ALERIS ♡ Si j'étais jaloux, je le serais de tous ceux qui osent respirer ton odeur

Pourquoi est-ce que je lui avais fait part de mes doutes ? Pour qu'elle me rassure ? Pour qu'elle m'assure que nous deux ça ne pourrait que fonctionner ? Qu'aucun de nous ne pourra jamais souffrir ? Et sa réponse était bien plus réaliste que les désirs que je pouvais avoir. Après tout, chaque personne qui se lance dans une relation sait très bien qu'il peut finir par souffrir et que rien n'est gagné, et c'est aussi ça le plaisir d'une relation, de ne pas vraiment savoir jusqu'où ça ira, en espérant tout de même que ce soit la bonne personne. J'avais cru il y a déjà plus de trois ans que Andy était la bonne. Elle était parfaite, presque comme moi, elle me comprenait mais j'avais tout foiré parce que au final je n'étais carrément pas prêt et que l'arrivée de nos filles m'a carrément fait flippé. Alors qu'est-ce qui me disait que aujourd'hui j'étais prêt ?! J'avais pourtant persuadé Alex que j'avais changé, mais peut-être pas assez pour lui prendre son cœur. Je la regardais, l'écoutais, et étais davantage pommé. Tu as raison Alex ... Mais tu sais quoi, je m'en fous en fait d'avoir peur. Il y a des moments où il ne faut juste plus réfléchir et foncer. Et aujourd'hui, là, maintenant, je suis sûr que c'est ce qu'il faut que je fasse. Pourquoi autant de confiance tout à coup ? Aucune idée, puisque j'avais davantage peur, peur qu'à présent elle ne veuille plus de moi. Bien que j'en doutais face à ce qu'elle venait de me dire. J'avais juste peur de ne plus savoir comment agir. Je savais juste que j'avais envie d'elle et que je ne veux plus qu'aucun mec ne s'approche d'elle. J'ai alors posé ma main sur sa joue, passé mon pouce sur ses douces lèvres que j'avais adoré embrassé au final, et passa ma main dans sa nuque pour l'approcher de moi, et finir par déposer mes lèvres sur les siennes, faisant en sorte que ce baiser dure plus longtemps que les deux précédents, qu'ils soient moins précipités et bien plus savoureux.

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Alexine c'était la fille qui doutait toujours, surtout, même si les choses qu'elle ne devrait pas, elle ne pouvait pas s'en empêcher voila tout. Alors lui confier un doute, ce n'était que très rarement utile, la plupart du temps, elle-même avait peur et doutait pour les mêmes raisons, comme avec Chris. Elle savait que toute relation comportait un risque qu'il fallait travailler en amour, que ce n'était pas comme un conte de fée, malheureusement. Elle était adossé au mur et regardait cet homme qui lui faisait vivre toutes les couleurs de l'arc-en-ciel en détail. Alexine avait été prête des années pour Chris et il avait le don de tout gâcher pour rendre tout merveilleux quelques temps après. Il lui lança un truc du genre de c'est sa destinée où elle ne comprit pas grand chose, elle était un peu trop sous le choc des émotions pour piger quoique se soit. Il posa sa main sur sa joue, son pouce sur ses levres, elle savait ce qui s'en venait et elle en avait peur, elle avait envie, mais elle n'avait pas vraiment d'expérience en la matière. Il l'approcha d'elle et l'embrassa, tendrement, longuement. elle se sentie fondre et malgré son énorme manque d'expérience, elle su, instinctivement ce qu'elle devait faire. Elle s'approcha et passa ses mains dans le creux du dos de Chris. Elle finit par se séparer des lèvres de Chris, mais resta bien proche de celui-ci de peur qu'il ne change encore d'idée comme un idiot. « Oui... la réponse à ta question au bar, au cas ou tu aurais pas compris encore, oui.» Alexine avait retrouver son aisance avec Chris, enfin, pour le moment, comme si ils avaient toujours seulement quelques années et trois pommes de haut. Elle se leva sur la point des pieds et embrassa doucement Chris, rapidement, comme un baiser volé, doux et pur.

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Comme la première fois que je l'avais embrassé, ça m'avait fait bizarre. Bizarre d'embrasser ma meilleure amie. Mon amie d'enfance. Celle que j'avais considéré longtemps comme mon petit ange que je ne voulais que personne ne lui fasse du mal. Et voilà qu'aujourd'hui je me retrouve dans la possibilité de lui faire du mal. Une grosse pression se pose sur mes épaules tellement j'ai pas envie de la décevoir. Je me demandais alors depuis quand j'avais pu craquer pour elle. Je n'étais pas encore capable de le dire. Peut-être le jour où elle m'a dit qu'elle ne voulait plus être amie avec moi et qu'elle était amoureuse. Ou peut-être était-ce avant. Cela ne pouvait pas s'être développé depuis ces quelques semaines, je ressentais bien trop de sentiments à son égard. C'était bien trop fort. C'était peut-être aussi du au fait que je la connais par cœur et qu'elle avait été ma seule amie depuis toutes ces années. Je n'en savais rien et pour l'instant je m'en foutais un peu. Elle s'était reculé après quelques secondes de magie pour me répondre à l'affirmatif, à la question que je lui avais posé la dernière fois au bar. Je m'étais mis alors à lui sourire, satisfait, heureux. Est-ce que j'aurais réagi de la même façon la nuit dernière ? Non parce que j'étais encore trop aveugle. Il avait fallu que je me réveille, que je vois ce mec lui tourner autour pour enfin me rendre compte que je suis fou d'elle. Mais je n'arrivais pas à me l'avouer. J'avais un blocage et j'espérais, pour elle, qu'il disparaisse vite, histoire que ça nous évite toutes embrouilles inutiles. Oui elle m'aimait toujours et je l'avais plus que compris, sinon je ne me serais jamais risqué à l'embrasser là tout de suite, et encore même après son petit baiser. Je n'avais plus envie de m'arrêter. Mais c'était mon ange et je savais qu'elle était pure, qu'elle n'avait pas trop d'expérience, qu'elle devait stresser rien qu'à cette idée. C'est pour ça, je calmais mon baiser et la serrais simplement contre moi, respirant son odeur, passant mes doigts dans ses cheveux. Profitant simplement de son contact.

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Alexine aimait embrassé Chris, oui, c'était étrange à la base, surement moins bizarre pour elle puisqu'elle avait eu des sentiments pour so valeureux chevalier depuis qu'elle était toute petite, elle ne l'avait jamais vraiment vu comme un frère. Ça lui faisait surtout bizarre d'embrasser quelqu'un alors que ce n'était pas quelque chose d'habituel pour elle, espérons que ça le devienne. Pourtant, elle était loin d'être nulle, mais elle se disait que si, parce que c'est Alexine et la seule chose ù elle se voit exceller se sont les études. Enfin, ils arrêtèrent de parler pendant un moment, Alexine profita de ce moment, le premier où elle avait l'impression d'avoir réussi un peu quelque chose. Chris la serra dans ses bras, elle apprécia le ralentissement, parce que plein de chose se bousculait dans sa tête. Elle n'était pas un ange, mais elle n'avait pas d'expérience, elle avait voulu attendre, pour la bonne personne au bon moment, parce qu'on ne gâche pas ce genre de moment. Alexine finit par se détacher un moment, elle avait les joue rosies, elle ne savait absolument pas comment agir, pas parce que c'était Chris, parce que la relation qui s'installait était complètement nouvelle pour elle. « Tu veux aller te baigner ? » Alexine était adorable dans sa gêne, elle n'avait pas envie de passer sa journée adossé à un mur et après tout, la piscine était toute proche non.

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J'étais bien conscient que c'était tout nouveau pour Alex se genre de relation, vu qu'en plus de ça elle m'avait dit la dernière fois qu'elle n'avait jamais rencontré quelqu'un depuis les trois ans où on s'était perdu de vue en quelque sorte. C'était sûrement aussi pour ça que j'étais un peu pommé, ne sachant pas comment agir avec elle, ce qu'elle avait vraiment envie ou non, ce dont elle avait peur ou pas. Je préférais donc ralentir la cadence de mes baisers et simplement la prendre dans mes bras. Fallait bien avouer que moi ça faisait longtemps que je n'étais plus novice là-dedans et j'ai un peu oublié la sensation que cela pouvait faire. D'autant plus que je n'ai jamais été timide comme ma meilleure amie. Puis elle finit par se dégager de mes bras pour me proposer d'aller se baigner. Je ne pouvais pas lui refuser parce que je ne savais pas quoi faire justement. Bien sûr, allons-y. L'avantage d'être toujours à la plage pendant deux mois, c'est que je me trimballais partout en bermuda ou en short de bain, à part en soirée. Je lui pris alors la main, et on s'avançait vers la piscine, en voyant quelques personnes nous regarder se demandant sûrement ce qu'il y avait bien pu se passer, puis je retirais mon haut d'un coup et me tournais vers Alex pour lui dire J'espère que tu me prêteras ta serviette ! Lui dis-je en lui adressant un petit clin d’œil. Et j'aurais tellement voulu rajouter "ou même s'envelopper tous les deux dedans" mais c'était encore sûrement bien trop tôt. J'étais même sûr que ça sonnerait faux si je le disais à voix haute. Après tout, c'était bien la première fois que j'imaginais un avenir amoureux avec ma blonde préférée. Je me jetais donc à l'eau avec un plongeon carrément parfait (a).

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Alexine aurait pu avoir un copain, ce n'est pas les occasions qui avait manquées, ni les offres d'ailleurs, mais elle n'avait jamais eu l'impression que c'était bien, que c'était la bonne chose pour elle. Alors, elle c'était retrouvé à vingt-deux ans, embrassé une seule fois et vierge, elle était rare, très rare. Qui a vingt deux ans ce retrouvait sans aucune expérience pertinente de relation amoureuse et sexuelle. Enfin, elle proposa à Chris d'aller se baigner, ça allait surement détendre l'atmosphère entre eux, qui ne semblait pas trop sur quel pied danser. Ce n'était pas tant un mal aise, un avenue inconnu pour tout les deux. Chris ne s'était surement jamais trouvé dans une relation avec une fille si perdue et stressées qu'Alexine et alexine... bah elle n'avait jamais eu de relation. Le jeune homme accepta et l'entraina à la piscin en lui tenant la main. Alexine était gênée des regards sur elle, mais elle garda sa main bien en place, trop heureuse de la situation. « Si t'es gentil. » Alexine lui tira la langue comme une gamine avant de le suivre en plongeant dans l'eau. C'était étonnant qu'Alexine soit une brute d'étude, elle aurait pu faire du sport, mais non, ça ne l'avait jamais intéressée. La blondinette se promenait dans la piscine, ça lui faisait du bien, la ramenait à la réalité. Elle restait proche de Chris, sans trop s'approché, gênée, mais elle ne dirait pas non, seulement, elle avait dépensé son courage de la journée.

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Une fois à l'intérieur de l'eau, je remarquais que Alex m'avait suivi et c'était quelque chose qui était bien loin de m'étonner. Elle avait toujours ce côté sportif, et aujourd'hui je trouvais carrément ça sexy. A l'époque, je trouvais ça cool d'avoir une amie un peu sportive, mais aujourd'hui ... Ouais bon un petit coup sous l'eau me rafraîchira un peu les idées. On nageait un peu chacun de son côté sans pour autant s'éloigner trop l'un de l'autre. Mais je finis par céder le premier et me rapprocher encore plus d'elle. Je l'attrapais par la taille, ne la collant pas complètement contre moi, mais en la faisant doucement reculer, tout en lui disant J'avais jamais remarqué, mais t'as vraiment un corps de déesse. Je crois que j'étais bien trop omnibulé par le mien pour m'en rendre compte ! Je me mis à rire de mon égoïsme, de ma vantardise et surtout de mon besoin de plaire et d'être parfait. Elle ne m'avait jamais vraiment connu sous ce jour-là, et peut-être que ça ne la ferait pas rire ni même sourire, vu que c'était en partie à cause de ça qu'on ne s'était pas parlé depuis toutes ces années. On était arrivé au bord, et cette fois ci je ne me gênais pas de me coller à elle. Je l'embrassais une fois de plus, mais ne sachant pas retenir ma passion plus longtemps. Elle seule pouvait me mettre un frein. J'en mettais déjà des énormes, puisque j'aurais bien pris ses jambes pour les mettre autour de ma taille. Mais je savais que c'était bien trop pour elle. Il ne fallait surtout pas que je la brusque, ce n'était vraiment pas mon intension.

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Alexine avait toujours été amoureuse de Chris, mais n'avait jamais vraiment réalisé à quel point il l'attirait physiquement aussi. Elle ne l'avait jamais vraiment remarqué, elle n'était pas non plus de ces groupie à ce coller au mec comme un sangsue et trouver tout leur traits en détails, loin de là. Il lui lança un compliments et une vantardise, qui lui arracha un sourire et même un petit rire. Dis comme ça, ce n'était pas tellement désagréable, faudrait pas qu'il en fasse une maladie avec elle par contre. « C'est vrai quoi, tu passais tellement de temps à regarder ton joli nombril. » Elle lui fit un clin d'oeil, après tout, elle avait bien compris qu'il était assez narcissique, il l'était moins, avec elle en tout cas et il avait interet, parce qu'elle exploserait si non. Elle ne souleva pas vraiment le compliment à son égard, si Chris les prenait avec grande facilité, Alexine elle, ne savait pas vraiment comment le gérer. Chris et Elle avait finit par atteindre le bord de la piscine où il s'approcha d'elle et la colla au mur. Il l'embrassa, ardemment et elle ne l'arrêta pas. Sans trop savoir pourquoi, son cerveau aait fait comme si personne ne pouvait les voir et faudrait surtout pas qu'elle s'en rend eocmpte parce qu'elle finirait rouge comme une tomate. Elle se sentait bien dans les bras de Chris, entrain de l'embrasser, elle n'irait pas jusqu'à passer ses jambes autour de ses hanches, elle n'était pas prête, elle en avait envie, mais elle avait un certain blocage. Elle ressentait une drole de sensation dans son ventre qu'elle ne connaissait pas qui lui donnait envie de Chris, mais la petite fille qu'elle était inquiete et stressée repoussait tout au fin fond de l'univers... pour aujourd'hui. Elle continua d'embrasser Chris, étonnement, de plus en plus à l'aise, en quelque minute, à embrasser celui-ci.

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J'étais rassuré quand ma blonde prit bien le fait que je me la pétais encore un peu, en rajoutant une couche par la même occasion, et on s'était mis à rire ensemble, avant que je ne la coince contre la paroi de la piscine et l'embrasse bien plus intensément qu'il y a quelques minutes. Je n'arrivais pas à passer plus de cinq minutes sans la sentir, sans la toucher, sans l'embrasser, et heureusement pour moi elle ne me repoussait pas, bien que je sentais qu'elle n'était pas totalement détendue. Je ne savais pas si elle voulait en parler, à quelle vitesse elle voulait aller, et je me sentais un peu gêné de parler de ça tout de suite, surtout au grand public, même s'ils en avaient certainement plus rien à faire de nous. En même temps, je n'arrivais pas à voir si c'était le cas, j'étais bien trop obsédée par ma déesse qui se trouvait en face de moi. Je l'attrapais d'un coup, la faisant basculer sur le côté et la portant telle une princesse, avec un sourire en coin. Je marchais à peine pour ensuite lui dire J'ai le droit de te couler tout de suite ? Oui je préférais m'amuser comme on avait l'habitude de faire quand on était encore amis. Parce que pour moi, elle est surtout une amie, et c'est bien pratique quand je ne sais pas trop comment agir avec elle.

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Alexine avait bien compris que Chris ce la péterais surement pour toujours, elle ne le voyait pas devenir humble à cent pourcent et ne jamais se complimenter, apres tout, ça faisait un peu partit de son charme. Alexine ne se souciait pas des regards, qui de toute façon, avait finit par se détourner, après tout, des jeunes adultes qui s'embrassait dans une piscine n'avait rien de nouveau, surtout pas au summer camp. Elle restait un brin tendue, surtout par peur du futur, Alexine pensait trop, c'était bien connu, elle analysait toute les situation et les décortiquait, elle avait peur, bref, elle restait un brin tendue, mais appréciait quand même la situation. Elle ne savait pas trop comment parler de ce qu'elle voulait, elle qui était si timide, n'aborderait surement jamais le sujet, alors qu'elle le devrait. D'un coup elle se retrouva sur le coté dans les bras de Chris qui la menaçait de la faire couler. Elle lui fit une grimace qui se voulait menaçant, mais qui était plus mignonne qu'autre chose. « Essaye toujours ! » Alexine se débattit un peu pour tomber dans l'eau et retourna s'agripper au coup de Chris en se mettant sur son dos. Elle déposa un petit baiser dans son cou. « même pas euuuu » Elle ne se voyait pas essayer de couler Chris, clairement, elle n'en avait pas les force, mais elle pouvait bien le baver un peu, parce qu'il n,avait pas réussi à la couler elle, encore.

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