Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityC'est toi, là, presque à poil? [ Maxilia ] - Page 4
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C'est toi, là, presque à poil? [ Maxilia ]

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Je ne savais pas vraiment ce qui allait se passer après ça, après ce moment de passion commune. Nous étions trop opposés, nous avions un fort caractère tout les deux, on se taquinait ou se disputait sans cesse alors que notre relation était claire sur le papier - tout juste amis, plutôt connaissance- alors maintenant ça allait être vraiment compliqué. Surtout que je me voyais mal la lâcher un jour. Après avoir échangé plusieurs baisers passionnés avec elle, je me mis à jouer doucement avec sa lèvre, taquin, moqueur, joueur. Amusé, fou d'elle. Fou de son corps.. Et avant que j'ai le temps de faire quoi que ce soit pour l'en empêcher, je me retrouvais de nouveau sous elle, à sa merci, et j'étais presque sûr qu'elle allait en profiter. Elle se pencha vers moi, les yeux rieurs, avant de me dire : « Ça, c'est pour jouer avec moi. ». Je fronçais les sourcils sans comprendre pourquoi alors elle se penchait vers moi, et je le découvris lorsqu'elle se redressa alors que j'effleurais ses lèvres des miennes. Surpris, je la laissais s'approcher de nouveau pour tenter de l'embrasser mais encore une fois elle fut trop rapide, me laissant seul à embrasser l'air. Je tentais ainsi plusieurs, sans jamais y arriver, et ça me frustrait autant que cela m'amusait. Finalement, je me stoppais, la suppliant du regard : je ne voulais pas la forcer à m'embrasser, même si j'aurais eu le dessus physiquement. " Elysia.. T'es pas drôle là. Aller, viens là.. " Je levais encore les yeux vers elle, suppliant, la fixant.
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Ce petit jeu du chat et de la souris avait toujours été mon préféré, parce que je savais que les hommes n'y résistaient jamais. Et puis, ça m'amusait, même si avec Max, c'était plus dur d'y résister qu'avec les autres. Mais je le faisais quand même, pour lui faire payer sa douce torture. Un sourire amusé sur mes lèvres, je le voyais finalement faire une mine de dépité, ce qui me fit légèrement pouffer. « Elysia.. T'es pas drôle là. Aller, viens là.. » Sa supplication ne me laissait pas indifférente mais je décidais quand même de ne pas céder aussi facilement. Je me redressais alors et avec un sourire provocateur, je lui demandais: « Et si j'ai pas envie, tu vas me faire quoi, hein? » Quoi, je n'avais pas le droit peut-être? C'est pas comme si j'essayais de le pousser à bout de toute façon. Je voulais juste voir jusqu'où il serait capable juste pour goûter à mes lèvres une nouvelle fois. Ça renforçait mon égo de voir un tel homme comme Maximilian complètement à ma merci. Qui avait dit que les femmes sont faibles? C'était dans ces moments-là où nous étions au sommet de nos pouvoirs. Et il fallait bien en profiter pleinement.
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Elle s'amusait à me torturer ainsi, me laissant effleurer à peine ses lèvres, avant de se redresser, sur mon torse. En plus elle était assise sur moi, et elle me refusait ses lèvres, ce n'est quand même clairement pas logique. Après plusieurs tentatives, je fini par faire une tête de chien battu, espérant qu'elle finirait son cirque et viendrais m'offrir de nouveau ses lèvres, mis non. « Et si j'ai pas envie, tu vas me faire quoi, hein? » Je fis un petit sourire provocateur à mon tour. Elle voulait jouer, parfait, moi aussi je savais le faire. Hors de question que je sois le seul à souffrir ! Je glissais une main sur ses hanches, timide, légère et douce, remontant le long de son corps, jusque sous son bras. " Te faire souffrir autant que moi. " Je remontais mes doigts, légers et explorateurs de ce corps inconnu jusque dans son cou, avant de les glisser vers sa poitrine, un sourire angélique sur les lèvres. " Alors, tu viens m'embrasser? J'continue à te faire souffrir jusqu'à ce que tu craque sinon. " Qu'est-ce qu'elle était belle, à me dominer, fière comme ça, sur moi. Je voulais toujours avoir cette image là de la jolie Ravenswood.
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Un sourire provocateur sur les lèvres, je le dominais de par mon poids sur son ventre. Il avait décidé de joué à un jeu, j'y avais répondu. Mais semblerait que Monsieur n'aimait pas ça. Sa main sur mes hanches me donnait des frissons à chaque centimètre d'ascension. « Te faire souffrir autant que moi. » J'haussais un sourcil, amusée par sa réplique. Genre, il souffrait... Ses doigts caressèrent plus haut et je fermais doucement les yeux, profitant de son touché, avant de les rouvrir. « Alors, tu viens m'embrasser? J'continue à te faire souffrir jusqu'à ce que tu craque sinon. » Je levais les yeux au ciel, avant de me décider de me pencher de nouveau vers lui. « Des menaces, encore et toujours. Tu crois peut-être que j'ai peur? » Doucement, je vins à nouveau caresser ses lèvres avec les miennes avant de les dévier, le posant sur le coin de ses lèvres, sa mâchoire, son cou, le lobe de son oreille que je mordillais gentiment.
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Si j'avais pensé qu'un jour je serrais sous Elysia, en train de chercher à capturer ses lèvres, amusé de ses regards provocateurs, j'aurais clairement pas vécu pareil ces derniers mois. Je me serais sûrement pas battu contre Konrad, puisqu'on avait été en froid après ça.. et peut-être même allions nous l'être de nouveau après ce moment délicieux. Car je voyais mal comment on pourrait parler normalement et vivre normalement après ça.. Elle jouait à me refuser ses lèvres, et j'aurais put devenir fou sous elle, si je n'avais pas trouvé une autre distraction en caressant la courbe de son corps, comme une douce caresse. « Des menaces, encore et toujours. Tu crois peut-être que j'ai peur? » Je fermais les yeux en voyant qu'elle se penchait vers moi, et je gémis doucement en sentant ses lèvres glisser sur mon visage. J'étais complètement à sa merci, j'aurais fait n'importe quoi pour elle à ce moment là. Je l'enlaçais avec un bras passé dans son dos, et je la forçais à s'allonger sur moi, pour pouvoir chercher ses lèvres, en soufflant avant contre son cou : " J'suis sûr que t'as jamais peur. "
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J'avais arrêté de penser le moment où mes lèvres s'étaient posées sur celles de Max. Tant pis pour ce qui allait se passer après ça, je ne faisais qu'écouter mon coeur battant, laissant de côté cette voix qui me demandais d'arrêter cette mascarade. Tant pis pour tout, je ne pensais qu'à l'instant présent, profitant un maximum de la chaleur qu'il dégageait. Ma bouche s'attardant sur sa peau, je sentis son étreinte venir m'enserrer contre lui, m'obligeant à me rester coller contre son torse. « J'suis sûr que t'as jamais peur. » Son souffle dans mon cou me fit soupirer et frissonner en même temps. Finalement, je ne tins plus et plaquais à nouveau mes lèvres sur les siennes tandis que mes doigts se perdaient dans ses cheveux.
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Je ne voulais plus la quitter. J'étais tellement bien, avec elle dans mes bras, ses lèvres sur ma peau, ses yeux rieurs s'attardant sur mon corps et son corps contre le miens, que je ne voulais plus jamais me lever de ce lit. Je l'attirais contre moi, en l’enserrant d'un bras possessif et tendre, pour souffler quelques mots dans son cou, espérant qu'enfin elle craquerait et qu'elle m'embrasserait. Et c'est ce qu'elle fut, plaquant de nouveau ses lèvres contres les miennes, glissant une main dans mes cheveux. Je fis de même, lui rendant son étreinte, sa passion, autant que je pouvais. J'aurais put vivre d'elle et d'eau fraîche à cet instant, tant c'était merveilleux pour moi. Jamais je n'avais pensé ça avec une fille ; même avec Emma dont j'étais fou - enfin plutôt j'étais fou de son corps et ses pirouettes au lit - je n'avais ressentis une telle plénitude. Je basculais de nouveau, pour qu'elle se retrouve à ma place encore une fois, et je glissais mes lèvres dans son cou, avant de me redresser, à quatre pattes au dessus d'elle. Puis je souris, pour venir m'effondrer contre elle, sur le matelas, une bras autour de sa taille et nichant ma tête dans son cou, sans un mot.
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Je n'aurais jamais cru qu'un simple baiser me ferait autant d'effet, et pourtant, c'était bien le cas. Je voulais juste laisser mes lèvres sur les siennes et ne plus les décoller. Tout était différent de tout ce que j'avais pu connaître auparavant, et je me rendis compte que ma vie paraissait bien fade jusque là. Maintenant qu'il était là, je me sentais capable de tout, même soulever des montagnes. Tout pour ses beaux yeux, ses caresses, ses baisers. Mais je savais que toutes bonnes choses avaient une fin, et que je ne pourrais pas toujours en profiter. Le temps passait, bien trop rapidement. Je m'étais à nouveau retrouvée sous lui. Je soupirais de contentement en sentant ses lèvres dans mon cou, avant de le regarder dans les yeux. Et quand il vint poser sa tête contre mon poitrine, je fermais doucement les yeux, l'enserrant contre moi, passant un doigt sur sa joue, ses cheveux. Silencieusement. Je savais que le temps passait, que les minutes qui annonçaient le retour de Gwen s'écoulaient trop rapidement. Finalement, j'ouvris la bouche, à regret. « Gwen ne va pas tarder... Tu devrais partir. » Je détournais alors le visage pour ne pas voir ses yeux déçus. Je me doutais bien qu'il allait m'en vouloir de le foutre dehors comme ça mais je ne voulais pas risquer que ma coloc nous surprenne dans cette position. Je ne me sentais pas encore prête pour en parler.
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Niché contre elle comme ça, j'étais terriblement bien. J'aurais put y rester des heures, des jours, des mois sans bouger, tellement j'avais l'impression d'être parfaitement là ou je voulais être. Je savais bien qu'il y aurait une fin à ce moment. Une fin brutale, elle ne pouvait que l'être puisque de toute façon c'était une erreur de s'être laissé aller à la passion comme ça, alors qu'on ne savait même pas ce que l'on voudrait après. Enfin si, je le savais moi : je voulais recommencer, sans cesse. Seulement je ne pouvais pas lui imposer ça.. ma présence, mes remarques, mes lèvres, elle pouvait décider qu'une fois suffisait. « Gwen ne va pas tarder... Tu devrais partir. » Et voilà, j'étais mis à la porte. Je poussais un long soupir, pour lui montrer que je n'étais pas vraiment content, mais je résistais à l'envie de lui dire que je voulais rester. Après tout, je ne pouvais quand même pas lui pardonner si vite la baffe que j'avais reçue de sa part en public. Je me relevais, jetant un petit coup d'oeil à la mather allongée, la tête tournée vers le mur pour ne pas me voir. Je pinçais les lèvres, et je soufflais : " Tu me fou à la porte et t'ose même pas me regarder partir... classe Elysia, classe. " Habituellement c'est moi qui fou les filles dehors, pas l'inverse.


HJ : je pars et on en fait un autre? C'est toi, là, presque à poil? [ Maxilia ] - Page 4 3997999705
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J'avais tourné la tête pour ne pas le regarder quand je lui ai demandé de partir. Je savais qu'il était déçu je l'étais aussi au fond. Je le lâchais alors et il se leva. Je sentis mon lit se soulever, je fermis les yeux. « Tu me fou à la porte et t'ose même pas me regarder partir... classe Elysia, classe. » Je me mordis la lèvre. Je savais que si je tournais mon regard vers lui, je l'en empêcherais, de quitter cette chambre. Mais il fallait qu'il s'en aille. Je ne dis rien, le visage toujours tourné vers le mur. Je sursautais quand il claqua la porte. Et sans comprendre pourquoi, deux fines larmes coulèrent.


HJ: oh ouiiiii C'est toi, là, presque à poil? [ Maxilia ] - Page 4 3850463188 mais j'ai pas d'idée C'est toi, là, presque à poil? [ Maxilia ] - Page 4 1616978029
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