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Talk to me and I will show you • [Valixie]

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Sentir que j’étais un peu plus intéressante aux yeux de Valentin me rendait bien. Vraiment bien. Peut-être qu’il n’était intéressé par mon corps, encore dissimulé par mes vêtements, mais je profitais du moment présent parce que je me sentais bien, et que j’aurais quand même aimé que notre soirée se termine en nuit au cours de l’été, et que ça se déroule de cette manière. Alors puisqu’il m’affirma qu’en effet je devais me faire pardonner pour avoir touché son égo, je ne pus m’empêcher de sauter sur l’occasion de le faire languir, de lui donner envie de moi. Je voulais vraiment qu’il n’ait d’yeux que pour moi, à cet instant. Même si ces temps-ci, j’aimerais bien qu’il n’en ait simplement que pour moi, et pas juste l’instant d’un striptease. « Un obsédé sexuel? Non, voyons! Juste pour… un gars! Vous êtes tous pareils, tu sais (a) Si tu tiens plus longtemps que la chanson, tu seras récompensé… » Je lui fis un clin d’œil, mélangeant amusement et malice. La musique mise en marche sur son ordinateur, je me mettais déjà à bouger seulement les fesses lentement alors que je caressais ses cuisses comme si je lui faisais un massage. Mon sourire en coin coquin ne disparaissait pas, oh que non. Finalement, je me reculai légèrement pour le regarder, fière, un dernier instant, avant que je ne commence réellement ce qu’il attendait, et que j’attendais aussi, au fond. Je passai derrière lui en me déhanchant. Une fois dans son dos, je fis glisser mes mains de par ses épaules en descendant lentement sur son torse toujours nu. Près de son oreille, je murmurai d’une voix sensuelle : « C’est impossible, ne pas avoir envie de moi… » Bon, je la jouais un peu superficielle, mais ça m’amusait. Et puis si je réussissais à lui procurer cet effet vis-à-vis moi, je n’en serais que comblée, même si je ne le lui laisserais pas réellement paraître, au fond. Pas complètement, du moins. Je lui mordillai son lobe d’oreille avant de revenir face à lui. « Tu en es sûr? Tu ne m’as même pas encore vue à l’œuvre, pourtant… ! » Affichant toujours un sourire en coin, je me mis vraiment à l’attaque. Je fis carrément glisser mes mains tendues le long de mon corps, en débutant par la poitrine. Rejetant la tête en arrière, je continuais de bouger mes hanches lentement, au rythme de la musique qui jouait derrière. Je reportai mon attention sur Valentin qui ne pouvait que me regarder, j’en étais sûre. Je remontai même mon chandail quelques fois, prenant un regard de braise, toujours en me mordillant la lèvre inférieure. Après quelques minutes de cet exercice avec mon chandail, je fins par croiser mes bras pour le passer par-dessus ma tête sensuellement et très lentement. Je souris finalement en guettant constamment les réactions de Valentin. J’étais maintenant en soutif. Oui, le jeu commençait vraiment, à présent. Lentement, mais sûrement. Voyons voir jusqu’où il tiendrait, mon bel italien.
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Un simple mec et non un obsédé, c'était aussi ce que j'avais répondu à Caly quand elle m'avait demandé si je n'allais pas faire comme Priape avant qu'ils ne soient ensemble. Je ne veux plus tomber amoureux, alors autant jouer au mec, au vrai, celui qui ne peut pas se passer de femme. Mais je l'assumais totalement. Puis elle me fit savoir que si j'arrivais à ne pas me jeter sur elle avant la fin de la chanson, j'aurais droit à une récompense. Ah là de suite si j'ai un but pour tenir, je vais déjà mieux y arriver. Ça risque d'être les trois minutes les plus longues de ma vie ... Lui fis-je avec un petit sourire malicieux. Puis mon petit spectacle commença enfin, et je ne pouvais qu'en être satisfait, surtout quand elle passa derrière moi et glissa le long de mon torse tout en me murmurant qu'on ne pouvait pas lui résister. Je me mis à rire légèrement, simplement parce que je ne pouvais qu'être d'accord avec elle. J'avais déjà envie de lui attraper les bras et de la faire venir contre moi, mais non, je la laissais continuer, parce que j'étais sûr que ça en valait le détour, même si le fait de gagner notre petit pari aidait aussi. Elle m'avait proposé ensuite un abonnement si jamais j'étais satisfait de son show, mais j'étais sûr que j'allais aimé, parce que je la voulais depuis bien trop longtemps, donc je ne pouvais qu'accepté d'autre strip comme celui qu'elle allait bien me faire. Je lui adressais alors simplement un sourire avec un Et je suis impatient ... Et la suite ne tarda pas à arriver, la voir se déhancher, jouer avec son haut, j'avais tellement envie de l'aider, mais je profiter, et la laisser faire, je le devais. De un parce que c'était le but d'un striptease mais aussi parce que je voulais vraiment tenir le long de la chanson. Elle finit par retirer complètement son haut et je commençais à m'agiter légèrement sur ma chaise. Comment j'allais tenir moi ?! Ça commençait à devenir carrément excitant, et peut-être un peu trop. Je n'imaginais même pas la suite. Mais non, je ne suis pas un animal affamé, ou si peu, et j'allais tenir encore une à deux petites minutes. Ça n'allait pas être la plus dure des choses à faire quand même ! Mais au moins, ça allait être réellement jouissif quand je me jetterais enfin sur elle. Je voulais encore la voir danser le temps qu'elle enlève la majeure partie de ses fringues, mais je voulais surtout qu'elle se rapproche encore et encore. J'étais bouche bée depuis qu'elle avait commencé à se déhancher et même une bombe ne pourrait pas m'arracher un regard à ce moment-même.

 
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Être une fille n’était pas chose facile. Il fallait toujours être là, bien droite, prête à plaire. Il fallait plaire, sinon qui attirait-on? Si on ne se démontrait pas comment étant provocante un minimum ou intéressante, personne ne s’intéressait à nous. Et là, bien que je savais pertinemment, ou que je m’imaginais du moins, ne plaire à Valentin que sous la forme d’un simple jeu, je ne pouvais m’empêcher de tenter de le provoquer, de lui faire plaisir, de le faire languir pour qu’il soit à moi. Au moins aujourd’hui, quoi. J’étais pas possessive. Enfin, peut-être un peu, beaucoup… Mais là c’était pas ça. Je crois… Je dois avouer que tout se bousculait tellement dans ma tête depuis quelques temps, et ça me perturbait au plus haut point. Les mots de mon bel ami me réveillèrent, heureusement, parce que la musique était déjà commencée. Les trois minutes les plus longues de sa vie? Parfait! J’allais le faire languir pour qu’il ait l’impression que ça dure trois heures, et non seulement trois petites minutes… « Alors là, t’as tout à faire raison! Et tu sais quoi? Ça m’amuse! » J’émis un petit rire, alors que je lui offrais mon corps dansant sensuellement en spectacle. Ça ne pouvait que lui plaire. J’avais dansé une année complète pour des hommes en manque au Nirvana, et comparé à Valentin, ils étaient tous des vieux pervers sans ambition et sans aucune attirance. Par contre, mon ami, lui, était sexy à en mourir, craquant, et terriblement attirant. Et ça avait le don de m’inviter à donner mon maximum pour son plaisir. Pour mon propre plaisir, aussi. De le voir se tortiller sur sa chaise alors que je me déhanchais, dandinais juste pour lui ne m’apportait que satisfaction. Mes hanches allaient de gauche à droite, tournaient lentement, sensuellement… La musique approchait à sa fin et je le savais, parce que je la connaissais bien, cette chanson de Britney Spears. Et je savais aussi qu’il avait hâte que ça se termine. Juste à voir comment il réagissait à ce que je faisais : j’étais en soutif, et visiblement ça lui plaisait. « Impatient…? Ça te donne envie, n’est-ce pas? Mon pauvre… » Je souriais. J’avais déjà l’idée en tête de comment je terminerais ce petit striptease qui touchait à sa fin petit à petit. En m’approchant lentement de lui, je déboutonnais mon jean, tout en retirant la fermeture éclair. Me mordillant à nouveau la lèvre inférieure, je plongeai mon regard dans celui de mon bel italien, même s’il ne me regardait probablement pas dans les yeux, lui, puis je fis descendre très doucement mon pantalon vers le bas, pour n’apparaître à ses yeux qu’en sous-vêtements : soutif et string. Je souriais malicieusement, parce que je savais pertinemment que j’avais réussi à lui faire de l’effet. Mais il avait réussi son défi, lui aussi. Il avait tenu… Alors, jetant mon jean au loin dans la chambre de Valou, je m’approchai, à moitié nue de lui, pour me placer à califourchon sur ses jambes, comme je m’y trouvais tout à l’heure, encore habillée. Je me penchai pour que sa tête soit dans le creu dans mon cou, et de mon côté, je vins frôler le coin de ses lèvres, comme la dernière soirée au Summer Camp. De façon un peu plus provocante. J’avais envie de tout. Surtout qu’il m’embrasse sans qu’il ne me repousse… Surtout ça. Passant mes mains dans son dos, je murmurai près de son oreille : « Alors… ton verdict? »
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Quand je lui avais fait part que ces trois minutes risquaient d'être les plus longues de ma vie, elle en rajouta une couche de façon plutôt sadique, chose qui aurait pu me faire rire, mais j'étais déjà bien trop occupé à avoir envie d'elle et c'était le désir qui prenait largement le dessus sur l'humour. Et même si c'est vrai que je galérais à rester sage sur ma chaise, je prenais carrément goût au spectacle, parce qu'elle gérait du tonnerre, il y avait rien à redire. Déjà que j'avais eu envie d'elle rien que lorsqu'elle s'est appuyée contre l'encadrement de ma porte, alors là, c'était bien multiplier et heureusement que ce n'était pas trois heures de show au final. Je lui faisais ensuite comprendre que j'étais impatient de voir la récompense, autant que son déhanchement se perdurer. Bien que je me doutais un peu de ce que j'allais recevoir comme récompense. Mais soyons honnête, il n'y a qu'une seule que je veux, c'est elle et son corps contre le mien pour le plus grand de tous les plaisirs. C'est primitif et pas original du tout, mais on est fait comme ça nous les humains, encore plus les hommes. On ne peut pas vivre sans la chair, encore plus quand elle se déhanche sous vos yeux. Oui elle pouvait me dire mon pauvre, mais en attendant j'étais bien heureux d'être là où j'étais à l'instant même. C'est pour ça que je haussais simplement les épaules sans lâcher mon regard de son corps qui continuait de se dénuder. Et alors que j'étais encore en train de l'admirer danser, la musique s'arrêta et je n'eus pas le temps de dire ouf que c'est elle qui vint s'asseoir sur moi. Un léger sourire se fit apparaître sur mon visage lorsqu'elle vint se coller à moi. Mes mains s'étaient vite trouver une place sur son corps, dans le bas de son dos, sur ses jambes. Elle finit par me demander quel était mon verdict Je vois que t'es encore plus impatiente que moi ... J'ai adoré. Ouais je dis des choses qui n'ont rien à avoir l'une avec l'autre et alors ?! Je resserrais mon étreinte sur elle pour la rapprocher davantage tout en lui attrapant le visage et venir l'embrasser. Pas un léger baiser comme je lui avais donné la dernière fois, non, là j'avais bien trop envie d'elle et je ne pus que l'embrasser passionnément, avec fougue. Je sentais sa poitrine contre la mienne et je finis par retirer son soutif pour sentir son entière peau contre la mienne. Oui j'avais bien envie de finir le strip moi-même (a).

 
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Moi qui avait été stripteaseuse pendant un an complet, je m’étais fait une promesse à moi-même quelques années passées à ce sujet : ne plus jamais retourner dans le monde du strip. Pourtant, ma promesse venait d’être cassée par nul autre que moi-même, parce que je ne pouvais m’empêcher d’en offrir un, voire deux, ou même trois… à Valentin. La véritable raison, je ne saurais l’expliquer, mais j’en avais plus qu’envie, et visiblement, au vu de ses réactions, alors qu’il était simplement assis sur sa chaise à me regarder avec un regard rempli de désir, il en avait envie lui aussi. Si ça continuait, c’est moi qui perdrait patience et qui lui sauterait dessus en une fraction de seconde. Enfin, c’est presque ça qui se passa par la suite, parce que dès que la musique prit fin, dénudée de tout vêtement considéré comme superflu lors d’un striptease, je me rapprochai de lui pour retrouver notre position initiale, tout en lui demandant son verdict. Il semblait satisfait, et à son affirmation, je ne pus qu’hocher la tête, sans rien répondre. Mes jambes se trouvaient de chaque côté de son corps, et il m’attirait instantanément à lui pour poser ses mains sur moi. Ses mains qui laissaient transparaître son envie, son impatience. Je pouvais le comprendre ; j’étais comme ça moi aussi. En y pensant bien, cette soirée aurait pu se dérouler bien avant, si on n’avait pas repoussé autant ce…ce truc inexplicable lors du Summer Camp. Le rejet que j’avais ressenti à cet instant-là était disparu à présent, parce que je voulais profiter de ce moment, qui s’annonçait plus que bien, en sa présence. Justement, ses lèvres se posèrent sur les miennes bien rapidement, et ce ne fut que pour mon plus grand plaisir, parce que j’y répondis avec tout autant de fougue et de plaisir. Je passais mes mains derrière sa nuque en me collant contre lui, mais je fus stoppée par ses mains qui dégrafèrent les attaches de mon soutif pour me le retirer. J’interrompis le baiser un bref instant en lui lançant un regard amusé et coquin. « Je te laisse enfin voir ce qui se cache sous mes vêtements… Ne t’empêche surtout pas d’en profiter! » Une chose que j’avais appris d’une de mes anciennes collègues du Nirvana était de faire patienter, languir et presque frustrer, même, le partenaire avec qui on se trouvait. Présentement, c’était bel et bien Valentin qui se trouvait devant moi, et je ne comptais pas m’empêcher de le faire encore patienter jusqu’au bout. Je me frottais donc légèrement contre lui, contre son torse nu, avec un sourire en coin, tout en capturant de nouveau ses lèvres, agrippant ses cheveux d’une main au passage. Mon autre main, elle, s’acharnait à caresser lentement l’intérieur de ses jambes, toujours recouvertes par son pantalon. Oups! Il finirait bien par être inconfortable dans son jean à un moment, non? Qu’allais-je lui faire? Qu’allait-il me faire à moi?
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Il fallait que je joue le jeu jusqu'au bout après tout. Aussi quand elle me stoppa dans mon élan pour retirer la fin de ses vêtements. Elle était en train de me rendre fou et je me pressais un peu trop. Je lâchais donc de suite prise et la laissais m'embrasser tout en souriant. Je voulais lui laisser le contrôle le plus longtemps possible parce que après, elle n'y aurait carrément plus droit. Elle aurait pu l'avoir un peu si elle ne m'avait pas torturé avec son show et en ce moment même. Surtout qu'elle commençait à me caresser et que forcément ça m'excitait davantage. J'avais l'impression que j'allais lui bouffer les lèvres et la langue tellement j'avais envie d'elle. Mais je finis par rompre le baiser et souffler un peu, tout en gardant son corps chaud contre le mien. Oui parce que mes mains étaient bien vite revenu sur son corps sublime. Vas-y, torture-moi, profites, parce que après je ne pourrais plus me retenir ... Oui je risquais bien vite d'inverser la cadence, de la plaquer sur mon lit et de commencer les choses sérieuses. Mais je voulais tenir le plus longtemps possible pour que ce moment passé ensemble ne dure pas que quelques minutes. Bien que je ne risquais pas de la laisser repartir de suite après, non, j'avais envie d'elle mais surtout de la garder près de moi. J'espère que t'as pas d'autre strip-tease de prévu après moi parce que tu risques de devenir ma prisonnière ... Je l'embrassais de nouveau avant de descendre de nouveau dans cou et de agripper encore un peu plus à son corps. La tension et le désir montait bien trop et si elle continuait à jouer avec moi ainsi, j'allais vite exploser et elle allait rien comprendre à ce qu'il lui arrive. Parce que contrôle féminin ou pas, elle ne pourrait pas lutter face à ma force, qui se déchaîne encore plus dans ce genre de moment.

 
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Était-il possible de craquer autant dans un moment comme celui-là? J’étais faible. Faible de partout. Les frissons me parcouraient de la tête, jusqu’au bout des orteils. C’était une horrible, mais agréable souffrance. J’étais seins nus, contre son torse, et je me réservais le droit de me serrer encore plus contre lui et de lui caresser les jambes, les cuisses, et l’intérieur des cuisses à la fois. Ça devait être délicieusement torturant, mais c’était ça, le but. Mon but. À vrai dire, on n’avait même pas encore commencé les choses «sérieuses», excepté pour les caresses, et on en était déjà aux respirations saccadées. Mais c’était tellement bien, putain. Un sourire s’afficha sur mes lèvres à l’entente de ses mots. Le torturer? Il ne fallait pas me le dire deux fois… Mes caresses sur ses jambes continuèrent, jusqu’à ce que je me soulève légèrement pour passer ma main lentement, très lentement, en un frôlement prononcé, sur son entrejambe encore recouvert par ses morceaux de vêtements. En repassant une deuxième fois au même endroit, de la même façon et de la même intensité, j’approchai mes lèvres de son oreille pour lui murmurer : « J’ai bien hâte de voir ça… » Puisque j’étais toujours près de son oreille, je me permis de lui mordiller le lobe avec le bout de mes dents, sensuellement, jusqu’à revenir frôler mes lèvres contre les siennes, sans l’embrasser, malgré toute l’envie qui me prenait depuis un bon moment déjà. Oui, j’avais toujours autant envie de l’embrasser. Et oui, j’avais hâte qu’il «explose», qu’il soit incapable de se retenir et qu’il me fasse ce qu’il voulait. Toute la journée… « Mmh… j’en avais peut-être deux ou trois de prévus, mais… finalement, je préfère être ta prisonnières…» Bien sûr que je mentais. J’étais loin d’en avoir prévu deux ou trois. Même un seul autre, c’était hors de question. Peut-être parce que j’avais souhaité, espéré, avant de venir ici, qu’il ne me jette pas en dehors de chez lui tout de suite après… « Et qu’est-ce que tu comptes faire subir, à ta prisonnière? » Un sourire en coin ornait maintenant mon visage, alors que je fermais les yeux sous le baiser qu’il offrait à mon cou. Le point faible de n’importe quelle fille… C’était à mon tour. Je vins également l’embrasser avec fougue, ne m’empêchant pas d’y mettre de la vigueur au baiser chaud et mouillé. Mes mains aggripèrent la ceinture de son jean, en y passant mes doigts dessous,sans rien faire, pour le faire languir encore, puis je les fis remonter sur son torse. Lentement. Je rompis le baiser pour le regarder dans les yeux, pleine d’envie…
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Apparemment, même si elle semblait aimer le contrôle, il lui tardait aussi de voir le moment où ça basculerait et où je prendrais les rennes de notre échange. Je mourrais d'envie d'échanger la cadence mais l'avoir sur moi, au dessus, me procurer aussi du plaisir et l'envie ne pouvait qu'augmenter. Je voulais lui faire comprendre qu'elle risquait de rester bien plus longtemps ici que prévu, qu'elle ait d'autres personnes à voir ou non. Et heureusement pour moi elle ne comptait pas partir de si tôt, chose qui me fit sourire et surtout plaisir. Au moins ce sentiment de vouloir la garder près de moi était réciproque. Elle me demanda ensuite ce que je comptais faire d'elle. Je souriais de plus belle et lui répondis C'est un vilain défaut la curiosité ... Non je ne voulais pas lui dire ce que j'allais faire d'elle, parce qu'elle le savait très bien. Alors autant lui dire quelque chose à laquelle elle ne s'attendait déjà moins. Mais j'avais cette terrible envie de lui montrer tout de suite ce que j'allais faire d'elle, mais pour éviter de trop penser au moment où je la prendrais un peu trop violemment, je l'embrassais, descendais lentement le long de son cou, de sa clavicule, pour ensuite arriver jusqu'à sa douce poitrine, où je m'attardais pas des baisers et des caresses. Elle s'attardait sous ma ceinture quant à elle et fallait bien avouer que ça me rendait de plus en plus fou. Mes mouvements, mes gestes, se faisaient un peu plus brutaux à chaque nouveau gestes Tu vas vite en avoir un avant-goût ... A peine avait-elle remonter ses mains sur mon torse que j'attrapais ses jambes et me levais subitement pour m'emmener jusqu'à mon bureau. Ouais sous le coup de l'élan, je n'ai pu qu'aller tout droit, et je n'avais pas vraiment réfléchi à ma destination. Aussi je la posais sur le bureau pas trop délicatement et l'embrassais de nouveau langoureusement tout en attrapant son string et en le retirant d'un coup sec. C'était foutu, je pourrais plus me retenir, j'étais totalement hors de contrôle.
 
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Tout ça. Absolument tout ça me rendait complètement dingue. Vraiment. Oui, j’aimais le contrôle. Oui j’aimais ce qu’on était en train de faire, ce que je lui avais offert comme spectacle. Mais surtout, j’aimais savoir qu’il ne pourrait se retenir de littéralement me sauter dessus d’un instant à l’autre. Ça ne me rendait que plus impatiente, parce que j’avais hâte de voir ce qu’il me ferait subir à son tour. Rien de méchant, non. Mais probablement de bestial, ça j’en étais certaine. À ses mots, lorsqu’il me dit que c’était un vilain défaut, la curiosité, j’arrêtai subitement ce que je faisais avec mes mains et pris un air tout a fait innocent : « Oh, mais je suis vilaine… Que veux-tu que je te dise? Il faut me punir, maintenant…» Un léger sourire malicieux se dessina sur mes lèvres alors qu’il commençait déjà sa vengeance en m’embrassant par le cou jusqu’à la poitrine. Un puissant frisson me parcouru de part en part, surtout qu’il s’attardait au niveau de mes seins. Je me mordis instantanément la lèvre inférieure tout en rejetant la tête par en arrière. Ce n’était rien à ce qu’il comptait sûrement me faire par la suite, mais il savait y faire, oh que oui. Je n’aurais jamais imaginé me retrouver nue devant lui, ni le retrouver – futurement, dans quelques minutes bien sûr – nu devant moi. Pour mon plus grand plaisir… Je rouvris les yeux lorsqu’il m’adressa de nouveau la parole, puis souris de manière plus prononcée. J’étais prête. « J’ai hâte de voir ce qu’un italien sait faire de ce côté… » Il m’attrapait par les jambes sans plus tarder et me déposai brusquement sur le bureau. Bestial et brutal, je n’avais jamais douté qu’il serait comme ça. Loin d’être désagréable, j’appréciais au contraire, et ça m’excitait davantage de mon côté. Valentin m’attrapa mon string et me l’arracha d’un coup. Ça allait commencer. Vraiment. Tout ça, que j’aurais bien secrètement souhaité vivre lors de cette soirée cet été, mais qui se déroulait maintenant. Et je n’allais pas être déçue. Et j’en avais envie. Vraiment. « Te retiens pas, Val, surtout pas… », lui avais-je soufflé sensuellement. Me relevant légèrement de sur le bureau, je vins l’attraper par les épaules pour l’attirer un peu plus à moi, et ainsi, je pus détacher la ceinture de son pantalon. Voyons voir ce qui se cachait là-dedans. Tout en continuant ce que je faisais, je fis descendre finalement son pantalon d’un coup sec pour qu’il tombe le long de ses jambes. Je le regardais dans les yeux, souriant en coin, arborant un regard coquin et sensuel. Il se retrouvait en boxer devant moi. Et de ce que je pouvais voir, c’est sûr qu’il n’allait certainement pas se retenir. Là, j’étais toute à lui, pour le temps qu’il voudrait…
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Vu l'état dans lequel on était, je me doutais bien qu'elle allait me sortir une phrase du genre que je devais la punir pour avoir été vilaine. Chose qui aurait pu me faire rire dans d'autres circonstances ou si on avait eu beaucoup moins envie l'un de l'autre à l'instant même. A la place ça m'excitait davantage, et j'avais encore plus envie de la bouffer. C'est sûrement pour ça que mes lèvres étaient si vite descendu sur son corps chaud. Et je n'avais d'ailleurs pas pu attendre bien longtemps avant de me lever et de prendre à mon tour le contrôle de la situation. J'avais trop envie d'elle pour continuer à me torturer de la sorte. Une fois arrivés sur le bureau, je crus comprendre par ses paroles que c'était réciproque cette envie démoniaque qui me rongeait depuis maintenant trop de minutes, voire trop de jours. Je venais de lui enlever bien violemment son string pour qu'à son tour elle me retire mon pantalon. Et j'ai juste horreur de les avoir à mes pieds comme un vieux obsédé. Du coup je le retirais pour l'envoyer valser dans ma chambre je ne sais où, vu que j'étais bien trop occupé à embrasser la demoiselle. Je ne devais pas me retenir hein ?! Fallait pas me le dire cent fois, c'est pour ça que je m'occupais du reste bien rapidement en retirant mon caleçon et en entrant enfin délicatement en elle. J'avais arrêté de l'embrasser un instant, sans pour autant me reculer d'elle, juste en mélangeant nos deux respirations haletantes. Je la regardais un instant, un peu trop sérieusement et je lui envoyais un doux sourire avant de l'embrasser de nouveau. Depuis le temps que j'attendais ce moment ...
 
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