jolie, belle même et que je n’avais rien à envier à certaines filles. A penser comme ça, on pourrait croire que je ne suis pas modeste. Mais il fallait dire les choses comme elles le sont ! Comparé à ces filles, je n’avais pas à me maquiller des milles et des cents pour ressembler à quelque chose. Belle au naturelle, je trouvais ça tellement mieux. Mais surtout, dans le cas présent, je voulais savoir ce qu’il allait répondre à ça …
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Je m'attendais à ce qu'elle me repousse ne voulant d'aucune preuve d'affection de ma part, mais bien au contraire, elle restait là et je pouvais pleinement profiter de sa présence. Je mentirais si je disais que ces petits contacts ne me manquaient pas. Ça faisait toujours du bien d'avoir quelqu'un sur qui se reposer, parler sans prise de tête. D'autant plus que Madisson avait toujours été la seule personne qui arrivait à me calmer, à me comprendre et surtout à me remettre dans le droit chemin lorsque j'allais trop loin. Je ne pouvais m'empêcher de rire à sa remarque. Madi' avait toujours eu horreur des filles superficielles d'autant plus qu'elles avaient en général sale réputation. « Hum...ouais, mais c'est pas forcément leur tête que je regarde en premier en fait » Un grand sourire se dessinait sur mes lèvres en y repensant. « Si tu veux savoir oui tu es bien plus belle qu'elles » Était-elle rassurée à présent ? Je finissais enfin mon muffin pour jeter le papier dans la première poubelle qui se trouvait sur notre chemin afin de pouvoir prendre mon café de cette même main. J'aurais bien aimé avoir plusieurs mains genre comme ça j'aurais pu continuer de manger, boire, fumer et faire un câlin à Madisson tout ça en même temps. Malheureusement il fallait faire des choix et c'est pour quoi j'enlevais mon bras des épaules de la demoiselle afin d'en sortir mon paquet de clope et m'en allumer une. Continuant de marcher tranquillement, je ne me gênais pas de piquer un petit morceau de muffin à la demoiselle comme si c'était le mien. « Hum...c'était pour goûter et il est très bon » Oui, c'étaient bien les mêmes.
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Être si proche de lui me rendait heureuse. Comme si le passé devenait présent et qu’on avait continué notre amitié, sans jamais l’arrêter. J’imaginais déjà ce que les gens que l’on croisait pouvait penser de nous : « Oh, ils forment un beau couple » etc. Comme avant, d’ailleurs. Mais je ne me faisais pas d’illusions. Ça n’arriverait pas et je me contenterais du peu qu’il veuille bien me donner. Bien que je le traite de tous les noms, je ne peux pas m’éloigner de lui. Impossible. La preuve, même le destin nous a fait nous revoir ici ! Non, je ne m’emballe pas, je sais à quoi m’attendre avec lui. Pour le meilleur …

AUSTIN – « Hum...ouais, mais c'est pas forcément leur tête que je regarde en premier en fait »

… Et pour le pire. Je levais les yeux au ciel, exaspéré. Il ne valait mieux pas que je dise quoique ce soit. Un mec reste un mec. Surtout lui. Même si je pense – ou j’espère – qu’il est différent avec moi, de ce point de vue là, il est comme tous les autres. Dommage, hm.

MADISSON – « Pervers » murmurais-je avant de le regarder. « Tu fais ça pour toutes les filles ? » demandais-je, suspicieuse de savoir s’il le fait aussi avec moi.

Qu’il est idiot, mais qu’est-ce que je l’aime. Ça m’agace que tout soit aussi contradictoire en moi. Sincèrement, j’aimerais tellement que ça change parfois..

AUSTIN – « Si tu veux savoir oui tu es bien plus belle qu'elles »

MADISSON – « Petit flatteur » riais-je doucement contre lui.

Son étreinte se sépare de moi. Immédiatement, j’ai froid. Physiquement et en moi. Dommage. Mais s’il a besoin de fumer, je n’allais pas faire de crise de jalousie. Ce serait bien stupide. Mangeant mon muffin, je le vis me piquer un bout.

AUSTIN – « Hum...c'était pour goûter et il est très bon »

MADISSON – « Hé ! Tu te fous de moi ? » demandais-je sans attendre une quelconque réponse. « C’est le même que toi ! »

M’écartant de lui, je ne voulais pas qu’il me le pique en entier, le trouvant très bon. Laissant une petite distance entre nous, je me dépêche de le manger pour qu’il ne me reprenne pas un bout. Gardant un petit bout dans mon papier, je me rapprochais de lui et lui tendit.

MADISSON – « C’est bien parce que c’est toi, sinon tu serais capable de dire que je suis méchante avec toi hein » riais-je.
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Moi pervers ? Tout à fait et je ne m'en cachais pas. J'avais la réputation de ne pas cacher ce que je pensais et d'oser un peu tous et n'importe quoi. Avoir les idées mal placées, était juste un point de plus à rajouter à la nombreuse liste de mes défauts voilà tout. Je prenais sa remarque comme un compliment et me contentait de sourire en réfléchissant à sa question. « Heu...non, car il y a des filles qui devraient éviter de trop s'exhiber » Je grimaçais en pensant à certaines filles qui pensaient vraiment avoir tout l'air de top modèle alors que c'était loin d'être le cas. Ce n'était pas forcément sympa ce que je venais de dire, mais c'était très sincère. J'enfournais le petit morceau de muffin dans ma bouche regardant Madisson qui me fusillait du regard tandis que je lui lançais un regard du genre " Bah quoi, j'ai rien fait moi ! " elle préférait finir son dessert loin de moi pour éviter toute tentative de vole. Je regardais la scène de loin, amusé par son comportement. « Je préférais m'en assurer ! » Je me défendais comme je le pouvais. Mes yeux se déposèrent sur le papier du gâteau. Je m'en emparais le sourire aux lèvres. « Ho c'est mignon ! Merci ! » Ni une, ni deux, ce dernier morceau finissait bien vite dans ma bouche tandis que je rendais gentiment l'emballage à mon ancienne meilleure amie. Non, non je ne la prenais pas pour une poubelle, mais comme on dit si bien, rendons à César ce qui appartient à César ! « Nous voilà repu ! » Je continuais de boire mon café tranquillement tandis que nous continuons de marcher. « Tu ferais pareil avec ta boisson ? » Je ne savais même plus ce qu'elle avait pris comme boisson chaude, mais j'avais l'impression d'être rapace ouais.
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AUSTIN – « Heu...non, car il y a des filles qui devraient éviter de trop s'exhiber »

MADISSON – « Je vois.. » Mon regard se pose sur lui. « Mais je parlais de savoir si tu l’avais déjà fait à moi »

Oui, on me l’a répété souvent : la curiosité est un vilain défaut. Mais j’avais besoin de savoir. Je ne sais pas si c’est pour le traiter à nouveau d’idiot intérieur ou d’être heureuse qu’il me regarde. Quoi ? Non, c’est un idiot, qu’il l’est fait ou pas. Bref. Il venait de me piquer un bout de mon muffin alors qu’il avait le même. Je ne comprendrais jamais cet homme. Mais bon, ça fait son charme, après tout. Même si j’avais très vite imposé de la distance entre nous, histoire de le manger tranquille.

AUSTIN – « Je préférais m'en assurer ! »

MADISSON – « Moai moai moai ! » répondis-je en riant.

Une fois presque fini, je lui avais proposé le dernier bout. Qu’il mangea rapidement, sous mon regard et mon sourire.

AUSTIN – « Je préférais m'en assurer ! Ho c'est mignon ! Merci ! »

MADISSON – « De rien » dis-je en récupérant le papier, habitué à cela.

Le jetant dans ma prochaine poubelle qui passait, je bus une autre gorgée de mon chocolat chaud. Ah, cette boisson est tout ce qu’il y a de plus merveilleux au monde. Reprenant encore un peu de liquide, je le regardais du coin de l’œil, proche de lui sans que ça m’énerve ou que je ne pense à lui comme un idiot. Certes, ça risque de changer d’ici peu, mais bon.

AUSTIN – « Nous voilà repu »

Acquiesçant, je continuais à boire mon chocolat, heureuse de boire ma boisson préférée et d’être en plus avec lui. Ow, on dirait que je deviens un bisounours ! Il a vraiment une mauvaise influence parfois sur moi, mon bel idiot.

AUSTIN – « Tu ferais pareil avec ta boisson ? »

MADISSON – « Ah non ! ça, tu peux rêver ! » dis-je en souriant. « Jamais je ne donnerais un chocolat chaud, plutôt mourir ! »

Bien entendu, je disais ça en rigolant. Quoique. Non mais il pouvait rêver pour l’avoir et je crois qu’il se prendrait une bien bonne gaffe s’il osait me le voler. Oui, il y a certaines choses dans la vie – comme le chocolat chaud – avec quoi il ne faut pas jouer. Alors qu’il fasse gaffe à lui, ses fesses et ses joues s’il ose faire un telle connerie !
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Je regardais la demoiselle de haut en bas en souriant. « Ouep, plus d'une fois » Je n'avais pas honte de dire qu'effectivement j'avais déjà maté à plusieurs reprises Madisson et que même maintenant ça m'arrivait encore. C'était un canon ça pouvait se comprendre et en même temps vu que je sors qu'avec des canons ça semblait logique. Pour le moment, mes yeux se trouvaient pas fixés sur son corps, mais plutôt sur son chocolat chaud. « Vraiment ? » Je finissais en quatrième vitesse ma clope en prenant de grandes taffes et approchais à grandes enjambées la demoiselle. Je passais mes bras derrières elle serrant mon étreinte sur sa taille. Je déposais ma tête sur son épaule lui déposant par la même occasion un petit bisou dans le cou. Je ne perdais pas pour autant le nord. Serrant sa taille à l'aide d'un bras -celui où je tenais mon café- j'essayais d'attraper sa thermo en carton où se trouvait son liquide chaud. À jouer ainsi on prenait le risque de renverser nos deux boissons respectives ce que je n'espérais pas. J'attrapais doucement son bras essayant de le ramener vers moi. On avait sans doute l'air adorable à se chamailler comme ça en plein milieu du trottoir des rues de Cambridge, mais tout ce que je voulais moi c'était une boisson supplémentaire en fait.
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Son regard de bas en haut sur moi n’annonçait rien de bon. Je m’attendais vraiment au pire avec lui. Non, en fait, je crois que je ne m’attends jamais à ce qu’il va faire. Parce que même si je m’attends à quelque chose, il va faire ça pire, différemment ou je ne sais pas quoi. Oui, il est unique. Pas toujours dans le bon sens, mais bon … Il ne changera malheureusement plus. Bien que je gardais toujours un léger espoir. Ah oui, mais c’est lui qui m’avait dit lorsque l’on était plus jeunes : « tant que tu as espoir, tout ira bien » Oui, rare moment de lucidité de sa part. Après cette phrase, on avait pourri mon chien et on s’était fait remonter les bretelles par nos parents respectifs. Ce souvenir me fait sourire. Ça me manque tout ça.

AUSTIN – « Ouep, plus d'une fois »

Quand on grandit, il y a des choses qui ne devraient pas être dite, je crois. Enfoiré. Je ne sais pas si je dois être flattée ou énervée de ça. Bon, je dois juste faire comme lui. C’est marrant, je suis heureuse, tout va bien.

MADISSON – « Grand pervers » dis-je en levant les yeux au ciel, sans pour autant cesser de sourire.

Ce mec est absolument invivable. Enfin, je dis ça mais je ne peux pas vivre sans lui. Tout le temps où nous avions été séparé, me faire croire que je pouvais avancer vers mon futur sans lui avait été une illusion. J’ai besoin de lui, autant qu’il a besoin de moi, même s’il ne l’admettra jamais.

AUSTIN – « Vraiment ? »

J’eus à la peine le temps de le voir jeter la fin de sa clope qu’il se rattrapa et m’emprisonna dans ses bras, derrière moi. Oh le con ! Son petit bisou me fit frémir et l’envie de lui mettre une gaffe montait en moi. Mais pour le moment, ce qui m’importait le plus, c’était de sauver mon chocolat de ce voleur ! J’essayais de me débattre sans renverser quoique ce soit.

MADISSON – « Austin, arrête sinon je te le renverse sur la tête ! » le menaçais-je. « Si j’ai une tâche de ton putain de café, je te castre ! »

Bon, là, on devait moins avoir l’air d’un couple, mais plutôt deux bons amis qui se chamaillent. Le souci, dans cette situation, c’est que je savais que je ne pouvais pas me séparer de lui, parce qu’il avait largement l’avantage sur moi.

MADISSON – « Lâche-moi ! Sinon je crie “au violeur” ! » le menaçais-je encore en me tortillant dans ses bras.
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Je prenais sa remarque pour un compliment et me contentais de sourire. À présent nous étions comme deux enfants qui se battaient pour….du chocolat chaud ! Oui c’était un comportement très puéril, mais je le vivais plutôt bien. J’étais mort de rire en la voyant se dandiner et se débattre. On aura dit un verre de terre, je n’en pouvais plus. Elle s’époumonait en me criant dessus.et en me jetant toute sorte de menaces qui étaient loin de me faire peur. Même si je redoutais un peu qu’elle me castre. « Mais c’est qu’elle s’énerve » Je continuais de rire à gorge déployer, pas décidé de la lâcher. J’avais enfin réussit à coincer son bras en le maintenant tendu le long de son corps. Je descendais tout doucement ma main sur son bras, respirant dans son cou avant de mettre la main sur ta thermo. « Tu devrais céder avant qu’on fasse des catastrophes » Je me voyais bien renverser l’intégralité de mon café sur son t-shirt accidentellement à force de se débattre ainsi. [color=#5c74c9]« Non mais t’arrêtes avec tes menaces ? »[:color] Je rigolais une énième fois en donnant un petit coup gentil dans son ventre.
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