Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityUn voyage-surprise qui réserve plus d'une surprise... [Lukassa]
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Un voyage-surprise qui réserve plus d'une surprise... [Lukassa]

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J'étais tellement excité. Excité d'aller te retrouver, et de ce sortir de ce trou qu'est l'hôpital. T'en avais besoin, je le savais depuis le moment où je t'avais entendu me supplier de te sortir de là. J'en avais pas vraiment eu l'occasion, sinon ça aurait probablement été très néfaste pour toi, qui était branché sur toutes sortes de machines, mais ça aurait été probablement considéré comme un kidnappage, aussi. Enfin bref, j'étais devant l'hôpital, faisant les cent pas devant la grande porte principale, t'attendant à présent depuis une quinzaine de minutes, si ce n'est pas plus. Tu devais sortir aujourd'hui, et j'avais si hâte de te revoir en forme. De te retrouver, toi, ton odeur, ton visage, ton sourire. Je m'étais promis de ne plus te faire de mal avec cette jalousie qui me tenaillait à quelques reprises. Mais il fallait prendre le bon côté de la chose : si j'étais aussi jaloux, c'est bien parce que j'étais follement amoureux de toi et que je ne voulais pas te perdre. Il y a quelques temps, ça avait été la toute première fois où j'avais littéralement paniqué, mais également la toute première fois où on s'était engueulés tous les deux. Horrible!

Au travers de la grande porte vitrée et transparante, je te vis assis et accompagné d'une infirmière que je savais que tu avais très hâte de quitter, puisqu'elle devait probablement t'énerver de sa compagnie. La pauvre, ce n'était pas de sa faute, mais tu te sentais probablement étouffé, et tu n'aimais pas ça. Je comprenais. En te voyant, mon visage laissai apparaître un large et magnifique sourire. Tu ne m'avais pas remarqué, en fait, puisque l'infirmière te parlait, et tu étais dos à moi. J'entrai en douce pour me retrouver dans le Hall d'entrée de l'hôpital. L'infirmière venait de te quitter, et moi j'étais tout joyeux, surtout à cause de la surprise que je t'avais préparée! Je sortis un bandeau de mes poches que je mis sur tes yeux. « Devine qui c'est...! » Je te fis te lever en te tenant d'une main, tout joyeux. « N'enlève surtout pas ton bandeau! »
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Enfin, c'était enfin le jour de ma sortie. Après ces trois semaines passées ici entre traitements, groupe de paroles super chiants, consultation avec un psychiatre qui avait l'air bien plus fou que moi. Tout ça m'avait tellement soulé, je supportais pas qu'on soit constamment sur mon dos, et depuis trois semaines, c'est ce qui se passé. J'avais même pas pu fumer un seul joint, prendre une seule pilule magique, et franchement, j'avais hâte aussi de rentrer pour ça. Pour ça, et pour me retrouver seul avec toi. Tu venais souvent me voir à l'hôpital, mais c'était pas pareil, on pouvait pas faire ce que l'on souhaitait. J'avais envie de passer des nuits dans tes bras, de t'embrasser, j'avais envie de toi aussi. Pendant ces trois semaines, j'avais pas voulu que l'on nous voit en tant que couple non plus. Tu venais en tant "qu'ami". J'étais pas encore prêt, mais je t'aimais, je t'aimais plus que tout.

L'infimière me conduisait vers l'entrée en me recommandant encore de le plus toucher à la drogue, parce que la drogue, c'était mal, et qu'il fallait que je m'en sorte. Je faisais mine de l'écouter même si je savais que ce qu'elle disait ne me servirait pas du tout de leçon. J'avais pas l'intention d'arrêter ou de ralentir. Elle me salua et reparti s'occuper de ses patients. Je sentis alors quelqu'un arriver dans mon dos et me mettre un bandeau sur les yeux. J'avais reconnu ta voix, ton odeur, je savais bien que c'était toi. Un faible sourire se dessina sur mon visage. "Mon amour !" Tu me fis lever, et j'avais beaucoup moins de vertiges qu'au début, je tenais sur mes deux jambes, même si le traitement me ralentissait vraiment. Je te répondit, hésitant, je ne savais pas quelle surprise tu m'avais encore préparé, mais j'avais hâte de voir la suite. "Heu ... D'accord."


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Au fond de moi-même, si tu m'avais terriblement manqué au cours de ces trois dernières semaines, je me disais que c'était peut-être une bonne chose pour toi d'être resté aussi longtemps. Une bonne chose non pas parce que tu étais isolé de tout le monde avec des gens que tu n'appréciais pas nécessairement, mais plutôt parce que ça te ferait peut-être ouvrir les yeux sur le fait que ce que tu prenais fréquemment pour te faire aller mieux, avait plutôt l'effet contraire. Et ça, c'était vraiment pas cool, surtout pour moi qui t'avais vu dans cet état trois fois. Et la troisième avait été la pire. Enfin bref, tu m'avais terriblement manqué, et c'était ça l'important à présent : de te retrouver. J'avais passé mes nuits entières, pendant trois semaines, à m'inquiéter, et j'avais retrouvé ce problème d'insomnie que j'avais réussit à réglé quand je t'avais rencontré, ou plutôt dès la première nuit que j'avais passée avec toi. Mais là, à m'inquiéter autant, même si je venais te voir le plus souvent possible pour voir ton état s'améliorer peu à peu, quoique ton humeur se détériorer également, dû au fait d'être dans une «prison» comme celle-là, ne m'avait pas aidé à bien dormir.

Revoir ton visage, même voilé par le bandeau que je venais de te mettre et t'entendre dire «Mon amour» alors que je ne m'étais fait passé que pour un simple bon ami à toi durant trois semaines me faisait chaud au coeur et avaient le don de me faire sourire entièrement. Surtout que tu ne savais pas ce que je t'avais préparé. Je te tirai doucement jusqu'à la voiture, sans te brusquer. Eh oui, j'avais emprunté une voiture, et non ma moto qui était restée à Harvard, de toute façon, pour t'emmener où je voulais t'emmener. Je te fis entrer et refermai la porte avant d'aller du côté conducteur et de prendre le volant. « Dis-moi, est-ce que ça va mieux? » Je ne t'avais pas retiré le bandeau de sur les yeux. À présent, tenant le volant à une main, je fis glisser mon autre main sur ta cuisse pour chercher ta main et entrecroiser mes doigts aux tiens. « Si ça va pas mieux, alors la surprise que je t'ai préparé va te faire aller mieux...! » Le trajet était long, mais pas si long que ça. Deux heures au maximum et nous serions arrivés, probablement. « Aimes-tu les voyages, Luke? » Je voulais le mettre sur la piste, un peu...
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"Maintenant, ça va mieux." J'étais avec toi, alors oui, ça allait mieux, nous allions pouvoir vivre notre amour, même si il était caché, c'était toujours mieux que dans cet hôpital. Au fond, c'était toi qui me rendais heureux, et sans toi, j'étais encore plus déprimé qu'en temps normal, t'étais mon tout, mon univers, la personne que j'aimais plus que tout et avec qui j'avais envie de passer tout mon temps. Tu me pris la main, et je caressais doucement tes doigts avec les miens. Tu me demandas alors si j'aimais les voyages, je te souris et répondis assez interrogateur."Où est ce que tu m'emmènes ?" J'avais envie de retirer ce bandeau de mon visage, pour te regarder, ton visage me manquait, j'avais tellement envie d'en embrasser chacune de ses parties.


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Le fait que tu me rassures en me disant que ça allait mieux me fit sourire. Un petit instant, je tournai mon visage vers toi pour te regarder, quittant le regard de la route. Même si je savais que c'était dangereux, je ne pouvais pas m'empêcher de te regarder, puisque tu m'avais bien trop manqué. Après un instant, je dus reporter mon attention sur la route, bien sûr, pour ne pas percuter une voiture qui arrivait en sens inverse. « Tu vas voir, tu vas voir... Patience, on est presque arrivés. À la première étape du trajet. » En effet, nous étions presque arrivés. Du moins... à l'aéroport. J'avais téléphoné à mon père pour qu'il me fasse parvenir un jetprivé pour le trajet. Comme cela, tu n'aurais pas à enlever ton bandeau, et ce serait parfait... Lorsque nous arrivâmes, je descendis de la voiture en premier afin d'aller t'ouvrir la porte et de t'aider à sortir. Des gens s'occupaient déjà de sortir nos valises que j'avais pris soin de préparer et de les mettre dans l'avion. « J'espère que tu n'as pas peur des avions, ein.. ! » Je rigolai tout en t'aidant à t'asseoir et prenant place juste à côté de toi. En avion, ce ne serait pas bien loin ni bien long. Le jet privé décolla, et je souris, impatient.

Une bonne preuve du fait que ce ne serait pas un long trajet, j'étais capable de voir la mer et la beauté du paysage de l'endroit où nous allions atterir bientôt. Cet endroit-surprise que je te faisais, c'était pour fêter ta sortie de l'hôpital, mais aussi parce que je voulais passer du temps seul à seul avec toi, simplement... Alors, en souriant, je déclarai d'une voix enthousiaste et excitée : « Voilà...tu peux regarder par le hublot... » Et là, j'attendis de voir ta réaction...
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Je senti la voiture s'arrêter et tu me fis sortir de cette dernière. Nous marchions quelques temps, je devais avoir l'air un peu ridicule avec ce bandeau sur les yeux, mais je trouvais l'attention tellement belle que je me foutais de ce que pouvaient penser les gens qui nous croisaient. L'endroit était très bruyant, puis nous passions dans un endroit beaucoup moins, tu me demandais alors si j'avais peur de l'avion "Heu ... Non ? Mais heu Lassa, on va où là ?" Tu me conduisais jusqu'à un siège où tu me fis asseoir, après que de nombreuses personnes t'es saluée poliment. Donc le personnel de ce potentiel avion te connaissait. J'étais tellement excité de voir ce qui nous attendait.

Je ne me fis pas prier quand tu me dis que je pouvais regarder par me hublot. J'enlevais rapidement le bandeau et fus émerveillé par le paysage qui s'offrais à moi, c'était paradisiaque, je n'avais jamais vu ça de ma vie, je devais probablement ressembler à un gamin à cet instant là, je me retournais ensuite vers toi après quelques instants, un immense sourire collé sur mes lèvres. "Wow, Lassa, c'est juste ... C'est un rêve, on est en train de rêver c'est ça ?" Je parcourais l'avion des yeux, nous étions seuls, un jet privé carrément ? Je ne pu me retenir et passais mes mains autour de ton cou, afin de t'embrasser passionnément. Ca aussi, ça m'avait trop manqué. Trois semaines sans pouvoir gouter à tes lèvres, c'était juste impossible.
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Ça m'avait bien fait rire de te voir hésiter comme ça, ne sachant pas où nous allions. Dans ma vie, j'avais voyagé à peine quelques fois, malgré la richesse extrême de ma famille. Mère mannequin, père avocat réputé, grand-père créateur de la ligne Victoria's Secret et maintenant décédé, donc les Kentwell-Roy avaient hérité de l'immense fortune de mon grand-père. C'était donc très facile pour moi de me payer des voyages où je voulais et surtout quand je voulais, sans avoir cette contrainte de penser à l'argent. Pourtant, je restais modeste et ne dépensais pas tout ce que je pouvais avoir. Cependant, pour ce voyage avec toi, j'avais apporté une tonne de papiers verts, quoique insérés dans une carte bien sûr, pour qu'on puisse dépenser comme bon nous semblait. Je ne voulais pas que tu t'en prives parce que c'état mon argent et pas le tien. Enfin bref, nous parlerions de ça plus tard.

Voir ton expression d'extrême surprise, mais également de joie et de bonheur fit bondir mon coeur dans ma poitrine. Qu'est-ce que c'était bon de te revoir sourire, après trois semaines à l'hôpital. « Non, non! C'est bel et bien réel. Moi...et toi... Ici, à Cancun! J'ai réservé un jetprivé grâce à mon père, et loué une immense maison sur le bord de la mère. Un terrain privé. Personne ne viendra nous déranger. Juste toi...et moi! » Tu m'embrassas et ce fut le bonheur total. Les quelques «domestiques» qui étaient présents dans le jet étaient tous dans une espèce de petite chambre à eux seuls et toutes leurs portes étaient fermées. Nous étions donc seuls tous les deux. Je t'attirai contre moi pour que tu t'asseois sur mes genoux. Je te fis un immense sourire en caressant ta nuque et tes cheveux. « On reste ici une semaine complète... Ça te plaît? J'ai tout préparé, tout organisé. Ça va être parfait, fais-moi confiance! » En disant cela, je revins t'embrasser passionnément sur les lèvres. Qu'est-ce que j'étais heureux! L'avion commença à descendre pour aller se poser sur la piste d'atterrissage...

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"Cancun ... Carrément ... T'es fou t'aurai pas du ... J'suis gêné ... C'est juste ... Merveilleux mon amour." On nous annonçait que l'avion aller commencer à atterir, je me remis alors sur mon siège et attaché ma ceinture, selon les consignes de l'employé qui venait nous prévenir. Je me retournais à nouveau vers toi."C'est déjà parfait d'être juste seul, avec toi." L'avion atterrit enfin et nous sortions tous les deux. Un taxi nous attendait à la sortie et nous montions tous les deux dedans. Je restais bouche bé devant le paysage dans la voiture, n'arrivant même pas à décrocher un mot tellement j'étais quasiment sur de rêver. Je n'avais jamais voyagé, j'avais toujours vécu à Londres, puis à Cambridge, j'avais pas vraiment les moyens de toute façon. Nous arrivions devant la villa, et là, je n'en croyais vraiment plus mes yeux, c'était idyllique. Je me retournais vers toi, un sourire plus qu'immense sur les lèvres. "J'ai l'impression d'être un roi, sérieux Lassa, tu aurais pas du, c'est simplement magnifique."


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« Tu le mérites. Et puis...c'est un peu pour me faire pardonner, aussi...! » Je te fis un clin d'oeil en te prenant la main. L'avion s'était posé au sol sans problème, et voilà que nous nous retrouvions dans un taxi qui allait nous mener à la villa que j'avais louée le temps d'une semaine. Je l'avais vue en photo et tout, alors je savais déjà à quoi celle-ci ressemblait, j'avais juste hâte de voir ta réaction. Ma main dans la tienne, je la caressais doucement de mon pouce, lorsque le trajet du taxi s'arrêta devant l'immense demeure. Majestueuse, belle, magnifique, grande, spacieuse... Tous les qualificatifs ne seraient pas assez pour décrire cet endroit. Immédiatement, je portai mon attention sur toi qui était simplement ébloui. Je te serrai doucement la main, lorsque la taxi disparut, ayant été au préalable porter nos valises à l'intérieur, dans le hall d'entrée. « Mais tu es un roi. Tu es le mien ! Le roi de mon coeur, de mon corps et de mes désirs les plus fous... » Je t'attirai finalement vers l'intérieur de la maison en souriant et une fois à l'intérieur, je te plaquai doucement contre la porte pour t'embrasser. Tes lèvres avaient eu amplement le temps de me manquer en trois semaines... Et je ne pouvais y regoûter que maintenant. J'allais en profiter, oh que oui!
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"T'as rien à te faire pardonner Lassa." J'étais persuadé que ta réaction avait été appropriée, c'était pas ton genre de faire des histoire pour rien, même si je ne me souvenais pas du tout de la conversation qu'on avait eu au téléphone. A peine entrer dans la maison, j'avais vraiment l'impression d'être privilégié, c'était trop, trop pour moi. Je le méritais pas vraiment, j'étais pas du genre à mériter des trucs. "Si tu savais à quel point je t'aime. Tu m'as tellement manqué." Tu me plaquais contre la porte et nous commencions à partager un baiser passionné, ceux qu'on avait plus pu partager depuis mon hospitalisation. Ca me fit un bien fou, j'pouvais plus me passer de tes lèvres, mais là, j'avais d'autres idées en tête. "Mmmh ... Tu m'fais visiter ?" Non pas que j'avais pas envie de continuer ce baiser longuement, mais j'étais tellement excité de voir ce que nous réservait cette villa où nous allions passer une semaine à deux.

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