I can't help it I like to party It's genetic ~Pv DaDam

Sven était là pour s'amuser, et il avait un peu but. Il était bien parti c'est un fait, mais il était pas encore totalement déchiré au point d'oublier tout, ou d'avoir la nausée. Non pas encore. Le fait est qu'il n'avait pas l'impression d'être méchant, mais bon Sven était pas non plus un ange. Il en était même le plus éloigné qui puisse exister, sans rentré dans la catégorie "monstre psychopathe". Il avait dit ce qu'il avait à dire, et il était toujours sincère sur son ressentit envers les gens, même si ... Par moment il mentait sur son passé, sur des choses propres à lui, il disait ce qu'il pensait, et là il voulait pas qu'on le sépare de sa bouteille. On aurait pu le prendre pour un SDF alcoolo avec sa façon d'agir, et on aurait pas été si loin.
Le mec le prit mal, bon tant pis pour lui. Sven ne courrait pas après les gens, surtout pas pour s'excuser, déjà parce qu'il était rare qu'il le fasse, et ensuite, s'excuse de quoi? D'avoir dit ce qu'il pensait? DE la façon dont il l'avait fait? Désolé mais pour ça il aurait fallut que Sven soit en proie à ses démons, et là l'alcool contrôlait totalement ses veines, pas de remord, pas de doutes, pas de vulnérabilité qui se montrait, parce que la vérité, c'est qu'il voulait absolument faire taire tout ça. Alors il entra dans l'eau comme les autres, elle était douce, agréable, Sven aimait cette sensation de flotter, sans se soucier de quoi que ce soit, mais ça lui rappelait un peu trop des moments avec elle, alors il s'empressa de boire un peu sa bouteille, histoire de remonter son alcool et d'oublier tout ses vilains souvenir qui remontait. Sauf que Sven, était Sven. Faire comme le monde était un peu trop chiant pour lui. Sauf que boire dans la mer, était pas une excellente idée, parce que le blond ferma les yeux, trop d'alcool c'était un peu comme la drogue, ça le détendait, et il arrivait à s'endormir tranquillement sans penser à elle. Et ce fut un peu ce qui arriva. Le blond ne se sentit même pas oublier où il était et partir légèrement. Partir, comment? Simple, il était entrain de se noyer, sans vraiment faire attention, parce que le blond était un peu trop con quand il s'y mettait, il flottait plus trop, et ses petits poumons de blond alcoolique se remplissait d'eau, c'était comme s'endormir... (en ronflant vu les bruits qu'il semblait faire XD) Mais c'est pas pour autant que choupi semblait "être conscient"... La connerie tue, et Sven en tenait une bonne couche... AIE.

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J'avais beau être vexée j'arrivais pas a détaché mon regard du blond norvégiens qui avait décidé de boire en nageant : ce n’était pas vraiment prudent mais bon. Je detournais mon regard lorsque je sentis une main sur mon epaule je me retournais et vis un jeune homme brun au yeux bleu attirant a vrai dire me parler avec sérieux «Laisse tombé le blondinet te remarque pas... Moi par contre.» il est vrai qu'il avait l'air fort intéressé par mon petit show plus tôt dans la soirée et j'ai remarqué plusieurs fois que le jeune homme me regardait souvent. Je plaisantais en lui demandant si il était jaloux et celui ci me fit un sourire énigmatique en se collant a moi : « Peut être... Mais vous m'avez excité avec le petit blond avec vos bisoux hot. » il y avait eu qu'un seul baisé et celui ci avait là juste pour me montré de quoi il était capable. Je me lechait les levres mais voulus le regarde une dernière fois mais il y avait un problème : il était plus là. Je regardais un peu partout mais ne le vis pas : était t-il remonté ? Pourquoi mon coeur battait à la chamade alors que je le connaissais pas ? Je vis une bouteille bière flotté et ce fut le declic. Je pris une grande respiration avant de m'enfoncé dans la mer sombre je voyais légèrement flou mais grâce a mes lentilles de contact j'arrivais a voir une silhouette s'enfoncer dans l'eau et c'était lui, inconscient. Je le remontais a la surface devant les regard horrifié des autres, je remontais sur le sable et le posais au sol doucement ne sachant pas trop quoi faire je demandais un miroir dans la salle et une fille rousse m'en tendis un . Aucun brouillard si mettais, il en respirais plus. J'entrepris un massage cardiaque et pendant de longue bonne minute pendant que les autres appelait les autorité compétente. Je devais lui faire du bouche à bouche j’hésitais un instant mais voyant que le coeur ne repartais pas j'appliquais le protocole et plaquais mes levres au sienne.

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Sven était pas doué, pas prudent, ne faisait jamais que ce qui lui passait dans la tête, à l'instant que ça lui passait. Et tant pis si ça le mettait en danger, de toute façon les trois quart du temps il ne faisait pas attention à sa sécurité, comme toujours, a cause de la drogue, ou de son degré d'alcool. Cette fois-ci il n'avait pas fait exprès, et puis bon, les choses l'avaient entraînée un peu plus loin que ce qu'il aurait imaginé. Boire la tasse, être sonné, voilà ce qu'il pensait arrivé. Mais bon. Le trou noir et paf d'un coup il était sur le sable de la plage, du moins c'est ce qu'il se dit, vu qu'il se sentait collé de partout à la peau, il était revenu à lui parce que, franchement le bouche à bouche et le pessage de côtes c'était pas agréable de trop. Il fit comme toujours on fait, d'un coup on pousse plus ou moins la personne, et on... Regurgite de l'eau. Parce que ouais les poumons ça marche mieux avec de l'air. Il se releva légèrement, juste pour s'asseoir et scruta les alentours. Le mec de toute à l'heure était là, et tout plein de gens qui le regardait bizarrement, aussi il glissa au brun.

Pourquoi on me regarde comme si j'avais violé une gamine là?

Le vrai Sven était plus ou moins de retour. Il regarda ses mains, ça semblait correcte, pas de vision flou, il s'était bien exprimé, mais il ajouta quand même.

Je m'appelle Sven-Eirik Claes Solheim, née le 17 juillet 1991. Etudiant en Astronomie, et super trop mignon.... Il marqua une pause, et reprit toujours plus pour lui-même qu'autre choseOk.. tout va bien. Je vais bien...

Et là il se mit à regarder le brun d'une façon perçante, et insistante. Comme on regarde un rat de laboratoire en se demandant quoi en penser, exactement pareil. Le vrai Sven sobre revenait, et cette vulnérabilité qu'il détestait était aussi présente... Il se sentait honteux, vraiment honteux, et ne soutint absolument aucun regard. Tout l'inverse d'avant...

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Il se mit de côté pour expulsé l'eau de ses poumon, je soufflais de joie. J'ai cru que j'allais explosé de crie d’hystérie en lui gueulant dessus que j'avais raison et que c'était un inconscient mais lorsque je les entendus dire une connerie avec son air vulnérable je lui souri et lui dire un peu sèchement : «Tu a bue deux bon litre d'eau. Putain tu ma fais peur espece de con! Tu te rend pas compte de ce que tu fait non ? Je t'avais prévenue que boire en nageant c'est pas l'bon mélange ! Ta faillis mourir ! » . P*tain il respirais regardais un peu partout d'un air éberluer mais ça avait l'air d'aller. Je décollais mon visage du siens et lui demande quelques information sur lui et il me répondit sans problème avec même une pointe d'humour. Je lui sourie et lui caressais les cheveux doucement en en rassurent je soupirais de soulagement et l'interdisait de la main de bougé, on ne sait jamais avec lui je le regardais dans les yeux sans dire un mot, que dire de tout façon il allait surement m'envoyer boulée pour les gestes de gentillesse et tout ça !

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Sven était fragile, et il devait bien avoué qu'il détestait réellement ce genre de situation, il détestait tout. Lui pour se mettre en danger, Adam pour l'avoir sauvé, parce qu'au fond, peut être bien que Sven était un peu suicidaire, oui peut être. Adam pour s'en être inquiété, et puis, lui, parce que franchement ça n'avait rien de glorieux, rien de prestigieux cette façon là de mourir. Il sortit tout l'eau qu'il pouvait, pour être sûr d'être à sec, mais c'était tellement désagréable comme sensation dans la gorge, tellement horrible l'eau salé. Et puis sa façon de lui faire la moral, comme si c'était un gamin, comme si il était elle, c'était désagréable, vraiment, désagréable. Sven était vraiment très mal à l'aise, et dans ses moments là il fallait qu'il fasse une connerie, ou dise une connerie, pour "reprendre le contrôle". Peut être que finalement il aurait dû accepté d'aller chez un psy. Sven repoussa la mains d'Adam de ses cheveux, ils avaient vraiment rien de sexy tout tremper là, faut pas déconner. Et il lui dit alors mi-sérieux, mi-déconneur.

Si tu voulais m'embrasses t'avais qu'à demander. T'as du me péter une côte là...

Sven déconnait pour la côte, parce qu'il ressentait absolument rien du tout, et comme il s'était déjà fait grave tabassé il se souvenait ce que ça lui faisait. Mais Sven était Sven, et il était rare qu'il ne fasse rien de stupide, aussi, à peine eut-il finit sa phrase, qu'il posa ses lèvres sur celle d'Adam seulement, dans un petit baiser chaste, parce que oui Sven était pas QUE un gros pervers aussi. Mais ça c'était rare je l'avoue. Il s'écarta du garçon, revenant à sa place, et ajouta alors.

J'imagine que t'as appelé la cavalerie? Ils vont passer trois plombs à me regarder dans les sens, t'es pas drôle franchement...

Sven râla seulement parce qu'il venait de penser que son portable était mort. Oui les téléphones aiment rarement l'eau, et qu'il allait encore devoir claquer du fric et du temps pour en racheter un. Bref la loose total.

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J'avais al mauvaise habitude a faire des câlins a tout le monde. Sauf biens ûr avec les personnes les personnes qui le traitais comme de la sous me*de mais heureusement ce n'était pas souvent dans ma vie. Je posais ma main dans le sable lorsqu'il me repoussait en me giflant avec la sienne et je me mis en tailleur poour le regardé, il avait l'air enormemant troublé et je n'arrivais pas a savoir pourquoi je lui souri et lui d'un ton moqueur « Tes une énigme a toi tout seul, tu le sais ça ? je lui sourie encore plus lorsque qui me baragouinais quelques chose sur ses côtes, ah oups j'ai été peut être un peu fort dés...» je ressentis ses levres sur les miennes j'y répondis par pur réflexe, il était moins animal que le dernier un peu comme un "merci" il se decallait et mis un peu du temps a réalisée et me remis a rire « Tes pas croyable... Bien sûr que j'ai appelés la cavalerie, tu crois quoi ! tu respirais plus ! Heureusement que j'ai fais un stage pour ce genre de situation. Et evites de bouger s'il te plait, on ne c'est jamais si je t'est vraiment cassé une côte hein» je lui passais de l'eau dont j'avais bu deux ou trois gorgée. La fête se repris un peu plus calmement, l'alcool coulait moins a flot, la musique était moins forte.

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Sven était Sven. Rien n'était facile quand il s'agissait de lui parce que tout était si différent, prit le cul entre deux chaises, entre mensonges et vérités, entre la vie qu'il avait et celle qu'il prétendait avoir eut, rien n'était vraiment sûr avec lui. Tout ce qu'il savait c'est que la culpabilité le poussait à faire des choses stupides, et qu'il ne supportait plus cette voix dans sa tête. PArfois il priait pour qu'elle disparaisse, pour que cette raison, s'en aille, qu'il ne ressente plus rien envers personnes, que sa moral s'envole, et qu'il devienne un psychopathe (caractérisé par un comportement antisocial, d'un manque de remords et un manque de « comportements humains » ). Mais il ne l'était pas. Il écouta tout ce que Adam disait, même si il ne répondait pas forcément sur le moment, parce qu'il fallait avoué que parfois Sven préférait l'esquive au mensonge. Il l'avait embrassé, et d'un coup Adam se mit à rire, sûrement parce que Sven était bizarre, mais sa réponse le fit à moitié sourire. Lâchant un soupir, il lui dit.

J'ai rien de cassé, crois-moi je le sentirais si t'avais péter une côte, je sais ce que ça fait...

Sven se sentait vraiment mal en ce moment. A vrai dire, une petite dose, ou même à nouveau de l'alcool lui ferait oublier, seulement, il entendait déjà les ambulances, et il ne voulait absolument pas aller à l'hôpital. Et il n'irait pas. Si c'était stupide? Sûrement. Comme toujours, seulement Sven était Sven. Il ne voulait pas que les gens se rendent compte, ou ne saches ce qui s'était passé. Aussi, malgré ce que Adam disait, il se leva, il faillit tomber, il se retint sur Adam, ben à défaut d'un arbre dans le coin, ou du pierre, quoi que ce soit, et il lui dit.

Désolé. Non. Pas l'hôpital... Il faut que je parte.

Sven marchait en titubant, pas parce qu'il était encore bourré, mais parce que son équilibre laissait vraiment à désiré.. Mais il ne voulait pas rester, et puis il voulait trouver un téléphone... Il fallait qu'il passe un appel de façon urgente, aussi il regarda Adam, même si il s'était éloigné de quelques pas, et il lui dit alors.

Tu sais si y'a une cabine dans le coin? Faut que j'appelle quelqu'un..

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J'aurais jamais cru que la soirée aller tourner dans un tel désastre. J'étais encore sous le choc de ce que j'avais fais : tout c'était passer si vite que j'ai cru que c'était un autre être, qui utilisait mes main a travers mon corps. Mais c'est donc rapidement que la gêne s'installais entre Sven et moi, j'essayais de le laissé couché le temps que l'ambulance arrive mais c'était peine perdue : il arretais pas de gigoter se plaignant que j'y avais été trop fort a son gout... Je me mis a sourire mais il s’effaçait lorsque je vis le teint de Sven livide au mot " hôpital" je pensais pas qu'il avait peur des médecin ou des piqûres mais je lui frottait l'épaule avant de lui dire d'un ton rassurant « Oh que si que tu va y aller ! Je t'accompagnerais si tu veux. J'aurais peur que tu refasses une crise et qu'il y ai personne pour te réveiller. » mais celui ci essayais de ce levée en prenant appuit sur moi malgré mon regard qui voulais dire ne-fait-surtout-pas-ça je soupirais et lui tendais mon téléphone portable et le fit rasseoir en tailleur et lui demandais si je devais partir durant la discussion ou si cela ne le dérangeait pas que je reste au pres de lui. J'avais demandé d'appelé les médecins depuis quelques minute et ils n'allaient pas tardé a arrivé pour faire des examens voir si tout allais bien.

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La soirée ne s'était pas vraiment déroulée comme Sven aurait aimé. Avoir faillit se noyer, devoir la vie à quelqu'un, voilà ce qui le rendait encore plus déprimé et renfermé qu'à l'habitude. Personne n'avait jamais dit que Sven était un mec facile, et qui se livrait comme tout le monde. Oh que non. Mentir, éviter d'avoir à affronter ses démons, et masquer leurs présences, voilà ce qui était ces principaux projets dans la vie de tous les jours. Seulement voilà, il voulait s'en aller, et ce mec le saoulais avec l'hôpital. Il ne savait pas à qui il avait affaire, et croyez-moi que Sven pouvait être pire qu'une pourriture quand il le voulait, et il était hors de question que l'hôpital soit sa résidence pour les prochaines heures! Il répondit sobrement au mec.

C'est bien de rêver. J'irais pas, et tu me forceras pas. Je vais très bien, et pis quelle crise hein? J'étais trop bourrée, dans la mer, point barre. Je suis con c'est mon seul crime. Merci.

Néanmoins le mec lui tendit son téléphone portable, et à la question si il devait rester, Sven haussa les épaules en ajoutant.

Fais comme tu veux.

Il composa le numéro de son père, même si il se doutait qu'il allait le dire à sa mère, et qu'elle allait encore se mettre à pleurer, comme toujours... Il mit le téléphone près de son oreille, et une fois qu'il eut son père à l'autre bout, il l'informa, comme on parle de la pluie et du beau temps, qu'il avait faillit se noyé, qu'il était sûrement encore bourré, mais que malgré l'ambulance qu'un mec avait appelé, il n'irait pas à l'hôpital, et sur la fin, Sven semblait encore plus abattu qu'au début, mais il raccrocha, rendant son téléphone à Adam et lui dit.

D'accord, je veux bien y aller, si tu amènes de quoi boire là-bas... Parce que je sais comment ça va se passer, et je pourrais pas le supporter si je suis pas saoul....

Sans triche, sans sourire, sans fourberie. Voilà une négociation bien loin des habitudes de Sven. Il avait encore entendu sa mère en fond en train de pleurer, et puis même si son père pouvait être presque aussi froid qu'un avocat, il y avait eut ce léger quelques choses dans sa voix, il s’inquiétait. Encore plus que quand Sven était à la maison, parce qu'au moins, quand c'était le cas, un policier le ramenait, ou un médecin leurs téléphonait et ils pouvaient être à ses côtés, le voir, être sur que tout allait bien, et après s'en aller, comme toujours, tâchant de ne pas montrer à quel point son comportement leurs faisaient du mal, mais c'était Sven... Et il souffrait.

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Je restais donc a l’écart pour ne pas entendre la discussion privé mais assez pour sentir le malaise de Sven s'installé dans ses yeux. Je ne voulais pas avior l'air de prendre trop de place et essayait de regardé ailleur. Le juene homme qui avait essayer de m'allumer me regardais toujours avec gourmandise : ça devenait réellement gênant là. Je détournais les yeux même si un lège frisson me parcourais l’échine à la seul pensé que quelqu'un me regardais. J'arrivais pourtant a me concentrée lorsque Sven me tendis mon telephone que je rangea rapidement et souri a son dilemne pour aller à l'hôpital et sortis de mon sac une tequilla et un wisky irlandais et luid it en le taquinant «tiens ça te va ça ? Ou je prend quelques bière en plus ?» et un homme d'une trentaine d'anné vint dans ma direction en etant en tenue ambulancière et me demandais si je pouvais emmené Sven dans le camion car ne pouvait pas venir jusqu'à lui a cause du sable et que sven ne devait pas marché, je lui souri et portai sur mon dos délicatement pour le posée dans la camion. Je demandais si je pouvais venir l'ambulancier hésitais mais acceptais finalement.

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