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scared you might hit the breaks (orphy #3)

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@Orphée Sarehenesouais. ni une, ni deux, vous remontez sur ta bécane pour faire le même trajet, mais en sens inverse. ça roule, ça flotte. ses mains contre toi. tu sais pas si c'que tu ressens à l'intérieur, dans l'creux des tripes, c'est un poids en plus ou un poids en moins. mais t'as le coeur gonflé, autant d'angoisse que de bien-être. au bout d'une quinzaine de minutes, tu vois réapparaître l'édifice, qui se profile en miniature. pour y être venu quelques fois, tu sais où se trouve la fenêtre de la chambre d'orphée. « arrivés », que tu annonces en débarquant le premier, lui retirant son casque. « t'es belle. même quand j'vois pas tout ton visage, que la nuit se fait égoïste pour te dévoiler. » et tes doigts viennent se perdre timidement dans les cheveux, si doux.
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( tw ; crise clastique, bris d'objets)
le trajet, tu l'as presque souhaité plus long que ce qu'il n'était, te rendant bien compte que c'était chez toi qu'on allait, qu'on retourner. ça défile trop vite, et te voilà devant ton immeuble. l'idée qu'il puisse voir l'état de ton appartement t'angoisse légèrement, le chaos. sonny retire doucement ton casque et tu souris doucement à ses paroles. l'coeur qui bat un peu trop fort. chamboulement d'émotions. te racles difficilement la gorge pour retrouver un peu de contenance, – merci.., mot qui t'échappe, presque murmuré, mais tes mirettes refusent de croiser tes mirettes plus longtemps. il ne peut pas voir ça, pourtant ça va arriver. large inspiration qui rempli la cage thoracique, – j'te laisse monter en premier... c'est pas super rangé.., léger rire nerveux qui s'échappe, un euphémisme penses-tu alors. légère hésitation avant de prendre les devant, enfoncer la clé dans la serrure pour déverrouiller. chaos intérieur qui git sous vos yeux, objets brisés, les restes de ta colère. te figes un instant, te préparant à ce qu'il dira, ou pas. puis finalement le silence est trop lourd, alors tu l'casses rapidement. – désolée, rentre... installe toi, j'vais te servir un truc à boire et ranger rapidement, ça sera pas long..., masque accroché à ton visage, léger sourire qui se force un peu, relève les yeux vers lui, cherche à faire taire toutes les questions qui doivent apparaître dans sa tête.-- @Sonny Kidd
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@Orphée Sarehenes — t'es un mec. pas de raison de t'inquiéter tant que t'es pas confronté à la réalité, qu'on ne te l'enfonce pas en travers de la gorge, qu'on ne te l'épelle pas haut et fort, qu'on ne te l'étampe pas dans le front en taille 60. t'as peut-être un doute qui germe quelque part dans ta tête depuis le début de la soirée. un doute qui s'était dissipé sous la tendresse de vos baiser et la chaleur de vos étreintes. et qui pointe de nouveau le bout de son nez à mesure que tu gravis les escaliers qui mènent à chez elle. comme une voix qui te souffle que quelque chose cloche. qu'elle te dit pas tout. que ses sourires effacés et son regard éteint n'étaient peut-être pas que le fruit de ton imagination. tu le vois, sans le voir. sans vouloir le voir, peut-être. or, ton aveuglement (in)volontaire rend le choc d'autant plus grand.

ça, c'est pas l'appartement rangé que t'as visité maintes fois, déjà. c'est pas votre cocon des dernières semaines, où vous apprenez à vous connaître, à découvrir les moindres coutures de l'un et de l'autre dans l'intimité, à l'abri des regards. c'est pas là que vos corps s'enflamment sous la douche, se heurtent passionnément sous la couette. pas le choix, vous vous êtes trompé de porte. c'est le logement d'un voisin. mais la clé entre ses mains se fait traîtresse de la vérité. des points d'interrogation dans les yeux, une grimace de mauvaise surprise te déforme les traits. « tu t'es fait cambrioler? » mais non, c'est pas ça. son absence de réaction, son inconfort évident, sa fuite, rien ne laisse présager que c'est l'oeuvre d'un cambriolage. ta tête, ça tourne comme un hamster sur sa roue. les questions fusent, sans trouver de réponse. « orphée. » le ton est sévère. tente de masquer une inquiétude grandissante. « stop. arrête. j'ai pas soif. on s'en fout du ménage. » tu t'approches, empoigne son poignet avec douceur pour l'arrêter dans sa course. « regarde-moi. s'te plaît. » tes doigts se posent sur sa peau de soie, trouvent refuge derrière son oreille, retiennent son visage. pour l'éviter de fuir, encore. « qui a fait ça? » t'essaies de chasser l'hypothèse que quelqu'un ait voulu s'en prendre à elle, ait pu lui faire du mal. et qu'elle t'ait caché la vérité. refoule la boule de rage, et de peur qui prend forme au fond de tes tripes. mais ce que tu sais pas, c'est que t'es à mille lieues de la vérité.
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coeur qui rate un battement quand tu apperçois la détresse dans son regard. comme si son inquiétude et ses questions déchiraient ton âme, pourtant t'sais pas trop quoi dire, pas comment expliquer c'qu'il a sous les yeux. impulsion, comme toujours, de fuir, d'tout balayer sous l'tapis, mais ses doigts, doux et fermes à la fois, te retiennent. forcent à rester.
détourne les yeux une seconde, cherchant l'échappatoire invisible, avant d'lâcher, dans un souffle – non... personne a fait ça..., voix presque un peu rauque, étrangère, comme si chaque mot arrachait un peu plus ta carapace finalement. – c'moi, j'suis la seule responsable d'ce merdier... relèves les yeux, osant afin l'regarder. c'est difficile pourtant. – c'est moi... ça arrive quand.. quand ça déborde tu vois ? tu t'mordilles la lèvre nerveusement, un instant, reposant les prunelles vers la pointe d'tes orteils. – quand ça devient trop lourd... j'arrive plus.... phrase qui se meurt dans l'fond de ta gorge, remplacée par un soupir nerveux. – j'gère pas très bien la pression, les trucs que j'ressens... ça explose, ça pète... et après ça donne ça..., désigne d'un geste las la pièce ravagée autour d'vous. tes épaules qui s'affaissent légèrement, presque comme un aveu, impuissante, avant d'oser à nouveau l'regarder, cherchant ses pupilles. – j'voulais pas que tu vois ça, qu'tu me vois comme ça...-- @Sonny Kidd
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