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Flynn & Wyatt - On est des adultes, on peut parler calmement.

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feat Flynn Հ On est des adultes, on peut parler calmement.
Vingt-deux heures. Allongé dans mon lit, je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Je remuais tellement que mes draps étaient à moitiés par terre. J’avais essayé de me coucher tôt pour me détendre et oublié le fait que j’avais merdé. Un mal de crane avait envahie ma tête et j’avais pris un cachet pour calmer la douleur, mais c’était trop tard. Comme tout ce que j’avais fait. J’agissais toujours trop tard. Ce qu’il me fallait, c’est de l’air frai. Je me levais et j’enfilais rapidement des vêtements. Je ne prenais même pas la peine de regarder ma tignasse. C’est ainsi, que je me retrouvais à déambuler dans les couloirs de l’hôtel. Il fallait que je sorte de là à tout prix, j’avais l’impression que j’allais exploser. Arrivé au rez-de-chaussée, je prenais la première à droite qui débouchait sur la terrasse de l’hôtel. Il y avait quasiment personne, car tout le monde était partis faire la fête en ville comme mes colocataires sans doute. Je commandais une eau gazeuse au bar de l’hôtel, puis, je m’installais à une table. Il faisait bon dehors et le ciel était dégagé. Apparemment, un autre gas avait eu besoin de prendre l’air, car pile en face de moi, un mec était assis à une table l’air aussi dépité.  


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feat Wyatt Հ Come on, dude !
L’on dit que les rêves peuvent parfois refléter notre état d’esprit. Qu’ils reflètent nos préoccupations, nos peurs, nos souvenirs, nos envies les plus profondes.  Je n’y ai jamais cru. Ce que je croyais n’était rien d’autre que ce que je voyais. Et j’assistais une fois de plus à mon réveil en nage, impuissant,  les souvenirs de mon dernier rêve étaient une nouvelle fois lacunaires, parfois inexistants. Assis sur mon lit, j’observais en boucle la décoration de ma chambre, les tableaux étaient hideux et la porte-fenêtre, à demie-ouverte. Je repoussais le drap qui me recouvrait et me levait avec paresse. Passant une main sur mon visage, je constatais peu après qu’il était près de vingt-deux heures. Je n’avais dormi qu’une heure, ayant décidé, pour je ne sais quelle raison, de me coucher tôt.  Enfilant un jean, un pull fin et des chaussures, je passais déterminé près d’un miroir devant lequel je m’arrêtais. J’étais pâle mais tout aussi rouge, l’air essoufflé, presque malade. Je répétais le même rêve inlassablement, pour me réveiller chaque nuit de la même manière. Je ne comprenais rien, dormait mal et était épuisé. Je décidais alors que prendre l’air frais de la nuit me ferais le plus grand bien. Ainsi, j’atterris près d’une machine à boisson, de laquelle je commandais un soda. L’ayant en main, je décidais de m’assoir dehors, à une table, seul. Enfin c’est ce que je cru durant un bref instant alors qu’une personne s’assit à une table en face de la mienne. Je le reconnu instinctivement, Wyatt. Je soupirai. Je n’avais vraiment pas la tête à discuter, ni à échanger des banalités. Je soupirai à nouveau alors que ma bouche s’ouvrait d’elle-même pour murmurer : « Et merde… »


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Le mec en question n’était nulle autre que Flynn. Oh non, pourquoi fallait que ça tombe à ce moment-là. J’étais épuisé et je me sentais tellement coupable par rapport à Feldt. Pendant un instant, je pensais être passé inaperçu. Malheureusement, je m’étais planté. Flynn m’avait repéré et déjà il lâchait quelques mots. Sans m’en rendre compte je fis la même chose. « C’est pas vrai… » Il y a quelques temps, j’aurais été heureux de le voir se tenir devant moi. Je serais donc allé le voir et on aurait bu quelques verres tout en déconnant sur n’importe quoi. Hélas, il avait foiré notre amitié en draguant une de mes ex-petites amies et en couchant avec. Oué rien que ça ! Après, il osait me dire qu’il n’avait jamais fait ça. Seulement, je n’étais pas dupe, même cette connasse avait avoué la vérité. Qu’elle n’avait pas voulu tout ça, mais c’était trop tard. Le mal était déjà fait. Je buvais une gorgée de ma boisson tout en essayant de faire abstraction de sa présence. Sauf que c’était impossible. C’était le genre de mec qui avait une grande bouche. Vous voyez ce que je veux dire ? « Ferme la bouche, tu vas gober des mouches. » Bon fallait bien faire bouger les choses, parce que le voir faire une fixette sur moi en ayant la bouche grande ouverte n’était pas très agréable. Il avait plus qu’à fermer la bouche pour éviter de gober les mouches.  


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feat Wyatt Հ Come on, dude !
Un long fleuve tranquille de juron vagabonda sans mon consentement dans ma tête. Des six milliard –et encore- de personnes présentes sur cette fichue planète, il avait fallu que ce soit Wyatt Guerin, l’abruti qui eut la bonne idée de se coller face à moi. Et dire qu’il ne manquait plus que ça. Je ne pouvais m’empêcher de le fixer, ne sachant pas vraiment déterminer si c’était de la colère que je ressentais ou tout simplement de la lassitude. Je n’avais absolument pas la force ni de m’énerver encore plus que je l’étais déjà ou de me prendre encore plus la tête pour des broutilles qui remontaient à Mathusalem. Je songeais rapidement à notre amitié qui avait été brisée à cause d’une nana. Si jamais je l’aurais su si jaloux et possessif envers ses ex-copines, je peux jurer devant ma future tombe, que je me serais jeter un gros sac de sel marin sur la tête plutôt que de m’approcher d’une de ses conquêtes et encore, si s’en était vraiment une. Il me fixa et vice versa. Personnellement, je n’étais pas du genre à reculer devant un obstacle ni encore moins fuir, parce que je me retrouvais devant une personne que je ne voulais plus voir et même si techniquement, j’étais plus que crevé, et qu’accessoirement j’étais tenté de me barrer, je décidais de rester à ma place. Soudainement, je l’entendis me sortir une réplique que je jugeais enfantine, digne d’un gosse de six ans. Me passant une main sur le visage, qui démontrait tout simplement le fait que je sois blasé. J’eus une de ces mimiques (cf: signature) dont moi seul avait le secret et décidais de répondre sur le même ton : « Excuses-moi, je constate que ta bouche s’ouvre et remue, malheureusement je ne comprends pas un seul mot. Je ne parle pas le langage des imbéciles et de tout ce qui s’y ressemble. »


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Pourquoi lui ? Je voulais juste prendre l’air et me détendre, mais je savais qu’avec Flynn dans les parages, c’était quasi impossible. Je lui avais dit de fermer sa bouche avant qu’il ne gobe des mouches et voilà ce qu’il me répondait : « Excuses-moi, je constate que ta bouche s’ouvre et remue, malheureusement je ne comprends pas un seul mot. Je ne parle pas le langage des imbéciles et de tout ce qui s’y ressemble. » C’était tout ce qu’il avait à m’offrir ? Je l’avais connu avec une meilleure réparti. Comme quoi les gens changent. « La preuve que si, tu me parle toujours. » Un sourire moqueur apparaissait sur mon visage. « Faut te renouveler un peu, tu te fais vieux mon gas. » Je n’avais pas pu m’en empêcher. Avant toutes ses histoires, j’avais toujours considéré Flynn comme un très bon ami. Malheureusement, il m’avait déçu en agissant ainsi avec mon ex-copine. Les femmes et l’amitié des hommes, ne faisaient pas bon ménage. Il continuait de me fixer. A croire qu’il ne pouvait pas se passer de moi (a). Je tentais de le snober tant bien que mal, mais c’était difficile. Pourquoi ? Regardez-le une minute. Il prend toujours des expressions étranges qui me font rire. Un comique dans l’âme, je vous dis ! 


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« La preuve que si, tu me parle toujours. » La preuve de rien du tout, je lui avais simplement dit que je ne le comprenais pas. Ça réplique m’arracha un soupir. Wyatt restait…Wyatt. Il ne changeait pas, se jugeant supérieur aux autres. Du moins, c’est l’impression qu’il donnait lorsqu’il parlait. Je le fixais toujours alors qu’il enchainait : « Faut te renouveler un peu, tu te fais vieux mon gars. » Vieux ? Aussi vieux que lui, de ça j’en étais certain. Il me donnait l’impression de vouloir faire le malin afin de se distinguer de ma personne, ce qui me fit lever les yeux au ciel. Décidément, il avait envie de me parler, car si jamais cela n’avait pas été le cas, il n’aurait jamais commencé à me lancer des piques dignes d’un collégien blessé dans son amour-propre. Je pris la canette que j’avais été me chercher un peu plus tôt et la fis rouler entre mes doigts, baissant finalement le regard. Vu qu’il me parlait, ne pas répondre aurait été de mauvaise éducation, n’est-ce pas ? « C’est lamentable… » Il me dégoûtait presque. J’étais là, assis tranquille, essayant de me rappeler ces rêves qui me privait d’un sommeil paisible et il osait me déranger dans toute sa splendeur. « Et toi, tu devrais un peu renouveler ta collection de répliques.» La répétition n’était pas une forme de répartie, mais qu’en savait-il ? Toujours les yeux posés sur ma cannette, j’haussais les sourcils tout en demandant : « Qu’est-ce que tu veux, Wyatt ? » Je découvrais que finalement, je n’avais très envie de le savoir. « Allez t'inquiètes pas va, je ne compte pas te faire chier. »


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Lamentable ? Je lâchais un ricanement. Si j’étais lamentable, lui il n’était pas mieux. Flynn ne put s’empêcher de me sortir une dernière vanne. Je ne relevais même pas. J’étais fatigué et je ne demandais qu’une chose : me détendre. Il ne me regardait même pas dans les yeux. C’est pour dire. A croire que sa cannette était le saint graal. Il me demandait ce que je voulais. Inutile de le préciser. Je voulais juste me reposer et faire abstraction de sa présence. Flynn ne me laissait même pas répondre. Il abandonnait déjà. Comme toujours soit dit en passant. Je répondais d’une voix lasse, sauf, que je le regardais droit dans les yeux. « Tu vois, le problème avec toi est que tu abandonnes trop vite. » Je ne lui laissais pas le temps d’en placer une. Pour une fois, il allait m’écouter. « Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Je suis venue ici pour me détendre. C’est ce que j’espérais avant de tomber sur toi. Au lieu de ça t’es resté fiché comme un grand dadet. Alors que t’aurais très bien pu m’ignorer. » J’avais été sérieux, mais je ne savais pas si j’allais le resté longtemps. Vu qu’il ne comprenait jamais rien. Je m’en étais rendu compte lors de notre dernière dispute. « Je vais finir par croire que tu ne peux plus te passer de moi. » Je ricanais doucement. Je détestais Flynn et ça depuis cette histoire avec une nana. Oué, à une époque je l’avais adoré, mais maintenant tout ce que je voulais, c’était l’oublier.  


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J’hallucinais. J’avais peine à croire que Wyatt Guerin restait face à moi et qu’il prenait la peine de se justifier par n’importe quel moyen. L’entendre ricaner sonnait à mes oreilles comme la pire musique jamais entendu. Je le vis me répondre avec lassitude, me regardant néanmoins, droit dans les yeux : « Tu vois, le problème avec toi est que tu abandonnes trop vite. » Peut-être. Surtout avec ceux qui n’en valait pas la peine.  Il enchaina : « Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Je suis venue ici pour me détendre. C’est ce que j’espérais avant de tomber sur toi. Au lieu de ça t’es resté fiché comme un grand dadet. Alors que t’aurais très bien pu m’ignorer. » J’hallucinais encore plus alors que c’était qui avait commencé à me parler. Ce mec me donnait carrément envie de me lever pour lui coller ma cannette là où je pensais. Mais ce ne fut pas tout : « Je vais finir par croire que tu ne peux plus te passer de moi. » Ce fut le pompon. Je réprimais l’envie salace de rire. Moi ne plus pouvoir me passer de lui ? Si tout ce que je demandais était qu’il aille se noyer dans la mer. « Tu espérais te détendre ? » J’eus un haussement de sourcils et d’épaules entremêlés. « Moi  j’espérais que tu fasses demi-tour et ne fermes ta gueule en me voyant, mais on n’a pas toujours ce qu'on veut. » Je n’avais même plus la foi de rester poli alors que lui n’avait pas encore dépassé les bornes. S’il advenait à me sortir qu’il avait plus d’éducation que moi, je finirai par lui rire au nez. Je finissais par lui dégoter un regard noir, car dans ma tête, il se pendait déjà au bout d’une corde. « Mais ne t’en fais pas, on se passe de toi avec une certaine facilité désarmante. » Je ponctuais mes dernières paroles d’un clin d’œil.



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« Moi, j’espérais que tu fasses demi-tour et ne fermes ta gueule en me voyant, mais on n’a pas toujours ce qu'on veut. » J’arquais un sourcil. Faire demi-tour, parce qu’il était là ? Il se mettait le doigt dans l’œil celui-là. Puis, l’entendre me parler en employant des insultes me rendait si lasse. Il ne pouvait pas se défendre sans être mal polie ou quoi ? « Encore des insultes…pathétique. » Je n’allais pas bouger d’un poil pour sa tronche. Il me prenait pour qui ? Flynn me jetait un regard noir. Je n’y prêtais pas attention. Je n’avais pas envie de me battre ce soir. « Mais ne t’en fais pas, on se passe de toi avec une certaine facilité désarmante. » Laissez-moi rire. Avec une facilité désarmante ? S’il pouvait se passer de moi, pourquoi il prenait la peine de me parler ? C’était du grand n’importe quoi. « On ? Parce que vous êtes plusieurs là-dedans. » D’un regard, je montrais le haut de son crâne. Le titiller avec les mots m’amusaient, parce que c’était avec lui. Il prenait des grands airs et employait des grands mots, mais dans la cervelle y avait rien. C’était juste de l’apparat. « Oh puis arrête avec tes grands airs. Tu me fais pitié. Tu me fais perdre mon temps à la ramener. Passe à autre chose et oublie moi, ça me fera des vacances. » J’avais pas envie de me prendre la tête ce soir. Non, j’avais trop de truc en tête comme le fait que j’avais trompé ma petite amie.  


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« Encore des insultes…pathétique. » Sa réponse m’arracha un soupir. Je ne lui narrais pas des insultes, je lui disais juste de fermer sa gueule. Implicitement, j’entends. Mais apparemment, lui n’en avais rien compris. « On ? Parce que vous êtes plusieurs là-dedans. » Ben ouais, moi, mon égo et mon envie de lui dire d’aller se faire foutre. Je le fixais toujours, alors qu’un sourire apparaissait sur mon visage. Il se trouvait vraiment intéressant, c’était indéniable. « Oh puis arrête avec tes grands airs. Tu me fais pitié. Tu me fais perdre mon temps à la ramener. Passe à autre chose et oublie moi, ça me fera des vacances. » Ben tiens. Il devait certainement avoir des problèmes, sinon il n’aurait probablement pas prit la peine de me répondre. Le fait de savoir qu’il avait peut-être des problèmes, me réjouit quelque peu, et pourtant, je n’étais pas du genre à me réjouir du malheur des autres, mais lui, c’était autre chose. Je songeais vraiment qu’il fallait que je le remette à sa place, sans avoir recours aux mains. « Te faire perdre ton temps à la ramener ? » J’eus un bref rire. « Pauvre chose ! Mais mec, c’est toi qui as commencé. Tu t’es assis et à ouvert ta gueule expressément pour t’affirmer. » J’hochais la tête sur le côté et le fixais ainsi, et repris tout aussi vite. « T’aurais tout aussi bien pu faire abstraction de ma personne, même si je te fixais, mais t’es pas assez fort pour ça, il a fallu que tu l’ouvres ! » L’accuser d’avoir commencé en premier me faisait passer pour un éléve de primaire, mais je m’en fichais. Je remis ma tête bien en place et le fixais assez méchamment car il me tapait très franchement sur le système nerveux. « Alors arrêtes de te la ramener et fous-moi la paix. Pitié ou pas pitié, je t’en serais éternellement reconnaissant si tu le faisais. » J’avais envie de ponctuer mes paroles de ouistiti, banane ou du gland mais décidais de boire une gorgée de mon soda et de détourner le regard de sa personne, décidé à oublier qu’il était là.



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