I can't help it I like to party It's genetic ~Pv DaDam

Sven détestait toujours les conversations du genre avec sa famille, parce qu'étant fils unique, forcément, ils prenaient soin de lui un peu trop. Après tout c'était leurs "bout de chou" leur "bébé" et il était le seul, alors forcément.. Et puis quand on ne fait  pas de bonnes choses, forcément les gens qui nous aiment s'inquiètent, et là ils avaient atteint un niveau qui troublait assez sven, et ça se comptait sur les doigts de la mains les fois où il faisait ce que la normalité et la raison lui disait de faire. Aussi une fois qu'il eut rendu le téléphone à Adam, il tenta, tant bien que mal de cacher ses sentiments qui le dérangeait. Faire la fête, et agir comme un con ça ne le gênait pas, mais le reste l’embarrassait plus que si il se mettait nu devant des illustres inconnus. La réponse d'Adam qui se voulait amusante, ne lui tira qu'un vague sourire froid et absent tandis qu'il répondait.

Tu peux même prendre le double en faite.

Sven Alcoolique? Oh ben c'était pas vraiment étonnant, vu comme il se mettait un peu la tête à l'envers tout les soirs, et puis même quand il 'ny avait pas de fête, parfois il avait juste besoin de pouvoir "oublier". Et c'était comme ça que ça marchait. Il se laissa faire sur le moment pour aller à l'ambulance, mais il avait vraiment l'air d'un chien qu'on emmenait à la mort. POurquoi? Parce qu'il allait entendre des médecins lui dire que l'alcool c'était mal, qu'il devrait consulter pour arrêter de boire, et qu'ils allaient encore lui sortirent des trucs qu'ils savaient déjà, qu'ils allaient mettre ça dans leurs dossier, et quand ils verront le contenu de son dossier, ils allaient faire un bond, comme toujours. Et ça le fatiguait. Il laissa l'ambulancier le mettre sur la civière, et s'occuper de lui, comme si il avait 5 ans, tandis qu'il essayait de regarder le vague, évitant Adam, l'ambulancier et ne répondant à aucunes questions. Pour lui c'était encore une autre preuve de son incapacité à vivre... dur la vie quand on a des énormes casseroles et une proportion à l'auto flagellation assez grande... Il s'excuserait bien envers Adam de l'entraîner là dedans, mais il ne pouvait même plus supporter le son de sa propre voix. Ouais en piteuse état le petit gars.

Même si j'étais pas vraiment se qu'on pouvait appelé un gayard tenant l'alcool, j'aimais tout de même créer des petit cocktail grâce a mon nez et mon gout développé et très fin dût au goût de la nourriture qu'on me faisait mangé chez mois. Alors quo de plus normal d'avoir quelques bouteille d'alcool avec soi ? Bin dit comme ça c'est assez étrange en faite... Mais pour certain harvardien c'était la routine donc. Bref j'avais emmené la bois dormante avec moi dans l'ambulance, et je ne l’appelle pas comme ça car il dormait, non, mais il restait bizarrement silencieux regardant le plafond sans répondre a aucune des questions de l'ambulancier inquiet, celui ci me demandais si celui si étais sourd ou quoi que ce soit et je lui répondis négativement : "il sait utiliser sa langue. J'en est eu les prouesse ce soir" et ouais l'alcool ça fait dire des bêtises, beaucoup dans certains cas. Je prenais le main qui pendouillait dans le vide et lui caressais tout en essayant un quelques conque contact visuel : l'homme que j'avais rencontré en début de soirée était sur de lui et puait la confiance en soit maintenant j'avais l'impression d'être avec un enfant perdue dans ses pensé farfelue et completement désemparer voir vulnérable. Nous arrivions enfin à l'hôpital et on me demandais d'attendre dans une des chambres où Sven serait installé pour la nuit, une des infirmières m'indiqua le chemin et je me retrouvais dans une chambres individuel (un luxe) avec des drap blanc immaculé comme le reste de la piece sauf un fauteuil en cuir couleur chocolat était dans un coin au près du lit, pour les visiteur sans doute. Je m'y installais et lisais quelques magazine mais apres une heures j'avais fait tout le stock je soupirais et regardais l'horloge qui malgré le tic tac ma endormis et dans mon sommeille je commençais à baragouiner un prénoms : Sven

Sven ne se sentait vraiment pas bien. Oh physiquement ça allait, c'était mentalement que le temps s'était assombrit. Il avait fait comme d'habitude, n'importe quoi, seulement là ça ne l'avait pas amusé du tout. L'ambulance ça l'amusait pas. Devoir y aller ça l'amusait pas. Entendre la voix de ses parents comme ça, c'était pire que tout.  Alors oui il refusait de parler, il ne voulait pas, de toute façon l'hôpital le faisait plus chier qu'autre chose, et rien ne lui rendrait Julia. Parce que c'était ça son problème, la vie de Julia, puisqu'elle était morte à cause de lui, et ça il ne s'en était jamais remis et se punissait pour tout ce qu'il lui avait fait endurer. Peu importait le prestige de son université, de ses parents, ou ses possibilités, quand on parlait de lui, c'était "Le junki alcoolique" et c'était tout ce que les gens retenaient. Rien de plus. Et ça lui allait très bien... Seulement ce soir, ce n'était plus pareille. Ce mec lui avait sauvé la vie. Et pour ça Sven était mort de honte. Mort de honte que quelqu'un ai pu s'occuper de l'épave qu'il était, et que lui n'ai rien pu faire le jour de cet attentat pour la sauver elle.
Il n'écoutait même plus ce que les gens se disaient. Il était dans son monde, dans sa souffrance intérieure; ses beaux et magnifiques tourments qui ne le quittaient jamais bien longtemps, malgré tout ses efforts avec la drogue et l'alcool, ça revenait toujours. Alors il ne sentit pas arriver à l'hôpital, et subit gentiment tout les examens, du moins au début, parce qu'un homme ne tarda pas à arriver pour s'occuper de lui. Cet homme? Son avocat. Comme beaucoup le charriait "sa nounou" et ils n'avaient pas torts. Ses parents l'avaient appelé dès qu'ils avaient raccroché avec Sven. Parce qu'ils étaient inquiets, donc son Avocat avait dû se déplacer pour lui. Son avocat s'occupa de répondre aux questions des médecins, de s'inquiéter pour lui de son état, et des papiers administratifs, des trucs à payer ou je ne sais quoi. Sven restait sagement planté là où on le mettait, sans dire le moindre mot. Seulement, son Avocat savait combien Sven ne voudrait pas rester ici cette nuit, aussi, il s'occupa des papiers pour le faire sortir de l'hôpital. Sven écrivit sur un bout de papier un mot à l'attention d'Adam, et son avocat se chargea de trouver quelqu'un pour le remette à Adam, puisqu'il l'embarquait déjà hors de l'hôpital dans sa voiture pour l'emmener dans un hotel autre que celui des gens de Harvard, histoire qu'il se repose et que personne ne viennent le chercher.
Quelques temps après que Adam se soit endormit sûrement, une personne vint toquer à sa porte, et entra avec un message disant en tout et pour tout Merci pour tes bouteilles, désolé de pas les avoir bu. Sven-Eirik..
Voilà comment se passa la nuit de Sven.